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L'université : de la soumission à la consécration – Chapitre 9




Mon dimanche se déroule de manière assez maussade, sans que je trouve le courage d’aller parler à Charlotte. D’ailleurs elle m’évite ostensiblement, signe qu’elle n’est pas prête à évoquer ce qui s’est passé non plus. Cela m’attriste doublement, parce que non seulement je n’ai pas envie de la perdre, mais j’ai aussi le sentiment qu’elle a aimé autant que moi.

  Elle m’a même dit qu’elle m’aimait quel gâchis !

  Le lundi ne se déroule guère mieux. Je suis totalement apathique en cours, je n’écoute pas un traître mot de ce que peuvent bien nous raconter les professeurs, et pour comble de malheur je ne peux me confier à personne puisque ni Camille (à qui je ne parle plus), ni Nicolas (qui est le petit ami de Charlotte), ni Charlotte elle-même (pour des raisons évidentes) ne sauraient me remonter le moral.

  Le soir, n’ayant pas le cur de rejoindre Camille dans notre nouvelle chambre commune (car la sous-directrice a fini par céder, sans doute gagnée par la force de mes arguments), je me dirige vers celle de Léna. Par chance, elle est déjà là quand j’arrive, et elle ne semble pas très surprise de me voir

— Dur week-end ? me demande-t-elle avec son inusable sourire.

— Tu n’as pas idée

  Son regard plein de compassion me fait chaud au cur. Dans l’histoire, c’est la seule qui me donne l’impression de se soucier un tant soit peu de moi. Avec Charlotte, bien sûr, mais en ce moment ça ne m’est pas d’un grand réconfort Quoique Nicolas m’a aussi agréablement surpris, finalement, même si je suis loin de lui pardonner et que je ne fasse pour l’instant que l’utiliser. En fait, c’est Anna la vraie garce de l’histoire !

  Mais étonnement, ça ne fait qu’accentuer mon envie de la baiser…

— Et qu’est-ce qui t’amène ? Insiste Léna en voyant que je suis trop perdu dans mes pensées pour développer.

— Je je n’ai pas envie de dormir avec Camille ce soir.

  Son sourire devient légèrement moqueur.

— Tu n’as rien trouvé de mieux pour coucher avec moi ?!

— Non, c’est pas ça du tout ! C’est juste qu’avec ce qui s’est passé vendredi

— Je m’en doute idiot ! Rétorque-t-elle. Mais t’aurais au moins pu faire semblant d’en avoir envie.

— Léna j’ai tu sais que j’ai très envie de coucher avec toi. C’est juste que comment dire je ne veux pas t’imposer quoi que ce soit.

  J’ai l’air d’un parfait crétin à bafouiller ainsi, mais je n’y peux rien. Je suis assez timide au fond, et ce n’est quand même pas simple de parler de ça avec une fille qu’on connaît depuis moins d’une semaine !

— Allé viens, me dit-elle en m’attrapant la main pour m’attirer dans sa chambre.

  La conversation n’avait lieu jusqu’ici que dans le vestibule de son appartement. Je suis rassuré par son invitation parce qu’honnêtement, je ne suis pas encore prêt à me confronter à Camille. Je ne sais même pas exactement ce que je veux vis-à-vis d’elle, alors je ne vois pas trop ce que je pourrais bien lui dire !

  Parvenu devant son lit, Léna lâche ma main, mais elle me sourit d’une manière plus chaleureuse que jamais.

— Tu as une heure, lâche-t-elle.

  Il me faut bien 3 ou 4 secondes pour digérer l’information. Une heure ? Parle-t-elle vraiment de ce que je crois ?

— Tu veux dire que

  Elle hoche la tête. Bien sûr que c’est ce qu’elle veut dire.

  Comme j’ai cette fois tout mon temps, je ne me jette pas sur elle comme un animal, à l’inverse des dernières fois. Je déboutonne lentement sa chemisette, jusqu’en bas, pour constater qu’une fois encore elle n’a pas mis de soutien gorge, malgré sa poitrine d’une taille respectable. Je prends d’ailleurs quelques secondes pour l’admirer, sa poitrine, avant de déposer ma main dessus pour la caresser doucement. Je fais rouler ses tétons entre mes doigts, puis je m’approche pour l’embrasser tendrement dans le cou.

