Coulybaca (Texte personnel)

Chapitre 3 : Réunion d’amies

Ce n’est que le lendemain après-midi qu’elle rencontra à nouveau son suborneur, depuis le matin, elle attendait inconsciemment ce moment. Elle s’étonnait intérieurement de son manque d’empressement.

La nuit avait été des plus pénibles, plusieurs fois elle s’était éveillée, le corps baignant de sueur, une main fichée dans la fourche de ses cuisses Elle se souvenait de quelques bribes des cauchemars qui l’avaient agitée.

A trois reprises, à quelques détails près, la même situation s’était reproduite : écartelée entre trois loubards qui lui bourraient sans vergogne les trois orifices, elle hurlait de douleur lorsque surgissait son sauveteur, Ali après une violente bagarre la délivrait de ses tourmenteurs, puis l’entraînait dans le grenier, et là reconnaissante, elle se donnait à lui, lui offrant successivement tous ses trous, c’était invariablement à ce moment qu’elle se réveillait, le cour battant la chamade, le sexe trempé de sa mouille.

Ce qui la troublait le plus, c’était de constater que si ni son mari, ni ses enfants n’apparaissaient dans son rêve, par une étrange déformation des faits, son suborneur se muait en sauveteur, la contrainte qu’elle avait subie se transformait en un don charnel, un remerciement .

Elle rangeait le bureau de son mari, lorsqu’à pas feutrés, il se glissa dans son dos.

La surprise la fit sursauter, au contact de la main d’Ali s’immisçant entre ses jambes, elle écarta de suite les cuisses, lui libérant ainsi totalement le passage.

Constatant la présence interdite d’une culotte, sans un mot , il s’assit sur le fauteuil du bureau, la coucha sur ses genoux, releva la jupe sur sa croupe, lui descendit le slip sur les mollets et lui asséna quelques claques bien senties sur le postérieur .

Son joufflu ne tarda pas à la brûler, elle ne se débattait pas, consciente de sa faute, elle en admettait la juste punition .

Après une vingtaine de gifles sonores, il arrêta quelques instants, la croupe rougie, crispée, se desserra lentement, il la flatta du plat de la main, avant d’insinuer ses doigts dans la tendre vallée.

Eperdue, elle se laissait faire, ouvrant les fesses, autorisant ainsi l’invasion de son entre fesse, d’un doigt négligent, il constata l’humidité de sa moule, puis, lui vrillant le pouce dans l’anus, il vérifia sa disponibilité.

Rouge de confusion, elle se releva, et toujours sans un mot se débarras-sa de son slip, le gardant à la main.

— C’est mieux comme ça ….. Je croyais t’avoir interdit le port d’une culotte … Tu dois toujours être prête …. Rien ne doit gêner l’accès de ton cul ou de ta motte ! .. J’avais oublié ….. Je ne le ferai plus ….. répondit-elle servilement. Monte avec moi au grenier ….. On va analyser les documents! ..

Elle obtempéra, le précédant dans les escaliers, déposant au passage sa culotte dans la lingerie.

La main sous la jupe, il lui triturait les fesses, la chatte, elle sentait grandir son excitation, ses sens déjà éveillés par la fessée se débridaient, des picotements aigus lui incendiaient la vulve, la cyprine débordait de sa moule lui engluant l’entre fesse.

— Faudra que t’attendes un peu avant que j’te la mette ….. Ça sera encore meilleur se moquait il.

Allongés à plat ventre, cote à cote, sur un matelas, il prenait des notes tandis qu’elle commentait les photos.

— Elle, c’est Solange, c’était ma meilleurs copine … Je l’ai aperçue en ville … Elle doit avoir épousé le notaire..

— Elle c’est Sylvie Latour, il me semble aussi l’avoir aperçue…

Elle identifia ainsi une dizaine jeunes filles, il notait au fur et à mesure les maigres informations qu’elle lui donnait.

Elle soupçonnait le but de son interrogatoire, et se le vit d’ailleurs bientôt confirmer.

