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Vacances surprises – Chapitre 1




Dans mon récit précédent j?avais raconté ma rencontre avec Corinne. Le passage à l?acte paraissait abrupt, mais c?est le reflet de la réalité, je suis très timide et n?osait pas beaucoup prendre d?initiatives. C?est elle qui petit a petit m?a libéré de mes peurs.

    Nous nous sommes marié quatre ans après notre rencontre, ce furent quatre années un peu bousculées. Nous avons chacun mit fin a la relation, pendant des périodes plus ou moins longues, mais finalement nous étions toujours attirés l?un par l?autre. Notre relation était d?ailleurs toujours plus intense après une séparation. Une des raisons de nos séparations était justement ma timidité, brusquement je me suis senti plus fort et plus séduisant. Je voulais donc vérifier mon nouveau pouvoir, mais ce n?est pas le but de ce récit.

    Deux enfants ont enrichit notre vie, une fille, Alisée, puis deux ans plus tard un garçon, Timothé. Notre vie sexuelle s?était développée simplement, nous avions découvert les plaisirs de la sodomie. Corinne aime autant la recevoir que me la donner, au début avec un simple gode mais aujourd?hui avec un gode ceinture. Nous nous sommes découverts l?un et l?autre exhibitionniste et voyeur. Bref nous menions une petite vie bourgeoise avec une sexualité sommes tout assez banale.

    Comme souvent ce sont les enfants qui permettent de rencontrer des amis. Louise et Pierre forment un couple bizarrement assorti. Elle est grande, filiforme, avec des jambes interminables, peu de poitrine, pas de fesses, un visage un peu austère qui devient radieux lorsqu?elle sourit, c?est à dire pratiquement tout le temps. Lui est petit, rond, le visage toujours en mouvement, malgré cela il est très sportif et joue plutôt bien au tennis. Autant leurs physiques sont différents, autant leurs caractères sont complémentaires, toujours de bonne humeur, amusant, curieux de tout. Nous passions de plus en plus de temps libre avec eux, jouions au tennis, aux échecs, sortions au restaurant ou au cinéma.

    Il y a deux ans ils nous ont proposés de passer des vacances avec eux, durant la semaine de camps scouts des enfants. Nous étions l?une et l?autre très fatigués et acceptâmes avec enthousiasme cette proposition. Corinne est enseignante dans une école maternelle pour enfant en retard mental et pour ma part je suis commercial en produits pétroliers. Le travail de Corinne est très prenant car il faut être perpétuellement vigilant. Pour ma part l?année avait été difficile. La perspective d?une semaine au soleil sans les enfants était vraiment irrésistible.

    Ils avaient échangé leur maison avec des amis habitant la Provence a l?année, ces derniers voulaient passer un peu de temps au pays avec leur famille.

    Le mas se trouve en retrait du village, dans les collines, avec une vue sur la garrigue. Dans le jardin, enclos de murs, se trouvent une piscine, un barbecue et un tennis. Une longue table en pierre du pays permet de prendre les repas au jardin. Bref le paradis, d?une part la maison était fraîche et d?autre part le jardin était à l?abri des regards.

    La maison est décorée avec beaucoup de goût, ils ont su préserver le caractère de la région sans verser dans l?excès. La cuisine est vaste avec une grande table en bois, une décoration ancienne avec tout le confort moderne. Le salon donne sur le jardin par de larges baies vitrées, des tentures extérieures permettent d?y maintenir un peu de fraîcheur l?été. De grands sofas font face au jardin et ont la vue sur la garrigue. Le coin salle à manger se situe en façade, de même que la cuisine. Une petite pièce derrière la cuisine, à côté du salon et donc face au jardin nous attiras immédiatement, au centre de celle-ci se trouve un immense jacuzzi. Corinne et moi, d?un regard, nous promîmes milles plaisirs dans l?eau bouillonnante.

    Apres ce tour du propriétaire, nous choisîmes une chambre a l?arrière. La vue sur la garrigue y est tellement belle, de notre chambre nous voyons la piscine et une partie du tennis, le barbecue et la table nous sont cache par un arbre.

    Les bagages furent déballés en un temps records, le maillot de bain enfilé tout aussi vite.

    Pierre nous attendait dans le salon, une serviette de bain nouée autour des reins.

    – Louise et moi sommes naturistes, j?espère que cela ne vous incommode pas.

    – Pas du tout, répondit Corinne qui accompagna le geste a la parole et enleva d?abords la culotte de son bikini puis le soutien gorge.

    – Toi non plus mon amour, me dit-elle

    – Euh non ! Face à une situation nouvelle j?ai toujours un peu de mal à réagir.

    – Eh bien enlève ton maillot alors !

    Je m?exécutais dans un état second, Pierre avait dénoué sa serviette et se dirigeait déjà gaiement vers la piscine accompagnée de Corinne. Apres un petit temps de réflexion je les rejoins. Louise, dont le teint de rousse ne permet pas trop d?exposition au soleil, lisait allongée sous un parasol.