  Je n’éprouve pas pour Léna les mêmes sentiments que ceux que je porte à ma sur Charlotte, mais quand même. Je l’aime bien, et je la respecte. En la voyant ainsi soumise à mes désirs, j’aurais envie de lui sauter dessus et de la baiser violemment, mais je me contiens. Je tiens à lui montrer que je ne suis pas un mufle !

  Pourtant, elle me repousse bientôt, dérobant d’abord son cou à mes baisers, puis sa poitrine à mes caresses.

— Qu’est-ce qu’il y a ? Je croyais que

— Tu m’as pris pour ta petite amie ? M’interrompt-elle.

— Quoi ? Mais pourquoi ?

— Dégage ! M’ordonne-t-elle en se rhabillant déjà.

  Totalement décontenancé, j’avoue que je ne comprends plus rien.

— Mais Léna, pourquoi ?

— J’aime la soumission, répond-elle avec un sourire goguenard.

  Alors là, je suis sur les fesses.

— Soumets-moi, si c’est ce qui te fait plaisir !

  Elle soupire, puis hoche la tête de droite à gauche en signe de dépit.

— Je crois que je me suis trompée sur toi.

  Cette remarque me fait mal. Mais qu’est-ce que j’ai fait ? Elle ne sait pas ce qu’elle veut, est-ce de ma faute ?!

  Énervé et frustré, je quitte sa chambre à grands pas.

— Tu sais quoi ? Je crois que t’as raison, c’est mieux comme ça ! Lancé-je en claquant la porte derrière moi.

  Je ne décolère pas en arpentant les couloirs de l’université au pas de course. Léna me mène en bateau depuis le début, et maintenant elle me met à la porte sans raison, comme un malpropre !

  "Non mais sérieusement, c’est quoi son problème ?"

  Elle aime la soumission, très bien, mais ne l’ai-je pas été assez depuis mon arrivée à l’université ? J’ai obéi à tous ces caprices, quels qu’ils soient. Et quand j’ai été plus insistant, n’a-t-elle pas aimé ça ? Je me remémore la fois où elle m’a laissé la caresser, puis où elle m’a ordonné d’arrêter. Je ne l’ai pas écoutée, et résultat elle était toute mouillée. Alors elle ne va pas me dire que

  Je m’arrête brusquement, stupéfié par ma propre bêtise.

— Mais quel crétin !

  Tellement frappé par l’évidence, je réalise que je me suis exprimé à voix haute.

  "Comment j’ai pu être aveugle à ce point ?"

  Je fais alors demi-tour et me précipite jusqu’à son appartement. J’ouvre la porte sans frapper, sans rien demander. Elle est toujours au milieu de sa chambre, et elle me regarde avec étonnement.

— Qu’est-ce que tu fous ? crie-t-elle. T’as toujours pas compris ?

— Ta gueule, et mets-toi à genoux !

  En un instant, je sens le doute s’instiller dans son regard.

  "Mais est-ce parce que je lui fais peur, ou parce que j’ai visé juste ?"

— C’est toi mon filleul, et moi ta marraine !

  Je la foudroie du regard.

— A genoux.

  Cette fois je l’ai répété calmement, presque en chuchotant. Mais avec une assurance qui lui fait perdre pied. Docile, elle s’exécute alors et s’agenouille devant moi.

  "Oui, je le savais !"

— Maintenant enlève ta chemise, que je vois tes seins.

  Elle continue à me regarder droit dans les yeux, mais cette fois avec un air totalement soumis. Et j’adore ça. Moi qui ai pris plaisir à être soumis et humilié, même si ça me dégouttait, je me rends compte que je préfère mille fois être le dominant. Voir Léna ainsi me colle une gaule colossale.

  Lorsqu’elle a fini de déboutonner sa chemisette, elle la retire et la laisse tomber sur le sol. Elle ne dit rien, ne prend aucune initiative, attend juste sagement les ordres.

— C’est ça que tu voulais, hein ? Tu voulais être traitée comme une chienne ?

— Oui Maître, répond-elle.

  Je trouve que ce terme, très caricatural, frôle le mauvais goût mais j’aime bien.

