Elodie attend patiemment dans le lit, un livre en main quelle dépose sur sa table de nuit à leur arrivée. Seuls ses bras et ses épaules dépassent des draps. Lisette est surprise de la deviner nue, sans chemise de nuit.
— Quelque chose vous gêne dans cette chambre, Lisette ? demande Elodie qui se rend compte du trouble de la jeune fille.
— Non pas du tout. Excusez-moi, cest idiot de ma part.
Elle aurait du se douter que dans cette maison les toilettes de nuits sont sommaires et ne pas paraître étonnée. Elle espère quElodie ne se vexera pas. Luc ne remarque rien dans léchange entre les deux femmes et annonce triomphalement :
— Jai annoncé à Lisette que nous la gardons. Tu ny vois pas dinconvénient ?
La jeune femme sourit. La nouvelle bonne semble à son goût et il na pas été long à en obtenir satisfaction.
— Non, je suis sûre que nous allons bien nous entendre, nest-ce pas ?
— Merci beaucoup à tous les deux.
Lisette se dandine sur place. Elle ne sait que faire maintenant.
— Je ne voudrais pas abuser. Je vous laisse seuls et je retourne dans ma chambre.
— Tu ne vas pas te sauver ainsi ! Viens me dire bonsoir au moins.
Elle tape sur le drap pour linciter sapprocher. Lisette obéit, mais pas assez près au gré de la jeune femme. Elodie la tire par le bras. Le drap glisse découvrant la poitrine. La bonne bascule à moitié sur le lit et prête ses lèvres. La jeune femme guide sa main sur un sein. La paume se referme sur le mamelon. Sa jupe a glissé sous le mouvement et découvre les cuisses. Luc devine les fesses sous le tissu. Lenvie dy goûter sur-le-champ, fait renaître son désir. Il se retient. Il ne faut pas la brusquer, la laisser sacclimater. Il soulève la jupe et caresse du doigt les globes roses. Lisette apprécie le contact. Elle na plus peur que Luc la caresse devant sa patronne. Elle grimpe un genou sur le lit ce qui lui écarte les cuisses.
Elodie a peur pour la jeune fille. Elle nest sûrement pas prête à se faire enculer. Elle sait bien que Lisette passera à la casserole tôt ou tard, mais ne croit pas que ce soit une bonne idée de couronner ainsi le premier soir. Si elle nintervient pas, Luc ne se maîtrisera pas. Elle repousse Lisette.
— Attendez, je ne suis pas bien, moi. Montez sur le lit. Ce sera plus confortable.
— Confortable pourquoi ? Pour discuter ? sétonne Luc.
Lisette était bien placée pourtant.
— Cest çà, pour discuter ! Attendez.
Lisette étouffe un petit rire. Il ne sagit pas de discussion, pour sûr ! Elle na plus envie de partir, pressentant une nouvelle séance de jambes en lair. Que sa patronne soit présente ne la gêne plus ! Elodie découvre le lit, faisant valser draps et couvertures. Elle place les oreillers contre la tête de lit et sy adosse. Les plantes de pied lune contre lautre, elle expose son sexe aux regards. Cela lamuse de provoquer la bonne. Celle-ci sefforce de fixer le visage de la jeune femme mais ses yeux sont irrésistiblement attirés par les lèvres roses. Elle sinstalle à coté, jambes repliées sous la jupe.
— Donc, tu es contente de ta première journée ?
— Oui Madame.
— La maison, ses habitants, tout est à ton goût ?
— Oui, oui !
— Et bien, cest parfait.
Luc grimpe aussi sur le lit. Elodie secoue le col du chemisier de Lisette :
— Ne voulez-vous pas vous déshabiller, vous me donnez des complexes.
Luc ôte son tee-shirt.
— Cest ce que je fais, tu vois.
Il se lève, ôte pantalon et de son slip quil pose soigneusement sur une chaise et remonte sur le lit, nu comme un ver. Lisette reste bouche bée à la vue du sexe dressé. Quelle faculté de récupération ! Elle se laisse déshabiller par le couple. Elodie dégrafe le soutien-gorge. Les seins haut placés font ladmiration de Luc :
— Et dire que vous mavez caché ça !
— Quavez-vous donc fait pendant que vous étiez seuls ?
— Oh ! Pas grand chose.
Lisette sétrangle et pique un fard.
— Je vous crois ! Lisette, enlève ta jupe sil te plaît, et couche-toi à coté de moi.
