JEANNE :

Je la regarde d’un air interdit, n’arrivant pas à croire qu’elle ait enfin osé me demander de lui faire l’amour d’une façon si directe. Mais pour reprendre une de ses vieilles expressions du siècle dernier dont ma propre mère m’avait bassiné toute ma prime jeunesse jusqu’à l’overdose : "quand le vin est tiré il faut le boire". De mes doigts, je parcours le contour de ses seins magnifiques m’arrêtant de temps en temps pour en pincer très délicatement un téton. Des tétons durs et tendres ornant des mamelons bien roses et parfaitement circulaires. Je prends tout mon temps avant de répondre et je sais que je devrais avoir honte de la torturer comme cela, mais malgré mon excitation, j’ai vraiment envie de faire durer le plaisir.

Te faire l’amour ma chérie ? Je suis ta mère voyons, comment pourrais-je te…

Vas-y, j’en… j’en ai envie, m’interrompt-elle illico. Et je sais que toi aussi tu en as envie ; j’ai vu la vid…

La vidéo de moi et Katherine ? fais-je en la coupant, oui je le sais, ça t’a plus ?

Sur son visage se lit une drôle d’expression, mélange de surprises, d’interrogation et d’un soupçon de honte peut-être. J’ai l’impression qu’elle se demande si elle a bien entendu et cela m’amuse.

Mais comment est-ce que tu peux… tu… tu nous a vu lorsqu’on a regardé la vidéo ou bien est-ce que tu…

Rien de tout ça, mon ange, fis-je avec toujours plus d’amusement.

Je lui explique donc que c’était l’idée de Katherine, qu’elle m’avait dit qu’elle chargerait Cindy de lui transmettre notre petit film amateur et qu’en effet cette dernière, m’avait appelée il y a deux jours pour me dire qu’elle passerait dans l’après-midi rendre visite à Emma afin de le lui apporter. Je lui donne un petit baiser sur la joue et j’enchaîne :

En deux jours, tu as dû le voir pas mal de fois coquine…

Cindy t’a appelée, m… mais que… elle est… tu sais pourquoi… fait-elle dans une tentative désespérée pour me poser une dizaine de questions en même temps.

Je fais glisser ma main lentement de son opulente poitrine à son bas-ventre, puis encore de quelques centimètres plus bas, vers sa petite culotte. Je caresse tendrement son sexe au travers de ce bout de tissu humide qui est maintenant la seule chose me séparant de son petit minou en émoi. Emma gémit imperceptiblement et sa respiration s’accélère de la même façon ; je continue de plus belle :

Oh Emma mon amour, je t’aime tellement et cela fait tellement longtemps que j’attends ce moment…

La réaction désirée ne se fait pas attendre, d’un geste sensuel et délicat, Emma écarte le tissu de sa culotte me donnant pleinement accès à son petit trésor intime.

Crois-moi maman me fait-elle d’un air décidé et résolu, tu ne regretteras pas l’attente.

Inutile de la faire attendre plus longtemps, le fruit est mûr, juteux et fin prêt à être cueilli. Ma main tremble d’excitation alors même que j’effleure la peau douce et nacrée de son sexe humide. Humide ? Non pas humide, trempé, ruisselant d’un désir interdit, tabou. Je me faufile doucement entre les lèvres de son vagin qui sont aussi pulpeuses que celles de sa bouche et de mon pouce je caresse délicatement son clitoris gonflé.

C’est fou ce que les enfants peuvent grandir sans qu’on s’en aperçoive, tu mouilles comme une vraie petite femme maintenant, lui dis-je en explorant son sexe avec la plus grande minutie.

Emma ne dit rien et se contente de gémir sous l’effet de mes caresses. Je passe mes doigts à ma bouche, les lèche et en savoure le goût de la mouille de ma fille puis, je redescends au niveau de sa chatte et la masturbe cette fois-ci carrément, avec entrain. Je veux qu’elle jouisse, qu’elle jouisse grâce à moi.

Tu te masturbes souvent ma puce ? lui demandai-je subitement.

Oui tr… anhhhh mon dieuuuu… très souvent me répond-telle dans un râle de plaisir, mais… hmmmm… c’est meilleur lorsque c’est toi qui le fais, ne… ne t’arrêtes surtout pas maman !

M’arrêter ? Je n’y pense même pas une seule petite seconde, à cet instant précis, la sensation de son sexe entre mes doigts vaut tout l’or du monde, ça et ses gémissements d’extase bien sûr. Très vite je me retire de son entrejambe pour la seconde fois, mais c’est à ses lèvres que je porte maintenant ma main et c’est dans sa bouche que j’enfonce mes doigts recouverts de son plaisir. Elle lèche avidement et en savourant, je le vois bien, le délicieux nectar de son con juteux. Ma main retourne entre ses cuisses et nos bouches se joignent encore une fois avec fougue et passion et ce, sans un seul mot.

Il n’y a plus besoin de dire quoi que ce soit, je me rends compte que nous sommes en totale osmose, une osmose sexuelle. Je sais qu’elle comblera les plus inavouables, les plus délurés de tous mes fantasmes et elle sait que je lui renverrai la politesse. Une longue nuit d’amour, de sexe torride et de jouissance sans fin nous attend. Soudain son corps est pris de tremblement comme dans mes rêves, sauf que cette fois ce n’est pas un rêve. Bien que ma langue soit encore dans sa bouche, elle se tortille et gigote dans tous les sens, elle jouit. Ma fille chérie est en train de jouir pendant que nous nous embrassons, le tableau idéal. J’attends quelques secondes que son orgasme passe puis, je lui dis :

Maintenant, maman va te mettre un doigt ma chérie, afin de vérifier quelque chose.

Tout ce que tu voudras maman, tout ce qu… ANHHHHHH OUIIIIII !

Elle crie et jouit encore une fois instantanément lorsque j’enfonce lentement, mais sûrement mon majeur à l’intérieur de son minou parfaitement lubrifié. Lubrifié mais, pourtant tellement étroit que j’en viens à douter durant l’espace d’un instant de pouvoir y glisser mon doigt. Avec une chatte comme celle-là, elle fera le bonheur d’un homme un jour et lorsque je le lui dis, elle me répond que je suis la seule de qui elle veut faire le bonheur. La réponse que j’attendais, elle est définitivement toute à moi…

Plus loin je fais pénétrer mon majeur dans son sexe, plus fort Emma jouit et enfin je finis par atteindre son hymen, toujours intact. Elle est donc bel et bien encore vierge. Le contraire eu été étonnant, mais cette confirmation fait monter mon excitation d’au moins 10 crans ! Une fois de plus ma langue envahit sa bouche dans un fougueux baiser tandis que je doigte tout aussi fougueusement sa jeune chatte.

J’adore lécher ton jus de minou sur mes doigts, finis-je par dire en me retirant de sa bouche, mais, il est temps pour moi de m’abreuver directement à la source…

Oh maman… oh oui maman, vas-y… me répond-elle dans un souffle.

Voilà, pour une fois j’ai voulue faire quelque chose d’un peu moins long, d’un peu moins indigeste. J’ai donc coupé ce chapitre en deux parties plus courtes et (j’espère) moins rebutantes à lire.

La suite dans quelques jours !!

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