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Mon fils, cet étalon. – Chapitre 18




Elle est belle la petite Amandine qui nous claque un bisou du bout des lèvres. Elle est habillée sobrement, bien qu’un rien sexy. Elle porte un minishort en jean noir dévoilant une bonne partie de ses fesses musclées et un tee-shirt savamment noué au-dessus de son nombril, laissant de la lecture pour ses compagnes. Oui, elle est lesbienne, ce n’est pas par erreur qu’elle nous a donné rendez-vous dans ce bar au nom sans ambiguïté.

Je ne pensais pas que vous viendriez.

Une telle invitation ne se refuse pas, lui répond Coralie.

Elle me sourit, je fonds, Coralie jubile. Elle nous apprend qu’elle est âgée de 25 ans, célibataire et sans attache. Elle nous a tout de suite appréciées, cela lui change des midinettes qui se bousculent dans le salon, juste pour être à la mode. Elle a surtout apprécié le côté directif de Coralie et s’en est beaucoup amusée. Quant à moi, elle aime mon corps. Elle ne saurait dire pourquoi, je l’attire.

Et moi ? lui demande Coco.

Je ne peux juger, c’est elle que j’ai vue nue, mais je crois que je vais me régaler, et puis on a toute la soirée pour comparer, non ?

On commande trois cocktails, c’est moi qui règle. Elle nous espionne de ses grands yeux verts. Elle est coupée court, très court. Sa poitrine, eh oui j’ai des yeux moi aussi, m’a l’air d’être d’une petite taille respectable, je dirai un 90, bonnet B. Ses hanches sont fines et marquées par un cul de négresse. Ses cuisses sont musclées, bronzées et terriblement attirantes. Je peux ainsi la détailler, car je me suis calée au fond de la banquette à côté d’elle.

Une main s’égare sur ma cuisse et me caresse. Coco me chauffe. Amandine sourit, un sourire qui me fait craquer. J’avance mon visage vers le sien et l’embrasse tendrement au début, bestialement ensuite. Elle joue avec son piercing lingual, elle pose une main sur ma cuisse libre. Pour ne pas faire de jalouse, je tire la tête de ma Maîtresse pour qu’elle nous rejoigne. Nos langues, sorties de leur cavité, jouent une danse sensuelle.

On entre, vous m’excitez toutes les deux… dit Amandine.

On se lève toutes les trois et on traverse le bar sous les regards amusés et excités des clientes. À ce moment-là, je confirme que l’on est bien dans un bar homosexuel. On descend un escalier métallique étroit en colimaçon. Amandine ouvre une grande porte en fer et entre dans l’antre du sexe saphique. À droite se dresse un bar moderne. À gauche une piste de danse où se trémoussent de jeunes jouvencelles, mélangées à des fifilles à papa ainsi qu’à des ados à la limite de l’âge légal. Les styles sont hétéroclites. Des seins sont déjà en train d’être malaxés ou sucés. Coco et moi devons être les plus vieilles. Super, me dis-je. Je suis tombée dans le temple des plaisirs saphique et j’en mouille. Amandine nous abandonne un cours instant, Coralie en profite pour nous commander trois shooters.

Ça te plaît, me demande ma Maîtresse, moi je suis aux anges.

MOUAIS, ça manque de bites et d’actions.

On regarde toutes ces pucelles en train de se trémousser. On part les rejoindre. Elles sont comme des abeilles sur un pot de miel, elles s’agglutinent autour de nous, les mains plus que baladeuses. Je m’échappe de justesse à un viol et rejoins Amandine qui s’est accoudée au bar.

On laisse ta copine s’amuser un peu, après on passe à l’action.

Euh, l’action ?

Oui, je sais qui dirige votre couple et j’aime ça.

Sur cet entre-fait, Coco a réussi à s’extirper des mains aguicheuses. Elle a les cheveux ébouriffés. Amandine boit son shooter, on l’imite. Elle nous entraîne dans un véritable dédale de couloirs et de salles plus ou moins clean. Elle entre la première dans une alcôve et ferme le rideau. Elle saute sur moi et me fait basculer sur un grand matelas. Elle fait signe à Coralie de venir nous rejoindre, ce qu’elle s’empresse de faire. Elle ôte ma robe et je deviens le jouet sexuel de deux furies qui se déshabillent. La jeune est la plus entreprenante. Elle me prend les tétons entre ses doigts, en faisant attention à mes bijoux. Elle m’embrasse divinement bien, sa salive doucereuse envahit ma bouche. Coralie n’est pas en reste, elle me dévore le coquillage avec douceur. Elle aussi fait attention.

