Jacques vint la rejoindre au bout dun moment, et sassit près delle. Il effleura son avant-bras de ses doigts, y dessinant lentement des arabesques, des formes géométriques, de haut en bas et de bas en haut. De tout temps il lui faisait sur les bras et dans le dos ces « bedous » purement paternels, et Chloé adorait ça. Elle se tourna sur le ventre pour lui permettre de le faire dans son dos, et Jacques sexécuta, comme toujours. « Ma fille adorée est une sacré cochonne » Lui murmura-t-il.

« Mon papa damour est un gros pervers quelle famille ! » lui répondit-elle. Jacques rit doucement en continuant à lui passer ses doigts dans le dos. « Je continue de penser que ce nest pas bien ce que nous avons fait, tu sais ! » Il marqua une pause puis poursuivi : « mais cest tellement bon » Ce à quoi sa fille lui dit simplement « Oui, je suis bien daccord avec toi. Cest trop bon pour sen vouloir à mon avis ! Et surtout trop bon pour ne pas le faire ! ». Son père fit descendre ses doigts sur ses fesses et Chloé soupira de contentement. Il poursuivit sur le haut des cuisses, puis glissa entre ses jambes, pour remonter poser simplement sa main sur sa chatte. Chloé se mis alors sur le côté, et se mit à caresser sa verge au repos, la massant et la faisant rouler dans ses doigts. Jacques senti dans sa main que la chatte de Chloé shumidifiait de nouveau « Aaah » dit-il « on dirait que ça ne tas pas suffi ? ». Chloé, pour toute réponse, passa une jambe par-dessus sa tête et pris en bouche ce sexe encore mou, sentant de nouveau la bouche et la langue de son père sactiver sur sa vulve et son clitoris. Elle émit un grognement de plaisir et senti son sexe se mettre à grossir et à sallonger dans sa bouche, et elle encouragea cette érection naissante en commençant à le sucer. Rapidement, son père se mis à bander entièrement, et Chloé continua pendant un petit moment son jeu de bouche avant de se relever et de se retourner, pour chevaucher son père.

« Tu veux la prendre comme ça ? Pas de problème, vas-y. » « Oui comme ça, jadore » Chloé saisit sa bite pour lorienter vers son vagin, et sempala dessus avec un soupir étouffé. « Je sens bien ta grosse bite dans ma chatte de cette manière ». Elle mit en mouvement son bassin davant en arrière, en le bougeant de droite à gauche de temps en temps, quand le sexe de son père était entier dans son ventre. « Oh ma chérie, cest bon ça » Jacques laissait faire sa fille, la tenant par la taille la plupart du temps, quand il ne lui caressait pas les fesses ou les seins. Chloé continuait de sactiver sur cette queue qui lui arrachait des soupirs et des gémissements à chaque fois quelle la sentait la pénétrer à fond au gré de ses mouvements. Elle sappuya de ses deux mains sur la puissante poitrine de Jacques afin de faciliter ses ondulations. « Tu aimes ça, hein ? » lui lança son père. « Tenfiler ma queue comme une petite trainée ça te plaît, hein ? Ok, vas-y, continue, fourre la toi bien comme il faut, là comme ça cest bon ça, oh que cest bon ». Ses mots crus avaient visiblement de leffet sur Chloé, qui en rajoutait : « oh oui jaime ça, jaime te grosse bite, la sentir me bourrer, là, voilà, comme ça, comme ça ». Elle se mit à faire aller son bassin davant en arrière à une cadence élevée, toujours appuyée sur sa poitrine, la tête relevée, la bouche grande ouverte, haletante et gémissante. Son père la tenait par la taille dune main, et de lautre à claquer les fesses. « Oh ma chérie, oh oui, chérie, ma salope, tu me baises comme une chienne, tu vas me faire jouir, tarrête pas ! ». Sappuyant sur ses coudes ramenés près de son corps, il se redressa à moitié, pendant que sa fille donna un dernier coup de reins avant dêtre secouée dun nouvel orgasme. « Chloé ! » cria-t-il avant de se mettre à gicler lui aussi dans un râle de plaisir. Chloé sétait laissée tomber sur lui, les bras autour de son cou, sa tête reposant sur son épaule, joue contre joue, pendant quelle vibrait sous les assauts des vagues de jouissance qui la parcouraient. Sentir le sexe de son père se vider dans son ventre en palpitant, sentir son sperme sécouler dans son vagin renforçait encore son plaisir. Les deux amants immoraux restèrent enlacés longtemps, sans rien dire

