Le Château

Alice ne sentit pas que quelqu’un se tenait à présent à côté d’elle. Elle tourna la tête vers la droite et vit deux femmes, superbes, les cheveux portés en chignon comme son reflet quelques instants plus tôt. Elles lui déposèrent une cape de velours noire sur épaules. Le tissu était doux et agréable à porter. Le manteau lui arrivait à ras des fesses, ce qui la rendit mal à l’aise. Elle avait habitude de se promener avec de longues jupes, lui arrivant aux chevilles. Les deux belles créatures qui la guidaient vers le château n’étaient que très légèrement vêtues, tout de rouge. Elles balançaient leur croupe à chaque pas, impudiques. Elles dégageaient un magnétisme incroyable. Arrivées en haut des escaliers, elles lui ouvrirent la double porte vitrée et la firent entrer.

Une fois dans le hall, leurs talons aiguilles résonnaient sur le marbre. Arrivée devant une pièce qui s’avérerait plus tard être sa chambre, elles entreprirent de la déshabiller.

Elle avait un petit peu honte de se montrer nue devant des inconnues mais elle décida de se laisser faire, ce sont tout de même des personnes du même sexe @E@ Que pouvait-il lui arriver @I@ Epuisée par les événements, Alice se glissa nue sous la grosse couette et s’endormit profondément, en se disant que ce n’était qu’un rêve.

Elle se réveilla, bercée par une musique douce, venant de nulle part. Les images des derniers événements lui revinrent en mémoire. A présent, Alice avait surtout besoin d’un bain bien chaud. Elle se dirigea pieds nus vers la salle de bain quand soudain, elle s’arrêta. Jamais elle n’avait vu de lieu aussi beaux. Le sol et les murs étaient recouverts de marbre beige, les robinets étaient dorés et les éviers, ainsi que la baignoire, étaient en faïence.

Elle remplit la baignoire d’eau chaude et s’y laissa couler. Elle trouva un bouton sur le bord et l’actionna comme un enfant curieux de tout. Des petites bulles d’air sortirent des minuscules trous invisibles de la baignoire. Un jacuzzi, quel bonheur @E@ Elle ferma les yeux et se laissa caresser par les bulles. Ce n’est qu’après quelques instants qu’elle se rendit compte que les petits jets n’étaient pas disposés de manière aléatoire. Ils se dirigeaient précisément vers ses zones érogènes dont elle connaissait vaguement la cartographie, étudiée en deuxième année de candidature. Ici, elle était en train d’étudier la pratique. La tête rejetée en arrière, elle laissa les jets d’air chauds lui caresser l’entrejambe et les seins en même temps. C’était délicieux. Pendant ce temps, ses mains s’occupaient des tétons qui grossissaient à vue d’oil.

Tout à coup, elle fut interrompue par un bruit, presque imperceptible à l’oreille. Quelqu’un était entré dans sa chambre. Alice n’osa sortir de son bain, la porte de la salle de bain étant ouverte. Néanmoins, elle finit par attraper une serviette qu’elle enroula précipitamment autour de son buste. C’est à ce moment qu’elle vit, sur la chaise de la coiffeuse une petite robe, une paire de bas et des escarpins similaires à ceux portés par son comité d’accueil, au petit matin, sauf que tout était en blanc. Toutefois, elle n’aperçut aucun sous-vêtement. Elle se demanda si les superbes créatures qui l’avaient guidée vers sa chambre n’en portaient pas non plus. La robe s’arrêtait en haut de ses cuisses emprisonnées dans les bas blancs dont on apercevait les bords élastiques à chacun de ses pas. Sur le devant de sa tenue, il y avait deux boutons à pressions. Curieusement, il lui était possible d’ouvrir sa robe juste à hauteur des seins pour les dégager de leur emprise mais elle s’abstint. Elle se sentait déjà tellement impudique et honteuse, vêtue comme ça.

A peine eut-elle ouvert la porte pour sortir que les deux filles, constituant une sorte d’escorte, lui prirent les mains et la guidèrent vers une sorte de grande salle. Leurs fines menottes étaient agréablement chaudes. Etait-elle vraiment de l’autre côté du miroir @I@

Par curiosité, elle décida de jouer le jeu et de se laisser faire, pour le moment. Marcher sans sous-vêtements lui faisait un drôle d’effet qui ne la laissait pas indifférente. A chacun de ses pas, les bouts de ses seins en érection frottaient en permanence sur le tissu, tout comme ses lèvres vaginales le faisaient l’une contre l’autre.

