Histoires de sexe arabes Histoires de sexe en français Histoires tabous

Sylviane, pute à en devenir. – Chapitre 9




On sirote nos flûtes et on mange des amuse-bouches préparés par Aurélie. Un délice. Elles sont à genoux de chaque côté de la table basse, moi, affalé dans mon fauteuil. Aurélie se rapproche de moi et toujours à genoux, elle met ses mains sur les cuisses, paumes vers le haut.

— Je t’écoute, Aurélie.

— Vous savez que j’ai une sur, Amandine…

— Oui, jamais vu, et ?

— Voilà, elle s’est fait virer de chez son copain de Marseille. Elle est à Toulon mais n’ose pas revenir habiter ici.

— Et tu voudrais que je l’accueille. Et toi Sylviane, étais-tu au courant ?

— Non, Maître. Je savais qu’entre elle et son copain ça n’allait pas fort, mais pas plus, Maître.

— Elle est où actuellement ? Demandais-je à Aurélie.

— Au foyer, place d’Armes…

— Tu as son numéro ?

— Son portable, oui.

— Appelle-la et explique-lui les conditions de vie ici.

— Elle est au courant, Monsieur.

— Bien, habille-toi et va la chercher. Quant à toi, Sylviane, débarrasse-moi tout ça.

Aurélie est partie tout sourire. Sylviane fait la petite vaisselle. Ce gros cul qui se dandine devant le bac me réjouit. Je me lève et me place derrière elle, assis sur le tabouret.

— Elles sont cachotières.

— Oui, Maître, très.

— Je n’ai jamais vu ton Amandine. Comment est-elle ?

— J’ai des photos si vous voulez, Maître.

— Bonne idée. Finis ta vaisselle et rejoins-moi dans le salon avec les dernières photos d’Amandine.

Elle arrive très vite avec cinq clichés. Amandine est un mixte de sa mère et de sa sur. Taille moyenne, Cheveux bruns, yeux noisette, une bouche pulpeuse. Sur une des photos, elle est en bikini. Une paire de seins plus qu’honorable. Elle a des formes et un cul qui y n’a rien à envier à sa génitrice.

— Où la vois-tu dans notre petit cocon ?

— Là j’en sais rien. C’est une rebelle. Me dit-elle avec larme à l’il.

— Raconte-moi tout… Pas de Maître ou de Monsieur.

Elle se met entre mes cuisses et pose ses mains dessus. Elle commence sa narration. Ce n’est pas Aurélie la responsable du bordel lors de ma première visite, mais Amandine. Rebelle, souillon, elle en faisait voir de toutes les couleurs à elle et Aurélie. Aurélie s’étant même réfugiée chez les voisins pendant quelque temps. Elles se retrouvaient le week-end et c’est lors de ces retrouvailles qu’est née leur relation incestueuse. Sur la dernière photo, on peut y voir Amandine dans la salle de bain, nue. Cliché volé par sa sur. Ravissante.

— Bien, je sais où sera sa place, à vos pieds. Va préparer le gros collier, mes bracelets, le paddle et le bâillon et met dans la salle de bain.

— Cela ne sera pas facile de lui faire accepter tout ça.

— C’est mon affaire.

Quand on entendit le bruit des clés dans la serrure de la porte d’entrée, le visage de Sylviane se décompose. Aurélie entre la première et enlève sa longue parka. De voir sa sur nue est un choc pour Amandine qui n’a pas encore vu sa mère et moi, dans la même tenue.

— Qu’est-ce que tu fais, t’es folle ? Lui dit Amandine.

— Non, j’obéis à Monsieur. Lui répond Aurélie en me désignant d’un coup de tête.

Elle me regarde et aperçois sa mère. Pétrifiée, elle n’ose pas bouger. Je m’avance vers elle, lentement, ma queue balançant entre mes cuisses.

— Mais vous êtes malade, crie-t-elle en s’avançant vers sa mère telle une furie.

Je l’arrête dans son élan en la retenant par les cheveux. Je la gifle sur les deux joues. Stoppée dans son élan, elle m’injurie, m’insulte, essaye même de me frapper. D’un geste rapide de ma jambe droite, je la mets au sol. Toujours retenue par les cheveux, je lui crache à la figure.

— Arrête-toi immédiatement. Si j’ai accepté ton retour c’est pour que tu ne fasses pas la pute dans un bar minable de Toulon. Alors, stoppe et mets-toi à genoux.

Saisie par ma conduite, elle se met à genoux en minaudant. Mon sexe est à quelques centimètres de son visage. Je lui demande de se mettre en tenue, à poil.

