je m’appelle Catherine et j’ai 35 ans. Brune, pas très grande et fortement bustée(95D. Mon mari Serge est plus jeune que moi de 5 ans. Il a un père de 57 ans, grand, du charme qui vit en Espagne. Il est divorcé. Je m’entends bien avec lui car il sait parler aux femmes et se montre agréable quand il vient chez nous. Mon mari adore me faire avouer des fantasmes et me raconte les siens. C’est ainsi qu’il m’a fait avouer qu’Alain me plaisait et que j’aimerais qu’il me baise. Sur le coup ça m’a excité. Serge a cru devoir insister en me racontant qu’Alain était monté comme un âne. Comment le sais-tu. J’ai fais du sport avec lui, tu ne pourrais pas faire le tour de sa botte avec ta main. Alain nous annonce sa venue un week-end. Mon mari insiste pour que je m’habille sexy. Je le vois venir. il veut qu’Alain puisse me mater. Que vicieux! Je refuse. Il me dit"si tu acceptes on ira à la Réunion comme tu en as envie". Du chantage, mais bon. C’est donc la totale.
Décolleté généreux, jupe moulante, bas.. Bof, mater n’est pas pêcher. A peine installé sur le canapé, le beau-père se régale les yeux. Mon mari me suit dans la cuisine et m’enlève ma culotte.
On boit un peu trop de champagne et Serge en profite pour dire à son père que j’ai des seins lourds et que je suis nue sous ma jupe. Silence géné, j’en reste muette.
Je vois à son entrejambe qu’Alain bande pour moi. Comment je me retrouve en soutien-gorge, je ne sais plus. Serge la voix hésitante, dit "je lui ai raconté que tu es monté comme un âne et elle veut vérifier et mesurer ta queue. Je crois rêver. Alain et Serge se déshabillent. Alain se réinstalle dans son fauteuil. Sa matraque de chair est énorme elle lui dépasse le nombril. Serge me tend un mètre à ruban. Alain fait 23 cm sur 7. Serge 18 sur 5. Alain fait glisser un élastique au bas de sa queue. Je suis interloquée. il me dit "ça retarde l’éjaculation. Sa queue est congestionnée. Tout s’enchaîne. On va au lit et Alain s’acharne sur mes seins. Serge dit "mon père va défroisser ton vagin"! Serge dévore ma chatte et je jouis de leurs caresses. Puis j’ai sucé l’énorme matraque de chair comme j’ai pu. J’ai fait frétiller ma langue dans le méat arrachant des gémissements à beau-papa. Ce dernier me fait mettre en levrette. Son fils l’encourage "vas-y bourre la"! J’ai senti toute sa longueur venir en butée contre l’utérus. j’en aurais pleuré de bonheur. J’ai sucé Serge en même temps et beau-papa a pris son temps. Il a su se retenir pour me défoncer sans se presser puis a annoncé qu’il venait. Mon mari s’est alors retiré et a demandé à son père d(’attendre. Serge s’est glissé sous moi pour voir son père me limer. je devenais folle. J’ai joui quand j’ai senti ses giclées chaudes inonder mon vagin. Mon mari a joui sur mes seins. Quelle pied nous avons pris.