Alice avait faim. Son appétit fut comblé lorsqu’elle vit l’immense buffet dressé: croissants, fruits, jus, oufs ne demandaient qu’à être engloutis. Elle mangea seule. L’estomac remplis, ses deux nouvelles amies silencieuses l’accompagnèrent jusqu’à sa chambre. Elle avait le devoir de se reposer avant de se présenter chez ses hôtes et en particulier, lui expliqua son escorte, chez la maîtresse des lieux.

Après deux bonnes heures de sommeil, on vint la réveiller. Elle était invitée à jouer une partie de tennis. Une tenue adéquate avait été préparée et cette fois-ci un soutien-gorge et un slip de sport avaient été prévus. Se défendant pas mal au tennis, Alice avait hâte de rencontrer ceux qui l’avaient si bien accueillie et de leur rendre la pareille.

La femme qui lui tournait à présent le dos portait également un chignon, lui dégageant son long et fin cou. Elle portait la même tenue de tennis que son invitée. Au moment où Alice s’approcha, la maîtresse des lieux se retourna. Elle était d’une beauté indescriptible, digne d’une miss monde qui, pourtant, devait avoir 35 ou 40 ans, vu les quelques petites rides aux commissures des lèvres et dans le pli des yeux. Malgré cela, cette femme était très attirante. Les deux escortes se mirent à genoux et lui embrassèrent les mains et l’intérieur des genoux, comme s’il s’agissait d’une déesse. Madame, comme elles l’appelaient, leur effleura le bout des seins apparent sous la robe tendue. Bizarres comme salutations. Le regard étonné, Alice restait derrière elles. Après s’être relevées, elles s’éloignèrent. Alice resta seule avec Madame. Elle était fort intimidée, ce que remarqua son hôtesse. Cette dernière lui prit la main et l’emmena vers le court de tennis tout en faisant les présentations. Elles jouèrent une heure. Il était temps de se rafraîchir. C’est à ce moment-là que les choses devinrent plus claires. Madame expliqua à Alice le pourquoi de cette invitation.

Lors de son entrée dans la boutique, Alice fut remarquée par ce petit homme qui sentit immédiatement qu’il avait affaire à une vierge. Ce vu d’ailleurs confirmé dès la première fois que son image était apparue dans le miroir. Son reflet, devinant son trouble et ses envies intérieures, longtemps refoulés, voulait à tout prix l’aider. Ils firent tous les deux appel aux services de Madame, leur maîtresse. Elle seule possédait le pouvoir d’agir et de la faire passer de l’autre côté de la glace, ce qu’elle fit sans hésiter. Elle voulait la prendre en main comme il y avait 20 ans, quelqu’un l’avait fait pour elle. Le moment venu, elle lui présenterait ce personnage mystérieux: son initiateur; elle le savait, ça lui ferait plaisir. Mais patience.

Au fur et à mesure que la discussion avançait, Alice se demanda ce qui l’attendait. Elle était fasse à l’inconnu mais, après ses explications, elle avait envie de lui faire confiance. Se servant encore un verre d’eau, elle sentit la bouche de Madame lui caresser le cou. Sa langue attrapa une petite goutte rebelle de sueur.

— Tu es vraiment vierge, n’est-ce pas @I@

Alice ne savait quoi répondre. Il lui était difficile d’avouer qu’à 26 ans, effectivement, elle était pucelle.

— N’aie pas honte. C’est tout à ton honneur. Personne n’a encore détruit ce que tu possède de plus beau: la virginité @E@

— Veux-tu connaître l’extase, le bonheur d’une relation sexuelle accomplie @I@

— Je ne sais pas, répondit Alice. Que dire @I@

— Si tu le désires, je t’apprendrai, en douceur, comme mon maître l’a fait avec moi, il y a longtemps. Je te laisse réfléchir. Si tu le souhaites, en guise de message favorable, déposes ton slip sur la table et retournes dans ta chambre. Laisse parler ton cour et tes entrailles. N’était-ce pas délicieux dans le bain @I@ Tu étais tellement belle, les mains caressant les bouts des seins.

