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Alicia et son papa – Chapitre 17




Le lendemain, je dus rester en danseuse sur ma bicyclette, incapable que j’étais de poser les fesses sur la selle. Il faut dire que, juste avant mon départ, papa m’avait sodomisée dans la cuisine, et il n’y était pas allé doucement. Pliée en avant, le torse écrasé sur la table, je l’avais reçu en grimaçant, car mes muqueuses étaient irritées et douloureuses après les excès de la veille. Pourtant j’avais passé de l’onguent et massé doucement la zone sensible.

En plus, mes fesses présentaient de petites lésions dues à la brutalité de Samuel, ce qui n’arrangeait pas ma position pour pédaler. Je travaillais dans la même tenue que la veille, l’espèce de tunique taillée dans un sac qui menaçait de devenir mon uniforme pour la semaine. Je suçai Monsieur Rodriguez dès mon arrivée, puis Marine prit le relais. Je passai la matinée à nettoyer les poubelles, de grands conteneurs de plastique à l’odeur épouvantable. Pendant la pause de midi, je me retrouvai à sucer les huit collègues mâles, qui jusqu’alors suivaient ma déchéance de loin.

La bouche pâteuse de tout le sperme reçu, je tombai ensuite dans les pattes des inséparables vigiles qui me sodomisèrent à tour de rôle pendant plus d’une heure. Puis juste avant de partir, Marine m’appela :

Dis donc, viens t’occuper de ma petite chatte. Allons dans les vestiaires. D’abord, tu vas te doucher parce que tu pues trop, ensuite tu me montreras si tu t’améliores. Monsieur Rodriguez a demandé de laisser tes fesses tranquilles, mais si tu me déçois, je trouverai bien un endroit où te punir.

Inutile de dire que je me suis appliquée. D’autant que j’aimais plonger la langue dans les replis soyeux de sa vulve charnue aux odeurs capiteuses. Attentive aux moindres frémissements des hanches et du pelvis de ma chef, je léchais aussi profondément que possible et buvais la cyprine qui ruisselait. Je la fis jouir au moins trois fois avant qu’elle m’écarte en tirant sur ma queue-de-cheval.

Assez, je n’en peux plus. Tu as bien travaillé, à croire que tu aimes ça.

Vous avez raison, Madame. J’aime votre liqueur, j’aime quand vous jouissez et que vous inondez ma bouche.

Pour un peu, je deviendrais gouine, moi ! s’étonna ma chef. Allez, file, et à demain.

Ben moi aussi, ça me plairait de me faire brouter le minou, ça a l’air sympa tout plein. Mais je préfère ne pas demander, sans compter le fait que je n’ai pas le droit de jouir. Autant éviter le sujet, alors. Marine a l’air dans de meilleures dispositions avec moi, je ne vais pas gâcher la petite gratitude qu’elle éprouve en lui demandant un cunni.

Après avoir rangé mon vélo dans le garage, je me heurtai à la porte fermée à clé. Papa était donc absent ; je pris la clé de secours dans sa cachette extérieure et entrai en appelant :

Papa ? Monsieur ? Tu es là ?

Un peu inquiète, j’allai voir dans sa chambre s’il n’était pas souffrant. Mais la maison était vide, comme je le constatai. Je trouvai alors une feuille manuscrite sur la table de cuisine :

« Ali, je pars en mission. Je ne reviendrai pas avant mardi soir, quand notre cliente quittera la France. D’ici mon retour, tu as interdiction de jouir, bien sûr. Fais du sport, tu te négliges depuis quelques jours. Vélo ou footing quotidien. Je te laisse libre de porter un plug ou non. Mais à mon retour, j’aurai les couilles bien pleines et tu vas morfler. Attends-moi en position offerte. J’ai prévenu Monsieur Rodriguez de mon absence, il sait que tu dois récupérer. Donc tu seras tranquille jusqu’au week-end. Samedi, tu as épilation puis docteur. Babacar te conduira. En échange, tu seras à lui pour la nuit. Bise. Arnaud. »

J’étais seule. Je me sentais vide tout d’un coup, fatiguée, alors qu’il n’était même pas 18 heures. Autant en profiter pour faire un footing, il faisait beau encore, mais ça n’allait pas durer, d’après les prévisions de la météo. Soquettes blanches, short en lycra rose et noir, soutien-gorge de sport et débardeur noir, je fus vite prête. Mes Asics aux pieds, je rejoignis la voie verte au petit trot pour accélérer une fois mes muscles chauds. C’est vrai que je n’avais pas couru depuis deux semaines, alors je ne forçais pas la cadence, surtout si je devais m’y mettre tous les jours pour obéir à papa.

