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Abusée…et consentante – Chapitre 1




Seule, vendredi dernier, je me suis rendue au Manoir (59), comme souvent je voulais me changer les idées, le lendemain après-midi, je prenais la route pour aller chez mon ami. Comme chaque fois, je m’étais habillée très féminine d’autant plus que le temps actuellement permets encore de porter les affaires d’été. J’avais donc enfilé cette robe mi-mollet, couleur marron, sans soutien-gorge et un string assorti. Je me suis installée au bord de la piste comme je le fais chaque fois et très rapidement je suis partie me déhancher sur les musiques des années 80. Après cette première série, je m’apprêtais à passer commande d’un jus de fruit lorsque l’on me tendit une coupe de champagne. L’ homme qui me l’offrait n’était autre que Patrick, un gars dont j’avais fait la connaissance ici même quelques semaines plus-tôts. Il me salua en me faisant la bise tout en me rappelant que la fois passée il avait été déçu que je sois partie sans même qu’il ai eu le temps de me donner son téléphone. Il leva son verre et me glissa à l’oreille : cette fois-ci tu n’es pas sur le départ, je vais pouvoir profiter de toi. En effet, cette fois-là il était presque 2 h du matin lorsqu’ il m’avait abordé. Après les conversations classiques et l’absorption de son verre, il m’invita sur une série de rocks, dans la foulée sur des marches et autres danses qui se font en couple. Lorsque nous avons rejoint la table ma coupe était vide, il m’en proposa une autre, j’ai refusé ne voulant abuser de sa gentillesse. C’est là qu’il me dit : écoute, il est vrai que le champagne n’est pas donné, mais j’ai une offre à te faire, j’ai dans ma voiture une petite bouteille au frais, acceptes tu que nous y allions sans arrière pensés aucune. Après réflexions et précisé qu’ il n’avait rien à attendre de ma part, j’ai accepté son invitation. Nous nous sommes rendus à sa voiture, belle et grande voiture je dois dire, nous nous sommes installés sur les sièges arrières. Il a sorti une glacière, la bouteille et deux vraies coupes pas… des flûtes. Il a rempli ces dernières et nous avons pris un peu de temps pour les boire, ça faisait du bien surtout lorsque l’ on aime cela. Nous avons parlé de nos situations respectives, lui de son célibat entier, moi de mon copain et des libertés que je m’ octrois comme aujourd’hui. Une demi-heure plus tard nous étions à nouveau sur la piste, il avait été très gentleman, à peine quelques allusions coquines et un bisou furtif sur la joue. Les danses terminés, il faisait toujours aussi soif et à nouveau il me proposa une coupe dans sa voiture. Mais, combien de bouteilles as tu ? juste une deuxième qu’il me répondit. J’ai accepté, d’autant qu’il avait su se tenir. Nous voilà donc à nouveau à l’arrière de son auto, il ouvrit cette deuxième bouteille, sauf que celle-ci était d’une capacité plus grande. Je lui en fit la remarque et il me dit: pas grave nous avons la nuit pour la finir. J’avais très chaud et j’ai bu ma coupe rapidement, il m’en resservit une autre avant même que je ne puisse refuser. Je ressentais les premiers effets du champagne, l’alcool à sur moi comme sur beaucoup de personnes des vertus aphrodisiaques. Nous étions encore à parler de tout et de rien, son bras avait glissé du dossier sur mes épaules, la sagesse de tout à l’ heure semblait avoir disparu. Nous parlions plus coquins. Quand il approcha sa tête de la mienne j’ai levé mon verre pour éviter le bisou qui cette fois n’était pas destiné à ma joue. Il se recula, j’ en bu une gorgée puis une autre et ma coupe fut vide. Cette fois, avec trois coupes bus, mes capacités à me défendre n’étaient plus de mise. Il chercha à nouveau à vouloir m’embrasser, j’avais de la peine à le repousser. Il finit par poser ses lèvres sur les miennes et je n’ai pas cherché à me dégager, considérant qu’ il n’y avait rien de répréhensible à lui rendre son baiser. Son bras enserra mon cou, sa langue se fraya un passage entre mes lèvres et je répondis à son baiser avec fougue. Il