Sur ces dernières paroles, son hôtesse se retira. Alice ne savait que faire. Après un long moment d’hésitation, elle retourna dans sa chambre, seule. Sa petite culotte trônait fièrement sur la table.

CHAPITRE QUATRIEME: Première initiation

Après une douche froide, pour retrouver ses émotions, Alice s’essuya rapidement le corps et se reposa, nue, sur le lit. Elle réfléchissait. ’Quel jour sommes-nous @I@’, se demanda-t-elle. Elle avait perdu toute notion du temps. Etait-ce un rêve @I@ Nul ne pouvait lui répondre.

On vint frapper à la porte. Elle était attendue. On la pria de revêtir sa tenue rouge et à suivre une des deux filles, l’autre étant absente. Elles passèrent dans un grand couloir, rempli de statues, toutes représentant des bustes nus, ressemblant toutes au visage de Madame. L’escorte, en passant à côté de l’une d’elle, s’attarda sur un sein, son autre main plongeant par-dessous la mini-robe. Alice se tenait là, debout, observant cette étrange fille en train de se masturber sans pudeur. Elle la regarda faire malgré tout. ?a lui procurait une sorte d’excitation. Elle aperçut que la créature devant elle, ondulait sous sa main et gémissait, les narines dilatées. Elle était entièrement épilée. Ses doigts écartaient largement ses lèvres vaginales, ne cachant plus rien de son intimité. Elle était belle et tellement attirante. Les gémissements étaient exactement comme ceux qu’elle avait entendus, quand elle se trouvait encore dans le monde réel, de l’autre côté du miroir. Après avoir atteint un orgasme solitaire, elles poursuivirent leur chemin. Alice sentait à nouveau des gouttes sortant de son vagin à chaque pas. Ne portant pas de culotte, elles coulaient lentement le long de l’intérieur de ses cuisses. C’est la deuxième fois en un jour que cela lui arrivait.

Arrivées devant une immense porte décorées de scènes d’amour, la fille ouvrit le devant de sa robe, montrant ses gros seins provocateurs et sortit un bandeau noir pour couvrir les yeux d’Alice. Elle entra seule, apeurée de ce qui pouvait se tramer. Allait-on profiter d’elle, la violer, comme celles qu’elles rencontra à l’hôpital, pleurant toutes les larmes de leur corps. Certaines s’étaient confiées à la doctoresse et leur histoire était horrible. Alice espérait que jamais elle n’aurait à subir ces atrocités, ces humiliations.

Elle sentit des mains l’attirer doucement vers l’avant. On lui dégrafa le haut de sa robe. Elle sentit ses globes se dresser d’eux-mêmes. Il faisait froid. D’après les sons qu’elle perçut, elle devait se trouver dans une pièce d’eau. Elle sentit des mains lui écartant les jambes. Aucune barrière ne défendait son sexe. Elle avait peur. On lui releva la jupe, découvrant sa toison de jeune fille. L’odeur qui émanait de son bas-ventre lui parvint aux narines. Elle entendit quelqu’un s’agenouiller. Soudain, elle sentit non pas une mais deux langues la lécher: l’une, les mamelons, l’autre, lui remontant le long de l’intérieur de ses cuisses maintenant largement écartées, comme pour la laver. Le chignon penché vers l’arrière, les bras ballants, Alice se laissa faire, soumise à ces langues expertes. Ceci n’avait rien de comparable avec ses expériences précédentes. Elle ne s’aperçut de rien quand l’une des deux langues voulut remonter trop haut, avide de goûter le jus tout frais qui coulait à présent en grande quantité. La personne coupable fut rappelée à l’ordre. Les consignes de Madame étaient claires: personne ne pouvait toucher son clitoris, et surtout pas introduire quoi que se soit dans son vagin, de peur de rompre l’hymen encore présent. Alice sentait maintenant le sang battre dans ses tempes mais aussi dans son bas-ventre sans pouvoir distinguer l’endroit exact de ses contractions. Quelque chose de torride se passait en elle. Elle aimait ça. Lorsqu’on lui retira sa robe, elle apparut debout, presque nue, seulement vêtue de ses bas noirs arrivant à mi-cuisses.