Je courus une heure, saluant les rares joggeurs que je croisais. Il y avait surtout des promeneurs marchant par petits groupes et des cyclistes de tous âges aussi. Je passai une soirée paisible et m’endormis devant la télé. La semaine s’égrena sur les mêmes bases : journées de travail peuplées de brimades, pipes et sodomies, et de soirées solitaires, entre footing (j’avais ressorti mes écouteurs pour agrémenter ma course de musique funk-rock) et films américains. Et le samedi matin, comme prévu, Babacar se présenta à ma porte.

Tu es prête ? lança-t-il sèchement.

Tu pourrais dire bonjour, quand même, le réprimandai-je.

Je fus complètement prise au dépourvu par la baffe monumentale que le vigile m’envoya, tellement que je me retrouvai assise par terre. La joue gauche en feu, je ne pus retenir mes larmes, ce qui paradoxalement me mit en colère.

Tu vas pas bien ! Tu m’as fait mal, alors que je te demandais juste d’être poli.

Continue sur ce ton et je te cogne à coups de poings et de lattes. Debout, connasse. Je vois pas pourquoi je serais poli avec une salope qui passe son temps à sucer des bites et à se faire enculer.

Encore un peu sonnée, mais surtout humiliée par l’image qu’il me renvoyait, je me relevai sans plus chercher à retenir mes larmes. J’hésitai sur la conduite à tenir, mais restai à distance prudente.

Quel connard ce type ! Et dire que je le croyais moins dangereux qu’Hamid, il est pareil. C’est bien ma veine, je tombe sans arrêt sur des salauds sans cur. Je nai pas envie de devenir son punching-ball attitré, alors autant filer doux et faire profil bas. C’est qu’il a sa mine des mauvais jours, on dirait. Il s’est levé du pied gauche ?

D’abord, tu te fous à poil. Tu ne vas pas sortir en jogging.

Je n’avais pas trop le choix, je me déshabillai rapidement, envoyant valser chaussures et vêtements contre le mur. Puis je reculai d’un bon mètre pour que Babacar puisse entrer et fermer la porte. Un rictus déforma vilainement sa bouche alors qu’il me toisait lentement, de haut en bas puis de bas en haut pour s’arrêter sur mon visage. Je ne pus m’empêcher de reculer d’un pas.

Ne bouge plus et enlève tes mains, croise-les dans ton dos, vite. Je vais mettre les points sur les i : je commande, tu obéis. Et tu la fermes. Tes histoires de politesse, tu peux te les mettre au cul, d’accord ?

Oui, d’accord. Monsieur, ajoutai-je d’une voix atone.

Parfait, alors. Je vois que tu as une joue rouge, et pas l’autre. Je vais donc te gifler fort, cinq gifles sur la joue droite et quatre sur la gauche. Je ne veux pas que tu bouges, compris ?

Oui Monsieur, marmonnai-je, épouvantée.

Je pleurais à la fin de la série de gifles ; pourtant, le vigile avait largement retenu ses coups. Même ainsi, j’avais le goût du sang dans la bouche et le visage en feu. Il m’autorisa à passer de l’eau froide sur les joues puis il fouilla dans mes affaires et sortit une petite robe de plage dos nu que je mis sans rien dire. Chaussée d’escarpins vernis à talons hauts, je m’apprêtais à partir quand il m’arrêta :

Tu n’oublies rien ?

Je le fixai sans comprendre. Puis la lumière se fit, je m’agenouillai et ouvris grand la bouche en le regardant droit dans les yeux. Il baissa son pantalon de toile et exhiba son mandrin noueux à moitié bandé. Sa peau noire satinée se tendait peu à peu ; inconsciemment, je passai la langue sur mes lèvres, sentant déjà mes tétons pointer. Je léchai délicatement le méat d’où sourdait une grosse goutte de pré-sperme avant d’engloutir une bonne portion de la colonne de chair. Puis je pompai vigoureusement, une main encerclant la base, l’autre soupesant les grosses couilles.

Je reculai, pris mon souffle et avançai. J’inclinai un peu la tête pour trouver le bon angle, déglutis et me retrouvai le nez collé au pelvis, en apnée. Je répétai cette opération plusieurs fois, puis Babacar saisit ma nuque pour m’empêcher de reculer, sa verge agitée de soubresauts se vida directement dans ma gorge alors que je contenais de mon mieux la nausée qui menaçait. Pas question de mordre ni de vomir mon petit-déjeuner, il serait trop fier de ma déchéance. Le vigile recula, satisfait. Je me redressai en essuyant mes yeux larmoyants et le suivis jusqu’à sa voiture garée le long du trottoir. Je frissonnai en m’installant, car ma tenue était bien trop légère pour le climat automnal.

Il faut y aller, l’esthéticienne t’attend et tu m’as fait perdre une demi-heure.

Je m’abstins de protester devant son évidente mauvaise foi. La raison du plus fort est toujours la meilleure, et cetera. Je bouclai sagement ma ceinture et restai coite tout le trajet.

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