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Jeune fille au pair, de mormone coincée à soumise – Chapitre 6




Le trajet depuis Toulouse jusqu’à chez lui fut long pour Jean-Luc. Quand il arriva sur place, Sharon se précipita dans ses bras et après s’être embrassé, et aussi pour Jean-Luc lui avoir ploté les seins, ils se sont assis sur le canapé.

— Bon, alors ? T’avais l’air toute bizarre au téléphone. Comment ça se fait que tu sois rentrée si tôt ?

— Ça s’est mal passé. Très mal passé.

— A ce point ?

— Oui mais laissons là les choses désagréables. Vous m’avez manqué vous et Oscar . D’ailleurs ou-est-il ? dit-elle alors avec le sourire.

— Resté à Toulouse avec ses grands-parents.

— Ça veut dire qu’on est seul et que vous allez pouvoir me réconforter ? dit-elle en passant sa main sur l’entrejambe de son patron.

— Oh ! Je ne sais pas ce que tu as en tête mais ou plutôt si je l’imagine mais c’est rare que tu prennes ce genre d’initiative.

— J’en ai envie. Répondit-elle en ouvrant la braguette de monsieur pour y introduire sa main.

— Très bien, Dans ce cas . Oh bah ça tombe bien il est quatre heure c’est l’heure du gouter. Dit-il en défaisant son pantalon.

— Parfait ! J’ai faim.

— Bah, bon appétit alors Euh, oh attend, tu oublies la lotion.

— Je vais la chercher.

Jean-Luc ne savait pas ce qu’il s’était passé chez elle pour qu’elle revienne mais honnêtement il s’en foutait. Tout ce qu’il savait c’était qu’il allait se faire sucer et qu’il allait surement avoir plus. Quand Sharon est revenue, elle avait enlevé le haut. Pendant qu’elle mettait un soin tout particulier à étaler la lotion parfumée sur son manche d’une manière très sensuelle, Jean-Luc lui caressait les seins. Puis Sharon commença à le sucer. Jean-Luc était ravi. Ça faisait une semaine qu’il attendait son retour. C’est pourquoi, au bout d’un moment, il lui proposa de passer dans la chambre. Ils y sont allés et c’est une fois avoir passé la porte que Jean-Luc la saisit par la taille pour la plaquer contre la porte de l’armoire.

— J’ai envie de toi. C’est fou ce que tu m’as manqué. Dit-il après une grosse galoche bien sauvage, ses mains encore sur les mamelles de la jeune fille.

— Moi aussi ça m’a manqué. Répondit-elle en le regardant dans les yeux

— Retourne-toi. Je veux te prendre tes fesses. Dit-il en la plaquant face contre la porte de manière à être dans son dos.

— Vous ne préférez pas faire ça sur le lit ? demanda-telle en le sentant retrousser sa jupe et arracher sa culotte

— Si ! Tu as raison. Ce sera mieux. Lui dit-il avant de la jeter sur le lit et de la mettre en position, à quatre pattes.

— Oui ce sera mieux mais pas comme ça. Dit-elle alors après avoir senti son patron lui étaler le gel magique sur la rondelle et en sentant son gland prêt à forcer son anus.

— Comment ça ? Tu veux changer de position ?

— Je préfère comme ça. Dit-elle alors en se retournant sur le dos pour lui faire face, en écartant les jambes et avec le majeur et l’index de sa main, écarter les lèvres de sa grotte intime qui jusque-là était interdite à quiconque.

— Euh . T’es sûr de ce que tu fais ? Non parce que, ce que tu me proposes, j’en rêve depuis .

— Je veux devenir une femme, une vraie, maintenant.

— Et ton mariage ? Tes principes ? Ton fiancé ? Ta famille ? T’en fais quoi ? Il n’y aura pas de retour en arrière je te préviens.

— Après ce qu’il s’est passé et ce que j’ai appris chez moi, tout a changé.

— Bon, bah, faut pas me le dire deux fois.