  Son regard de chienne soumise, juste à mes pieds, me rend dingue. J’ai envie de la prendre tout de suite, sur le carrelage, mais je veux aussi sentir sa bouche se refermer sur ma queue. Je veux lui malaxer les seins, les lécher, je veux tout lui faire à la fois ! Il me faudrait une dizaine de bites et autant de Léna pour combler tous mes désirs, mais je dois me contenter de ce que j’ai. Et je ne vais pas m’en plaindre, loin de là !

  Je déboutonne donc mon pantalon, puis je le fais descendre à mes chevilles en même temps que mon caleçon. Ma verge dressée bondit hors de sa prison avec hâte, déjà prête pour tout ce que ma lubricité pourrait imaginer de lui demander. Et Dieu sait que j’ai de l’imagination !

  Encore que je n’en fasse pas usage tout de suite : c’est avec beaucoup de classicisme que je lui demande de me sucer, et c’est avec empressement qu’elle s’exécute. Jouant à la fille innocente, elle commence par m’embrasser tendrement le gland, presque timidement. Puis elle vient le titiller du bout de la langue, mais toujours avec lenteur et délicatesse.

  Elle me rend dingue, j’ai envie de lui demander de prendre mon braquemart en bouche et de me sucer à fond, mais je me retiens et la laisse faire. Elle sait ce qu’elle fait, et mon désir montant sous ses timides assauts témoigne bien de son savoir-faire. Rien de tel que me frustrer pour m’exciter !

  Lorsqu’elle s’empare de ma tige de sa main droite, puis qu’elle fait de même avec mes couilles de la gauche, je ne peux retenir un râle de plaisir. Elle commence alors à m’aspirer le sexe, qu’elle fait rentrer doucement dans sa bouche. C’est divin ! Je m’empare alors d’un de ses seins, que je malaxe tendrement, tandis que mon autre main se glisse presque par réflexe dans ses cheveux. Et pendant ce temps, elle continue de me regarder d’en-dessous avec un regard totalement craquant, à mi-chemin entre la perversité et la docilité.

  Elle est si douée que lorsqu’elle débute une fellation plus intense, je sens déjà le plaisir monter à des niveaux plus dangereux. Je suis encore loin de l’orgasme, mais je ne veux pas tout gâcher alors que je l’ai à ma disposition !

  Je l’attrape alors par le bras, puis je lui indique que je veux qu’elle se redresse, d’une légère pression. Elle comprend aussitôt et s’exécute sans un mot. Elle s’essuie la bouche du bout des doigts, puis elle les porte à ses lèvres pour les lécher. Décidément, elle ne néglige aucun détail ! Je la veux

— Déshabille-toi.

  Je lui débite mes ordres avec froideur et autorité, bien décidé à asseoir ma position et surtout à lui faire plaisir. Je sais qu’elle aime autant que moi être traitée ainsi, si ce n’est plus !

  D’ailleurs elle s’exécute, retirant sa traditionnelle jupe en se dandinant lascivement. Je constate alors que, comme la dernière fois, elle n’a pas mis de culotte. Je la fais se tourner pour l’observer sous tous les angles puis, une fois qu’elle se retrouve dos à moi, je lui assène une bonne claque sur les fesses.

— C’est pour t’être comporté comme une salope en ne mettant pas de culotte !

  Elle a lâché un petit cri de surprise sur le coup, mais elle se reprend aussitôt. Je remarque qu’elle semble apprécier ce traitement.

— Pardon Maître, devrais-je mettre des sous-vêtements à l’avenir ?

  Je lui assène une nouvelle fessée, aussi forte que la précédente.

— Ça va pas ?! Tu mettras ce que je te dirais, et rien d’autre ! Or tes tenues me vont bien.

  Elle ne répond rien, mais baisse la tête en signe de soumission et d’assentiment. Je ne peux m’empêcher d’exulter en voyant ce qu’elle est devenue, le contrôle que j’ai sur elle. Je dirige ma main, toujours posée sur ses fesses, jusqu’à sa moule que je découvre totalement trempée. J’insère un doigt à l’intérieur de son vagin, dans lequel il pénètre sans problème. Parfait, elle est prête.

