Sylvie et Bastien ont achetés une petite maison à la campagne pour les vacances. Bastien a demandé à son cousin Marc de lui donné un coup de main.
Bastien s’occupe de l’extérieur, Marc de l’intérieur, Sylvie nettoie au fur et à mesure. Sylvie, à la fenêtre, demande à son mari s’il veut une boisson fraiche.
— Non merci, mon amour, je n’ai pas soif. Propose à Marc.
Sans savoir ce qu’il lui arrive, et envouté par la beauté de Sylvie, Marc se met au sol, et rampe vers elle. Il place sa tête entre les cuisses de sa cousine. Surprise, celle-ci écarte les jambes, en restant accoudée à la fenêtre. Marc engage deux doigts entre le string de Sylvie, et remonte sur les lèvres humides jusqu’au clitoris, qu’il extrait du capuchon.
-Oh, murmure Sylvie sans le repousser, mais il est fou.
-Tu parles seule chéri, demande Bastien.
-J’avoue que j’ai un petit coup de pompe, répond-elle.
-Arrête toi cinq minutes, poursuit-il.
Marc a quitté le string, et enroulé la robe autour de la taille. Les jambes légèrement écartées, Sylvie offre sa chatte aux mains, mais aussi, à la langue de son cousin. Elle pince ses lèvres et ferme les yeux.
"Mon dieu, comme il me chatte, qu’il me suce, que c’est bon" Elle passe une main entre ses jambes pour maintenir la tête de Marc contre sa fente.
-Haa.haa.gémit-elle en se retenant, quel salaud, il me fais jouir.
Marc a sorti ses attributs de son short. Sa queue est au garde à vous. Il tire Sylvie par les hanches, jusqu’à ce qu’elle disparaisse de la fenêtre. Elle se maintient sur la pointe des pieds, Jambes largement ouvertes, et coulisse sur la queue de Marc. Dans un râle de plaisir, elle passe ses bras autours de sa nuque.
-Qu’est-ce-que tu me fais, salaud, tu me niques, tu me régales, tu le sais. Putain, tu me maques encore, oui..
on ne m’a jamais écartée comme çà, ha. que tu es vicieux.
-Tu penses à ton mari, petite pute. Tu préfère te le faire mettre par une bonne queue, hein? Et dans quelle position, entièrement offerte, salope. Moi aussi, je me suis bien régalé. Tu es tellement bonne. Et ton bouton, comme il est gros ce salaud.
-Vas-y, parle moi mal comme çà, tu m’excites.
-On a pas fini tout les deux, je veux que tu me taille une pipe, et que tu me prête ton petite trou.
-Ce que tu veux, accepte Sylvie vaincue, mais pas ce soir.
Bastien va chercher du matériel demain. On va être que tout les deux. Tu vas voir ce que je vais mettre a tes couilles. Tu vas pas t’en servir de quelque temps.
Il est sept heures, le lendemain, quand Bastien s’en va chercher le matériel.
-Je ramènerai de quoi faire des grillades, dit-il.
-D’accord chéri, et à boire aussi.
Sylvie va prendre une douche, et rejoint Marc à la chambre.
Il es t tout nu, allongé sur le ventre, une jambe légèrement repliée. On peut voir son membre dépasser entre ses cuisses. Sylvie, entièrement nue elle aussi, s’avance , saisit le prépuce, et libère le gland. Elle mouille ses doigts, et joue avec le bout de la queue. Marc pousse un grognement, et se réveille au contact de la caresse. Il écarte d’avantage ses jambes, et soulève son bassin.
-Qu’est-ce-que tu veux salaud, demande-t-elle.
La queue est maintenant en érection. Sylvie glisse sa tête entre les cuisses de son cousin. Elle lui prend les couilles et les fait rouler dans sa bouche. Puis, elle le prend par les fesses, et lui happe la queue du bout des lèvres. Elle sort le gland, l’excite, branle l’énorme queue, puis entame une fellation. Marc grogne de plaisir, la jouissance est proche. Dans un dernier coup de rein, il vide sa semence dans la bouche de Sylvie.
-Aou..han.. De bon matin, que c’est bon.
-Et moi qui avais pas déjeuné, ironise Sylvie.
Lentement, elle remonte sur le corps de Marc, elle embrasse le ventre, le torse, mord les mamelons, jusqu’à ce qu’elle arrive à la bouche qu’elle prend à pleine dents.
-A moi, supplie Sylvie, nique moi, fort, bien profond.
Elle écarte ses jambes, et les nouent dans le dos de son amant. D’un violent coup de rein, elle se fait pénétrer.
-Oh le con, gémit-elle, quelle énergie.
-Et c’est pas fini, dit Sylvie, je veux que tu me supplie d’arrêter.
Au bout d’une heure, ils ont jouis deux fois. Marc est au bord de la défaillance, le souffle devient plus saccadé. Epuisés, les deux amants s’écroulent sur le lit. Une bonne douche les réveillera.
Ils décident de faire un peu de rangements. C’est le chantier. De temps en temps, Marc glisse une main entre les cuisses de Sylvie.
-Arrête, gronde-t-elle, tu rentre ma culotte dans ma chatte, elle est toute mouillée. Il faut que j’aille me changer maintenant.
Elle revient, toute souriante. Il s’avance, et lui met la main au panier.
-Salope, tu as réglé le problème, tu as rien mis.
— On ne sait jamais, si tu avais l’intention de me donner un coup de queue.
Marc la prend par la taille, et la force à s’allonger au sol.
-Viens ici, petite garce, tu as besoin d’être calmer.