Ne cherchant pas à en savoir plus, Jean-Luc termina de se déshabiller avec un sourire non dissimulé et positionna alors son gland à l’entrée du vagin de la demoiselle. Avec une main sur sa poitrine et l’autre lui tenant la cuisse, il commença doucement la pénétration et après avoir forcé la petite résistance qui arracha une grimace à Sharon, il poursuivi jusqu’au fond. Une fois entré jusqu’au bout, il commença alors à limer doucement sachant que sa partenaire avait un peu mal. Puis il s’allongea pleinement sur elle pour pouvoir l’embrasser à pleine bouche alors qu’il la prenait en augmentant progressivement la cadence. Peu à peu, la grimace crispée s’est effacée du visage de Sharon, laissant place à un sourire léger au début et à des soupirs qu’elle commençait à pousser. Sharon commençait à savourer ce moment les yeux fermés. Jean-Luc était content. Il se disait « ça y est ! Elle est à moi ». Il continua à limer jusqu’à jouir dans le ventre de Sharon. Quand ce fut fait, ils sont restés au lit pendant un moment à se caresser. Puis Jean-Luc se leva et alla prendre une douche. Depuis la chambre, Sharon l’entendait chanter sous la douche. Pendant ce temps-là, elle se posait des questions. « Ai-je bien fait ? », « Qu’est-ce que ça va changer pour moi ? » Voilà ce qu’elle se demandait tout en posant la main sur son ventre. Elle se leva pour prendre sa douche à son tour et pendant ce temps-là, Jean-Luc s’était rhabillé. Quand elle en est sortie, elle rejoignit Jean-Luc dans son bureau qui semblait discuter avec la photo de sa défunte femme. Il stoppa net quand il la vit entrer, ne pensant pas qu’elle savait déjà que ça lui arrivait de temps en temps de le faire.

— Alors Sharon, dis-moi, pourquoi un tel revirement ? Pas que je m’en plaigne mais j’aimerais savoir.

— .

— Tu ne veux pas me le dire ? Ça avait pourtant l’air grave pour que tu décides de te faire déflorer.

— Ça ne concerne que moi.

— Erreur. Ça me concerne moi aussi désormais.

— Bon d’accord. Quand je suis arrivé chez moi, tout allait bien mais au lendemain de Noël, mon père a subitement décrété que je ne reviendrais plus en France.

— Il n’a pas le droit de faire ça, Non ?

— C’est mon père. Et chez nous, il en a le droit. J’ai essayé de le convaincre de me laisser rentrer mais rien n’y a fait. Je lui ai dit que j’avais encore mes affaires. Il a refusé. Je lui ai dit que j’avais tout mon argent en France, il m’a dit que je ferais un virement par internet. Même en lui mentant, prétextant que la banque refuserait et qu’il me fallait être présente, il m’a répondu « bah tant pis. T’as perdu ton fric et c’est tout ».

— Ok . Un vrai porte bonheur ton père.

— Mais le pire ça a été le lendemain.

— C’est-à-dire ?

— J’étais cloitrée dans ma chambre avec pour seule lecture, la bible dans ma table de nuit et j’ai entendu quelqu’un, un homme dont la voix me semblait familière, entrer dans la maison. Cet homme est ensuite monté pour me voir dans ma chambre : c’était mon futur mari.

— Je ne sais pas pourquoi mais ça commence à sentir mauvais.

— Il s’est assis à côté de moi, a essayé de me rassurer en me disant qu’il serait le meilleur des maris mais sa main sur ma cuisse qui remontait de plus en plus ne me rassurait pas. Devant mon indifférence, il m’a dit que si j’acceptais de coucher avec lui, là maintenant, il pourrait intercéder auprès de mon père pour qu’il me laisse sortir.

— Ok . De vraies vacances que tu as vécues là. Bon ça je le sais, tu as refusé car tu étais vierge jusqu’à ce que je sois ton premier. Et la suite ?

— Il n’a pas aimé mon refus et a tenté de me prendre par la force.

— De mieux en mieux.

— Il m’a plaqué au sol d’une main, a défait ma chemise et retroussé ma jupe. J’avais beau appeler mon père il ne bougeait pas. C’est ma mère et un de mes frères qui sont intervenus alors qu’il défaisait son pantalon. Ma mère m’a consolé et avec mon père ils ont discuté . Et j’ai entendu ce que je n’aurais jamais dû entendre.