  Je profite de sa position, debout et penchée en avant, pour guider mon sexe jusqu’à son orifice. Elle est tellement bandante dans cette posture ! Je positionne mon gland juste à l’entrée de sa chatte, prêt à la saillir. Mais je sais qu’elle n’attend que ça, elle aussi, alors je la fait un peut attendre.

  J’utilise ces quelques secondes pour réaliser ce qui se passe : je m’apprête à baiser Léna, enfin ! Et je ne vais pas seulement la baiser, je l’ai totalement fait mienne. Désormais, je pourrais en profiter quand je veux, comme je veux, où je veux. Ma réputation plus que ternie à l’université risque de se redresser notablement quand ça se saura (et je compte bien le faire savoir largement).

  Je me félicite aussi pour mon calme vis-à-vis de Nicolas. Ma volonté première était bien sûr de le punir pour tout ce qu’il m’a fait, mais je suis heureux de ne pas l’avoir fait : il me servira bien mieux en tant qu’allié provisoire. Car oui, quand j’aurais rétabli la situation, il payera bien quand même. Et cher.

  Les derniers seront les premiers

  D’ailleurs, je m’attarde aussi sur un point qui m’intrigue : je ne sais pas si c’est une impression dû à mon nouveau sentiment de pouvoir et d’autorité vis-à-vis de Léna, mais je trouve mon sexe particulièrement gros et long. Je veux dire, j’ai toujours été relativement dans la norme à ce niveau-là, et maintenant j’ai l’impression qu’il a grandi de quelques centimètres !

  Mes testicules aussi me semblent avoir changées, comme si elles avaient également grossie. Je me doute que ces observations sont sans doute fausses, mais sur le moment elles me perturbent autant qu’elles me ravissent !

  Léna me ramène à la réalité en soupirant de dépit devant mon attente. Elle se frotte à mon sexe, trop désireuse de le voir s’introduire en elle. A vrai dire, je ne le suis pas moins. Je commence donc à le faire pénétrer lentement dans sa vulve en la tenant par les hanches.

  Lorsque le gland est à l’intérieur, j’exulte : ça y est, je baise ma marraine ! Mais la lubrification est optimale, tout comme mon désir. Inutile donc d’attendre. J’attrape ses nichons de mes deux mains, puis je m’insère en elle d’un coup sec. Ma bite n’a aucun mal à entrer jusqu’à la garde, et j’entreprends aussitôt de la ramoner sauvagement.

  Elle est si mouillée (et moi aussi à vrai dire), que mes coups de rein provoquent des clapotis à chaque fois qu’ils font buter mon pubis contre ses fesses. Je la tringle avec une hargne qui nous ravis tous les deux, tout en malaxant ses gros seins avec un inusable plaisir. J’adore jouer avec ses tétons, les pincer légèrement entre mes doigts, puis revenir presser ces masses de chair offertes à mon désir.

— Tu aimes te faire baiser par ton filleul ?

— Oh oui ! répond-elle. J’en rêvais tellement

  Une fois encore, j’exulte. J’ai moi aussi tellement attendu ce moment, et j’ai tellement douté de sa réalisation ! Après tout ce que j’ai vécu, comment ne pas croire que tout ça n’était pas qu’une vaste farce qui ne se terminerait que par mon humiliation complète ? Mais non, le beau temps semble bien devoir pointer le bout de son nez après l’orage.

  Et ce n’est pas fini

  Comme pour confirmer cette pensée fugace, la porte de la chambre de Léna s’ouvre soudainement et ma sur Anna fait son entrée. Elle s’arrête sur le pas de la porte, apparemment choquée de ce qu’elle voit.

  "Mais en même temps, depuis quand entre-t-elle chez les gens sans frapper ?"

— Qu’est-ce que vous faites ? demande-t-elle, avec autant de colère que de surprise dans la voix.

  Trop occupé par ma tâche, je ne m’arrête même pas de baiser Léna pour lui répondre :

— Ça me semble évident, non ?

  Elle s’approche alors de nous, furieuse.

— Vous connaissez les règles de la fraternité, vous allez être virés tous les deux pour ça !