Dans les semaines qui suivirent cet épisode, ils sadonnèrent bien des fois à toute forme de jeux sexuels, dans pratiquement toutes les pièces de la maison. La mère de Chloé avait un rythme de travail particulier : elle accomplissait des gardes de nuit de 12 heures, entrecoupées dun repos de 36 heures. Lorsquelle rentrait dune nuit de garde, au matin, elle restait donc à la maison toute la journée, la nuit suivante, et ne reprenait son service quau début de la soirée suivante Trois fois par semaine. Ainsi, trois nuits par semaine, Jacques et Chloé étaient seuls, et en profitaient copieusement. Une nuit de garde, Chloé séveilla et jeta un coup dil à son réveil, qui indiquait 4H30 Plutôt que de se rendormir, elle se dit quelle irait bien réveiller son père de manière érotique Il était rentré si tard de son travail ce soir-là que Chloé était déjà couchée et endormie à son retour. Mais elle savait quil était là, dans sa chambre, et elle se dit quil apprécierait la surprise

Chloé se leva, nallumant aucune lumière, et se dirigea à tâtons dans lobscurité de la maison, totalement nue, jusquà la chambre de ses parents. Elle ouvrit doucement la porte et se glissa à lintérieur, la refermant derrière elle le plus silencieusement possible. Elle entendait la respiration profonde de son père endormie, mas ne distinguait quun vague forme sous la couette, tant la pénombre était dense. Elle se dirigea vers le pied du lit avec lidée de le contourner et de se faufiler sous la couette par le côté. Un bruissement de tissu résonna soudain dans le noir. Cest incroyable comment dans le silence le moindre bruit se trouve décuplé. Mais un autre son fit se figer tout net Chloé au pied du lit : elle entendit une inspiration profonde, suivi dun doux grognement et reconnu de suite la voix de sa mère ! Saisie par la surprise, Chloé fit plusieurs pas en arrière, ce amena son dos contre les portes KZ ajourées du placard de la chambre. Elle se tint immobile, retenant presque sa respiration de peur de trahir sa présence. Elle entendit encore des mouvements dans le lit, et sa mère murmurer un grognement de plaisir, le type de son quon fait lorsquon mange quelque chose de très bon. La respiration lente et régulière de son père sinterrompit, et celui-ci pris une profonde inspiration à son tour en répondant à sa femme par une faible plainte. Chloé se rendit à lévidence : sa mère était rentrée inopinément cette nuit pendant quelle dormait, et elle était en train de réveiller son père en pleine nuit Non, elle avait réussi à réveiller son père. Chloé lentendit dire doucement dune voix trainante « chérie », et sa femme lui répondre dun soupir admiratif. Peu de temps après, elle entendit sa mère bouger de nouveau dans le lit, et farfouiller sur la table de nuit : elle allait allumer la lampe de chevet ! La jeune fille, nue dans la chambre de ses parents, se réfugia alors dans la penderie derrière la porte du placard, et referma celle-ci tout doucement. Son corps coincé entre les vêtements pendant sur leurs cintres, elle vit alors la lumière jaillir dans la chambre, en même temps quelle entendit le déclic du bouton de la lampe de chevet.