— C’est-à-dire ?

— Pour faire court, mon père doit de l’argent à mon futur enfin ex future mari maintenant.

— Ok j’ai compris. Il t’a vendu contre l’annulation de sa dette ? Je n’arrive pas à croire qu’il ait osé faire ça, ça me dépasse. Dis-moi, chez toi les femmes sont traitées comme des marchandises ou c’est juste toi qui a eu droit à un traitement de faveur ?

— Je n’en sais rien mais en tout cas, dans les grandes lignes, c’est ça. Je sais aussi que mon père a battu ma mère pour lui avoir tenu tête. Elle a tenté de se justifier en disant que s’il m’avait violé et qu’après il avait subitement décidé de changer d’avis pour le mariage, J’aurais été déshonoré.

— Et il a répondu quoi ?

— Qu’elle se trompait qu’il ne l’aurait jamais fait et qu’une femme n’a pas à se mêler de ce genre d’affaire.

— OK . Ça n’a pas dû être facile donc. Et du coup tu es resté enfermée ? Comment tu es revenu ?

— Ma mère, c’est ma mère qui m’a fait sortir. En pleine nuit, on est parti sans faire de bruit, elle m’a donné un peu d’argent et m’a déposé à la station de bus pour l’aéroport avec le peu d’affaire que mon père n’avait pas brulé car il les trouvait « non conventionnelles ». Elle m’a dit « il y a un vol pour New York, ce matin. Tu le prends et de là-bas tu rentres à Paris. Je ne sais pas pourquoi mais je pense que ta vie est là-bas désormais. Va-z-y et profite de cette chance que moi, à ton âge, je n’ai pas eu ». C’est ce que j’ai fait.

— Ok je comprends mieux. Mais elle ne risque pas d’avoir des ennuis d’avoir fait ça ?

— Si et j’ai peur pour elle. Mon père est capable de la battre violement à coups de ceinturon.

— C’est affreux pour elle mais elle a accompli son devoir de mère.

— Je sais. Un jour peut-être j’y retournerai mais pour l’instant c’est hors de question.

En ayant raconté son histoire, Sharon a éclaté en sanglot dans les bras de Jean-Luc qui tentait de la consoler. Jean-Luc voyait qu’elle avait vécu des moments difficiles. Il lui sécha ses larmes et la regarda dans les yeux.

— Ecoute, si tu le veux tu peux rester. Tu le sais tu me plais et .

— Je veux rester. J’aime bien ma vie ici et surtout Oscar.

— Tu sais qu’une fois il t’a appelé maman ?

— Oui il l’a fait un jour quand nous étions au parc et je comprends pourquoi. Il avait vu les autres enfants partir avec une femme qu’ils appelaient maman et il a fait pareil avec moi. Mais .

— Mais quoi ? t’es un peu comme une deuxième maman pour lui et aussi ma petite femme maintenant.

— Justement, sa vraie maman à Oscar c’était Cécile et c’était une amie. Lui prendre son fils, j’aurais l’impression de trahir sa mémoire.

— Pas plus que de coucher avec son homme ?

— ..

— Ecoute. La vie continue. Tu me plais et visiblement, ça se passe bien entre nous. Il ne faut pas culpabiliser. Elle n’est malheureusement plus là et il faut aller de l’avant. Je la connaissais assez bien pour savoir qu’elle n’aurait pas aimé qu’on reste seuls, moi et Oscar.

— Oui mais ça me gêne si Oscar m’appelle maman.

— OK, on verra ça en temps voulu. Bon comme t’as vécu des moments difficiles, ce soir c’est moi qui cuisine et toi tu mets les pieds sous la table.

— D’accord mais avant .

— Quoi donc ?

— Voilà . Ça fait une semaine que je n’ai pas été . Enfin bref, j’ai les mamelons douloureux et .

— Ok j’ai compris. Ça tombe bien j’avais soif. Viens t’assoir sur mes genoux.

