Mon grand-père de coeur

Ma meilleure amie et moi, nous nous connaissons depuis plus de 20 ans. Je n’ai pas connu mes grands-parents, comme elle avait toujours les siens, je les considérais comme les miens et eux comme leur petite fille. Ils n’ont jamais fait de différences entre nous. Voilà maintenant 3 ans que mamie est partie, Isa et moi allons passer parfois le week-end chez papy pour qu’il se sente moins seul et comme il a une piscine nous pouvons en profiter surtout par les grosses chaleurs. Enfants, nous nous promenions toutes nues, aujourd’hui à 40 nous continuons. Depuis quelques temps, papy nous serre sans doute plus fort sur son coeur et plus longtemps mais nous n’y voyons aucun mal. 

Par un bel après-midi, j’attendais Isa en sa compagnie lorsqu’il me proposa d’aller me baigner déjà en l’attendant. J’allais dans la chambre me déshabillais, j’allais sortir lorsqu’il entra dans la chambre. 

"Tu sais lorsque je te regarde, je vois mamie. Tu as les mêmes gros seins avec de larges mamelons et les tétons qui pointent lorsque tu sors de l’eau."

Gênée, je ne savais que répondre, ni quoi faire. Il tendit la main et la posa sur un de mes seins, la mit en coupe sous mon sein et le soupesa.

"Humm, aussi lourds et doux. Il se pencha et embrassa le téton"

Je reculais et attrapais ma robe pour me couvrir avec.

"Je suis ton papy et je t’aime, laisses-moi te toucher encore un peu les seins."

Ne sachant pas comment me comporter, je finis par faire tomber la robe. Il s’assit sur le bord du lit, m’attira face à lui et prit mes seins à pleines mains. Il me les pelota tendrement, léchant les tétons, les suçant. Ils les prit et les roula entre ses doigts.

"Regardes comme ils durcissent, ils pointent, c’est bon. Tu es ma petite chérie, tu es gentille avec ton papy."

Il les suça, je sentis ses dents autour qui les roulaient, il les mordilla. On entendit la voiture d’Isa. Je descendis et me précipitais dans la piscine me sentant coupable. Isa me rejoignit quelques minutes plus tard.

"Tu vas bien, tu es toute rouge"

Je lui souris très gênée. Papy vint vers nous pour préparer la table pour le goûter. Isa sortit la première, moi je n’osais pas, nous avions l’habitude de prendre le café nues et de retourner l’eau ou de nous étendre sur une couverture pour prendre le soleil parfois on prenait même l’apéritif nues. Mais là tout avait changé pour moi, mais comment faire avec Isa, elle ne comprendrait pas et je ne voulais pas moucharder pour grand-père. Pendant qu’elle allait chercher les serviettes, il s’approcha de moi.

"Mets-toi debout, ma chérie."

J’obéis, il prit les tétons entre ses doigts et les roula doucement.

"Hum, ils sont durs"

Il me lâcha, Isa arrivai. Je sortis de l’eau et me séchais avant de m’emballer dans la serviette comme si de rien n’était. Puis on prit le café. Isa voulut s’allonger sur la couverture, j’enlevais la serviette et m’allongeais à ses côtés. Papy me souriait.

"Qu’est-ce qu’il a papy, il a l’air heureux et détendu aujourd’hui?"

Je regardais Isa en lui disant que je n’en savais rien. J’allais enfiler ma robe, tous les deux me regardaient d’air étonné mais je fis comme si de rien n’était, Isa ne changea rien à ses habitudes et resta nue même pour le dîner. Papy passa à côté de moi.

"Ce n’est pas gentil de me faire ça. Tu ne m’aimes plus?"

Je fis l’innocente et l’aider à préparer le repas. On passa la soirée tranquillement en regardant la télé. Au moment de se coucher Isa vint me voir dans ma chambre.

"Je sais que tu prends des somnifères, tu peux m’en donner un. Tu as vu papy devient lunatique avec l’âge, je sais qu’il va sur ses 78 ans mais tout de même, il est de nouveau grincheux."

Je lui donnais l’un de mes somnifères sans lui répondre, je pris le mien et me coucher. Je pris soin de fermer à clef. J’ai bien fait le lendemain, papy vint me voir pour me dire que je ne devais pas faire ça. S’il y avait le feu ou un problème, je serai enfermée. On prit le petit déjeuner et on passa la matinée à se dorer la pilule Isa et moi. Puis elle décida d’aller faire des courses, j’insistais pour aller avec elle mais elle préfèrais que je reste avec grand-père car il était triste. Je m’installais à la cuisine avec un livre. Papy étant à la sieste. Lorsque soudain, il fut derrière moi. Il glissa violemment ses mains dans ma robe au point de déchirer une bretelle et il tritura mes seins et pinça mes tétons sans douceur contrairement à l’autre jour.

