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Premier job, diplome en poche – Chapitre 2




Salut c’est votre folle de lycra

Dans le premier chapitre je vous racontais, comment diplôme en poche je me suis retrouvé à travailler dans un grand bureau avec sept collègues féminines et un patron masculin. Le poste était très sympa d’autant que le vendredi nous avions une heure de plus de pause pour que tous les neufs allions à la piscine. C’est vrai que dans ce bureau je ne faisais pas très masculin. Les sept femmes pouvaient être ma mère, mais surtout elles faisaient plus d’un mètre 78 et du coup elles étaient de ma corpulence à moi. La première fois où je suis parti à la piscine avec eux tout est parti en sucette et j’ai perdu la face. Après la piscine Sophie, une collègue; et Claude le patron se sont chargés de prendre mon éducation en main.

J’étais entre les jambes de mon patron en train de lui faire une bonne fellation, et en même temps je broutais le minou d’une de mes collègues assise jambes bien écartées sur le bureau du patron. Je faisais cela maintenant par gourmandise et je ne savais pas trop jusqu’où cela allait aller. Au bout de plusieurs longues minutes c’est mon patron qui a fini par partir dans ma bouche en premier et ma collègue m’a tenu la tête pour que je prenne tout en bouche. sur ce coup-là je n’étais pas trop consentant mais vu les circonstances je n’avais pas trop le choix; Sophie me tenait fermement la tête. Quand Claude a estimé que c’était bon, il m’a libéré la tête et c’est Sophie qui a pris le relais pour que je lui finisse sa petite langue. Décidément dans cette société j’étais en train de me faire déniaiser à vitesse grand V.

J’ai commencé à découvrir les parties sensibles de l’entrejambe de ma partenaire et ma langue bien évidemment s’y est attardée pour s’assurer une efficacité optimum. Moi qui était encore un peu innocent je prenais vraiment grand plaisir à jouer avec ma langue sur ce petit buisson si réceptif et sensible. Pendant que je lui mangeais son abricot, j’ai découvert une Sophie que je ne connaissais pas, une Sophie coquine mais surtout expressive dans le plaisir. Manquant encore un peu d’assurance, s’est Claude qui s’est chargé de caresser la poitrine demandeuse de caresses. En joignant nos efforts, Sophie a fini par prendre son pied; c’est Claude qui s’est chargé de d’étouffer la partie sonore de son extase. À vrai dire c’était la première fois de ma vie que je donnais du plaisir de cette façon à une femme. Je m’étais pour l’instant, limité à chatouiller l’abricot très sensible de ma cousine; pendant qu’elle, me tirait sur l’élastique.

Une fois que tout est rentré dans l’ordre Sophie et moi sommes sortis du bureau comme si de rien n’était. Nous n’avons rien dit mais il était manifeste que les collègues savaient ce qu’il venait de se passer. Mais que savaient-elles; était-ce un rituel qui venait de se produire ou une initiation à mon attention. La semaine commençait à prendre fin et nous savions que dans moins d’une demi-heure nous serions dehors pour attaquer le weekend. Avec toutes les questions que me posaient mes parents en rentrant du boulot, je ne savais pas vraiment ce que j’allais leur dire pour aujourd’hui. J’étais sur le point de partir pour rentrer chez mes parents quand Sophie est passée me voir avant de partir pour m’inviter à venir passer la soirée chez elle. Disons que vu la façon dont je connaissais maintenant Sophie, je ne pouvais pas vraiment dire non.

Du coup je suis resté travailler un petit peu au boulot histoire d’attendre Sophie qui est partie un peu en retard. Nous sommes donc partis ensemble pour nous rendre à son domicile, à ma grande surprise dans la voiture Sophie n’a pu se retenir de poser sa main sur ma cuisse; ce qui bien évidemment a réveillé en moi une grosse érection. J’étais en train de me demander dans quoi je m’étais embringué pour la soirée, même si ma collègue avait l’âge de ma mère je me disais que du sexe avec elle n’était pas pour me déplaire. Elle habitait à un petit quart d’heure du boulot en voiture, dans une jolie maison en pierre dont le portail s’est ouvert automatiquement. Nous avons directement garé la voiture dans le garage puis le portail s’est refermé automatiquement. J’étais un peu tétanisé dans cette voiture mais elle m’a mis en confiance en m’embrassant avec beaucoup de sentiments me semble-t-il.