  Piqué au vif par sa remarque, je me retire enfin du doux réceptacle dans lequel s’était réfugié mon sexe. Je fais face à ma sur, sexe dressé, et c’est les yeux dans les yeux que je lui ordonne :

— Tais-toi Anna, et viens plutôt me sucer, t’en meurs d’envie !

  Le courroux qu’affiche son visage ne peut dissimuler l’envie. Presque imperceptiblement, son regard se porte sur ma verge. Elle aussi semble la trouver changée, puisque ses yeux s’écarquillent sous le coup de la surprise. Elle se mordille la lèvre inférieure, manifestation inconsciente mais évidente de désir.

  Mais elle se reprend vite :

— T’es dingue ! crie-t-elle. Pour qui tu te prends ? Et je suis ta sur !

  Cette remarque est si déplacée, au vu de tout ce qui s’est déjà produit, qu’elle me fait sourire. Je m’approche d’elle, puis je lui attrape un de ses énormes seins à travers sa chemisette d’écolière.

— Ça ne t’a pas beaucoup dérangé jusqu’ici !

  Elle tente d’échapper à mon étreinte, mais trop mollement pour que ce soit crédible. Je sais très bien ce qu’elle veut depuis cette terrible fois où Jules nous a interrompus, même si elle ne voudra pas le reconnaître avant d’être dépassée par le désir. Et cette fois, il n’y aura pas d’interruption impromptue.

  Elle se recule néanmoins à mesure que j’avance vers elle, sa lourde mamelle toujours au creux de ma main. Mais elle bute bientôt contre le mur. Elle est coincée. Je me place juste devant elle, nu, mon visage à quelques centimètres du sien.

— Je ne te baiserais que quand tu me supplieras de le faire.

— Tu vas attendre longtemps alors ! ose-t-elle encore répondre.

  Je ne tiens aucun compte de sa remarque, qui ne peut tromper personne, et je commence à déboutonner sa chemisette. Elle proteste toujours aussi mollement en essayant de retenir mes mains, mais abandonne dès que je repousse les siennes. Lorsque le vêtement tombe au sol, je redécouvre cette magnifique poitrine que j’aime tant.

— Tu sais que tes nichons m’ont toujours fait fantasmer ?

  Elle ne répond rien, mais à vrai dire je n’attendais pas vraiment de réponse. Je les prends alors en main, puis j’approche mon visage pour les prendre en bouche.

  Ses seins ont un charme bien différent de ceux de Charlotte. Ceux de ma petite sur sont « mignons », bien qu’assez opulents eux-aussi. Seulement, ses tétons et ses auréoles sont plus fins, plus petits, plus clairs. La masse même du sein est plus blanche, presque laiteuse. Plus ferme aussi. Sa poitrine est finalement à l’image d’elle : elle respire l’innocence et la candeur.

  Ceux d’Anna sont tout autres : ses tétons sont gros et durs, ses auréoles plus larges et plus sombres, bien qu’assez claires en soi. Le sein est ferme, mais étant plus gros et plus lourd, il en est aussi plus moelleux. Bref, une poitrine qui lui ressemble également : une bonne paire de mamelles pour une bonne grosse cochonne.

  D’ailleurs, je presse lesdites mamelles entre mes mains tout en mordillant ses tétons. Ma sur a de plus en plus de mal à cacher son plaisir. Elle commence à se dandiner, mais certainement pas pour s’échapper !

  Profitant de l’occasion, je glisse ma main gauche dans sa culotte. Lorsque mes doigts atteignent son clitoris, un frisson de plaisir la secoue des pieds à la tête. Elle ne dit plus rien, ne fait plus rien pour m’arrêter. J’ai eu l’abandon, j’aurais bientôt la supplication

  Je descends ma main un peu plus bas pour constater que son vagin est trempé. Elle ne peut plus mentir, son corps parle pour elle ! Je lubrifie un peu mon doigt avec ses propres sécrétions, puis je retourne m’occuper de son clitoris. Je le frotte un peu de l’index, je le pince doucement entre mes doigts elle soupire maintenant clairement de plaisir.

— Ok, cède-t-elle dans un nouveau soupir, tu peux me baiser.

  Je fais comme si je n’avais rien entendu, car il est évident que c’est encore très loin de ce que je veux.