"Laisses-moi te caresser les seins sois gentille avec ton papy!"

J’arrêtais de me débattre, ses caresses s’adoucirent. Ayant une tendance à la soumission, la situation m’excitait également mais pour moi, il était mon grand-père depuis des années.

"Enlèves ta robe ma chérie fais plaisir à ton grand-père"

J’obéis et me retrouvais en string devant lui. Il se mit assis, mes seins, juste devant lui. Il les lécha, les suça, je les sentais rouler sous ses dents puis il les tira toujours avec les dents. Je ne pus retenir un gémissement de plaisir.

"Tu aimes ça ma chéries? Moi j’ai toujours aimé mordre, ta grand-mère était la seule femme qui m’aie laissé la mordre."

Il lâcha le téton, prit mon sein dans sa main et je sentis ses dents sur mon mamelon, il serra plus fort. J’ouvris la bouche, respirais plus fort, la tête rejetait en arrière. Il m’embrassa les seins.

"Ma petite chérie, tu es adorable. Tu aimes ça faire plaisir à ton grand-père."

On s’installa dehors pour boire le café, il se mit à mes côtés pour pouvoir me toucher les seins. Isa rentra et on se baigna. On but l’apéritif et on mangea, contrairement à la veille, je restais nue. L’atmosphère fut bonne enfant, dès qu’Isa avait le dos tourné, il en profitait pour me caresser un sein. On alla se coucher tous de bonne humeur, je ne fermais pas ma porte à clef, si grand-père voulait venir me caresser les seins pourquoi pas, il n’y avait pas de mal après tout. Je m’endormis et fis un rêve érotique, je m’éveillais le clito gonflé sur le point de jouir. En fait de rêve érotique c’était papy qui me léchait le clito en douceur. Il s’aperçut que j’étais réveillée, il se glissa entre mes cuisses et me lécha avec plus de vigueur. Je jouis en serrant les dents pour ne pas réveiller Isa qui dormait dans la pièce à côté.

"Il était temps que tu t’éveilles, tu gémissais de plus en plus ma chérie. Tu vois si tu es gentille avec ton papy, je te ferai jouir souvent."

Il s’assit sur le bord du lit.

"Mets-toi debout et viens que je te les bouffes"

J’obéis, il entreprit de me bouffer les seins comme il venait de le dire. Il tirait sur mes tétons avec les dents, c’était un peu douloureux mais j’aimais ça, ça m’excitait follement cette situation. Il glissa son doigt dans ma chatte et titilla mon clito. Il ne fallut pas longtemps pour que je jouisse à nouveau. Il m’allongea sur le lit et pinça ma chatte, je le vis se pencher dessus puis il me la mordit. Je me crispais en m’accrochant aux draps. Il faisait rouler ma peau sous ses dents. Puis il mordit mon mont de Vénus juste au-dessous de ma fente. Il me tourna sur le ventre et me mordit les fesses sans trop de douceur. Il m’écarta les jambes et glissa sa main sous ma chatte pour titiller mon clito, tout en continuant à me mordre. Puis il embrassa mes fesses et me fit de nouveau jouir. Il sortit de la chambre et je me rendormis.

Au lever le lendemain, je regardais dans la glace pour vérifier que je n’avais pas de marques avant de descendre. Je croisais Isa qui sortait de la piscine, elle riait de voir que je me levais aussi tard.

« Grand-père est très joyeux ce matin. Tu devrais enlever ton peignoir, papy vient de me dire qu’il adore regarder tes seins, ils lui rappellent ceux de mamie. Tu sais à son âge, on n’a plus beaucoup de plaisir. »

« Tu plaisantes là ? »

« Non, c’est vrai. Je me rappelle ce que tu m’as raconté sur ton oncle et ses amis, qu’ils se sont amusés avec toi comme d’un objet sexuel. Tu m’as dit que tu aimais ça. Et puis grand-père et plus heureux. Fais-ça pour lui. »

Elle monta et je rejoignis grand-père qui profita de son absence pour embrasser mes seins en guise de bonjour.

« J’ai parlé à Isa, elle est d’accord, elle m’a même dit que ça te gênerait pas. Je ne sais pas ce qu’elle a voulu dire, mais c’est tant mieux qu’elle soit d’accord. »

J’étais assise à table à boire mon café, lui debout derrière moi, glissa ses mains dans l’échancrure de mon peignoir et tira dessus pour prendre mes seins dans ses mains. Il était en train de me les triturer quand Isa entra. Elle me sourit et me fit un clin d’il. Papy souriait et ouvrit complètement mon peignoir. Isa ne quittait pas ses mains des yeux. Il pinça mes tétons et tira légèrement dessus. Isa quitta la pièce pour aller dans la piscine. Il se mit assis et moi debout face à lui. Il me dévora les seins comme il aimait en me les mordant régulièrement.