Une fois sortis de la voiture elle m’a pris par la main pour m’amener à l’étage et surtout dans la chambre de sa fille qui s’était envolée depuis bien longtemps. Je n’avais pas trop mon mot à dire, je subissais, je la suivais, je l’écoutais et je m’exécutais quand elle me le demandais. Il n’y a pas à dire Sophie avait une emprise sur moi, surtout quand elle m’a demandé d’appeler mes parents pour leur dire que je ne dormirai pas là ce soir. J’étais en train de me dire que cette soirée risquait d’être mémorable avec ma collègue. Arrivés dans la chambre elle m’a dit avoir constaté mon énorme érection quand j’avais enfilé la culotte en lycra. Elle m’a dit en avoir conclu dans l’après-midi que j’étais très sensible aux matières douces et féminines. En même temps c’est vrai que la douce se culotte ne m’avait pas laissé indifférent tout l’après-midi.

Elle s’est approchée de moi pour me dire que je sentais le minou, je sentais la petite fille négligée et surtout que je sentais son entrejambe. J’étais gêné, j’encaissais et je subissais surtout quand elle s’est mise à me débarrasser de mon pantalon ainsi que de mon pull et ma chemise. Je me suis retrouvé pour ainsi dire nu dans une chambre de fille devant une femme de l’âge de ma mère dans une petite culotte féminine et juste mes chaussettes. Je ne sais pas ce qui m’a pris, mais je me suis mis à avoir une énorme érection que Sophie s’est mise à caresser avec délicatesse. Elle a été chercher une robe qu’elle m’a fait enfiler une robe très douce à manches longues et qui me cintrait le corps. Le truc qui m’a fait tourner la tête c’est quand elle m’a fait respirer du poppers et en me mettant un collier autour du cou un collier en cuir très fin mais avec du poppers dessus.

Du coup à chaque fois que j’inspirais, je respirais du poppers; très rapidement je ne savais plus vraiment ce que je faisais, j’étais totalement offert est soumis à Sophie. À vrai dire je n’ai même pas fait très attention sur le coup quand on a sonné à la porte et que Claude est arrivé et il m’a vu dans cette tenue. Je me suis aussi exécuté quand Sophie m’a demandé de le débarrasser de son pantalon pour libérer l’accès à son sexe. Le coup n’avait pu être prévu que cet après-midi, j’étais en train de réaliser que j’allais passer à la casserole. Claude m’a expliqué qu’il avait honoré toutes ses collaboratrices jusqu’à maintenant, vu mon physique un peu androgyne et mon caractère quand même soumis; il estimait que je ne devais pas le faire mentir à cette règle. Une fois en boxer, je constatai que mon chef avait quand même un sexe de belle taille dissimulé par une fine étoffe. Je pense que le mien était de la même taille, sauf que le sien était viril et entreprenant.

Sophie m’a expliqué que Claude allait me donner du plaisir mais quand même quand il n’était pas méchant, il voulait juste que je rentre dans son harem. En même temps son sexe je l’avais déjà vu ce midi et je lui avais donné du plaisir jusqu’au bout. Ma collègue m’a invité à me mettre à genoux au pied de mon chef et j’ai immédiatement compris ce que je devais faire. C’est Sophie qui a guidé ma tête vers la pointe du gland qui dépassait du boxer, puis elle a libéré la Bête. Je repensais à ma cousine qui m’avait fait des fellations, là j’étais en train de faire ma deuxième pipe en une journée à mon chef. Sophie et Claude étaient très tendres avec moi et mes mains c’étaient accrochées à ses cuisses poilues. J’ai commencé par déposer des baisers, puis j’ai fini par la prendre en bouche en le regardant pour savoir si je m’y prenais bien. Vu son regard satisfait j’ai pu en conclure que je lui faisais du bien et que je pouvais continuer comme je le faisais.

Tous les deux se sont mis à me parler uniquement au féminin cela m’a fait tout drôle mais Claude m’expliquait qu’il voulait avoir 8 filles dans son bureau et pas 7 filles et un garçon. Sophie m’a expliqué que ce soir c’était ma nuit d’initiation et que mon chef allait me féconder pour la première fois; et après il le ferai régulièrement comme il le fait avec les collègues. Même si j’étais un peu dans les nuages à cause du poppers j’étais en train de comprendre que mon patron allait me prendre comme une femme ce soir. C’est vrai que physiquement je n’avais pas grand-chose de masculin, mon corps était fin, imberbe; mais mes collègues me faisaient quand même envie; contrairement à mon patron qui lui me laissait totalement indifférent jusqu’à ce soir. Ce soir mon patron allait avoir deux femmes à sa disposition.

