Marc arriva à peine 5 minutes après le coup de fil de Roger.
Roger l’accueillit nu, signe qu’ils avaient déjà une grande complicité.
Roger avait tenu à ce que je me déshabille entièrement et que j’attende à genoux, les mains sur la tête, au pied du canapé, face à l’album ouvert sur celui-ci , à la page où je l’avais laissé.
Je devais rester silencieux, regard baissé. Je fis le vide en moi, comme pour me préparer à être rempli par ces 2 hommes avides de chair fraîche…
Roger : "Tu vois, je t’avais bien dit ! Elle est là bien docile à attendre !"
Marc : "Faut reconnaître que malgré la beauté des photos que tu nous a montrées, elle est bien plus belle en vrai !"
"Nous" ? Roger a montré les photos à plusieurs personnes ?
J’étais interloqué par cette révélation….
Marc se déshabilla rapidement et tous deux vinrent s’assoir sur le canapé, de part et d’autre de l’album, leur queue raide.
L’album était toujours ouvert sur la photo de ma bouche distendue par la grosse queue de Roger…
Chacun d’eux m’attrapa une main et la posa sur sa queue.
Marc : "Bonjour Gustave, j’ai vu ton corps et tes possibilités sur les photos que j’ai pu voir et j’ai eu immédiatement envie d’en profiter et je dois te dire que je ne suis pas déçu !
— Tu as vraiment un corps tel que je les aime, jeune, imberbe, fin, petit gabarit, souple, et en plus, d’après les clichés, tu sembles être très gourmande.
— J’espère que ma queue ne te fait pas peur, elle est un peu plus grande et grosse que celle de Roger, mais on a pu constater, grâce au Testeur, que tu peux supporter du gros calibre, alors…
— La mienne fait 22cm de longueur et 6cm de diamètre, environ. Avec Roger, on fait partie d’un groupe d’hommes murs bien membrés amateurs de jeunes tapettes, mais aussi de femmes ou de couples.
— Je suis le président de cette "association" non officielle…
— Si ça te fait envie, tu pourras profiter de nos "membres" actifs, ah ah ah !"
Bon, j’étais fixé sur ce personnage et sur mon éventuel sort futur…
Pendant qu’il me parlait, j’avais, de moi-même, commencé à les branler, et effectivement, la queue de Marc était plus imposante encore que celle de Roger, mais ça ne me faisait pas peur, au contraire, elle me faisait terriblement envie !
Marc : "Allez, goûte un peu à ma bite ! Elle est toute propre, spécialement pour ta bouche et ton cul que je compte bien investir…"
Sans rien dire, je me penchai et gobai son gland. Et effectivement, c’était limite pour ma bouche… Je repensai à la gorge profonde de tout à l’heure avec Roger et me dis qu’avec Marc, ce serait difficile à envisager…
Roger : "Ça va te distendre encore plus la bouche que sur la photo ! Ah mince, je n’ai pas mon appareil à portée de main ! On fera des photos plus tard ! Tant mieux! Ça va nous permettre de mieux profiter de tes petites mains, de ta bouche et de ton jeune cul de salope, pour cette première à 3"
Ma main droite avait du mal à faire le tour de la grosse bite de Marc. Je décidai donc d’y mettre mes 2 mains en abandonnant la queue de Roger.
Même côte à côte, mes mains ne couvraient pas toute la longueur de ce gros chiffre turgescent
Je me tournais donc complètement vers Marc et décidai d’enfourner son gland qui lui aussi avait une belle taille, tel un champignon.
Juste passer mes dents était déjà un exercice difficile…
Il régnait un silence pesant.
Roger regardait la scène en se branlant, lentement.
Marc passa une main derrière ma tête pour appuyer un peu et tenter de faire rentrer sa queue un peu plus loin que la limite de son gland.
Dans le plus grand silence, il prit mes mains et me les mit dans le dos, comme pour rappeler que l’usage de celles-ci était limité au branlage et que dès que je m’attaquait à sucer, il fallait que je le fasse uniquement avec ma bouche.
Ensuite, il prit ma tête à 2 mains et commença à me pilonner la bouche, d’abord lentement, et sans forcer, puis, progressivement, il amplifia le mouvement, me provoquant des hauts-le-coeur, et une production phénoménale de bave.
Marc : "Tu baves bien ma petite chienne… Je te défonce bien la gorge…"
Il disait ça dans le plus grand calme.
Roger était descendu du canapé, était passé derrière moi, et avait décidé de s’occuper de mon anus.
Il m’écarta d’abord les fesses le plus qu’il pouvait et cracha sur ma rosette.
Il m’intima ensuite l’ordre d’écarter moi-même mes globes
Il m’enfonça alors un doigt qu’il fit aller et venir, puis un deuxième.
Ensuite il me lécha le cul d’abord avec sa langue bien large et bien baveuse pour bien me lubrifier le trou, puis de manière plus pénétrante.
Roger : "Écarte bien ton cul, petite pute, que je te le prépare bien…"
Après quelques minutes de ce traitement, il pointa sa queue et sans ménagement, l’enfonça jusqu’à la garde.
Roger : "Continue à t’écarter les fesses, je veux bien voir ma queue te bourrer le cul"
Les deux compères synchronisèrent leur rythme afin d’alterner leurs pénétrations, profondes et intenses.
J’étais dans un état second, avec un sentiment extrême de plaisir, mêlé d’humiliation, et j’aimais être rempli de la sorte, être utilisé pour le bon plaisir de ces vieux vicieux avec la promesse de jouissances futures au service de cette association…
Sentant que j’étais à leur merci, et comme pour encore plus assoir sa domination, Roger, d’une main, me prit les poignets et me les tint bien en l’air et de son autre main, il se mit à me claquer les fesses de toutes ses forces.
De concert, ils accélérèrent leur défonçage.
J’étouffais, je bavais, je n’étais plus qu’une poupée de chiffon qu’ils agitaient à leur guise.
Et dans un râle simultané, les deux salauds se vidèrent chacun dans l’orifice qu’ils occupaient, Marc directement au fond de ma gorge et Roger au plus profond de mon rectum.
Je fus, pour la première fois, doublement rempli et sans même me toucher, ce remplissage me provoqua une phénoménale éjaculation doublée d’un orgasme dément.
Je perdis connaissance.
À mon réveil, Marc et Roger semblaient tous deux inquiets…
Mon sourire les rassura !
Roger : "Pfiou ! Tu nous a fait peur !
Moi : "Wouah ! Je n’aurais jamais cru vivre un tel plaisir ! Quand est-ce qu’on recommence ?"
Marc : "Doucement ma p’tite, nous avons appris à ménager notre monture ! Et avec c’que t’a pris, il te faut un certain temps de récupération ! Mais je peux te garantir qu’on remettra ça dès que possible ! Mon gros gland a trop envie de te distendre le fion !"
Roger : "Alors, t’es libre quand ?".