Avec Paulette chez Charlotte et Roger
— ? Comme nous sommes invités chez mes vieux amis Charlotte et Roger, je dois t’informer des relations que j’entretiens avec eux depuis deux ans maintenant. A l’époque je suis allé quelques fois avec une amie, Paulette, qui vit maintenant au Québec.
Roger est un vieux cochon qui a du être en sacré queutard quant à sa femme Charlotte, elle n’est jamais en reste et c’est la reine de la pipe.
Je les connais depuis huit ans maintenant. Ils habitent dans un immeuble proche du nôtre et je leur rendais souvent visite avec Paulette qui a mon âge et qui aime bien se montrer quand elle baise. Nous nous sommes connus au Cap d’Agde.
Roger la regardait toujours avec des yeux vicieux et Charlotte n’arrêtait pas de la complimenter sur sa beauté.
Cela a commencé bizarrement un soir il y a cinq ans alors que nous dînions chez eux. Jusqu’à présent, tout été resté très ?correct ?.
Mais ce jour là, après le repas, la conversation a dérivé sur le sexe pour la première fois depuis que je les connaissais. Il faut dire que nous avions pas mal picolé tous les quatre.
— ? maintenant à mon âge, je ne bande plus comme avant, aussi le sexe vous savez. nous avait annoncé Roger (sans qu’on lui demande quelque chose à ce sujet, mais il avait sans doute envie d’en parler).
— C’est normal qu’à ton âge tu te calmes un peu lui avait fait remarquer sa femme, mais je crois que nous en avons bien profité. Je reconnais a-t-elle ajouté qu’aujourd’hui, pour Roger, me regarder à poils ne risque plus de le faire bander, s’il avait sous la main une jolie petite femme comme Paulette, cela serait différent, je pense que cela l’aiderait à l’exciter.
— Parfois, j’ai un début d’érection en regardant une nana qui passe sous nos fenêtres ou qui vient chez nous mais pour garder l’érection, il faudrait qu’elle reste présente quand je désire baiser Charlotte.
— Avez vous essayé les films x lui demande alors Paulette jamais en panne d’imagination.
— J’ose pas en louer, vous vous imaginez un vieux cochon de 85 ans qui va au vidéo. je veux pas passer pour un con.
— Tu as tort lui répond Charlotte, tu vois Paulette a eu la même idée que moi.
— Je préfère voir du réel devant moi, il parait qu’il y a des boîtes où l’on peut voir des couples mais il faudrait alors que ma femme se laisse faire devant tout le monde et vous nous voyez tous les deux, baiser devant tout le monde, ce serait le musée des horreurs !
— J’avoue renchérit Charlotte que faire l’amour devant plein de gens, à mon âge, je ne me sens pas, je pense que j’aurais honte.
Paulette fait alors une proposition qui va changer radicalement la suite de nos relations avec mes vieux amis.
— ? et si Bob et moi on faisait ça devant vous, comme un spectacle, vous pourriez alors enfiler votre femme dès que vous bandez. à condition que de me voir à poils vous fasse bander.
— Tu rigoles petite, je rêve que de ça réponds Roger, j’ai bien essayé de me faire sucer par Charlotte en regardant les photos de vous deux, mais vous n’êtes pas dans des situations excitantes, vu que c’est des photos que l’on a prise ici lors de l’anniversaire de Charlotte il y a trois ans. Je te trouve très excitante et j’adorerais te voir baiser avec Bob devant nous. Rien que d’y penser, mon vermicelle commence à frémir. j
— Ce serait un miracle rajoute Charlotte qui commence à rosir légèrement des paumettes.
Charlotte a du être un très belle femme, elle est d’ailleurs encore plutôt bien foutue pour ces 80 ans car si la peau de son corps, doit être fripée, ces seins semblent lourds mais gonflés au travers de sa robe et ses jambes pour le peu que j’en ai vu n’ont pas l’air trop abîmées.
Certes elle a un gros cul, mais il doit être confortable à bourrer et je lui ferais bien goûter de ma queue !
Elle a une bouche qui doit savoir sucer à mon avis et mon regard croise celui de ma cochonne de Paulette, toujours partie pour le cul, dès que l’occasion se présente.
Elle vient s’asseoir sur mes genoux me tournant le dos. Je suis sur une chaise face au canapé ou Charlotte et Roger son assis ; je commence donc à caresser la poitrine de Paulette tout en lui glissant une main sous sa jupe fermée devant par une série de boutons.
Paulette est une belle rousse légèrement ronde et ses formes épanouies semblent beaucoup plaire à Roger.
Je déboutonne lentement la robe de Paulette qui porte un superbe ensemble soutien gorges slip et jarretelles de couleur noirs qui tranche sur sa peau blanche et criblée de taches de rousseurs.