    Un peu désarçonne par cette nouvelle situation, je plongeais immédiatement dans la piscine pour me donner un peu de contenance, puis négligemment appuyé au bord je me mis à détailler la situation.

    Louise, comme je l?ai déjà dis, est très grande, avec des jambes interminables, peu de fesses et peu de poitrine. Je pouvais enfin voir ses seins, ils sont petits, mais plus fermes que je ne le pensais, couverts de taches de rousseur. Les aréoles sont larges et claires. De part sa stature son ventre est plat et sans graisse. Elle était allongée sur un matelas de piscine, le dos appuyé sur des coussins. Les jambes légèrement écartées m?autorisaient une vue plongeante sur sa chatte. Quelle merveille, sa chatte est fine, ourlée de poils roux, court et soyeux. Je voyais distinctement sa fente. Elle semblait indifférente a mon regard pesant sur sa féminité. Tout en lisant son magasine féminin, elle glissa sa main droite le long de son sexe et frotta inconsciemment cette petite portion de peau entre les poils et le pli de la cuisse. Cela écarta légèrement ses lèvres durant un petit moment et surtout cela eu un effet immédiat sur ma queue. Mais étant dans la piscine personne ne pouvait le voir.

    Pierre et Corinne avaient tiré des matelas au soleil et s?y étaient allongé. Ils discutaient gaiement de tout et de rien. J?étais sidéré de son aplomb, car a ma connaissance c?était la première fois qu?elle pratiquait le naturisme et a plus forte raison avec des personnes que nous connaissions.

    J?en profitais pour regarder leurs corps. Pierre était couché sur le coté, faisant face à Corinne, une jambe en ciseau vers le haut. Il s?appuyait la tête sur une main et de l?autre il jouait négligemment avec ses couilles. Il a un ventre rond, mais pas adipeux, sa queue semble plus courte que la mienne, un peu plus grosse et son gland n?est pas recouvert par le prépuce. Bon évidement je n?ai pas beaucoup d?expérience en la matière. Par rapport à lui, ma queue semble plus longue et plus fine, mon gland au repos est recouvert par le prépuce. Mais tout cela ne donne pas de vrais indications sur la situation en érection.

    J?aime toujours autant regarder le corps de Corinne, après toutes ces années elle n?a pas beaucoup changé. Ses seins sont toujours aussi beau, ils pendent un peu plus qu?avant, mais ils sont toujours aussi gros et attirent toujours autant la caresse. Son ventre est resté plat malgré deux maternités. Sa chatte est foncée comme ses cheveux, mais plus fournie que celle de Louise, les poils sont bouclés et il faut les écarter pour voir sa fente.

    Pierre lui aussi avait longuement regardé le corps de Corinne, elle ne s?en était pas offusqué mais avait bien vu l?hommage muet.

    Je sortis alors de l?eau, Corinne se leva pour venir vers moi et Louise posa sa revue semblant sortir de sa rêverie. Elle me détailla longuement, je me sentais un peu flatté, surtout lorsqu?elle regarda longuement ma queue. Mais je fus surpris lorsqu?elle regarda tout aussi longuement Corinne, celle-ci lui rendit le même regard. Décidément ma femme me surprendra toujours.

    Le reste de l?après-midi se passa tranquillement à nager, parler et surtout se reposer.

    Vers huit heures, Pierre et moi avons allumé le barbecue. Une demi-heure plus tard les braises étaient parfaites. Nous avons grillé la viande et sommes passé à table. L?ambiance était très gaie, comme il faisait encore chaud nous étions toujours nus. Louise nous avait donnés de petites serviettes pour s?asseoir et nous en avait expliqué les raisons hygiéniques. Le vin du pays coulait généreusement, la conversation animée.

    Vers onze heures, un peu grisé par le vin, le soleil et surtout la vue des corps de nos amis, nous sommes montés nous coucher. Corinne avait pris soin de fermer les volets mais de maintenir la fenêtre ouverte. Il faisait donc relativement frais. Je m?endormis presque aussitôt. Au bout d?une heure Corinne me réveilla doucement.

    – Tu n?entends rien

    Je fis attention et entendis des gémissements venant de l?extérieure, impossible d?ouvrir les volets pour regarder sans ameuter le quartier. Nous sommes descendus dans le noir pour voir ce qui se passait dehors. La table de jardin était éclairée, Louise était couchée dans le sens de la longueur, les fesses pratiquement au bord et les jambes posées sur les épaules de Pierre. Celui-ci était à genoux devant elle et lui léchait la chatte. Nous étions aussi près que possible, sans pour autant être vu. Il passait de ses lèvres à son clito, l?excitait du bout de la langue, puis essayait de la pénétrer le plus profondément possible. Elle releva son bassin et tint elle-même ses jambes pour lui permettre de lécher longuement sa rosette. Elle gémissait de plus en plus fort, lui tendait les bras pour lui caresser les seins. Ses tétons étaient durs et roulaient entre ses doigts.