Au bout d’un certain temps à lui pomper le dard, Sophie a décidé que nous allions aller sur le lit. Du coup Sophie m’a fait mettre à quatre pattes sur le lit, là elle s’est mise à aller me faire une feuille de rose; pour mon plus grand plaisir. C’est la première fois que l’on me faisait ça; mais c’était sacrément bon, j’en arrivais à pousser de petits cris d’autant que maintenant elle s’amusait à glisser un doigt, puis deux puis trois histoire de me distendre mon petit anneau. Au bout d’un bon quart d’heure de préliminaires, cette dernière s’est confortablement allongée sur le lit en écartant bien les jambes avec son minou bien en face de mon visage. Elle me l’a saisit pour le plonger contre son abricot, le traitement qui m’a été infligé à ce moment-là étaient vraiment divin. Par contre quand j’ai senti Claude venir se positionner à l’arrière j’ai compris que j’allais passer à la casserole dans peu de temps.

Je sentais son sexe qui était entre mes jambes et était en contact avec le mien, en même temps il me caressait la pointe des tétons et il a saisi nos deux sexes pour nous masturber en même temps. Bien que nouvelle, la sensation n’était pas désagréable, il n’y a pas à dire mon chef avait déjà goûté au sexe masculin. Je l’ai aussi senti déposer une noix de salive sur mon petit trou, puis continuer à me dilater mon petit anneau, ce qui me procurait un grand plaisir inavouable. Puis il a cessé et quelques minutes se sont passés avant qu’il vienne positionner son gland à l’entrée de mon intimité. Ça y est dans quelques secondes, j’allais intégrer le poulailler de mon chef, j’allais devenir une de ses poules, j’allais devenir une de ces femelles qu’il allait féconder régulièrement; d’après ce que j’avais compris.

Maintenant je commençai à sentir son gland se faufiler tout doucement sans aucune douleur; je dirais même avec un peu de plaisir. À mon grand étonnement le côté obscur de ma personne était très accueillant à l’égard de ce sexe dominant. J’ai senti Claude fermement s’accrocher à mes hanches puis commencer à aller et venir en moi tout doucement mais avec beaucoup de fermeté. Maintenant je sentais ses boule arriver en butée cela voulait dire qu’il ne pouvait pas aller plus loin en moi. Sophie et Claude m’avaient tant et si bien préparé que je prenais un plaisir monstre à me faire défoncer la rondelle. Pendant que je me faisais honorer par le mâle dominant Sophie m’expliquait que j’allais prendre du plaisir et que au fur et à mesure y prendre goût et peut-être que je ne pourrai plus m’en passer. Pour l’instant me faire prendre sauvagement comme une femme me faisait grand bien.

De l’autre côté j’étais occupé à faire une langue à Sophie et j’aimais beaucoup le goût de sa cyprine. Je n’étais pas expérimenté, mais j’avais bien compris que ma langue lui faisait beaucoup d’effet. Par moment elle me serrait fort la tête pour que je reste à cet endroit et que ma langue insiste. J’étais en train de donner du plaisir à deux personnes de sexes différents et ces deux personnes me faisaient aussi beaucoup de bien. Je me suis même étonné à reculer mes fesses pour aller à la rencontre du sexe qui était en train de me prendre pour essayer de ressentir encore plus de plaisir. À mon grand étonnement au bout d’une dizaine de minutes j’ai commencé à ressentir des frissons puis des soubresauts, claude était en train de me faire jouir par mon petit trou. J’ai commencé à pousser des cris de plaisir, des cris très féminins mais au combien explicites. J’ai balancé de longues et grosses giclées dans ma robe qui en quelques instants s’est retrouvée poisseuse. Quelques instants plus tard c’est Claude qui se vidait au fond de moi et j’ai l’impression qu’il m’en a balancé beaucoup. 

C’est Sophie qui a pris son pied en dernier mais apparemment cela venait de très loin. Ça y est je venais de rentrer dans le poulailler, je venais de me faire féconder par mon chef; je devenais une soumise une chienne femelle une poule à ses yeux. Maintenant Sophie me caressait les cheveux et Claude me caressait les hanches, je serais resté des heures dans cette position à me faire ainsi câliner. Cela me faisait tout drôle d’entendre mon chef parler de moi au féminin quand il informait Sophie qu’il y avait un beau potentiel en moi. Il a mis du temps à sortir de mon conduit, car manifestement il se trouvait bien à l’intérieur; puis il m’a donné son sexe à nettoyer, chose que je fis avec un grand plaisir et gourmandise. Quand je me suis retrouvé allongé à nettoyer le sexe de mon chef, Sophie est venue se charger de me nettoyer le mien.

Sophie m’a expliqué que nous allions passer la nuit ensemble tous les trois pour que je prenne l’habitude d’avoir des réactions, des gestes, des habitudes féminines quand nous serons ensemble et surtout au boulot.

En espérant que ce second chapitre vous ait plu.

gros bisous à vous

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