Doucement, elle fut guidée vers un petit escalier menant à un bassin d’eau. Des effluves de romarin flottaient dans l’air. Elle fut obligée de s’asseoir afin qu’on lui retire ses bas, avant de rentrer dans l’eau parfumée. A nouveau, ce geste fut réalisé en couple. Quatre mains très douces remontaient vers son entrejambe, pincèrent les bords des bas et les déroulèrent très lentement. Cet instant était magique. Toutes les images de ces dernières 24 heures apparurent dans son esprit: le nabot tenant sa grosse queue dans la main ou encore cette fille se masturbant devant elle. Comme pour les inviter à venir en elle, d’initiative, elle écarta tout grand les jambes. Sa vulve palpitait. Au travers de sa chatte poilue, entre les lèvres, on pouvait très distinctement observer la preuve de son pucelage. De grosses gouttes de miel sortaient de son hymen. Mais pas touche @E@ Lui tenant les mains pour ne pas qu’elle glisse, elle descendit prudemment les marches. Son orteil toucha l’eau. Elle était vraiment très froide. Néanmoins, l’équipe qui s’occupait d’elle la forcèrent à continuer sa progression. Le feu qui s’embrassait dans son bas-ventre s’atténuait petit à petit. Par contre, le froid provoqua une réaction sur ses seins. Gonflés de plaisir, ils durcirent au contact de l’eau froide. Elle sentit ses mamelons se contracter, ses tétons pointer. Sa poitrine généreuse était à leur merci. Ils avaient le droit de les toucher, de les lécher, de les mordiller. Le contact de leur langue et ce brusque changement de température la fit crier de plaisir. Elle ronronnait comme une chatte recevant les faveurs de son maître. On la fit sortir de l’eau. Elle fut enfin débarrassée de son bandeau et put à présent voir ses bourreaux: les deux femmes qui l’avaient accueillies se tenaient devant elle, également nues, le pubis parfaitement épilé. Un sourire sensuel arborait leur visage, découvrant leur dentition parfaite, par miracle de l’orthodontie. Alice aimait se laisser toucher par ces femmes. Elles s’appliquaient avec douceur et précision. Elles entreprirent de la savonner, de jouer avec la mousse tout autour de ses épaules, en suivant de galbe de ses gros seins.

L’une d’entre elle sortit du bain. Elle possédait une petite poitrine par rapport à la sienne. Alice aperçut un petit tatouage juste au-dessus de la fesse droite, une petite couronne dorée, la même qu’elle vit à l’entrée du château: l’effigie du maître des lieux. Ces filles étaient marquées, comme si elles lui appartenaient. La femme qui se leva, se tenait à présent au-dessus d’Alice. Elle écarta les jambes de telle manière qu’elle vit l’intérieur de son intimité. Les lèvres ouvertes, des gouttes d’une consistance différente de celle de l’eau perlaient. Soudain, Alice se sentit attirée par ce sexe qui le provoquait, qui l’invitait. Elle se passa le bout de la langue sur le pourtour de sa bouche, avide de goûter ce miel qui coulait devant elle. Une petite goutte lui tomba sur la lèvre supérieure. Pour la première fois, Alice se délectait de liqueur intime. Le goût était légèrement sucré.

La fille lui prit les bras et les tendit à la verticale, relevant les seins d’Alice. A ce moment, celle qui était encore auprès d’elle, versa de l’eau froide sur son buste afin de faire partir les dernières traces de mousse. On la fit sortir. Alice se tenait debout, les tétons douloureux en érection. On lui remit à nouveau le cache sur les yeux, ce qui accentua son excitation. Ses partenaires de jeu l’a conduisirent dans une autre pièce dans laquelle elle entendit un bourdonnement régulier, accompagné d’un vent à la limite du froid: un ventilateur. Celui-ci était destiné à la sécher. Elle fut obligée de s’asseoir sur une chaise. On lui expliqua une première règle: dans le château, les femmes n’étaient autorisées de s’asseoir que sur le rebord. On lui attacha les bras par derrière. Ce n’est qu’après un instant qu’elle comprit que c’était pour ne pas se caresser. Ce fut une sensation bizarre. Le vent soufflait dans sa toison abondante, les poils à l’intérieur de ses lèvres l’effleuraient doucement, ce qui embrasa son bas-ventre. Après 20 minutes, son supplice fut terminé, du moins pour l’instant. Elle était sèche, mais pas de partout. Lorsqu’elle se leva, elle marcha dans une petite flaque gisant au pied de la chaise. Immédiatement, elle sut que cela provenait de son intimité. Quelques temps par après, on lui passa un cape sur les épaules, la même que celle reçue à son arrivée, et elle fut conduite vers sa chambre.

