16 août

Le réveille-matin, posé sur mon chevet, indiquait 9 h 23, je me levai péniblement et je mis un long moment pour me remémorer des évènements de la veille. Jétais confuse et je me sentis trahie, humiliée et profondément fautive pour ce qui sétait passé avec le père de Charlotte. Je ne reconnaissais plus la fille que je voyais dans le miroir. Javais bel et bien franchi un cap dans ma vie. Moi qui avais toujours été une fille exemplaire, prude et qui croyait en des valeurs honorables, jétais devenue le temps dune après-midi, le vulgaire jouet dun homme qui navait cessé de fantasmer sur mon corps depuis mes premières formes. Mon jugement était tiraillé entre deux visions, la première était celle une adolescente, trop naïve qui a assouvit les besoins primaires dun homme peu scrupuleux sur ce quelle ressentait et voulait. Et la seconde vision était celle dune jeune femme en quête dexcitabilité sexuelle qui na pas su dire stop au déferlement bestial dun homme avide de sexe.

Dévêtue et entourée de ma serviette, je me dirigeai vers la salle de bain. Aussi loin que je men souvienne, je ne fermais jamais le store de la fenêtre, jaimais assez bien lidée que quelquun puisse mépier dans ma salle de bain. Des pas dans le couloir attirèrent mon attention. Thierry apparut dans lencadrement de la porte, entièrement nu. Je cédai à la panique, non car il était tout nu, mais, car maman pouvait toujours être là et nous surprendre, machinalement je me pressai à fermer le store.

— Ne tinquiète pas, elle est déjà partie travailler. Me dit-il dune voix suave et rassurante.

— Et toi, tu ne vas pas travailler ?

Me yeux ne purent se détacher de son sexe. Comment un sexe de sa taille à la limite du risible pouvait-il produire autant de sperme ? Même le sexe du père de Charlotte qui était largement plus grand en produisait que très peu. Sans même me prêter attention, il se brossa les dents et se contempla dans le miroir. Jôtai ma serviette et me mise à mon tour à me brosser les dents. Du coin de lil, je lobservai, son sexe navait pas pris de lampleur. Cette situation quelque peu inopportune suscitait ma libido. Ses vinrent croiser les miens, il me regarda avec concupiscence et une envie quil eut du mal à dissimuler. La vision de mes seins, des mes hanches et de mon bas ventre lui fît un effet instantané et son regard fulgurant me mît mal à laise. Avais-je malgré moi, déclenché en lui le côté bestial qui sommeille en chaque homme ? Des milliers de pensées fusèrent dans mon esprit. Je me rendis compte que ce quil mavait le plus plu chez Thierry, cétait justement ce respect et cette distance affective et paternelle quil avait toujours su instaurer. Allait-il céder et mobliger étancher son désir de plus en plus croissant. Dune voix qui sortit du plus profond de son être, il me dit :

— Prends ta douche, excuse-moi de mon intrusion.

Sans que jaie eu le temps de répondre quoi que ce soit, il partit. Jétais reconnaissante de son respect envers moi et rien que pour cela, je savais que cétait à lui que je devais donner ma virginité. Je me regardai dans le miroir et je me mis à sourire. Il passa dans le couloir, je sortie nue et linterpella dans le couloir, je vins me coller à lui et le pressa contre moi en signe de gratitude. Son sexe sendurcit, je pus le sentir à travers le boxer qui venait denfiler. Dun regard malicieux, je le pris par la main et lemmena dans la salle de bain et referma la porte. Il fut dépassé par les évènements, lui qui à contrecur avait quitté la salle de bain afin de refouler ses pulsions. Le revoilà en train de vivre ce quil avait probablement fantasmer quelques minutes plus tôt. Docile et beaucoup moins imposant que le sexe du père de Charlotte, je pris possession de son sexe avec assurance. Cétait comme une revanche par rapport à hier et au fonds de moi, je voulais lui procurer un maximum de plaisir, car lui, par rapport au père de Charlotte, le méritait. Jeus moins de dégout que lors de ma première fois à la vue de son sexe et sans réfléchir, jouvris ma bouche et engloutis son sexe. Je mappliquai du mieux que je pouvais, mefforçais à ne rien omettre jusquà lécher ses testicules fripés. Mais cet instant fut écourté par une giclée de sperme, je dirigeai sa lance vers ma bouche, un afflux soutenu et régulier de sperme vint maculer mon visage. Devant cette scène fantasmagorique, il mempoigna violemment la tête et menfourna son sexe qui continuait à éjaculer sa semence. Je faillis suffoquer, mais dun effort surhumain, je ne laissai rien transparaitre pour ne pas gâcher son plaisir. Je restai quelque instant sans bouger, une fois sorti de ma bouche. Javalai ce qui se trouvait, il passa son doigt sur mon visage pour lenduire de sperme quil dirigeait ensuite vers ma bouche pour que javale. Je finis par me relever et je me précipitai hors de la salle de bain, le voyant relever la lunette des WC. Je voulais préserver une once de pudeur. Je me dirigeai vers ma chambre, essayant tant bien que mal, à contenir le sperme sur moi. Je marrêtai nette, paralysée, pétrifiée …

en bas de lescalier se tenait Charlotte. Elle du enlevé ses lunettes de soleil pour être certaine quelle nétait pas en train de rêver. Elle examina depuis sa position, en fronçant ses yeux pour mieux voir, mes cheveux qui étaient parsemé de sperme. Elle se mit à ouvrir la bouche et plaça sa main devant pour atténuer son cri de stupéfaction. Je repris mes esprits et courus dans ma chambre.

Suite

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