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CHARLINE (ou comment je suis devenue la chienne de mon beau-père) – Chapitre 4




Chapitre 5 : Le toilettage

Jai angoissé en cherchant lexcuse que je pourrais bien donner à Julien pour sortir en fin daprès-midi habillée dune robe légère et de chaussures à hauts talons rouges mais le lendemain au réveil, alors quil se reposait de sa nuit de travail, jai trouvé un mot sur la table de la cuisine disant : « Ma chérie, maman ma demandé de passer la voir aujourdhui avant de partir travailler donc nous ne nous verrons pas avant demain soir. Bisous. Ton petit mari » Si il allait voir Sainte Virginie, mon problème était en partie résolu. Je dis en partie car lidée de sortir les fesses à lair et en talons aiguilles dans la rue mettait ma timidité à rude épreuve.

En sortant du lycée, je suis rentrée à la maison pour me changer, jai mis ma robe et mes escarpins puis suis partie à mon rendez-vous. Jétais morte de honte car, si personne ne savait dans la rue ni dans le bus que jétais nue sous ma robe, javais limpression que les gens le devinaient (surtout les hommes) et me regardaient avec insistance. Néanmoins, me sentant très cochonne, je me suis mise à mouiller ce qui na fait quaggraver ma confusion.

Arrivée au salon de lesthéticienne, jai été accueillie par une femme dune trentaine dannées, aux cheveux roux bouclés, en blouse verte et sandales à talons, à laquelle jai dit en bafouillant que javais rendez-vous. Elle a souri et a dit : « Oui tu es Charline et cest Lolo qui tenvoie, tu corresponds à la description quil ma faite de toi, je mappelle Louise » Jai ressenti de la jalousie en pensant : « Cette pouffe lappelle Lolo alors que moi jai juste le droit de lappeler Monsieur. Elle est canon, je suis sure quil la baise ». Elle ma faite entrer dans une pièce ou se trouvait une table munie détriers qui ma rappelée celle du gynécologue que mavait emmenée voir maman pour prendre la pilule et ma dit : « Enlèves ta robe et mets toi en position dattente » Comme jhésitais elle a rajouté : « Dépêches toi, tu nas pas envie que je dise à Lolo que tu nas pas été obéissante ? » Jai enlevée ma robe en rougissant, elle la prise pour la poser sur un cintre. Jai écartées les jambes et posé les mains sur ma nuque. Elle ma regardée avec un sourire moqueur et a dit : « Cest une belle petite pouliche que nous avons là, il doit bien samuser à te dresser » Je suis devenue écarlate et jai baissé les yeux. Elle a ajouté : « Je dois finir avec une cliente, tu restes ici et tu ne bouge pas compris ? » « Oui Madame » Puis elle est sortie en laissant la porte ouverte.

Après avoir attendu une dizaine de minutes sans bouger jai entendu Louise raccompagner sa cliente puis elle est revenue dans la pièce et a dit : « Cétait ma dernière cliente je vais me mettre à laise » et elle a retiré sa blouse quelle a accrochée à coté de ma robe (elle ne portait rien dessous) et est ensuite venue vers moi. Elle était vraiment belle nue sur ses sandales à talons, avec des seins pommés hauts perchés aux tétons percés de deux anneaux et une toison pubienne rousse bouclée taillée en triangle, le haut de sa vulve parfaitement épilée apparente. « Je vais supprimer ces vilains poils » a-t-elle dit en passant un doigt sur une de mes aisselles puis en posant sa main sur ma chate : « Lolo a demandé que je te fasse une épilation classique du pubis et intégrale de la vulve, installes toi sur la table et mets les pieds dans les étriers ». Tandis quelle mettait de la cire à chauffer jai obéi, rougissant décarter les cuisses devant cette femme qui a rit de ma gène et a dit « Quand il aura fini ton éducation, tu nauras plus aucune pudeur et tu aimeras texhiber devant des inconnus. Poses tes mains sur ta nuque je vais commencer par tes aisselles. Elle a étalée la cire et a tiré dun coup sec (ouille et ouille) et elle a ensuite appliqué de la pommade. « On va maintenant passer aux choses sérieuses » Et elle a ensuite appliqué de la cire au niveau de laine entre mes cuisses et mon pubis ainsi quautour de ma vulve et dans ma raie du cul, autour de mon anus et a tiré (aille aille aille).

Au lieu dappliquer de la pommade elle sest mise accroupie entre mes jambes et a commencé à lécher toute la zone épilée en sattardant sur mon trou du cul. Jai commencé à soupirer et quand elle sest intéressée à ma chatte je me suis mise à gémir. Elle était beaucoup plus habile de sa langue que Julien, je me suis mise à mouiller abondamment, elle ma introduit un doigt dans lanus et, tout en léchant ma mouille, sest mise à faire des vas et viens dans mon trouffignon. Mon clitoris était dur et gonflé et quand elle la décapuchonné, jai poussé un petit cri aigu. Elle sest mise à le lécher et à le sucer. Jai gémi de plus en plus fort jusqu’à lorgasme. Elle sest redressée, sest essuyée la bouche couverte de ma mouille et a dit : « Lève toi, tu vas me rendre la politesse ». Jai obéi et elle sest installée à ma place, les pieds dans les étriers. Jai alors remarqué que le capuchon de son prépuce était également percé et que son clitoris, déjà érigé dépassait. Je me suis accroupie à et jai commencé à la lécher. Comme je navais aucune expérience dans ce domaine, jai reproduit avec ma langue ce quelle mavait fait un peu avant et elle a semblé apprécier puisquelle a joui à son tour. On sest ensuite rhabillées, avant de partir, elle ma donné un flacon mexpliquant que cétait un retardateur pour la repousse de mes poils, et elle ma fixé un rendez-vous pour le mois suivant. Je suis rentrée, me sentant encore plus nue avec ma vulve épilée sous ma robe. Cela me gênait et mexcitait en même temps et jai été soulagée darriver à lappartement. Devant la porte mattendait une surprise.

Il sagissait dun paquet. Je lai ouvert après avoir retiré ma robe. Il contenait une paire de mules noires, avec des semelles plates et des talons compensés en liège denviron 12 centimètres. Quand je les ai mises, mes pieds étaient entièrement dénudés mis à part une bande de cuir denviron 5 centimètres qui les maintenait de manière étonnement confortable, vu linclinaison que les talons leur faisait prendre. Il y avait également dans le paquet de la lingerie que je nai bien entendu pas pu mempêcher dessayer. Il y avait des bas de soie avec des porte-jarretelles, des culottes et des soutient-gorges assortis. Des tenues toutes plus indécentes les unes que les autres par leur coupe souvent minimalistes ou leur transparence et dont la pièce la plus impudique était un corset lui aussi équipé de jarretelles qui partait de mon bassin et sarrêtait juste sous mes seins, les laissant libres et les faisant paraître encore plus gros. Un mot au fond du paquet, écrit à la main disait : « La lingerie sera pour sortir mais tu dois porter le corset à la maison avec une paire de bas en permanence. A moins que tu naies envie dêtre punie bien sûr !!! ». Et il était signé : Monsieur.

A suivre

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