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Errance d'un Candauliste / Mélanie – Chapitre 1




J’ai rencontré Mélanie quelque temps après avoir rompu avec Justine. Mélanie était la fraîcheur même, jeune étudiante de 18 ans, belle brune plantureuse aux fesses galbées et à la poitrine ferme. C’était une timide et j’ai eu l’honneur du haut de mes 24 ans de la déflorer ; mais passé les différents rites de la découverte sexuelle je nourrissais, déjà, au bout de trois mois, le désir de la savoir prise par un autre. Elle était si innocente que je ne voyais pas bien comment aborder le sujet de mon candaulisme et me contentais alors de ne pas refréner ses sorties avec ses amis étudiants en la laissant libre de rencontrer qui elle souhaite. Très amoureuse, elle n’a jamais cédé aux différentes avances de ces jeunes camarades.

Je travaillais à cette époque dans un restaurant, j’étais attaché au service. J’avais fait la connaissance du chef de cuisine, le dénommé Eric. Ce type adorait son métier mais il avait aussi un penchant obsessionnel pour les femmes, et il savait jouer de son physique avenant et sportif. En vérité, ce type était un salaud, car il savait profiter de son magnétisme pour faire succomber nimporte quelle femme, qu’elles fusent mariées, mères, clientes ou serveuses, toutes y passaient.

Un jour que la direction avait fait une annonce à la recherche de personnel de salle, j’eus la vicieuse idée d’enrôler Mélanie, qui, comme toutes les étudiantes avaient bien besoin d’un petit plus financier, et ma foi le métier était accessible à tous. La direction accepta sous la condition que nous ne travaillions pas ensemble elle et moi car bien souvent les affaires de couples déteignent au travail. C’était chose faite, Mélanie avait signé son contrat de serveuse extra. Elle était très heureuse de cela et avait même acheté une petite tenue pour l’occasion, une mini-jupe et un chemisier blanc. J’avais observé les réactions d’Eric lorsqu’il avait vu passé Mélanie lors de la signature du contrat, il avait réagi en mâle dominant en fixant bien le postérieur de Mélanie. Il m’avait confié sur le ton de la plaisanterie « pas mal ta copine, mais on ne touche pas aux femmes des collègues… »

Les premiers soirs de service se déroulèrent sans que je constatasse quoi que ce soit de changé dans l’humeur de Mélanie, elle rentrait vers 23h se douchait rapidement et elle me racontait sa soirée de travail sur un ton amusé en comptant ses pourboires. Parfois elle évoquait l’un ou l’autre client un peu lourd qui l’avait draguée mais jamais de mention du chef cuisinier.

Deux semaines plus tard, alors même que j’avais évacué mes idées vicieuses me disant que finalement Eric l’obsédé sexuel tenait parole en ne s’attaquant pas aux femmes de ses collègues, je notais que Mélanie était différente. De retour du travail ses douches étaient plus longues et prétextant d’être exténuée ne me racontait plus par le menu le déroulement de ses soirées. J’avais aussi constaté en la baisant durant cette période que sa petite chatte d’ordinaire si serrée était maintenant beaucoup plus distendue, plus mouillée et plus rouges d’irritation, ce qui avait pour effet de me rendre très dure et de la cogner plus fort. Mais il me fallait en avoir le cur net. Serait-il possible que ma petite Mélanie se fasse ravager la chatte par ce pervers de cuisinier, de 15 ans son aîné ?

Un soir je décidais donc de me rendre discrètement au restaurant à l’heure de la fermeture, si l’on m’y voyait peu importe, je pourrais dire que n’arrivant pas à dormir ou étant de passage je suis venu à la rencontre de ma douce. Plus un client, les lumières des salles de restaurant étaient éteintes, celle de la cuisine toujours allumée, mais le chef n’y était pas, je me dirigeais donc vers l’arrière-salle où se trouve le bar, doucement à petits pas. Déjà, j’entendais des bruits spécieux, inhabituels pour l’endroit mais trop étouffés pour que je les comprenne. Ce n’est qu’une fois arrivé à la hauteur du bar que je les saisissais ; il s’agissait des bruits d’une copulation qui provenait de la cave. Elle devait se faire prendre sur les caisses de consignes, je reconnaissais le tintement particulier des bouteilles de verres dans leur cage de plastique, il tapait fort et rapidement, je reconnaissais également les petits cris de Mélanie, il lui disait des grossièretés « t’es ma petite salope hein ! Tu l’aimes ma grosse queue, hein ?!! » Elle ne répondait pas, ce n’est pas son genre, elle se contentait de se laisser prendre et de couiner. Je bandais fort, j’aurai pu me branler là, mais j’ai préféré rentrer et l’attendre… (à suivre)

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