La jeunette se met à califourchon sur mon visage et me force à la lécher. Forcer est un bien grand mot, je me délecte du jus qui coule de la fontaine. Je ne suis plus qu’une boule de feu, un tison rougit par les assauts de leur bouche, de leur chatte. Je me repais du jus d’Amandine pendant que Coco se met en ciseau sur ma chatte. Elles s’embrassent, laissant couler leur salive sur mes seins. C’est bestial. Je suis tournée, retournée. Je suis une poupée de chiffon que l’on se dispute. Je suce un clitoris annelé, c’est Amandine. Coralie me mange les seins, je crains pour mes bijoux, je m’en fous, c’est trop bon.

Elles me mettent à quatre pattes et je sens une verge me pénétrer. Je regarde derrière moi et j’aperçois qu’un trans a rejoint notre trio. Il, elle se démène et m’envoie vers des contrées jusqu’à lors inconnues. Elle est noire et possède un beau phallus tout lisse. Il, elle me lime la chatte comme un métronome. Coralie me lèche l’anus et y rentre trois doigts. Amandine me demande alors :

Heureuse, t’as des chattes pour te régaler et une bonne queue pour te défoncer.

Je n’ai pas le temps de lui répondre, elle m’embrasse en entrant dans ma bouche sa langue le plus loin possible. Je sens toujours Coralie me doigter. La jolie black s’est arrêtée. Je sens son rostre venir remplacer les doigts de ma copine. Lentement, elle pousse et son pubis est bientôt au contact de mes fesses. Son sac à couilles est immense. Il pend avec arrogance entre ses cuisses. Il commence à me ramoner et ses bourses viennent, à chaque fois, buter sur mon clito fraîchement martyrisé par la bouche de Coco. Je décolle et m’effondre sur les genoux d’Amandine qui embrasse la transsexuelle. Elle y va fort, elle transpire tellement que ça coule entre mes fesses. Coco s’est allongée et s’occupe de mes seins. Je suis au paradis. Je me saisis des couilles de la black, elles sont énormes et lourdes. Je vais être inondée. Il, elle poursuit son travail, se sape puis change de cible, elle retourne dans mon minou. Elle recommence à me limer fort, presque brutalement, mais j’adore, j’aime ça.

Soudain, je sens son gourdin palpiter et elle m’envoie une copieuse dose de foutre au fond de mon vagin. J’en mords la cuisse d’Amandine. Après plusieurs giclées que je n’ai pas comptées, elle se retire dans un bruit de succion qui alerte Coralie. Elle se jette sur mon con et me le lave, aidé par la petite Amandine.

Sans un mot, la belle trans est partie comme elle est venue. Je ne saurais son nom que par Amandine, Fabricia.

On est toutes les trois allongées au milieu du matelas en regardant le plafond.

Pouf, vous êtes des sacrées furies, dit Amandine, de sacrées vicelardes. Il va falloir que j’y aille, demain matin, boulot.

On se lève toutes les trois et on part à la douche qui est, ma foi, la bienvenue. Ma jupe et mon chemisier sont dans un triste état. Je me rhabille et Amandine nous propose un dernier verre, ce que nous acceptons.

On a rejoint la voiture de Coco qui sourit bêtement. Elle est contente de sa soirée, moi aussi. On se couche rapidement pour retrouver une copine à nous, Nyx, la maman de Morphée.

Le lendemain, Coco me fait un petit bisou et me dit de me préparer vite fait, on va faire les boutiques. Elle est déjà toute pomponnée. Après la douche, je la rejoins sur la terrasse où m’attend mon café. Je lui souris.

Ta carte bleue est gonflée à bloc, j’espère ?

Oui, oui… Depuis que je suis chouchoutée par mon fils et toi, je ne l’ai plus utilisée.

Bon, tu t’habilles vite fait et je t’emmène dans un endroit qui devrait te plaire.

Coco est habillée très sexy, sans être vulgaire. Elle a mis un short en jean très court qui s’arrête bien avant la limite de la décence et d’un tee-shirt sans manches qu’elle a noué au-dessus du nombril. Pour moi, elle m’a préparé une robe d’été très légère et confortable. Bien évidemment, je suis nue dessous, je suis les conseils d’Amandine. On devine mes bijoux au travers du fin tissu.