— Tu m’as entendu ? insiste-t-elle, je te laisse me baiser !

— Tu me laisses ? rétorqué-je.

  Puis j’éclate de rire.

— Pour qui tu te prends, ma pauvre sur ?! Si tu veux que je te baise, il va falloir me supplier !

— Te supplier ?

  La colère revient empourprer le visage d’Anna.

— Te supplier, moi ? Mais c’est toi qui rêve de me baiser !

— Parce que toi tu souffres le martyr, c’est évident

  Ce disant, je reprends son téton entre mes lèvres et j’accentue mes caresses sur son clitoris. Elle ondule de plus belle, je la sens ravagée par le désir.

— D’accord ! cède-t-elle soudain. Baise-moi s’il te plaît !

  Je me tourne alors vers Léna, un sourire aux lèvres.

— Ça te semble suffisant ?

  Elle sourit à son tour.

— C’est pathétique, lâche-t-elle durement.

— C’est aussi ce que je pense.

  Léna s’approche alors de nous, lascivement, puis elle s’empare de ma queue, qu’elle commence à masturber tout doucement, sans omettre de caresser mes couilles de l’autre main. Elle se colle ensuite à moi, écrasant sa poitrine contre mon épaule, puis elle m’embrasse tendrement dans le cou.

— Elle est encore loin du niveau de soumission que requière votre grandeur, Maître, susurre-t-elle à mon oreille, suffisamment fort toutefois pour qu’Anne l’entende.

  Celle-ci regarde alors son amie d’un air dégoutté, comme si elle la voyait pour la première fois.

— Tu as raison, dis-je à Léna. C’est toi que je vais baiser aujourd’hui, tu l’as bien mérité.

  Je stoppe alors mes caresses sur Anna, que je délaisse pour m’occuper de ma marraine. Je l’observe pourtant du coin de l’il, et il n’est guère difficile de deviner qu’elle est anéantie par cet abandon. Elle pensait avoir un tel ascendant sur moi qu’elle n’aurait jamais à s’abaisser à ce genre de choses. Mais désormais, c’est moi qui ai le choix. Grâce à ma fantastique Léna.

  A peine ai-je eu le temps de quitter la poitrine d’Anna pour celle de ma marraine, qu’elle cède déjà.

— Je t’en supplie, Justin, baise-moi.

  Elle l’a lâché d’une voix faible, presque inaudible.

— Qu’est-ce que t’as dit ?

  J’ai bien sûr tout à fait compris, mais je prends plaisir à la torturer.

— S’il te plaît, ne m’oblige pas à le répéter

— Tu le répéteras autant de fois qu’il me plaira. Alors ?

  Elle s’approche de moi, jusqu’à ce que quelques centimètres à peine ne nous séparent. Elle attrape mon sexe, le fait coulisser doucement entre ses doigts. C’est droit dans les yeux qu’elle scelle son abandon :

— Je t’en supplie petit frère, je veux que tu me baises.

  Je la plaque de nouveau contre le mur, prends un de ses seins dans ma main. Je glisse l’autre dans son cou, approche mon visage du sien. Mes lèvres sont presque contre les siennes.

— Tu veux vraiment que je te baise ?

— Oui, soupire-t-elle, je le veux.

  Elle tient toujours mon sexe dans sa main, elle l’utilise pour le faire coulisser le long de sa fente. Elle se caresse même le clitoris avec le bout de mon gland. L’instant que je vis est merveilleux.

  Mes lèvres comblent alors les derniers centimètres qui les séparent des siennes et je l’embrasse. D’abord assez tendre, notre baiser se transforme rapidement en un bon roulage de galoche. Anna n’est pas Charlotte. Pourtant, nos langues qui s’entremêlent me procurent une sensation presque aussi forte, bien que très différente. Plus sauvage, bestiale même.

  Je n’ai jamais été très proche d’Anna, mais elle reste ma sur, et elle est surtout très bonne. L’intensité des sentiments qui me transportent n’est donc pas très éloignée de celle que j’ai ressentie pour ma petite sur. Il n’y a pas d’amour, certes, mais beaucoup plus de pulsions, d’instinct même. C’est étrange, je ne pensais pas prendre autant de plaisir à embrasser ma sur.