n’en finissait plus de m’embrasser et sa main libre vint se poser sur ma poitrine. Il cessa son étreinte tout en gardant la main sur mon sein. Un silence se fit dans l’auto, il me le caressait et en apprécier le volume (je fais un 90B presque C), de son autre main il me caressait la nuque sous mes cheveux blonds, puis il entama un exposé sur les seins et m’expliqua que les coupes avaient été faites sur la galbe de je ne sais plus quelle femme d’ une certaine époque. Du coup, il me proposa de voir si celles-ci pouvaient épouser les miens. Avant même que je ne lui donne ma réponse, il avait saisi la bretelle de ma robe et la fit glisser le long de mon bras droit, lui dévoilant l’objet de sa convoitise. Le champagne, l’endroit et les circonstances faisaient que mes tétons étaient excités et pointaient fièrements, il y posa sa bouche et me suça le sein avec une grande délicatesse, je me sentais fondre de partout et surtout je ressentais une humidité dans mon ventre. Il éveillait en moi le désir, je savais que j’aurai du mal à repousser ses avances. Il se dégagea et prenant la coupe la porta à mon sein, il en débordait généreusement, il s’amusa puis baissa la seconde bretelle libérant l’autre sein et fit de même pour un résultat similaire. J’étais à ses cotés la poitrine hors de la robe. Sa main continuait à glisser sur mes rondeurs, il posa l’ autre sur mon genou encore caché par le bas de ma robe, il y imprima un mouvement dont le but était de relever celle-ci, je me sentais pas en mesure de stopper son mouvement et petit à petit mon genou puis la base de ma cuisse se découvrit. Il continua sa manoeuvre jusqu’ a ce que mes cuisses soient entièrement visibles à ses yeux, il revint avec sa main vers mon genou, la glissa entre les deux articulations puis remonta m’obligeant à m’ ouvrir. Je n’opposais aucune résistance, il le faisait avec tant de douceur que je ne cherchais aucunement à me soustraire à ce traitement. Il parvint à me faire écarter les cuisses le plus largement que cela puisse se faire dans l’étroitesse du véhicule. Quand sa main se posa sur le renflement de mon pubis il me chuchota à l’oreille : tu vois que cela ne sert à rien de faire ta mijaurée, ton corps trahi tes envies. En effet, je mouillais abondamment, la finesse du tissu trahissait mes désirs. Ses doigts glissèrent le long de mon sexe, ils effleuraient plus qu’ils ne touchaient, cela augmentait l’humidité de mon nid d’amour et le fond de mon string s’imbibait de ce jus, il s’en apercevait mais ne disait mots, il explorait les contours de mon sexe, je ne cherchais pas à me dérober à sa caresse, au contraire, je venais au-devant de celle-ci et l’encourageais par des petits mouvements du bassin. Ma respiration se modifiait, le plaisir prenait corps en moi. Ses doigts n’ arrêtaient pas de coulisser sur mes lèvres qui malgré mon string s’ouvraient à l’intrus. Il accentua la pression et bientôt je sentis son index s’ introduire dans mon puits d’amour, il insista d’avantage, le frottement du tissu sur mon clitoris et la présence de ce doigt m’emportèrent dans une première jouissance brève et sonore. Il retira son index et me regarda avec un sourire plein de satisfaction. Il avait gagné et me proposa de l’accompagner chez lui. Le temps de récupérer mon vestiaire et nous voilà en route. J’ étais à ses cotés, ma tête sur son épaule. Retrousse ta robe, je m’ exécute et la remonte sur mes cuisses, plus haut, ouvre toi, sa main se repose sur mon genou et remonte vers mon sexe. Je suis totalement offerte, il caresse ma chatte par dessus mon string tout en conduisant. Nous sommes sur l’autoroute et en doublant un camion il me demande d’écarter ma culotte et de bien ouvrir mes cuisses, il allume le plafonnier et réduit sa vitesse à la hauteur de la cabine. Le chauffeur de sa position haute profite du spectacle que je lui offre et par quelques coups de Klaxon nous remercie du cadeau qui lui est donné. Tout cela m’excite d’avantage et je ruisselle de plus belle. Nous arrivons chez lui, il nous a fallu 20 mn pour faire le trajet, il habite