— Tu vas reprendre contact avec celles que tu connais …… Invite les … Demain après-midi pour le thé …. Je veux tout savoir d’elles …. Célibataires, mariées ….. Profession du mari ….. Nombre d’enfants …. Je veux savoir aussi si les maris sont au courant ….. On verra ainsi celles que je peux coincer

Elle se rebella à cette idée, c’était déjà difficile de lui révéler l’identité de ses compagnes d’infortune, mais devinant comment il utiliserait ses informations, lui livrer ses ex-copines pieds et poings et liés, ça elle ne le pouvait pas. – Tu obéis … Point final la coupa-t-il.

Et, piquant du nez, elle plia une nouvelle fois, acquiescent de la tête.

— T’as bien gagné ta récompense lui dit-il s’allongeant sur le dos

Fébrile, elle dégrafa son jean, lui baissa sur les genoux et à califourchon s’installa au dessus de son braquemart dressé.

Il voulait la contraindre à se prostituer de la manière la plus évidente, aussi, les mains sur la taille refusait-il de la guider.

D’elle même, brûlante de honte elle introduisit son gland dans sa chatte, elle haletait déjà, toujours immobile, il la contraignait à prendre les initiatives les plus osées, après quelques longues secondes d’hésitation, elle s’encloua brusquement sur le chibre dressé.

Son ventre agité d’une houle violente, elle allait et venait, se relevant et s’abaissant sur la queue de son jeune amant, lorsqu’elle sentit deux mains étrangères lui ouvrir le cul.

— Ah, Mohamed ça fait un moment que je t’attendais, ne te gênes pas …. Elle a encore deux trous de libre ….. Choisis ! ..

Passive, elle se bloqua, la byroute d’Ali fichée dans son ventre, creusa les reins pour mieux faire saillir sa croupe, attendant l’intromission qu’elle appréhendait cependant.

Les fesses tendues, elle dilata au maximum son sphincter, le contraignant à s’écarquiller, dévoilant l’intérieur rosé de ses entrailles, encouragé par le spectacle, Mohamed posa la tête de son gland sur la pastille brune, il n’eut m^me pas à forcer, contractant son muscle annelé elle ingurgita d’elle même le gros champignon, démontrant ainsi un tout nouveau savoir faire que bien des putes lui envierait.

Ali toujours immobile, elle sentit la pine du petit frère lui envahir lente-ment les intestins, il progressait doucement, laissant sa gaine s’acclimater, se déplier, épouser sa conformation.

Elle sentit bientôt les poils de ses couilles lui chatouiller les fesses, sans dommage il s’était enfoncé jusqu’à la garde.

Elle n’eut pas le temps de s’étonner de ne ressentir aucune souffrance bien que pleine d’eux à en éclater, dans son cul la bitte de Mohamed s’animait, il se retira vivement, déculant, son ventre suivit le mouvement pour se replanter d’un coup violent au fond du tunnel soumis, Ali s’y met-tait aussi et bientôt elle ne fut plus qu’un paquet de chair vagissant de plaisir par leurs deux bites embrochée.

Ils avaient parfaitement accordés leur rythme, chaque pénétration de l’un correspondant au retrait de l’autre, elle suivait leur branle cherchant toujours à s’enclouer plus profondément, leurs mouvement alternés se firent plus hésitants, elle allait de spasmes en spasmes, le rythme se fit plus fébrile, Ali le premier déversa tout son trop plein dans sa chatte dilatée, elle serrait sa gaine sur son sexe comme pour mieux en traire tout le suc, lorsqu’à son tour Mohamed lâcha les bondes, se libérant à grands jets dans son cul gourmand.

Il s’affala sur son dos, elle sentait les pines se ratatiner dans ses deux étuis tandis qu’il reprenait leurs souffles, puis Mohamed roula sur le coté, elle descendit de sa monture et dans une fellation gourmande elle entre-prit de nettoyer la queue de son amant, ayant rangé l’engin elle s’intéressa à celle de son frère, qui rebanda, forte de sa technique, sous la contrainte, elle avait déjà sucé des dizaines de queues de maîtres exigeants, bavant sa salive, engloutissant l’outil dans le tréfonds de sa gorge, léchant les freins, retroussant de la langue le prépuce, elle parvint encore à lui soutirer une bonne dose de semence crémeuse, la saveur de son sperme s’avéra différente de celle de son frère, il était plus acre, plus amer elle n’aurait cependant pu dire lequel elle préférait.