Au moment où il tira sur mon téton avec les dents, je vis Isa qui nous regardait par la fenêtre, le mouvement de sa main plus bas ne laissait aucun doute sur ce qu’elle faisait, elle se masturbait.

Papy me fit me tourner et en appuie sur la table, je lui tendais mes fesses qu’il mordait. Il releva ma jambe, mon genou sur la table, j’étais dans une position pas très agréable, il glissa sa main entre mes jambes et me masturba. Dans la position où était Isa, elle ne perdait pas une miette du spectacle.

Il me retourna et je dus m’allonger sur la table, cuisses ouvertes, je fis en sorte qu’Isa puisse continuer à tout voir pendant que papy me léchait le clito. Je jouis en hurlant car il me mordit le clito au moment où le plaisir monta en moi.

« Va rejoindre Isa à la piscine et merci encore pour tout. Tu es une gentille petite-fille, je connais pleins de grand-père qui aimerait en avoir une comme toi. »

J’allais dehors voir Isa.

« Tu n’as pas trop mal au clito et aux nichons ? »

« Non ça ira, heureusement c’est les fesses qu’il mord le plus fort. Le reste ça dépend mais le clito, il n’a pas été trop fort. Tu aimes ça, regardait ? »

« Oui et j’ai vu que tu avais fait en sorte que je puisse en voir le plus possible. Faut pas que grand-père le sache, il m’a dit qu’il te caresserait le moins possible devant moi car c’était gênant pour lui. Mais j’ai bien vu qu’il ne pouvait pas s’en empêcher. En tout cas, depuis qu’il te touche, il n’est plus grincheux.»

La nuit suivante, il vint dans ma chambre. Il tenait à la main un gros gode.

« Regardes ce que m’a donné Isa. Allonges-toi. Pourquoi tu t’allonges dans ce sens, tu ne vas pas être bien, la tête dans le vide ? »

« J’aime être dans cette position, je ne vois pas tout ce que tu me fais et c’est meilleur. »

En fait, je me mettais dans ce sens pour qu’Isa puisse voir, elle me l’avait fait promettre mais ne m’avait pas dit pour le gode. Grand-père dut se mettre dans l’autre sens et les jambes dans le vide pour me lécher le clito et pouvoir me goder en même temps mais tant pis. Je vis la porte d’entrouvrir heureusement grand-père étant occupé sur mon clito, il ne la vit pas. Il me fit jouir une première fois et me défonça la chatte avec le gode, ce qui me fit jouir une deuxième fois. Je criais de plaisir sans retenue. Mais quand il me mordit le clito, je soulevais le bassin, je criais de douleur, mon grand-père lâcha et me lécha à nouveau le clito. Puis il me mordit à nouveau toute la chatte, le ventre. Il remonta sur mes seins qu’il lécha, suça. Il titillait mes tétons à coup de dents puis tira dessus toujours avec les dents. Je gémissais mais pas toujours de plaisir.

« Isa m’a dit que tu aimais la fessée ? Alors prépares-toi. »

Il me mit en travers de ses genoux et me fessa. Je gémissais de plaisir, mes fesses chauffaient sous les claques. Mon clito excitait frotter sur le tissus du pantalon, il s’en fallut de peu que je jouisse sous les claques.

« Debout ! »

Debout, face à lui, il me claquait les seins à la volée.

« Tu aimes ça petite cochonne. Allonges-toi sur le dos, on va voir si tu aimes aussi sur la chatte ! »

Allongée sur le ventre, cuisses écartées, je reçus la fin de ma fessée sur la chatte.

« Regardes-moi, ça, ton clito est gonflé et tu mouilles ! »

Il me titilla le clito et je jouis comme une folle. Tellement l’excitation était forte après tout ce qu’il m’avait fait et Isa qui matait tout. Elle entra dans la chambre au moment je criais une dernière fois.

« Vous pourriez faire moins de bruit tout de même. »

J’étais allongée en travers du lit, le corps rougit par les claques, gémissant encore de plaisir. Elle ne me quittait pas des yeux.

« Tu as raison ma chérie, on devrait aller se coucher et elle aime être fessée. Quelle jeunesse.»

Il sortit de la chambre, Isa resta un peu. Elle m’observait et regardait les marques sur mon corps. Je sentis son doigt le parcourir, je frissonnais sous la caresse.

« Tu m’avais raconté pour ton oncle, mais j’avais dû mal à imaginer. Maintenant, je vois très bien. Tu es une sacrée salope ! »

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