Sa toison de feu dépasse légèrement de son string comme j’aime. Elle commence à gémir car elle adore être matée pendant que l’on baise.
Je vois les yeux de Roger qui sortent de leur orbite tant il est émoustillé, tandis que Charlotte remue sur son siège comme si elle avait une bitte dans le cul.
Je malaxe ses beaux nichons laiteux au travers de son soutien gorges
— ? Approche-toi, Roger pour bien voir, demande-t-elle à notre vieil ami qui ne demande pas mieux et se lève pour observer debout à nos côtés.
— admire mes beaux nichons qui adorent être caressés par les vieux cochons comme toi.
J’ôte alors le soutien de Paulette et ses seins lourds et fermes jaillissent sous les encouragements de Roger qui a dégrafé sa braguette laissant apparaître un sexe tout mou mais très long et qui a du bien se tenir dans le passé. Son gland est décalotté et bien que gros et bleu, il semble vide de sang. Paulette le prend dans sa main et le malaxe légèrement, afin de l’aider un peu.
— ? attend un peu que je m’occupe de ton asticot et tu vas voir qu’il va reprendre du service dit-elle à Roger en écartant un peu plus les cuisses.
Ma queue a moi n’est plus molle depuis longtemps et Paulette l’a bien senti contre ses fesses aussi, elle se lève et tout en restant debout, elle se penche en avant pour sortir ma queue qui se dresse vite devant sa bouche ouverte. Elle commence à me sucer alors que ses nichons ballottent légèrement sous le regard brillant d’excitation de Roger qui s’adresse à sa femme :
— ? Charlotte mon amour, vient voir, approche-toi aussi pour voir quelque chose de beau, une belle queue comme tu n’en as pas vu depuis longtemps.
— C’est ça Charlotte, approche-toi rajoute Paulette en s’écartant afin que Charlotte puisse profiter du spectacle.
— Mets-toi donc à genoux Roger pour mieux voir mon cul ordonne Paulette toujours très directive dans ses manières.
Roger a les yeux rivés sur les nichons de Paulette et il passe derrière pour regarder son cul tout en se branlant sa bitte molle qui semble quand même avoir un peu grossi.
— ? Si tu veux voir mon cul, Roger, tu n’as qu’à baisser ma culotte car je suis occupée annonce Paulette à un Roger cramoisi qui n’en peut plus de se rincer l’oil ; il passe derrière Paulette penchée sur moi et lâchant son asticot tout mou qui se met à pendre lamentablement, il baisse le slip de Paulette en lâchant un : ? Ho, quel beau cul ?
— N’est-ce pas Roger qu’il est beau le cul de ma petite pute ? je lui lance
— Super me répond Roger qui se met à genoux pour mieux voir la chatte de Paulette qui en profite pour écarter les jambes et offrir à Roger une vue complète de sa vulve couverte d’une toison rousse épaisse et sans doute déjà bien moite.
— Tiens, aides moi donc dit Paulette à Charlotte qui s’est assise sur un tabouret bas à côté de moi.
Elle regarde jusqu’à présent Paulette avaler mon magnum de 22 cm sans oser toucher ainsi que le fait Roger avec le cul de Paulette.
— Suces-le lui dit Paulette en tendant ma bitte vers Charlotte.
Charlotte me regarde comme pour réclamer mon autorisation.
— ? Vas-y vieille pute, suce-le renchérit Roger dont la queue par miracle s’est mise à la verticale.
— Vas-y Charlotte je rajoute, si cela te fait plaisir, moi j’en ai envie de voir ta belle bouche dévorer mon gland. Tu sais, je me suis déjà branlé en pensant à toi, mais je n’ai jamais osé t’en parler, j’imaginais que ta bouche de pute avalait ma queue pendant que ton mari nous regardait en se branlant comme un puceau.
Les sens de Charlotte se réveillent alors et c’est en grande professionnelle qu’elle se jette sur mon gros tube pour me sucer jusqu’à la garde.
— ? Hein! la salope, elle suce bien ma femme, pas vrai Bob
— ouaih, une vrai pro, tu devrais profiter de ce que tu es en forme pour essayer d’enculer Paulette car ta queue est devenue très opérationnelle.
— Attends, Roger, je vais te lubrifier un peu dit Paulette qui n’ayant plus à me sucer se penche vers la queue de Roger qui s’est remis debout et n’en crois pas ses yeux et ses couilles de se voir sucer par une nana beaucoup plus jeune que lui et sur laquelle il fantasme depuis des mois.
— ? Putain que c’est bon, t’es une vraie salope lance-t-il à Paulette qui s’active avec ardeur sur son vieil instrument, pendant qu’il triture ses nichons pendants vers le sol.