— Ça t’as plu interrogea Ali, bientôt je t’en passerai d’autres …. Mais en attendant quand l’envie t’en prend, tu peux toujours te taper Clothilde …. elle est toujours prête ! …

Honteuse, dégouttée par son attitude, elle se rendait bien compte qu’effectivement, elle était maintenant prête à tout pour satisfaire son jeune amant, esclave de sa queue elle se souciait surtout de gagner sa ré-compense .

Cependant la vie s’écoulait ordinairement, ni son mari, ni ses enfants n’avaient consciences des pensées qui maintenant l’agitaient insistantes, obsédantes.

Tout juste avaient-ils noté ses rêveries, mais comme elles s’accompagnaient d’un entrain et d’une joie de vivre retrouvés ne s’en étaient-ils pas plus souciés .

Le lendemain après-midi, elles étaient cinq autour d’une tasse de thé ; elle avait retrouvé facilement Solange et Pascale qui s’étaient chargées de contacter elles mêmes Sylvie et Arlette .

Heureuses de se retrouver, elles discutèrent à bâtons rompus pendant de longues minutes, Clothilde s’efforçant de réchauffer la chaude amitié qui les avait liées un temps, enfin les confidences se faisant plus intimes, mettant discrètement un magnétophone en route, elle embraya sur le sujet qui la préoccupait :

— je suis très heureuse de vous revoir, mais je vous ai demandé de me rejoindre dans un but bien précis ….. J’ai rencontré Michel, dans une soirée, cela m’a beaucoup gêné …. Et je voulais savoir comment vous vous comportiez dans ce cas …… Tu n’as pas à te gêner avec nous répondit Solange avec son franc parler Tu veux parler de la Grange aux loups je suppose, eh bien allons y ! ..

Solange, Pascale et Arlette avaient comme elles caché cet épisode douloureux à leurs conjoints, Sylvie était la seule à s’en être ouvert à son mari.

Toutes trois elles lui confièrent que si maintenant leurs craintes s’étaient apaisées, elles avaient vécu pendant des années dans la hantise de la révélation de ces mois de déchéance .

Clothilde insista, et cependant que ferait-elles si maintenant, un salaud les menaçaient de tout révéler, leurs visages s’assombrirent, elles convinrent toutes trois que plutôt de voir toutes ces humiliations remonter à la surface, elles se soumettraient au chantage, ça elles connaissaient, elles avaient déjà donné, mais tout était préférable à l’idée de se voir mises au ban de la société Moulinoise, toutes trois craignant les ré-actions de leurs entourages ne pourraient se permettre une quelconque révolte .

S’excusant quelques secondes, elle rejoignit Ali dans la cuisine, lui rendant compte de sa mission, il s’en réjouit et lui ordonna de retenir la belle rousse, il allait la soumettre dans la foulée .

Quelques minutes plus tard, embrassant ses amies sur le pas de porte, elle retint Solange par le bras :

— Je voudrai te montrer quelque chose ! … .

Solange embrassa donc elle aussi les partantes et en compagnie de Clothilde retourna au salon, Ali assis sur un fauteuil les attendait l’album à la main.

— Ma pauvre chérie, c’était pas gratuit ce que je disais tout à l’heure ….. Ce petit salaud a trouvé des photos …. Et depuis une semaine il me baise à tout bout de champs, quand il veut, comme il veut ! …

Blême Solange s’approcha, incrédule elle prit l’album et d’un rapide coup d’oil s’imprégna de la réalité de la menace, comme Clothilde la semaine précédente, l’expérience, le dressage qu’elle avait subi auparavant la poussait à s’humilier à accepter les ordres d’un maître qui la dominerait.

— Que voulez vous ? .. demanda-t-elle oppressée. Devine ….. lève ta jupe …. Montre ton cul! ..

