1) Première fois avec Clem
L’histoire que je vais raconter est réelle et continue encore aujourd’hui à l’heure où j’écris. Je m’appelle Alexandre et au moment où cette histoire se passe, j’avais 24 ans. Je suis assez mignon à ce qu’on me dit, grand, assez mince mais relativement musclé. Je suis brun avec des yeux bleus. Cela faisait deux ans que je sortais avec Stéphanie, une belle brune bien formée avec un cul à damner un évêque. En somme tout se passait bien mais au lit ce n’était pas ça. Un jour, sa mère me téléphona pour me demander si Clément son petit frère de 17 ans pouvait venir dormir chez moi. Il avait un examen important sur Paris et elle avait pensé que ce serait plus pratique vu qu’ils habitent en province.
C’est ainsi que Clem vint chez moi deux jours après. Clément était un garçon châtain, bien formé et très attirant qui avait beaucoup de succès auprès des filles. Ce jeune mec très extraverti était comparable à un dieu grec. Nous avons donc commencé par boire un verre et à parler de tout et de rien. Nous en sommes venus à parler de sa sour et la conversation a très vite tourné sur le sexe. On s’est raconté certaines de nos expériences et je me suis rendu compte que pour son âge il avait plus d’expérience que la moyenne. L’alcool nous ayant miné la tête et nous rappelant que nous devions nous lever tôt, nous allâmes nous coucher dans l’unique lit deux places de mon appart, tous les deux en caleçon.. Pendant la nuit, ma tête tanguait et je me suis couché sur le côté. A un moment, j’ai senti Clem se coller derrière moi. Je sentais son bassin qui se rapprochait imperceptiblement vers mes fesses et à un moment j’ai senti son caleçon gonfler. Cette situation me troubla. Il est vrai que je m’étais déjà surpris à regarder ce jeune mec à la piscine mais jamais je n’avais franchis le pas avec un mec ! Il posa sa main sur moi et je sentis son souffle chaud dans ma nuque. J’étais anesthésié et ne réagissais pas. Sa main glissa dans mon caleçon et saisit ma bite déjà bien dure malgré moi et commença délicatement à me branler. Et là je ne sais pas ce qui m’a pris mais je me suis retourné pour l’embrasser. Sa langue caressait la mienne puis lui saisissant la tête je le poussais sous la couette. Il enleva nos calbutes et commença à m’embrasser les couilles tout en remontant par de petits baisés vers mon gland gonflé. La sensation était divine. Je fermais les yeux tout en imposant mon rythme en maintenant sa nuque. J’étais très étonné car d’abord très entreprenant il était maintenant très docile. Il faut dire que je suis plutôt dominateur et que les rapports dominant soumis m’excitent. Sentant que j’arrivais à l’orgasme je le fis remonter et je l’embrassais vigoureusement, savourant l’odeur de ma bite au travers de ses lèvres irrésistibles qui faisaient tant craquer les femmes. Elles étaient à moi maintenant. Je l’ai mis à 4 pattes, jambes bien écartées et lui ai mis les poignets sur chaque cheville. Là, ses fesses étaient écartées malgré lui et je constatais que sa rosette était rasée !! Il était dans une pose obscène et ne bronchait pas. Je m’approchais de son anus à la saveur musquée et entrepris de lui faire un bon anulingus en tournant ma langue doucement autour de sa pastille puis en essayant de l’enfoncer le plus loin possible dans son cul qui palpitait sous la caresse. Il avait l’air d’apprécier car il gémissait de plus belle et frissonnait. Je sentais que son fion se détendait. Je me suis penché pour prendre le tube de lubrifiant dans mon tiroir et lui en mis une goutte sur l’anus. Il eu un frisson.
-Ahh c’est froid dit-il.
-T’inquiète ça va passer ta sour a aussi eu droit au même traitement.
Je lui massais un peu son trou et le sentais se détendre de plus en plus. J’y entrai un doigt, puis deux, puis un troisième avec une aisance déconcertante.
Puis je me mis en position et posa ma bite à l’entrée de son anus. Je savourais ce moment qui me paraissait irréel. J’allais enculer Clem ! Il attendait là, à ma merci, mon bon vouloir.
Je commençais a entrer le gland, et j’entendais des petits cris étouffés. Je poussais encore un peu et je voyais ses ongles rentrer dans la peau de ses chevilles. Ses orteils étaient écartés. Je m’arrêtais un moment pour que son anus soumis s’habitue à la bite de son nouveau maître. Je poussais une ultime fois et j’étais bien à fond en lui et mes poils touchaient ses fesses imberbes. Clem soufflait très fort. J’entrepris un lent va et vient. Son anus brisé émettait de petits bruits au fur et à mesure que j’accélérais la cadence. Clem commençait à gémir et à me lancer des mots crus.
-Prends moi bien profond . Plus fort.
-Dis que t’es ma chienne.
-Je suis ta chienne. Ne t’arrête pas.
-Tu aimes ma bite ?
-Oui !!!!!!!!
— Tu vas être ma petite pute hein ?
-Oh oui mon cul est à toi.
Je le retournais lui mettant les pieds en l’air pour voir sa tête en se faisant baiser, lui le playboy. Ses traits étaient déformés par l’extase de se faire limer comme une de ces filles avec qui il sortait.Je levais les yeux pour voir ses pieds dont les orteils étaient complètement crispés par le plaisir qui l’irradiait. Je lui roulais une galoche et là tout son corps se crispa. Son anus palpitait autour de ma queue et il poussa un énorme râle. Je le suivi et lui déversais des litres de semence en 5 ou 6 éjaculations. Jamais je n’avais autant jouis. Je retombais sur lui et l’embrassa langoureusement. Puis je ressortis ma queue tout en posant mon doigt sur son trou béant pour que le sperme ne s’échappe pas et la lui tendis.
— Nettoies la queue qui t’as donné tant de plaisir.
Silencieux il ouvrit la bouche et sa langue s’activa autour de ma bite salie de mon sperme et de petites traces brunes et me la rendit propre.
-Ok j’ai beaucoup aimé ce qui s’est passé lui dis-je.
-Moi aussi tu m’as baisé comme un dieu.
-Tu dormiras sur le ventre avec ton majeur dans ton trou pour éviter que mon sperme sorte de ton cul. Ca m’excite.
-Comme tu veux. Après ce que tu m’as fait vivre tu peux tout me demander.
Il suça son doigt avant de le mettre dans son anus élargi. J’étais stupéfait de la soumission de ce jeune ado que deux heures avant je ne regardais pas de la même manière.
Je souris en pensant à tout ce qui se présentait à moi dans cette optique.
La suite très bientôt.