Ils la couvrent de baisers et de caresses. Elle ne sait plus où elle en est. Elodie prend possession des seins pendant que Luc soccupe du bas. Il écarte les cuisses. Ses paumes remontent jusquau sexe quil ouvre des doigts. Elle noppose aucune résistance. La jeune fille tente une caresse maladroite sur Elodie. Celle-ci guide la main entre ses cuisses. Luc promène le gland sur les lèvres carmin, le clitoris et lentrée du vagin. Il résiste à la tentation dexplorer plus bas et lembroche dun coup précis. Lisette gémit sous la pénétration. Elle murmure des paroles incompréhensibles. Sa tête tourne de part et dautre sous lemprise dun plaisir intense. Luc est frappé de cette débauche dénergie. Il sapplique à la satisfaire. Brusquement elle serre les cuisses, pousse un cri et retombe inerte, pantelante. Le couple est surpris par la violence et la rapidité de son orgasme. Il retire une verge luisante frémissante. Elodie linterroge doucement.
— Elle ne ta pas laissé le temps de jouir ?
— Non, regarde.
La raideur de la queue est éloquente.
— Viens, je vais te guérir.
Il sapprête à passer à coté dElodie quand une idée traverse son esprit. Dans son état Lisette est capable de tout accepter.
— Tu sais
— Quas-tu encore ?
— Je crois quelle est prête.
Elle ne demande pas de quoi il veut parler, elle le sait. Elle regarde la jeune fille. Après un tel orgasme, il est vraisemblable quelle acceptera la pénétration anale.
— Tu nas pas peur de la dégoutter de nous ?
— Non, non, je ferai attention. Tu maides ?
Lisette émerge de sa torpeur :
— Que dites-vous ?
Luc la taquine :
— Pas le droit davoir nos petits secrets nest-ce pas ?
Elodie hésite. Comment Lisette va-t-elle réagir ? Nest-ce pas trop pour le premier soir ? Bah ! On peut toujours essayer. Si cela ne marche pas du premier coup, tant pis. Demain, quand elles seront seules, elle convaincra la jeune fille de se prêter au caprice de Luc. Elle baisse les paupières en signe daccord et réfléchit au moyen de mettre la jeune fille en position :
— Lisette, es-tu fatiguée ?
— Un peu, Madame.
— Cest que je nai pas eu mon content de plaisir, moi, égoïstes que vous êtes.
Luc tout heureux de la permission donnée, attrape la balle au bond :
— Que faut-il faire pour nous faire pardonner ?
— Jai envie dêtre caressée par Lisette.
— Tu entends, Lisette ? Es-tu prête.
La perspective réjouit la jeune fille :
— Oui Monsieur.
Luc se place au pied du lit. Lisette se penche sur Elodie pour embrasser laile du nez.
— Attendez, attendez ! Vous nallez pas vous caresser ainsi ! Elodie, couche-toi sur le dos, la tête vers moi. Toi Lisette, place-toi au-dessus de façon que ta figure soit à la hauteur de son sexe.
Cela plaît à la jeune fille, en souvenir de la séance de laprès-midi. Les deux femmes obéissent, Lisette toute fière de dominer Elodie. Elle applique son savoir tout neuf et recherche du doigt le clitoris. Penchant la figure entre les cuisses, elle le serre entre ses lèvres. De son coté la jeune femme écarte les fesses et lèche le sexe humide retrouvant sur la langue le goût du sperme de son mari.
Luc sapproche du cul convoité. Il pose les mains et caresse les globes. Ses doigts sinsinuent dans la raie à la recherche de lanus dont il fait le tour. La caresse rappelle à Lisette celle prodiguée par Elodie. Elle ne bronche pas. Il trempe le doigt dans le vagin et le présente devant le petit trou convoité. Une poussée, il entre. Lisette essaye de serrer les fesses quElodie maintient écartées. Il la calme :
— Laisse-toi aller, continue de toccuper de ta partenaire et accepte la nouvelle caresse.
Confiante, elle reprend ses suçons. Pour ne pas être en reste, à son tour elle introduit le doigt dans le cul dElodie qui a devant les yeux le spectacle de lindex de Luc profondément enfoncé. Il reprend :
— As-tu déjà fait lamour par là ?
La surprise fait lever la tête à Lisette.
— Où ? Dans le Cu derrière ?
— Oui, sodomisée.
— Comment ?
— Sodomisée, enculée quoi.