  J’ai peut-être plus de sentiments pour elle que je ne le pensais, finalement.

  Quoi qu’il en soit, je délaisse bientôt ses lèvres pour reprendre en bouche ses tétons. Ils me manquaient trop ! Pendant ce temps, Anna fait toujours coulisser mon gland le long de sa fente. C’est divin. Nous sommes si excités l’un et l’autre que je sens des filets de nos mouilles mêlées lui glisser le long de la cuisse.

  Soudain, Anna passe une main tremblante de désir dans mes cheveux, qu’elle me caresse tendrement. J’aime cette légère pression sur mon crâne tandis que je la tète, j’ai l’impression d’une étreinte presque maternelle.

— Oh Justin soupire-t-elle, transportée par le plaisir.

  Je ne réponds que par une pression accrue sur sa poitrine, mais cela semble lui convenir. Bientôt, elle cesse pourtant de faire coulisser mon sexe contre le sien, pour en présenter le gland à l’entrée de son vagin.

— S’il te plaît, supplie-t-elle. Je veux que tu me baises, j’en peux plus !

  Je l’observe dans les yeux, mes lèvres contre les siennes.

— Tu le veux vraiment ?

  Je repousse sa main pour attraper moi-même mon sexe, que je positionne tout contre elle.

— Oh oui lâche-t-elle.

  Mes lèvres se posent de nouveau contre les siennes, puis elles s’entrouvrent pour laisser nos langues s’entremêler en un baiser passionné. J’aime beaucoup son haleine, et l’ardeur avec laquelle elle m’embrasse me rend dingue. Je commence à faire entrer très lentement mon sexe en elle. La sensation est délicieuse, notre désir mutuel atteint des sommets.

  Lorsque mon gland est à l’intérieur, je m’arrête un instant et l’observe à nouveau.

— Tu es sûre que tu veux qu’on le fasse ? On est frère et sur quand même !

— Oui je le veux, oui ! S’il te plaît Justin, fais-moi l’amour !

  "Fais-moi l’amour"

  Le terme est étrangement choisi, je trouve. Je reconnais là ce que j’ai pensé moi-même avec Charlotte. Mais je n’irais pas jusqu’à dire qu’il s’applique ici, malgré mes incontestables sentiments pour ma sur aînée. En tout cas de mon point de vue

  Anna devient folle de désir, elle ondule du bassin pour essayer de faire entrer mon sexe en elle. Mais je contrôle la pénétration, et je l’empêche encore de parvenir à ses fins. Je veux aller plus loin encore, qu’elle en perde la tête.

— Justin, s’il te plaît Je t’aime petit frère

  Cet aveu me coupe le souffle. Alors ça c’est inattendu ! Que veut-elle dire exactement par là ? Est-ce vraiment une déclaration profonde, ou est-ce simplement un immense désir qui parler pour elle ?

  Peu importe, ça ne sert que mieux mes intérêts

  Je l’embrasse à nouveau, mais cette fois sans la langue. Nos lèvres seules s’entrechoquent, s’entremêlent même en se mordillant mutuellement. La passion n’en est que décuplée. Je retrouve quelque chose d’assez proche de ce que j’ai vécu avec Charlotte.

  Et de beaucoup plus fort que tout ce que j’ai jamais vécu avec Camille

  Je l’embrasse partout : sur les lèvres, les joues, dans le cou, la pointe des seins Ma grande sur devient folle.

— Justin je t’en prie, fais-moi l’amour !

  L’abandon a cette fois quelque chose de différent. Le désir est toujours aussi fort, mais beaucoup plus profond. Une larme coule le long de sa joue, l’amour illumine son visage.

  Oui, ma sur m’aime vraiment.

  Alors je me retire, puis je m’éloigne d’elle.

— On verra peut-être plus tard.

  Je l’ai lâché sans mépris, mais avec dédain, ce qui est pire. La garce pense-t-elle vraiment que j’ai tout oublié ? Et même tout pardonné ?

  Un coup d’il dans sa direction m’apprend que les larmes se sont multipliées sur son visage, mais cette fois de tristesse.

  "Chacun son tour, pétasse !"

