Il y a maintenant quelques années que je travaille dans une entreprise de vente et d’installation de cuisine, dans la partie commerciale de la boite. Je passe mon temps au téléphone à essayer de convaincre des ménagères que nos produits sont les meilleurs du marché et tout le bla-bla habituel du métier quand mon patron me propose un autre poste.
— Denis, je vois que tu fais de ton mieux et que d’ailleurs ça marche plutôt pas mal, mais qu’est-ce que tu dirais d’aller sur le terrain au lieu de passer ton temps au téléphone, m’entretient mon patron, un type de la vieille école qui a monté sa boite et qui pense que le contact direct avec les clients est ce qu’il y a de mieux.
— Oui, je veux bien, il n’y a pas de problème !
— Bon tu vas commencer par faire équipe avec Paul, il va t’apprendre les ficelles du métier !
— D’accord acquiescé-je, mais j’ai l’impression qu’il ne m’apprécie pas trop !
— Il est un peu spécial mais sur le terrain je n’ai pas de meilleur vendeur, et puis si ça va pas tu n’auras qu’à venir me voir !
— D’accord et merci ! dis-je en sortant du bureau.
Bon, je vais me retrouver sur la route avec Paul ! Paul le commercial dans toute sa splendeur : hâbleur, macho, le meilleur de tous en toutes circonstances, capable de vendre de la glace à un esquimau ! La quarantaine bien tassée, costume noir et chemise blanche, dès qu’il arrive à la boite tout le monde le sait, on l’entend de loin ! Mais bon il faut savoir faire contre mauvaise fortune bon cur !
C’est lui qui vient me voir le lendemain !
— Salut petit, il parait qu’on va faire équipe ! Pas de problème pour moi ! je vais t’apprendre à travailler, ça va te changer du téléphone ! Je t’attends en bas, on part en rendez-vous !
— Bonjour, je m’appelle Denis et j’arrive, content de faire équipe avec vous
— Oui heu Denis on se tutoie pour commencer et on y va !
Nous voilà partis dans la Mégane commerciale de Paul.
— On va où ? dis-je
— Dans petite ville pas très loin, un pavillon, un couple a besoin qu’on prenne les mesures de leur cuisine pour l’usine, après ils n’auront plus qu’à signer, ils sont déjà d’accord sur le principe et le prix ! Du tout cuit ! me répond Paul
— Vous, heu … tu les as déjà rencontrés ?
— Oui, tu vas voir, ils sont bien et elle. Elle est canon en plus c’est elle qui porte la culotte, si tu vois ce que je veux dire !
— Oui je vois !
— Tu es marié ?
— Heu oui, pourquoi ?
— Qui est ce qui commande à la maison ?
— Ben heu tous les deux, on ne se pose pas la question comme ça !
— Et tu la combles au moins ?
— La comble ?
— Ben oui au pieu quoi !
N’ayant pas envie de répondre je lance oui dubitatif pour couper court à cette conversation qui ne me plait guère.
Heureusement on arrive chez nos clients. Paul sonne et me dit de le laisser faire et d’écouter le « maitre des ventes ».
La femme qui nous ouvre à la cinquantaine pimpante, grande brune aux formes avantageuse, elle nous ouvre la porte et nous invite à entrer.
— Bonjour, nous dit-elle, nous vous attendions !
— Mais nous n’aurions raté ce rendez-vous avec vous pour rien au monde ! renchérit Paul, je suis venu avec un collègue pour les mesures.
— C’est gentil, mon mari est dans la cuisine.
— Nous vous suivons, dit Paul en matant ostensiblement le postérieur de la propriétaire. C’est vrai qu’elle à un cul rebondi qui ne peut qu’attirer les regards.
Le mari nous accueille dans la cuisine, prêt à prendre les mesures.
— Je vous sers quelque chose ? s’enquit la femme
— Volontiers, répond Paul, je vais vous aider pendant que mon collègue va commencer à prendre les mesures avec votre mari.