Sans un mot, elle se soumit, du bout des doigts, elle remonta sa robe dévoilant des bas noirs accrochés à un porte jarretelle noir incrusté de rouge.

— Ca aurait été dommage de nous cacher tout ça… commenta Ali, Allez continue

Les larmes lui piquant les yeux elle retira sa robe, la posant sur l’accoudoir du fauteuil .

Figée en bas, porte jarretelles, string et soutien gorge assortis, elle ne cherchait même pas à dissimuler ses appâts, tête basse, elle était l’image même de la désolation .

Par le même curieux mécanisme, qui avait entraîné Clothilde à se plier à la suggestion de son tourmenteur, elle se sentait incapable de réagir, le poids du dressage précédent, bien qu’éloigné de vingt ans, la poussait à se plier servilement aux ordres d’un maître quel qu’il soit : c’était une proie rêvée.

Résignée, elle attendait la suite, lorsqu’elle l’entendit interpeller Clothilde qui obéit sur le champ :

— Cours chercher Mohamed, et ramènes un appareil photo chargé, on va commencer un nouvel album ! …

En attendant Mohamed, il l’attira entre ses genoux, lui baissant le string il remarqua :

— Tu te tailles la toison? … elle arborait effectivement un mince pinceau de poils coupés courts, qui partaient du nombril pour se perdre entre les cuisses, encore jointes.

Elle expliqua :

— C’est pour l’été…. Mon mari trouve moche des poils qui dépassent du maillot, alors ….. T’es tu déjà tout rasé? … Oui …. Une fois …. Mon mari me voulait entièrement nue ….J’avais honte …. J’ai toujours refusé par la suite …..

— Je sens que tu vas lui faire une belle surprise à ton cocu …. Il va être heureux ….. C’est le moins qu’on puisse faire pour le rendre heureux …..

Les mots lui parvenaient, plus ou moins vides de sens, encore sous le choc de la révélation, elle assimilait mal, se contentant de répondre et d’obéir.

Mohamed et Clothilde arrivèrent, voyant la belle jeune femme à moitié dénudée, Mohamed siffla d’admiration.

— Ben mon colon, si j’me doutais ….. Tu parles d’une surprise …. Elle a ce qu’il faut là ou il faut ….Ça va être un vrai plaisir ! … Ne perdons pas de temps, tu te étapes rapidement quant à toi vas nous chercher un blaireau, un rasoir et du talc ! ..

Mohamed largua rapidement tee-shirt, jean, slip et basket la queue bien dressée il se campa face à Solange lui permettant d’apprécier l’outil qui allait la travailler.

Sa bite brune prenait déjà de l’ampleur, de la main il retroussa son pré-puce, exposant ainsi son gland violacé, pareil à une quetsche, ces prunes bleues qu’on s’attend plus à voir dans une corbeille à fruits que couronnant la pine d’un adolescent .

Impatient il crocha du doigt le string de la belle, un coup sec, l’élastique se déchira, lui marquant le ventre d’un trait de feu.

— Comme t’auras plus le droit d’en porter, autant ne pas se gêner! …

Le voyant avancer de nouveau la main, craignant pour son soutien gorge, elle se hâta de le dégrafer, de le retirer, le posant sur sa robe .

Ses seins lourds, aux aréoles larges, brunes leur sautèrent aux yeux, il s’empara des tétins sombres, larges comme le petit doigt, les tordit, lui arrachant un petit cri de douleur.

— j’aime mieux ça …. Comme ça tu réagis …. Je veux que tu participes, ce sera mieux pour les photos ….. intervint Ali l’air satisfait.

Il prit l’album en mains et l’ouvrit aux planches qui concernait Solange, et s’adressant ensuite à son frère :

— On va refaire les mêmes photos, on fera une planche hier, et en vis à vis une planche aujourd’hui …… On va d’abord s’occuper des photos ….. Tu t’amuseras avec elle ensuite !….. Toi gardes tes bas et ton porte jarretelles, ce sera plus érotique ….

Lui appuyant sur les épaules, il l’agenouilla entre ses cuisses, les yeux fixés sur l’image, Ali lui faisait varier les positions, photographiant les plus ressemblantes.