Madame l’y attendait. Elle retira le bandeau qu’Alice avait encore sur les yeux. Elle se tenait debout, le dos bien droit, la poitrine poussée fièrement en avant. Elle était vêtue d’une longue jupe noire en cuir et d’un chemisier transparent de la même couleur. Alice put deviner qu’elle ne portait rien en dessous. Les tétons de sa maîtresse étaient sombres et, comme par magie, ils étaient dressés. Malgré son âge, Madame possédait encore une poitrine de jeune fille. Elle était chaussée de bottes d’équitation, prête pour une séance de sport, se douta-t-elle. Sa tenue, quant à elle, était presque la même mais de couleur blanche, couleur de la virginité, et à nouveau pas de sous-vêtement. A l’exception de certains sports, ils étaient proscrits au château, tout comme les pantalons. Après un rapide habillage, elles firent le tour des écuries. L’odeur de cheval était forte mais cela ne la dérangea pas, vu qu’elle pratiquait l’équitation dans sa jeunesse.

A l’approche de Madame, l’un des chevaux hennit bruyamment, ce qui fit sourire la femme vêtue de noir. Elle entra dans le box et caressa l’encolure de son cheval. Le regard compatissant d’Alice fut attiré par la réaction quasi instantanée du cheval. Son sexe devint énorme. Elle était un peu mal à l’aise à la vue de celui-ci, ce qui n’était pas du tout le cas de sa maîtresse. Cette dernière s’abaissa et le prit entre les mains. Après quelques mouvements de va-et-vient, il grossit encore. Elle le masturbait, sans aucune gêne devant cette vierge. Après quelques minutes, le cheval eut un tressaillement et son sperme gicla sur le sol. Il sentait fort. La quantité de ce liquide séminal était affolante. Madame lâcha sa prise et sortit le cheval repus et un autre de son box et décidèrent de faire une balade, à cru.

C’était la seule manière pour que l’étalon soit calme pendant la promenade.

Avant de monter l’animal, son l’hôtesse lui donna une deuxième règle: avant de s’asseoir sur quoique se soit, elle devait remonter sa jupe afin que son sexe soit au contact, sans aucun obstacle. Pour Alice, se promener à cru à cheval, son sexe au contact direct de l’animal, lui procura un bien-être inouï. C’était une véritable sensation de liberté.

De retour dans le jardin, après avoir laisser les chevaux en pâture, deux molosses vinrent à leur rencontre. L’un d’eux retroussa les babines et se mit à grogner. Soudain, Madame releva a jupe, découvrant son pubis, sans poils lui non plus. L’odeur qui émanait de son sexe, mélangée à la sueur de l’étalon, réconforta le canidé qui la reconnut immédiatement. Il y plongea le museau et entreprit de la lécher. Madame se laissait faire, droite comme un ’i’, plongeant son regard dans celui d’Alice qui était troublée. Malgré cette bizarrerie, Alice était excitée. Elle sentait à nouveau le feu dans son bas-ventre, comme quelques heures plus tôt, lorsque son comité d’accueil lapait les gouttes de plaisirs qui coulaient de son entrejambe. Son hôtesse était à présent en train de jouir, debout dans le jardin, la jupe de cuir relevée, aux vues de n’importe qui.

— J’aime jouir, dit-elle sans aucune pudeur. Et tu verras, tu aimeras ça aussi.

Madame prit alors Alice par la main et la guida dans le patio. Elle lui ordonna de retirer sa jupe et de s’asseoir sur le bord le fauteuil, comme on lui avait apprit. La femme en noir se mit à genoux et lui écarta les jambes. Sur la toison fournie d’Alice, quelques gouttes perlaient. Son odeur intime, forte comme celle des pucelles et sentant le cheval qu’elle avait monté un petit peu plus tôt, lui remonta dans les narines. Elle dégoulinait d’excitation. L’initiation aux plaisirs de l’amour entrait dans une autre phase: l’homosexualité.

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