— vas-y maintenant, encule moi car je sens que c’est ce que tu adores
— Exact, rien ne vaut un bel anus comme le tien pour le défoncer.
— Pendant ce temps la Charlotte qui semble excitée un max, dégrafe son haut de jupe et libère ces deux imposantes mamelles que Paulette et moi caressons et suçons tour à tour ; elle a du avoir une sacré poitrine quand elle était jeune, et j’en suis excité de les malaxer tant ils sont volumineux et doux. Je lui mordille les tétons et elle se met à gémir très fort en fermant les yeux.
— ? Viens, Charlotte, empale ton gros cul sur ma queue, je lui susurre à l’oreille. Donne-moi du plaisir avec ton cul qui ne demande qu’à être défoncé.
— Oh oui qu’il en a besoin, j’ai du retard à rattraper et ta jeune et grosse bitte va avoir du travail me répond-elle.
Elle relève alors sa jupe et écartant son slip le minimum nécessaire présente son arrière train à moi en écartant ses fesses. Elle ne semble pas vouloir trop exposer son corps dont elle doit avoir un peu honte.
— ? Dans la chatte, me dit-elle en s’accroupissant sur mes genoux jusqu’à ce que mon gland entre en contact avec sa vieille vulve fripée. lorsqu’elle me sent bien en position, elle s’assoit et miracle, elle doit être très excitée car ma queue entre sans forcer dans son vieux canon bien graissé de foutre.
Elle gémit en se remuant pendant que je la besogne et que Paulette penchée en avant sous les coups de queue de Roger dévore les vieilles mamelles. J’en profite pour lui caresser le trou du cul et y introduire mon index. Elle ne proteste pas, aussi, j’en déduit qu’elle aime mais comme elle m’a dit ?dans la chatte ?, je n’essaie pas de l’enculer maintenant.
Le manège dure bien dix minutes durant lesquelles nos vieux de déchaînent sur nos organes génitaux à Paulette et moi jusqu’à ce que Roger se mette à grogner violemment, les yeux exorbités :
— ? Tiens salope, je vais cracher mon jus, prends tout dans ton cul de pute, éructe-t-il en lançant des grands coups de bassins à Paulette qui crie de joie en malmenant les nichons de Charlotte qui part en orgasmes en me griffant les cuisses dans sa chevauchée débridée.
Je lui crache alors ma sauce dans son vagin distendu mais chaud et tout en m’accrochant à son gros cul, lui assène quelques coups de boutoirs histoire d’aller jusqu’au fond de sa vieille chatte bien rodée, dont j’atteins le fond.
J’ai du lui ôter toutes les toiles d’araignée qui y traînaient.
— ? Espèce de pute dis-je à Charlotte en la serrant dans mes bras, dire que je te croyais finie pour le cul, il faudra que l’on remette ça quand tu en auras envie tu sais ; ma queue sera à ta disposition pour te rendre service quand tu veux.
— Compte sur moi, Bob, mon rêve s’est réalisé de me faire baiser par toi sous les yeux de mon mari et je suis heureuse qu’il ait pu bander et éjaculer grâce à ta petite amie me répond-elle tout en caressant la joue et les seins de Paulette qui vient se placer face à moi et s’empale sur ma queue restée raide. Elle est encore dégoulinante du sperme chaud de Roger qui dégouline sur ma queue.
Elle se met à me chevaucher à son tour tandis que nos vieux amis s’assoient à nouveau sur le canapé pour se rincer l’oil à nous voir faire l’amour devant eux.
Au bout d’un moment, je la retourne et la positionnant en levrette, je la rapproche du canapé et tout en la besognant, je la présente entre les cuisses de Charlotte afin qu’elle lui nettoie la chatte de mon sperme qui en dégouline ; ce qu’elle fait avec délectation pendant que j’achève de la faire jouir par la chatte.
— ? Et c’est chez ces gens là que tu m’amènes ce soir, questionne Angèle incrédule.
— Seulement si tu le veux et même si tu accepte d’y aller, tu n’es aucunement obligé de te laisser toucher ou autre, chacun est libre et c’est bien pour cela que je t’en parle avant. Au départ, on devait simplement s’exhiber avec Paulette mais cela a dérivé avec l’excitation. Par contre si tu veux seulement l’exhibe, ou rien du tout, ils ne te toucheront pas c’est évident. C’est ton corps et ton choix.
— Après tout, pourquoi ne pas tenter l’expérience, je les ai croisés, et ils ont l’air sympa tes vieux.et puisque je suis avec toi, je n’ai pas peur. Ton récit m’a excité, viens me faire jouir rajoute-t-elle en se jetant sur moi.
(à suivre)
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