Il la pris ainsi, la langue dardée sur le méat, puis la bite enfoncée jus-qu’aux amygdales, de léger profil, la joue reposant sur le tapis frisé du pubis, et encore la bite butant contre les parois d’une de ses joues, dé-formant son profil, puis le gland juste inséré entre les dents, Mohamed s’excitant violemment il termina cette série en crachant son sperme sur le visage de Solange, la belle tendant la langue pour recueillir sur ses joues la douce liqueur et enfin le visage ruisselant de grosses larmes spermatiques la maculant du front au menton, récupérant du bout de la langue la dernière goutte suintant du méat.

— Faut varier, le temps que je récupère se plaignit Mohamed.

— C’est bon …. Clothilde a amené le matériel …… On va la rajeunir ….. Avec un beau petit minou …… Comme à ses sept ans …. Pose la serviette éponge sur le bureau ….. Inutile de tout tremper! ..

Comprenant enfin ou Ali voulait en venir, Clothilde étendit le drap de bain sur le bureau, Solange s’étendit dessus, sur le dos, cuisses écartées, genoux relevés, compas grand ouvert, Solange livrait ses trésors à leurs regards, comme sur une chaise obstétricale chez son gynécologue.

Ali trempa le blaireau dans la mousse onctueuse et entreprit d’en barbouiller tout son triangle pubien, elle comprit alors ce qui l’attendait, d’une ruade elle voulut se redresser, une gifle suffit à la convaincre de se prêter à l’opération.

Le rasoir crissant sur la peau, Ali commença par lui dégarnir le mont de vénus, bande après bande ses poils la quittaient, pinçant le clitoris entre deux doigts, il dégagea les grandes lèvres la prévenant de ne plus bouger, en deux longs passages, le rasoir lui dénuda la fente, de même il élimina les poils frisottés encerclant son anus.

Après un bon rinçage à l’eau tiède, il termina son ouvre en éliminant les derniers poils superflus.

Sa blessure mauve, tranchait vivement sur la peau blanche, son clitoris gorgé de sang semblait une petite cerise surmontant sa gousse maintenant glabre.

Un peu de talc épandu avec soin calma le feu de rasoir, Ali en profita pour caresser lentement l’abricot tout lisse, juvénile, qui tranchait maintenant de façon obscène avec son corps plantureux de femme mure.

— On va reprendre les photos dit Ali voyant que la bite de son frère avait retrouvé tout son allant.

En effet de voir raser le minet de Solange, Mohamed avait récupéré toute sa vigueur, son pénis se dressait fièrement au dessus des testicules poilus ;

— Tant que tu bandes ferme, tu vas commencer par lui mettre dans le cul .. continua-t-il, l’accoudoir du fauteuil remplacera la chaise, encule la couchée sur sa robe! ..

A ces mots, Solange frémit, comme Clothilde, depuis vingt ans elle avait refusé cette faveur, que pendant deux mois elle s’était vue obligée d’accorder malgré la douleur ressentie, cependant, sans un mot, elle se coucha sur l’accoudoir mamelles pendantes.

Conscient de la difficulté d’un enculage à sec, Mohamed préféra l’oindre d’une noisette de crème nivéa, apportée par Clothilde en en-cas.

De deux doigts réunis, il lui fora le trou du cul, graissant largement l’entre fesse et l’intestin, puis la séance reprit .

Elle fut photographiée la bite à moitié engagée dans la rondelle, enfouie jusqu’aux couilles, de profil, de derrière, le photographe allongé entre leurs jambes, enfin l’enculeur retiré, Ali prit en gros plan son anus écar-quillé, sa béance révélant bien l’usage qui venait d’en être fait.

Pour toutes ces photos, Solange avait du présenter constamment son visage à l’objectif, souriante, la langue dardée, ou grimaçante sous l’effort.

Elle n’avait pas ressenti de grandes douleurs, son sphincter bien préparé, s’était bien arrondi livrant facilement son postérieur soumis .