Je sors mes dossiers, mètre et crayons que je pose sur la table pendant que Paul, le plateau de rafraichissement à la main, nous dit :
— Je vais poser cela dans le salon vu que mon collègue prend toute la place dans votre future ancienne cuisine !
— Vous avez raison ! dit la femme en le suivant.
Me laissant avec le mari, je prends les mesures nécessaires aux cuisinistes, enfin juste pour des ajustements, les mesures et les plans ayant déjà étaient faits ! Je me demande un moment pourquoi on est venu reprendre des mesures !
Enfin juste un moment, quand tournant la tête vers le salon, je vois Paul passer la main sur la croupe de la propriétaire. Penchée en avant sur la table de salon, elle se laisse caresser sans vergogne.
Finissant quelques minutes plus tard, je lance un « c’est bon ! On a fini » assez fort pour que Paul nous entende. Le mari et moi nous dirigeons au salon où sages comme des images sa femme et mon partenaire nous attendent un verre à la main.
Après la signature de quelques papiers nécessaires au dossier, nous remontons en voiture.
— Ça va ? me dit Paul
— Oui pourquoi ?
— T’as vu comme elle m’a chauffé, la salope ?
— Oui, un peu
— Un peu ? Non mais la prochaine fois que j’y vais, je la baise dans sa cuisine, la chienne, de toute façon elles sont toutes comme ça ! Pas la tienne ?
— Heu non
— Mais si ! Toutes je te dis ! Bon ben en tout cas moi il faut que je m’arrête, j’en peux plus ! fait-il en stoppant la voiture à l’entrée d’un petit bois
— Qu’est-ce qu’on fait là ? fais-je
— Toi je sais pas mais moi il faut que je me branle !
Sur ces paroles, Paul ouvre sa braguette et sort sa queue devant moi ! Visiblement elle l’a bien excitée, il bande comme un cerf. Une belle bite longue et épaisse qu’il tient dans sa main, commençant à se masturber
— Ah c’est bon, tu devrais faire comme moi, ça détend, dit-il
— Non en plus je suis
— Quoi ? Tu es marié ? Et alors ? Tu te branles jamais ? Ta femme te suffit peut-être ? T’as pas reluqué le cul de l’autre chienne tout à l’heure ? Toutes des putes je te dis !
Assis à côté de lui, je ne peux faire autrement que de le voir s’activer sur sa hampe. J’ai vu des queues auparavant, il m’est même arrivé de sucer un copain ou deux mais depuis que je suis marié je n’ai pas eu d’autres relations, ni avec des types ni avec des femmes !
Il râle, sa bite humide devient luisante, il va jouir quand il me dit :
— Passe-moi un kleenex ! Je vais en foutre partout !
Sans réfléchir j’ouvre la boite à gants, prends un mouchoir en papier et le pose sur la bite de mon partenaire. Lâchant son chibre, il me prend la main et referme mes doigts dessus.
Sa queue est raide et chaude, mes doigts font juste le tour de cette barre humide. Je la laisse un instant.
— Finis-moi ! Jétais sûr qu’avec ta petite gueule d’ange, t’étais une petite pute homo ! Allez branle-moi salope !
Ne répondant pas, je commence des allers-retours sur la bite de mon collègue, il est ravi !
— Caresse-moi les couilles mon beau, tu vas me faire juter !
J’obéis, je caresse les boules dures, je les fais rouler dans ma main pendant que mon autre main branle Paul. Il jouit dans un râle de bonheur, j’en ai jusque sur l’avant-bras.
— Bon maintenant nettoie-moi tout ça ma salope ! ordonne-t-il
La boite de mouchoir en papier y passe.
— J’ai bien fait de te prendre avec moi, je pense qu’on va bien s’amuser ensemble.
Quand je réalise qu’il m’a piégé, il est trop tard En rentrant au bureau, quand mon patron me demande comment s’est passée ma journée, je lui réponds que tout s’est bien déroulé. Paul à ma suite lui dit que j’ai du potentiel et que j’ai bien débuté.
Mon employeur semble content en lançant un « à demain » prometteur !