A travers les persiennes de la porte KZ, Chloé vit alors sa mère rejeter la couette au pied du lit, et venir tout contre son père, lembrassant pendant que sa main saisissait son sexe qui bandait déjà. La mère de Chloé, Sophie, était une blonde de 45 ans. Chloé lavait toujours trouvée très belle, et la vue de son corps nu ne venait pas la démentir. Ses cheveux coupés courts, blonds foncés, illuminés par des mèches plus claires, encadraient joliment un visage rond, aux grands yeux bleus et à la bouche sensuelle. Chloé regardait éberluée les deux époux, nus, se caresser mutuellement en soupirant. Elle eut une petite réaction de jalousie en voyant sa mère se pencher sur le sexe de son père, ce sexe bien dressé, si épais, quelle connaissait si bien. Mais cette réaction passa bien vite : il y aurait dautres gardes de nuit Et elle était surtout préoccupée de sa situation précaire présente Comment allait-elle faire pour sortir inaperçue de cette chambre ? Allait-elle devoir assister aux ébats amoureux de ses parents jusquà ce quils tombent de sommeil ? Sans doute. Cette perspective, peu réjouissante de prime abord, voire dégoutante, se fit progressivement plus intéressante. Elle regardait sa mère sactiver de la bouche et des mains sur le sexe de Jacques, et simaginait très bien être à sa place, ce qui fit naître en elle une excitation croissante. Elle observa son père se glisser par en dessous entre les jambes de Sophie et commencer à lui brouter la chatte, et là aussi, elle simagina à la place de sa mère sans problème. Ses parents continuèrent leur 69 pendant un long moment, leur plaisir allant croissant, comme leurs gémissements, et elle ne rata rien du spectacle. Puis son père se dégagea de dessous sa mère, qui se redressa ; tous deux, à genoux au milieu du lit, sembrassèrent de nouveau fougueusement, pendant quelle branlait lentement sa queue. Sophie se laissa tomber sur le dos, la tête vers le pied du lit, et Jacques vint sur elle, la dominant de son corps musclé, la pénétra dun mouvement sec du bassin, et commença à la sauter à grands coups de reins, faisant grincer le lit. Aucun des deux ne disaient mot, ils se contentaient de prendre du plaisir lun de lautre, haletant et gémissant en se regardant dans les yeux.

Depuis sa cachette, Chloé voyaient son père de face, sur sa mère, appuyé sur ses deux mains. Elle voyait clairement son sexe pilonner lentre-jambes de Sophie, entrant et ressortant de sa toison bonde à un rythme endiablé, et entendait leur souffle court. Elle-même ressentait une vive excitation et presque malgré elle sa main vint caresser sa chatte doucement, tout en ne ratant pas une miette du spectacle. Elle voyait les seins sa mère secoués de vagues au gré des coups de reins de Jacques Celui-ci ralentit lallure et sappliqua à fouiller le fond du ventre de Sophie de son sexe, par des mouvements de bassins latéraux, et vit sa mère rejeter sa tête en arrière, et regarder la porte du placard où Chloé se tenait. Bien que se sachant à labri, elle ne put sempêcher de reculer un peu plus dans les vêtements. La respiration de sa mère devient soudain plus profonde, et alors son père redoubla de vigueur et se mit à la baiser comme un chien en rut, une grimace de plaisir sur sa face. Chloé regarda le visage de sa mère et vit celle-ci se raidir et jouir dans un cri étouffé, les yeux grands ouverts comme si elle la regardait. Son père également se mis à jouir avec un « han ! » sonore suivi de quelques halètements rauques. La jeune fille se masturbait copieusement, et sentant son plaisir monter, elle sinterrompit de peur de faire trop de bruit. Elle se couvrit la bouche de sa main en se mordant la lèvre et lodeur de sa chatte emplit ses narines.

Peu après, son père se dégagea de sa mère et alla sassoir dans le lit à sa place, le dos au mur. Sa bite encore à moitié bandée était posée sur son ventre, luisante, et Chloé ressenti lenvie de la tenir dans ses mains Sa mère se leva et alla dans la salle de bain de la chambre. On entendit couler leau un moment. Chloé se dit quavec un peu de chance ses parents allaient se rendormir et quelle pourrait retourner dans sa chambre sans bruit. Sa mère revint dans la chambre après sêtre nettoyée, et se pencha sur son père pour lui chuchoter à loreille. Son père lui répondit tout aussi bas, puis, Sophie le pris par la main, il se leva et tous deux se rendirent au pied du lit, et se dirigèrent alors vers le placard de Chloé. « Oh non cest pas vrai ! » se dit-elle, paniquée. Et pourtant, si, cétait bien vrai : ses parents arrivèrent tout droit devant le placard et Jacques ouvrit la porte KZ, révélant une Chloé toute nue à moitié caché entre les vêtements de la penderie. « Ca alors ! » fit son père. « Bah ? Chloé, quest-ce que tu fais-là ? » Demanda sa mère, étonnement calmement.

« Papa ! Maman ! Je vais tout vous expliquer ! » Répondit Chloé, gênée comme jamais elle ne sétait sentie gênée de toute sa vie.

La suite, bientôt !

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