Enfin Mohamed s’allongeant sur la moquette, elle dut s’empaler sur sa byroute, on devait voir distinctement sa main guidant la queue de son amant dans son intimité dilatée, il la prit en levrette, de dos, de face, de-bout couché, assis, elle se lassait manipuler comme une poupée de son, mais peu à peu elle sentait des vibrations sournoises parcourir son ventre, Mohamed ne s’y trompa pas, il se sentait coulisser avec de plus en plus de facilité entre ses babines, il la sentait même accroître la profondeur des pénétrations en tendant le ventre, aller à sa rencontre …..

Une dernière fantaisie traversa la tête d’Ali, couchée sur les dos, elle ac-cueillit Mohamed entre ses seins, lui faisant une savoureuse cravate de notaire, la langue titillant le méat chaque fois qu’il passait à portée de bouche .

Pour terminer la séance, elle dut le branler, ce ne fut pas long, il aspergea de longs jets crémeux son entre fesses, qu’Ali photographia luisant de foutre, donnant l’impression de déborder de crème gluante alors qu’elle n’avait pas encore connu la gifle brûlante de la semence lui éclaboussant le vagin ou les entrailles.

Comme Mohamed se relevait, il se déculotta vivement, et la flamberge tendue à se rompre il se rua dans son ventre brûlant, l’impatience de Solange était maintenant si vive qu’elle accentua la pénétration en cambrant le ventre, tout de suite l’orgasme la secoua, tétanisée des pieds à la tête elle sentit Ali s’extraire de son ventre pour se ruer dans son cul ouvert, il changea plusieurs fois brutalement de trous, la perforant à chaque fois jusqu’à la garde, secouée de spasmes elle s’abandonna en longs cris de jouissance tandis qu’il lui larguait sa purée dans le tréfonds des entrailles.

Reconnaissante, elle lui nettoya la queue d’une langue appliquée, trayant le méat pour en extraire les dernières gouttes.

Une fois remise de ses émotions, Ali lui confia l’étude de l’album, résidant depuis toujours à Moulins, elle était à même d’identifier d’autres proies tout en indiquant leur vulnérabilité .

L’étude du dossier permit d’éliminer quelques gamines devenues d’infâmes boudins, d’autres qui c’étaient sur avaient confiées leur drame à leurs époux, pour en élire une demi douzaine très nettement vulnérable.

Il s’agissait pour toutes ces élues, de femmes de notables, médecins, directeurs de banque, avocat comme si, pour mieux assurer leur montée sociale, toutes ces jeunes femmes avaient volontairement négligé d’informer leurs futurs de quelques détails concernant cette période troublée .

Pour toutes, Solange qui les fréquentait, savait de manière la plus sure, qu’effectivement, révéler ces épisodes sulfureux auraient signifié pour elles à l’époque de leurs mariages une élimination directe, et même actuellement, le renom de leurs maris ne pourraient s’accommoder de révélations encombrantes, c’étaient donc des proies rêvées .

Le cul nu sous sa robe, Solange les quitta, ayant promis de les rejoindre le lendemain après-midi, dans une tenue adaptée à leurs envies, pour les aider à peaufiner le piège qui enrichirait encore leur cheptel.

Ravi, Ali se voyait déjà à la tête d’une meute de meufs de la jet société, se promettant de transformer rapidement ces salopes en bonnes gagneuses qui lui assureraient son train de vie.

Mohamed lui, se réjouissait plus simplement de pouvoir jouir à discrétion de ces belles jeunes femmes qui dans le meilleur des cas le toisaient d’un oil hautain, lorsqu’il laissait ses yeux ramper sur leurs formes agui-chantes .

Les deux bergères ne réfléchissaient pas, elles se savaient toutes deux à nouveau entre les mains d’impitoyables maîtres-chanteurs, leur seul souci était de se montrer disponibles, gentilles à souhait, elles étaient prêtes à toutes les compromissions afin d’éviter la révélation de leur drame.

Comme naguère, obéissant aux réflexes que leur avaient alors inculqués leurs tortionnaires, elles se soumettraient à tout et à tous pourvu que leur infortune reste secrète. A quoi servirait-il d’envisager l’avenir, alors qu’il leur serait imposé sans se soucier de leur avis.

Coulybaca

Janvier 2008

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