— Oh !
Elle a un réflexe de fuite que le couple maîtrise sans peine. Elodie essaye de la calmer :
— Cest le mot qui te fait peur ?
— Non Si Euh Je ne lai jamais fait.
Luc insiste :
— Pourquoi ne pas essayer ?
— Essayer ? Maintenant ?
— Jusquici, Est-ce que nous tavons donné motif à te plaindre ?
— Euh Non.
— Alors ?
Elle na plus dargument à opposer.
— Non Je Ça fait mal ?
Elodie répond :
— Un peu la première fois, mais tu verras comme cest bon, surtout si je te caresse en même temps.
Coincée entre eux deux, elle nose pas reculer. La curiosité est la plus forte et laide à franchir le pas :
— Je Je veux bien essayer. Ne me faites pas mal sil vous plaît.
— Si tu restes bien calme et si tu suis nos instructions, tout ira bien. Jy veillerai, nest ce pas Luc ?
Il se prépare. Il frotte sa queue sur les lèvres emplies de mouille. Elodie est toute remuée. Cest la première fois quelle voit le sexe de Luc passer à laction daussi près. Elle ne peut sempêcher dajouter sa salive sur la hampe quand celle-ci passe à proximité de sa bouche. Elle prodigue ses conseils à Lisette :
— Quand tu sentiras le sexe sintroduire, tu pousseras. Cela dilatera lanus et facilitera lentrée.
Le gland se pose sur la rosette. Quil paraît gros, disproportionné devant la petitesse de lorifice. Elodie sait par expérience que ce nest quune illusion et quil entrera si Lisette le veut. Et elle le veut la petite ! Elle tremble dappréhension mais aussi dimpatience.
Le bout violacé appuie. Le cul cède sous la pression :
— Allez ! Du courage, pousse ma petite Lisette.
Elodie écarte les fesses. Le gland disparaît :
— Ouill Ssssh !
Elle a retenu un cri ne laissant passer quun gémissement. Elle est courageuse. Elodie est confiante pour la suite. Après un tel départ, elle est prête à parier sur le succès de la défloration annale. Luc, dont la verge est totalement introduite, sinquiète :
— Ça va ?
— Laisse-la shabituer, je te dirai quand tu pourras bouger.
Elodie masse les chairs autour du pieu qui déforme le cul. Lisette respire fortement. De lautre main, Elodie caresse le clitoris.
— Ça va mieux ?
— Oui, un peu mieux.
— Bon alors, continue de me lécher, tu verras cela taidera à supporter la douleur. Et toi, Luc, vas-y, en douceur sil te plaît.
Cela lui fait tout drôle de suivre la sortie interminable de la hampe. Dieu quil sétait enfoncé ! Le mouvement sinverse. Elle tire sur la peau du cul pour élargir lorifice. Luc ne sarrête que lorsque son pubis rencontre les fesses. Ses testicules pendent, émouvantes de faiblesse. Elodie les chatouille du doigt. Le contact soyeux des cheveux de Lisette caresse ses cuisses. De nouveau sa langue tète son sexe. La jeune fille fait tout pour leur être agréable et accompagne lhomme de timides coups de reins. Elodie enfonce le majeur dans le vagin. Elle a sous les doigts la grosseur de la verge de Luc qui déforme les intestins.
— Eh ! Ne moublie pas, mets deux doigts dans ma chatte, possède-moi !
Mieux que cela, la jeune fille fourre un doigt dans lorifice désigné et lautre dans lanus. Elodie sens une torpeur bienfaisante lenvahir. Les caresses de Lisette, le contact de ses muqueuses, le spectacle de la queue qui entre et sort à quelques centimètres de ses yeux, tout cela se mêle. Dans un brouillard elle entend la bonne extérioriser ses sentiments. Cen est trop. La vague du plaisir la submerge. Après un éblouissement de quelques secondes, Elle sapplique à la faire jouir à son tour. Cest chose faite au moment elle voit nettement les ondes successives de lécoulement du sperme déformer le conduit qui court sous la verge de son mari.
Elodie étouffe sous le poids de ses deux partenaires et se dégage avec peine. Luc roule sur le dos tandis que Lisette gît sur le ventre, écartelée. Tout à lheure, quand Luc lui a avoué son désir de sodomiser Lisette après lavoir baisé, elle a ressenti un soupçon de jalousie. Cétait son tour dêtre « honorée », mais elle est heureuse davoir vécu une telle expérience, davoir contemplé de près la queue quelle chérit tant, exécuter son travail, comme dans un spectacle pornographique mais tellement mieux dans sa réalité émouvante.
