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Une femme, une robe, une baise! – Chapitre 1




Je n’arrive pas à croire que je vais vous raconter ça…

J’ai toujours eu ce fantasme, soit celui de coucher avec un femme mure (30 à 40 ans). Malgré mes nombreuses expériences, il n’y a rien comme une femme qui s’y connaît vraiment. Voilà! Un fantasme… que je voudrais bien répéter.

Cette femme, Caroline, travail au bureau avec moi. Elle est vraiment très belle et ne fait pas ses 35 ans. Aujourd’hui elle portait un robe fleurie avec des chaussures noires. Je sais pas comment cela se dit, mais sa jambe droite était à découverte car sa robe était coupé de haut en bas. Disons que le spectacle émousse facilement l’appétit sexuel.

Sa personnalité est très subtile et elle aime beaucoup les hommes, alors comment savoir si vraiment elle me regardait d’un autre oeil que celui d’un confère de travail? J’ai pu remarquer quelques fois les subtiles petites avances qu’elle me faisait, mais je n’y croyait pas, je faisait comme si de rien était. Mais c’est ce jour là qu’elle démasqua mon regard. Ce jour, elle su enfin ce que je pensa! Elle pu le lire dans mes yeux, j’en suis sur!

Elle me proposa de me ramener chez moi. Je sais que c’est un grand détour et je refuse prestement. Elle s’approche de moi un peu plus et elle me le redemande très doucement. J’acquiesce timidement, très timidement même. Elle le voit, mais je crois qu’elle aime ça!

Il est cinq heures, c’est le temps de partir. Nous sommes dans l’ascenseur, elle se retourne face contre moi et met une main sur ma poitrine. Elle me dit :

’ Sois pas gêné, ça me fait plaisir d’aller te reconduire chez toi.’

Bon, ok!

En chemin, elle me demande si je sais où est l’entrée pour le lave vitre. Elle sait que mes parents on le même modèle, donc…

Nous entrons la camionnette dans le garage, c’est plus simple et moins salissant. Je ferme la porte du garage.

Il faut dire que cette vieille Toyota van est assez bizarre, il faut enlever le banc dans arrière et enlever le tapis afin d’y verser le lave vitre.

Elle déborre la porte d’en arrière et j’enlève le grand banc. Elle entre à quatre pattes, devant moi afin d’enlever le tapis. Quel mon derrière à telle, même à travers sa robe, on peut voir ses formes se déhancher, c’est sublime.

Elle recule, toujours à quatre pattes, le tapis à la main. Elle recule, recule et sans que je ne m’en aperçoit, elle appuie ses fesses sur mes hanches, directement sur ma verge raide, prête à craquer mon pantalon.

Elle s’arrête et ne bouge pas. Je fige, je suis statue! Elle se positionne afin que ma verge s’insère complètement dans sa fente. Elle bouge ses hanches de haut en bas. Elle pousse un petit gémissement, un genre de ’ouf’. Ca lui fait du bien et ça me fait chaud.

Tranquillement, millimètre pas millimètre, j’approche mes mains pour prendre ses hanches. Maintenant bien accotée, je me moi aussi à me balancer entre son cul, n’ayant que mon simple pantalon de coton et sa robe entre nous.

Mes mains descendent sur les jambes pour aller jusqu’au bas de la robe. Je prends le bord et je remontre tranquillement. Je repose sa robe sur sa taille et je m’attaque à sa jolie petite culotte blanche. Quand elle sent que je veux lui enlever, elle ressert les jambes afin que ses sous-vêtements passent. Un genou, l’autre, sa culotte est parti.

Je glisse ma mains sous ses jambes maintenant entrouverts et je commence à flatter sa chatte de la paume de la main. Soudainement elle me dit :

’Pas de préliminaires, du me prend là, tout de suite mon cher’

’Tu n’as pas à me le dire deux fois!’ que je lui répond!

J’enlève mon chandail, j’enlève mes souliers et mes bas et je baisse mon pantalon et mon sous-vêtement à la cheville. La pose est parfaite. Mon sexe bien dressé, son cul qui se présente à moi… oulala!

Debout, je prends ses hanches et je la ramène directement vers moi. Elle pousse un ’ouuu’ car la manoeuvre était un peu raide et je crois qu’elle a aimé.

J’y vais… j’entre tranquillement en elle, mais très tranquillement. Un peu trop tranquillement pour elle car elle recule d’un coup et m’oblige à s’enfoncer en elle rapidement.

’Ca fait tellement longtemps que tu ne me fera pas lorgner encore plus.’

Elle me dit ça d’un air très dominateur et elle rajoute :

’Avant de commencer à bouger, je veux tout simplement te dire ce que tu dois faire pour me faire jouir. Tu vas m’enfoncer comme jamais, tu vas me l’envoyer de tout la force que tu as et le plus vite possible. Tu commence… tout de suite!’

Je ressort tranquillement… un élan et j’y vais! Un coup, deux coups, trois coups je suis à la vitesse parfaite de croisière : deux pénétrations à la seconde! Après une vingtaine de coups, elle commence à crier, enfin!. Elle crie, elle crie, elle crie, c’est presque épeurant. Elle ne bouge pas, elle se laisse se fourrer comme si un robot la labourait.

Mes couilles claquent sur ses cuisses, j’attend la succion se faire, et vous pouvez deviner que la jouissance de s’enfoncer à cette vitesse est incroyable. Tout le long de mon sexe, les sensations coule comme un torrent. Tout mon corps ressent chaque entrée comme si elle m’envoyait une décharge à chaque fois. Soudainement elle me crie :

’Arrête, je suis plus capable! Arrête!’

Je continue comme si de rien n’était

’Ok… mais jouit et vite!’

Je dois avouer que je n’ai rien entendu, peut-être mon subconscient a dû rejeter tout ça, mais je continue de plus belle. Je m’enfonce encore plus violemment et encore plus rapidement. Je me tord dans toute les direction afin d’explorer tout l’intérieur de… de… de ce merveilleux endroit. Cette manoeuvre la fait se tortiller de tout bord tout coté. Elle bouge la tête de gauche à droite en gémissant, les dents serrées.

Je me retire… et je donne un dernier grand coup. Ce coup, calculé, m’a fait jouir de ton mon corps, esprit et âme en même temps.

Voyant que j’avais pris mon coup, elle se retire, se retourne et se couche sur le dos dans la camionnette. Elle met un doigt dans sa chatte et de l’autre main elle se caresse le clitoris. Elle était trop proche de son deuxième orgasme pour le laisser s’envoler. La voyant se faire plaisir comme ça sans moi, j’entre dans la camionnette, met la tête entre ses jambes et commence à sucer/licher/goûter cette femme. Ses mains dans mes cheveux, elle pousse ma tête plus profondément entre ses cuisses.

Cela prend quelque secondes… puis son corps vibre! Elle jouit en poussant un crie d’opéra au fond de la gorge. Je ressens presque ce son au bout de ma langue.

C’était merveilleux, jouissant, plaisant et rythmé!

Je me couche près d’elle en position cuillère. Nous nous endormons. Nous dormons très longtemps.

Nous nous sommes réveillé que lundi suivant, quand nous nous sommes revu au bureau. Je crois que c’est à se moment que nous avons vraiment ’cliquer’ sur ce que nous avons fait… Encore quelque fois, on se fait la cour au bureau, sans jamais aller plus loin malheureusement.

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