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Ma mère , ma chienne – Chapitre 1




Si, tout comme moi, pendant des années, vous avez fantasmé sur votre mère, alors sachez que tout est possible : ma mère, qui fut ma maman, est devenue ma maîtresse, ma concubine, et à présent une femme hyper-soumise et hyper-joueuse, même si maintenant cela fait des années.

Raconter la première fois ? Je ne saurais même pas vous le dire : je lui ai tout fait ! Pourquoi raconter mon histoire ? Pour me vanter, eh oui : voici dix ans que je baise ma mère ; elle a dû avorter à trois reprises. Mon emprise sur elle est totale : chaque jour, je décide de sa tenue à porter ; je lui fais boire quotidiennement un verre de ma pisse, et tout est ordonné.

Voici ce que je lui ai fait hier…

Lundi, 8:00 : je la réveille. Elle est en nuisette blanche, sans culotte. Je la fais pisser dans un pot et, comme dhabitude, elle en met partout : eh oui, c’est une grosse pisseuse ! Je la fais essuyer sans avoir encore entendu un son de sa voix. Je décide de lui faire porter des bas noirs, un string, une jupe courte et un chemisier.

8:30 : je l’installe dans la baignoire, toute habillée ; je lui enfile ma bite dans la bouche et commence lentement un va-et-vient en prenant bien soin de lui enfoncer à fond. Elle commence à tousse et à baver ; j’accélère : les "glok-glok" commencent à faire leur apparition et elle bave partout. Je l’attrape par les cheveux et commence une chevauchée buccale ; ses yeux sont pleins de larmes quand survient mon éjaculation, en pleine bouche : trois ou quatre giclées, qu’elle avale. Je me retire et lui pisse dessus ; sa face est toute saccagée. Je la déshabille et lui fais prendre une douche.

10:00 : après lui avoir travaillé le fion avec mes doigts, je lui enfonce un dong de 28cm en entier dans son fion ; petit soupir, mais rien d’inquiétant. Je lui installe une culotte de chasteté et lui ordonne de faire le ménage. Ayant constaté un manque d’énergie de sa part, je la bâillonne et l’installe en levrette sur le lit ; je défais ma ceinture et me mets à effectuer une série de coups de fouet, brutale à vrai dire : dix coups, qui en plus de rougir ses fesses, lui balafrent son cul de salope. Elle a mal ; alors je la laisse une demi-heure dans cette position.

12:00 : je la fais manger dans une gamelle et je lui sers un verre de pisse.

Petite pause…

14:00 : je lui retire la ceinture de chasteté, l’installe sur le trône des chiottes et lui demande de pousser afin de dégager le dong qu’elle a dans le cul depuis bientôt quatre heures. Elle pousse, gémit ; elle se tord de douleur. Je l’encourage, mais rien ne sort. Alors je l’aide avec mes doigts et là, tel un bébé montrant sa tête lors d’un accouchement, j’aperçois le bout du dong. Alors je lui ordonne de pousser très fort, et "splash" : le dong fuse dans la cuvette, accompagné d’une chiasse sanglante. Elle pue, et son fion est éclaté ; dans la foulée, je lui fais une gorge profonde d’anthologie : elle se remet à baver, elle se vomit dessus, ça dégouline sur son menton et ensuite sur ses seins. Je me retire en lui faisant penser que je vais cracher sur sa face : elle ouvre la bouche et là, d’un seul coup fort et profond, j’éjacule au fond de sa gorge. Son visage passe du rouge au violet, ses yeux sortent de leurs orbites ; sous la pression, ma bite est expulsée. Elle se met à tousser fort et dégueule un énorme filet composé de bave et de sperme.

Fin d’une demi-journée assez plaisante ; je la laisse tout nettoyer, le temps de faire une petite partie de Playstation ; ensuite, je la laisse regarder un peu la télé jusqu’au deuxième acte du jour ; mais ça, ça sera pour une prochaine fois.

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