On s’arrête dans les rues commerçantes de la vieille ville d’Aix-en-Provence. On fait la dizaine de mètres qui nous séparent d’une devanture au nom de "Adam et Eve". J’y entre la première, poussée par les fesses. On est accueilli par une dame de nos âges.

Bonjour, que puis-je pour vous ? demande-t-elle à Coralie.

Elle a vu mon collier et sourit et m’ignore.

C’est pour mon amie, elle a besoin de trois tenues très aguicheuses, si vous voyez ce que je veux dire.

Tout à fait. Elle fait un bon 42 ?

Oui, elle a les hanches larges.

Venez, suivez-moi.

Coco inspecte les robes que lui sort la vendeuse. Un rouge, une blanche à paillettes et une noire qui me semble être un fourreau. Coralie de me mettre à poil et de les essayer. Je m’exécute, me retrouvant nue devant une parfaite inconnue qui ne loupe rien à mon effeuillage.

Effectivement, elle a les hanches larges et son postérieur est bien rebondi. Votre soumise ?

Ma muse et amante.

Je vois, vous avez très bon goût.

Hum, hum…

Elles se retournent et me voient habillée de la robe rouge. Elles sont contentes, elle me va à la perfection. Le décolleté est profond, mes seins sont maintenus haut grâce à un push-up intégré et on devine mes bijoux. Le dos nu est moins sage, il me tombe jusqu’à la raie de mes fesses.

La seconde, la blanche est très, très sexe. Les seins sont laissés libres sous un décolleté sage, comparé à la première. Le dos nu est plus sage également, mais c’est la fente sur le côté droit. Elle remonte à quelques centimètres de ma hanche, découvrant ma cuisse à chaque pas et l’on devine le galbe de ma fesse. Outrageusement provocante. Coco me sourit en se pinçant les lèvres.

La troisième est effectivement une robe-fourreau. Les côtés dévoilent le début de la rondeur de ma poitrine, le haut est décolleté jusqu’au milieu de celle-ci. Le dos nu, plus provocant que la première est un appel aux caresses, ou plus. Elle me moule les cuisses, je ne peux faire que des petits pas.

On vous prend les trois…

Très, très bon choix. Je crois que la blanche lui va à ravir, la rouge aussi… Et la noire, ohlala, la noire.

Je vois que vous avez une collection de plugs anaux ?

Oui, mais permettez-moi de lui offrir.

On s’avance vers une vitrine ou trône effectivement toute une série de bijoux, tous se terminent par un strass de couleur différente. Coco choisit le plus gros, le contraire m’aurait étonné. Je suis toujours nue, Coralie ne mayant pas dit de me rhabiller. Elle me met face au comptoir et après avoir enduit le bijou de gel, que lui a tendu la vendeuse, elle me l’insère entre les fesses. Drôle de sensation, c’est la première fois que l’on m’offre un tel objet.

Après m’être revêtue et réglé, 250 euros tout de même, on repart vers la voiture de Coralie. Elle m’ouvre le côté passager.

Tu vas relever ta jupe et poser ton joli gros cul directement sur le siège, me dit-elle en mettant une serviette de plage sur l’assise. Je suis ses ordres et je remarque que les passants n’ont d’yeux que pour le spectacle que l’on offre. Je m’en branle.

Elle monte et me relève ma jupe, laissant ma chatte ornée de ses bijoux, à l’air libre.

Le retour se fait par les départementales de la région. Mon bijou anal se rappelle à mon bon souvenir. Coco fait exprès de prendre tous les trous qui se trouvent sur sa voie. Elle est morte de rire.

Mon calvaire s’arrête enfin quand on arrive chez elle. Les petits nous ont laissé un mot, ils sont à la plage. Je me mets dans la seule tenue autorisée dans la ville, nue. Coco me suit et nous verse deux Martine rouge bien frais, accompagnés d’une rondelle de citron.

Alors, contente de tes achats ?

Oui, lui répondis-je en me tortillant, j’ai eu peur que tu me demandes d’en porter une…

Lidée m’a effleurée.

Elle est excitée, ses pointes bandent.

Tu as eu Pierrot ?

Oui, hier après notre folle soirée…

Et ?

Il est d’accord pour les piercings à condition que j’en fasse un au nombril.

Tu y vas quand ?

Cet après-midi. Je nous ai pris rendez-vous avec Amandine.

Petite vicieuse…

Ta petite vicieuse…

Une salade et une petite sieste bien méritée par cette chaleur plus tard, on part par les chemins de traverse jusqu’à la boutique où officie Amandine.

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