un petit pavillon, tout semble tranquille ici, il est vrai qu’il est deux heures du matin. Son intérieur est feutré, une douce odeur de vanille parfume le salon, il me propose une nouvelle coupe que je refuse (il me faudra rentrer chez moi), il s’assoie dans un fauteuil et me demande de rester debout, de retirer ma robe, j’exécute ses ordres et rapidement, je suis face à lui, en petite tenue. Il ouvre son pantalon en extrait son sexe en érection, j’ai compris ce qu’il souhaite et me mettant à genoux entre ses cuisses je me saisis de sa verge et l’ approche mes lèvres. Je commence par lui prodiguer quelques coups de langue sur son gland violacé par le désir, puis embouche sa queue jusqu’au plus profond de ma gorge. Il râle de bonheur et pour ma part je prends beaucoup de plaisir à le lécher, je fais aller et venir son membre, fais tournoyer ma langue autour de son prépuce, je sent sa verge qui prends d’avantage de volume, je sais que si j’ insiste de la sorte il va jouir dans ma bouche, mais ça je ne le veux pas, ce que je veux c’est sentir son sperme exploser dans mon vagin, j’ai envie de sa queue au fond de mes entrailles, qu’il me défonce la chatte. Il a compris mes intentions et très naturellement il se retire de ma bouche, se relève, me prends par la main et me conduis dans sa chambre. Il se déshabille, son corps est musclé, imberbe (ça change de mon ami), je me suis allongée, il s’approche et me retire mon string, son sexe est toujours en érection, il m’ ouvre les cuisses, se délecte de voir ma chatte entièrement rasée, seul une touffe de poils blonds tapisse le dessus de mon nid d’ amour, c’est mon ami qui assure l’entretien de ce jardin en principe secret. Il se penche et sa bouche vient goûter le jus d’ amour qui s’en échappe. Sa langue glisse le long de ma fente, s’attarde sur mon clitoris lui-même en pleine érection, chaque coup de langue dessus m’envoie des décharges électriques jusqu’au cerveau, je ne peux retenir mon plaisir et je crie mon trop-plein de plaisir. De ses mains libres il me caresse les seins, mes tétons sont érigés, douloureux, il me les pincent violemment. Puis sa langue remonte sur mon ventre, continue son ascension sur ma poitrine, il embouche un sein, me mords, je lui demande d’être doux, je ne souhaites pas avoir des traces de morsure où une poitrine violacée par son appétit. Dans son mouvement, je sent sa verge bandée le long de mes cuisses, elle se rapproche de ma chatte, instinctivement j’ouvre mes cuisses, son gland vient buter dessus, mes lèvres débordantes de sucs s’ ouvrent à l’assaillant, il va m’ investir et d’un coup sec il propulse sa verge au fond de mes entrailles, je ne peux me retenir de pousser un cri de satisfaction. Nos bouches sont à nouveau soudées et nos langues s’ entrelacent, il va et viens en moi, chaque coup de rein irradie mon vagin, mes muscles vaginaux massent cette colonne de chair, ses gestes sont de plus en plus violents, puis c’est l’apothéose, son sexe me parait énorme, les salves de son sperme jaillissent au fond de mon ventre et je me libère en jouissant avec lui. Il ralenti ses mouvements, quelques jets de sperme fusent encore dans mon nid d’ amour, je suis au nirvana de l’extase, je ne regrette pas de m’ être laisser aller, j’ ai une courte pensée pour mon ami qui retombe tout comme mon amant tué par le plaisir qu’il vient d’avoir, il est en moi emprisonné dans mon vagin, toutefois, je le sent perdre de sa vigueur, quelques spasmes l’agitent encore. Deux minutes plus-tard il n’ est plus en moi. Un liquide blanchâtre s’extrait de mon intimité, glissant le long de ma raie fessière. Je réalise que je viens de cocufier mon ami…une fois de plus. Il a raison, lorsqu’ une femme sort en boite il semble peu probable que rien ne se passe. Il est trois heures trente, je remets ma robe et lui demande de me raccompagner à ma voiture. Nous nous quittons, j’ai son portable, il a le mien, fin du premier acte, je sais qu’ il y en aura un autre dès que j’ aurai un vendredi de libre.

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