Jean-Luc fit s’assoir Sharon face à lui sur ses genoux, une jambe de chaque côté. Puis il défit son chemisier comme si il déballait ses cadeaux de noël. Une fois seins nus devant lui, il commença à ploter les seins de la demoiselle avant de porter les mamelons à sa bouche afin de les téter. A chaque aspiration sur chacun de ses seins, Sharon sentait que la douleur s’en allait. Elle poussait des soupirs de soulagement et en venait même à caresser le crâne de son patron qui se désaltérait à ses deux mamelles.

Plus tard, après un délicieux repas concocté par son patron, Sachant qu’ils allaient avoir un long trajet le lendemain, Sharon reparti dans sa chambre. C’est au moment où elle allait passer la porte que Jean-Luc l’attrapa par le bras.

— Tu tiens vraiment à dormir seule alors que tu pourrais le faire blottie dans mes bras au chaud ?

— C’est que.

— Tu sais, vu la manière dont évoluent nos rapports, tu pourrais partager mon lit et mettre tes affaires dans ma chambre.

— Vraiment ?

— Oui. Et puis tu pourrais aussi arrêter de me vouvoyer et m’appeler par mon prénom, tant qu’on y est.

— Vous êtes pardon tu es sûr ?

— Absolument.

— D’accord

— Euh mais tu ne comptes pas faire ça maintenant quand même ? Demanda t’il en la voyant commencer à prendre ses affaires.

— Ah Euh oui, bien sûr. On fera ça demain.

— Ah non demain, je repars pour Toulouse et tu viens avec moi.

— Ah bon ?

— Tu ne pensais pas que j’allais te laisser seule ici pour le nouvel an quand même ? Et puis ça va te changer les idées. Après ce que tu m’as raconté tu en as bien besoin.

Ils sont alors entrée tous les deux dans la chambre. Puis, l’un en face de l’autre, chacun déshabillait son partenaire. Pendant que Sharon défaisait, un à un les boutons de la chemise de celui qui était dorénavant son amant, Jean-Luc ne voulant pas s’embarrasser de chichi, attrapa les pans du chemisier de Sharon, un dans chaque main, et les écarta d’un coup sec, faisant tomber quelques boutons au sol à l’occasion pour la mettre à poil aussi vite que possible. Puis, d’une main dans le dos de la jeune fille, il dégrafa son soutien-gorge qui tomba au sol, libérant ainsi sa magnifique poitrine gonflée par les montées de lait qu’il commença à ploter d’une main pendant que l’autre, sur les fesses de la jeune fille, s’occupait de lui retirer sa jupe. Après avoir déboutonner la chemise de Jean-Luc, Sharon eut un peu de mal à lui défaire sa ceinture. Pour être plus à l’aise, elle se mit à genou pour être à hauteur. Bien évidemment, une fois le pantalon sur les chevilles, le caleçon de monsieur était déformé par une forte érection. Elle fit glisser le sous vêtement au niveau de genoux et commença à sucer.

D’après les paroles de Jean-Luc, elle était désormais sa « petite femme ». Si Sharon s’était offerte à lui pour se faire déflorer et ainsi tourner le dos à certains de ses principes c’était parce que, quand elle était enfermée dans sa chambre chez son père, une seule image revenait souvent : celle de Jean-Luc et de son fils Oscar. Oscar, auquel elle s’était attaché beaucoup plus qu’elle ne le devait et Jean-Luc qui, l’ayant initié aux plaisirs de la chair, avait éveillé chez elle des sentiments inconnus et des envies nouvelles. Ainsi elle espérait, un jour, devenir officiellement sa femme. Elle qui s’était imaginé, en rêve, en robe blanche à l’église avec lui.