Luc se penche sur le corps prostré sur le lit :
— Alors, ma toute belle, que penses-tu de cette journée ?
Lisette tourne la tête vers son interlocuteur.
— Je ne sais que dire. Je crois que vous mavez fait la totale nest-ce pas ?
— Tu penses te plaire avec nous ?
— Il faudrait être difficile.
Luc caresse les fesses. Sous ses doigts, il fait naître des grumeaux de chair de poule. Lisette ronronne, la tête dans le drap. Elodie brusque les choses :
— Je crois quil est temps de se reposer et de dormir. Demain, Lisette, lever sept heures pour préparer le petit déjeuner.
— Oui Madame.
Avec peine, elle se met à quatre pattes puis descend du lit, enjambant les corps. Une main sur les fesses, elle marche courbée, jambes écartées. Elodie a pitié delle.
— Attends, je vais te donner une crème adoucissante, cela te soulagera.
Elle fouille dans la coiffeuse. Un instant, elle pense lappliquer elle-même, puis se ravise. Elle veut rester seule avec Luc !
— Tiens. Tu en badigeonnes le pourtour de lanus, cest efficace.
— Merci Madame.
Les deux femmes sembrassent sur le pas de la porte. Elodie revient vers son mari. Elle tire drap et couverture et vient se pelotonner contre lui. Ils entendent la jeune fille entrer dans la salle de bain et prendre une douche.
— Alors ? Quen dis-tu, ma chérie ?
— Cest une gentille fille. Et ce qui ne gâche rien, elle travaille bien, vite et bien.
— Cest un bon numéro alors ?
— Cest à toi de me le dire. On dirait que tu las appréciée. Tu ne regrettes plus Sylvie ?
— Sylvie ? Qui cest ça Sylvie ?
— Oh ! Tu es impossible !
Luc en riant la prend dans ses bras. Elodie passe une main entre leurs corps serrés jusquà la chose molle et poisseuse qui dhabitude sert de sexe à son mari.
— Elle ta complètement vidé, mon chéri.
Elle retire la main mais il arrête le geste :
— Non, continue sil te plaît.
— Tu veux que je caresse ton cette chose ?
Cette chose ! Si les attouchements dElodie nétaient si agréables, Luc sinsurgerait devant sa désinvolture !
— Oui, caresse-moi Oui, là
Cest rare quil admette sa fatigue. Dhabitude il est trop fier pour la lui faire toucher du doigt. Elodie prend plaisir à triturer ce sexe mou, tendre et fragile.
— Tes caresses me font du bien.
— Je men aperçois.
Lengin grossit entre les doigts agiles. Luc qui récupère vite, rend caresse pour caresse. Il lenlace et lembrasse passionnément. Ils roulent sous la couverture. Empêtré dans le drap, il se dégage et sagenouille au-dessus dElodie. Son bas ventre sorne dune tige de belle taille. Elle est heureuse de son désir, quil ait envie delle après les prouesses de la soirée. Elle écarte les cuisses et ouvre sa chatte :
— Viens mon amour, viens, jai besoin de toi.
— Jarrive ma chérie.
Il lembroche dun sexe conquérant. Elle appuie les talons sur les fesses de Luc pour quil entre au plus profond. Il se sent bien. Ses coups de reins sont réguliers. La fatigue sest envolée. Il lui semble quil peut continuer sa chevauchée jusquau matin. La jouissance envahie Elodie. Elle monte, monte, nen finit pas datteindre et de dépasser des niveaux insoupçonnés
Après lamour, ils restent serrés lun contre lautre sans un mot. Elle comprime les muscles du vagin pour retenir le sexe qui se rétracte doucement, lui procurant un plaisir doux.
— Jai failli la trouver envahissante cette petite !
— En serais-tu jalouse ?
— Non, mais si jaccepte de partager, je naime pas être délaissée.
— Cela ne marrivera jamais, tu viens den avoir la preuve.
Elle aime ces instants de pur bonheur après lamour. Luc desserre son étreinte. Elle se dégage, remet de lordre sur le lit et lembrasse sur le front.
— Bonne nuit, mon chéri.
Pas de réponse, il dort. Avec un sourire satisfait, elle éteint la lampe et se pelotonne contre lui
A suivre