  Elle quitte alors la chambre de Léna en pleurant à chaudes larmes. Peu importe, j’aurais juste à la baiser plus tard. Elle fera partie de mon harem, qu’elle se rassure. Mais pour le moment, j’ai promis à ma marraine de la baiser, elle qui m’a toujours soutenu autant qu’elle le pouvait. Et je compte bien l’honorer, elle en même temps que ma promesse.

  Pourtant, je sais que ce qui vient de se passer avec ma sur m’a formidablement excité, et étrangement j’ai désormais plus envie de me vider rapidement que de faire durer l’exercice des heures. Il faut que je me décharge de toute cette excitation ou je vais exploser !

  Je plaque donc Léna contre le mur, puis je viens l’embrasser avec passion. Je lui presse les nichons avec ardeur, puis je présente déjà ma bite contre elle.

— Je suis désolé, il faut que je me vide !

— Ne vous excusez pas Maître, utilisez-moi comme il vous plaira. Je serais déjà très honorée de recevoir votre semence.

  Il ne m’en faut pas plus : je m’introduis en elle d’un coup sec. Elle est déjà bien préparée suite à notre coït interrompu, et moi je n’en parle même pas. Je coulisse en elle comme dans du beurre. C’est pourtant suffisamment étroit pour être délicieux !

— Votre bite est tellement grande, Maître susurre Léna.

  C’est vrai que je ne me l’explique toujours pas, mais je suis bien persuadé que mon sexe a grandi ! Il faudra que je trouve l’explication de ce mystère, mais plus tard. Pour le moment j’ai d’autres chattes à fouetter !

  Je me démène en elle comme un diable, décidé à en finir au plus vite. Je suis totalement sourd et aveugle à son plaisir à elle, mais l’avantage avec Léna est que moins je pense à elle et plus ça lui plaît ! Alors elle prend son pied comme jamais.

— Oh oui Justin, baise-moi ! hurle-t-elle à réveiller toute l’université.

  Avec tout ça, j’avais presque oublié son extravagance dans ces moment-là. Excité par ses paroles, je décide de jouer le jeu :

— T’aime te faire défoncer la chatte par ton filleul ?

— Oui j’adore ça ! Baise-moi plus fort, déchire-moi !

  Je constate que, emportée par le plaisir, elle s’oublie totalement. Je la rappelle à l’ordre par une bonne fessée.

— Qui je suis ?

— Pardon Maître, je suis désolée ! s’excuse-t-elle aussitôt. Vous êtes mon Maître, et moi votre esclave.

  Putain ce qu’elle m’excite à se soumettre comme une chienne ! Je ressors rapidement de son vagin pour la retourner, puis je me réintroduis en levrette.

— Oh c’est trop bon ! gémit-elle tandis que je reprends ma besogne. Maître s’il vous plait, baisez-moi plus fort, faites-moi mal !

  Je la prends au mot et commence à la pilonner sans la plus petite once de tendresse. A ce rythme, il ne me faut pas longtemps pour rendre les armes en un orgasme monstrueux. Les jets de sperme qui s’échappent de ma queue sont longs, nombreux, abondants, brûlants. Léna crie son plaisir, à tel point que je ne tarde pas à comprendre que mon orgasme a provoqué le sien.

  Je lui donne des fessées tout en me répandant en elle, mais je ne tarde pas à comprendre que ça ne fait que l’exciter d’avantage. Nous crions tous deux notre jouissance comme des animaux, oublieux du fait que nous sommes dans une chambre mal isolée de l’université.

  Et de toute façon peu importe, tout le monde saura bientôt que Justin amorce la reconquête.

  Je me lèche les babines à cette idée, tout en me retirant enfin du vagin de Léna. Si fort a été son plaisir que la jeune fille s’effondre, ses jambes étant trop flageolantes pour la soutenir.

— Merci Maître, bredouille-t-elle, tandis qu’une petite flaque de sperme commence à s’épanouir entre ses cuisses.

  "Mais qu’est-ce que c’est que tout ça ? Je n’ai jamais éjaculé autant, et de loin !"

  Me promettant d’y réfléchir également plus tard, je me concentre pour le moment sur ce magnifique concept :

La reconquête.

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