    – Prends-moi maintenant, gémit-elle.

    Il se releva et nous vîmes alors sa queue en pleine lumière. Elle était plus courte que la mienne, pas de beaucoup, mais vraiment plus grosse. Il la frotta contre la chatte de sa femme, caressant sa rosette avec son énorme gland, puis glissant sur sa fente et titillant le clito. Il recommença ce manège plusieurs fois, lui arrachant chaque fois des gémissements de plaisirs. Ses grosses lèvres étaient très gonflées, les petites ouvraient largement la chatte. Elle mouillait abondamment. La queue de Pierre luisait un peu plus a chaque passage. Puis il présenta son gland a l?entrée de sa chatte, il la tenait par les fesses, ses jambes reposaient sur les épaules de Pierre et elle se tenait à la table. Petit a petit en prenant tout son temps il la pénétra, ressortant régulièrement pour se replonger un peu plus. Enfin il la pénétra à fond et commença un va et vient de plus en plus rapide. Elle hurlait à présent, si nous n’avions pas été réveillés auparavant, là nous ne pouvions plus ignorer ce qui se passait.

    Il ressortit complètement, inclina son bassin et présenta son gland contre la rosette de sa femme.

    – Lubrifie-moi quand même un peu, dit-elle en reprenant son souffle.

    Il prit le beurre sur la table et lui en tartina la rosette, introduit ensuite un doigt, puis deux. Il lui branla longuement le cul, tout en douceur. Il se beurra le gland et le présenta à nouveau contre la rosette. Il appuya, elle l?aidait maintenant en écartant ses fesses a deux mains.

    – Putain ce qu?elle est grosse, souffla t?elle.

    – Ouais ! J’ai vu ton regard sur la queue d?Antoine, elle est plus fine

    – Je t?ai vue aussi mater Corinne, elle te plait

    – Je ne peux pas te le cacher

    – Ahrgh !! Ouf ! Ca y est ton gland est passé mais laisse-moi un peu respirer

    Inutile de dire que ma queue était raide depuis le début, je sentis la main de Corinne se refermer dessus et entamer un mouvement de masturbation.

    – C?est que tu bandes comme un cochon, me souffla t?elle a l?oreille

    Je me penchais et passais un doigt le long de sa chatte, elle était trempée et ses lèvres ouvraient largement le passage.

    – Merde ! Tu n?as jamais autant mouillé, viens ne restons pas la.

    Je voulais l?emmener dans notre chambre, mais l?envie était trop forte. Elle se coucha dans un sofa du salon.

    – Lèches moi, me dit-elle tremblante de désir.

    Je me mis à genoux devant elle et vint recueillir son excitation du bout de la langue. Je commençais par caresser ses grandes lèvres sans toucher son clito, puis je lapais de toute la langue sa chatte en dardant son bouton. Elle se mit à jouir très vite, très fort, ne retenant pas ses cris, elle me tenait la tête, la pressait contre sa chatte en feu, imprimait un mouvement du bassin pour augmenter la caresse ou cela la faisait le plus jouir.

    – Prends-moi, prends-moi, prends-moi !!!!! Hurla t?elle.

    Je voulais frotter ma queue comme Pierre l?avait fait peu de temps avant

    – Non, viens, viens en moi !!!

    Je m?enfonçais en elle et imprimais un rythme très rapide. Elle m?emprisonnait avec ses jambes, s?était redressé les bras autour de mon coup et me serrait à m?étrangler. Elle me hurlait sa jouissance dans les oreilles.

    – Ouuiiiii !!! Encore !!! Je jouis !!! Je jouis !!!

    A ce traitement je sentis aussi le point de non-retour arriver, je transpirais d?excitation, l?odeur des sexes prenait au nez, le bruit humide de la pénétration m?excitait encore plus, mes couilles frappaient ses fesses a chaque pénétration.

    – Je vais venir !!! Oui je vais venir !!!

    – Ejacules moi dessus !!!

    Je me retirais, elle se laissa tomber en arrière et je posais ma queue sur son mont de venus. Je sentis mes couilles se contracter, le sperme monter dans ma queue et sortir en un long jet qui s?écrasa entre ses seins, deux autres longs jets suivirent, puis deux petits qui terminèrent dans ses poils. J?avais la queue en feu, comme si une colonne de fourmis la parcourait, je le la replongeais dans sa chatte, mais je ne pus tenir tant l?excitation était forte.

    – Eh bien je vois que nous vous avons donné des idées, dit une voix féminine derrière nous.

    Louise et Pierre se tenaient par la main, ils nous regardaient en souriant. Un peu de sperme coulait de sa chatte le long de ses jambes, la queue de Pierre était flasque mais encore luisante.

    – Tu permets, me dit-elle ?

    Je me retirais des jambes de Corinne, Louise vint à ma place et commença à laper mon sperme sur son ventre. Corinne lui caressait les cheveux et la regardait langoureusement.

    Nos vacances venaient de prendre un tournant tout à fait inattendu, mais très excitant…

    Antoine

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