Jean-Luc savoura ce moment jusqu’à ce qu’il l’arrête. Il allongea alors Sharon sur le dos et plongea sa tête entre les jambes de la demoiselle. Durant de longues minutes, Jean-Luc est resté à jouer de sa langue sur l’entrejambe de Sharon. Ses mains n’ont cessé de lui masser les seins et de lui pincer les mamelons pendant qu’il l’entendait gémir de plus en plus fort. Ensuite, quand il a voulu stopper, Sharon tenta de lui maintenir la tête avec ses mains en lui disant « Non t’arrêtes pas ». Il réussit quand même à s’extirper de son emprise pour recouvrir sa partenaire et la pénétrer fougueusement. Sharon était en train de se faire pilonner bien comme il fallait par celui qui était son patron. Elle bloqua Jean-Luc avec ses jambes et ses bras de sortent qu’il ne puisse plus bouger et qu’il n’ait plus qu’une échappatoire : La faire jouir. Jean-Luc continua ses coups de reins tout en en augmentant la vitesse et la force. Il faut dire que les « Oh oui monsieur » que poussait Sharon l’encourageait, flattant ainsi son égo de mâle. Il termina cette séance par une profonde éjaculation au fond du vagin de sa partenaire.

Quelques minutes plus tard, Jean-Luc était allongé sur le dos et Sharon blottie contre lui.

— Jean-Luc, j’aimerais m’excuser.

— Pourquoi ça ?

— Je t’ai appelé monsieur tout à l’heure alors que tu m’avais dit de ne pas le faire.

— Ce n’est pas grave. Au contraire j’aime ça pendant le sexe.

— Ah bon ?

— Oui ça m’encourage à être plus performant d’une certaine manière. Par contre au quotidien .

— Promis, dans la vie de tous les jours, je ferai ce que tu m’as demandé.

— Bon aller on va dormir. Demain, il y a une longue route à faire.

— Bonne nuit.

C’est tôt le lendemain que les nouveaux amants se sont levés pour partir direction Toulouse. Le trajet fut long mais pas si désagréable. Jean-Luc qui faisait des pauses régulières eut droit à une récréation buccale de la part de Sharon. Il ne lui avait pourtant rien demandé et c’est d’elle-même qu’elle y est venue. Pour lui c’était clair : il avait un certains pouvoir sur elle et elle semblait aimer le sexe qu’il lui avait décrit comme un nouveau loisir.

Une fois arrivé sur place. Oscar qui avait reconnu la voiture de son père couru vers lui les bras tendus. Il fut également ravi de voir Sharon. A plusieurs reprises par le passé, il l’avait appelé maman mais elle le rectifiait à chaque fois en lui répétant son prénom. Même s’il semblait avoir du mal à le prononcer, il semblait avoir compris. Sharon était à l’aise avec ces gens qui semblaient l’avoir adoptée. Quand le beau-père de Jean-Luc évoqua la possibilité pour son gendre de coucher dans le canapé du salon et de laisser sa chambre à Sharon, Jean-Luc répondit « J’ai une meilleurs idée. On va plutôt dormir dans le même lit ». Pour Georges, le beau-père de Jean-Luc, le message était passé. Ils étaient officiellement ensembles et il était content pour son gendre. Ils étaient ensembles et ça s’est confirmé durant la nuit. Ayant deviné ce que Sharon pouvait faire avec son gendre, Georges décida de faire dormir Oscar avec lui et sa femme en déplaçant son lit dans leur chambre . Et ça n’a pas loupé car le lendemain, au petit déjeuner, il y eut un dialogue que l’on pourrait qualifier de gênant entre les deux hommes.

— Ah ! Sharon et Jean-Luc ! Enfin vous nous rejoignez pour le petit déjeuner.

— Oui, même si je serais bien resté au lit, il faut bien se lever. Dit-il en s’asseyant et en prenant Oscar sur ses genoux.

— En tout cas, le trajet de retour hier n’a pas semblé si épuisant.

— Pourquoi vous dites ça ?

— Oh pour rien. Ah ! Si au fait, je voulais te remercier d’avoir ramené Sharon ici, c’est vrai que nous la connaissons peu finalement, mais grâce à elle je sais au moins une chose : il faut que j’achete de huile pour graisser les ressorts de ton sommier. Figure toi qu’hier, je ne sais pas pourquoi mais ça a beaucoup grincé. Vous ne sauriez pas pourquoi par hasard ? demanda alors Georges avec de l’hypocrisie dans les yeux.

C’est après un petit moment de gêne et un regard complice entre eux que le petit déjeuner repris. Sharon se sentait intégrée et son envie de rester en France avec son amant s’en est retrouvé renforcé.

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