— Jamais, je ne suis pas comme ces deux putes…

Nouvelle gifle, mais appuyée celle-là. Je réitère ma demande. Les larmes aux yeux et les mains tremblantes elle ôte son blouson sans forme et le tend à sa sur.

— Allez, on t’attend, plus vite. Mets-y un peu du tien.

Elle enlève son pull qui n’a plus de forme. Son soutien-gorge est tout sauf attrayant. Un vulgaire bout de tissus avec des baleines et des sangles déformées. Mais ce qui se cache dedans est plus appétissant. Deux grosses mamelles aux tétons énormes. Pour son jean crado, elle se contorsionne pour faire passer une, puis deux jambes. Son slip ressemble plus à ceux que portent les petites filles. Je lui demande de me le donner. Il a des traces, preuve que son hygiène intime n’est pas son fort. Je le prends entre deux doigts.

— Hé bé, il était temps que l’on te récupère. Ce n’est pas en pute que tu aurais fini, mais en vide couilles des SDF de Toulon. Allez, lève-toi et arrête de pleurer. Elle se lève et je l’inspecte. Elle ne sent pas la rose, loin de là. Je demande à Aurélie de descendre les affaires de sa sur au local poubelle. Elle le fait sans rechigner et descend cet amas de frusques. Je ne lui ai rien dit, mais dans la confusion, elle y est descendue à poil. Ce qui me fait sourire. Amandine semble être la souillon décrite par sa mère la chatte est une forêt vierge, tout comme ses aisselles. Je lui tire ses poils de son sexe.

— Aïe, tu me fais mal, CONNARD…

Je lui administre un allez-retour violent. Elle se fige est me regarde avec dégout. Je lui pince les tétons. Je lui dis de se calmer.

— Ecoute-moi bien, je n’aime pas me répéter. Tu m’appelleras Monsieur, tu n’as plus le droit de sortir d’ici sans mon autorisation ou celle de ta mère. Tes sorties se feront toujours accompagner de ta sur, de ta mère ou de moi. On va te rendre une apparence humaine, parce que là, tu ressembles plus à une serpillière qu’a la fille que j’ai pu voir sur les photos. Pour ce qui est de la vie ici, c’est à poil. Enfin, je veux dire sans poil. Aucune porte ne doit être fermée. Salle de bain et toilettes comprises. Tu me suis ?

Un hochement de tête et je continue.

— Les taches ménagères sont divisées comme ceci. Tu passeras l’aspirateur tous les jours, sauf le dimanche. La serpillière tous les vendredis matin. Ta sur s’occupe de la cuisine. Est-ce bien clair ?

— Et Maman, elle fait quoi ?

— Ta mère s’occupe de moi. Lui répondis-je en la giflant.

Aurélie entre et voit sa sur dans un triste état. Elle a l’air d’en être ravie. Elle me dit qu’elle a croisé le vieux du premier. Elle lui a dit bonjour et a remonté les escaliers quatre à quatre. Je lui souris.

Je demande à mes deux femmes d’aller laver cette souillon et de la rendre un peu plus présentable.

Après m’avoir été cherché une bière, Aurélie part rejoindre sa mère. J’allume la TV. J’écoute plus ce qui se passe dans la salle de bain que je regarde les images qui défilent.

— Laisse-toi faire, tu verras c’est bon d’être ici ? Lui dit Aurélie. Mieux que dans ton foyer merdique.

— Je vais me barrer. Lui répond sa sur.

— N’essaie même pas. Lui rétorque sa mère.

— Aller, mais putain, tu veux que j’aille le chercher ou quoi. T’en as pas eu assez. Tu veux le fouet ou quoi. Hurla Aurélie. Voilà qui est mieux. Montre-moi tes dessous-de-bras. La vache, il faut faire ça à la tondeuse.

Je rigolais intérieurement. La petite prenait son rôle à cur. Au bout d’une heure, Sylviane vient me chercher pour voir le résultat.

Une fois dans la salle de bain, ce que je vis me ravit. Une fille de plus petite que sa sur et à peine plus grande que sa mère. Les cheveux tirés en arrière, tenus par un chouchou. Le sexe et les aisselles glabres. Ses petites lèvres pendent et son clito dépasse outrageusement. Il bande. Je demande aux filles de l’équiper.

— Quoi, non, jamais de la vie. Vous êtes folles ou quoi ? Bande de malades.

— Ta gueule. Lui répondent en cur mes deux nanas.

Après avoir armé mon bras droit, elle se fige et baisse les yeux. Je demande à Aurélie d’aller chercher sa tenue de soubrette et de la passer à sa sur. Elle part en courant et revient très vite. Une fois affublée de cette tenue, elle est ravissante. Il me vient une idée.

— Bon. Tu es présentable. C’est pas moi qui vais te dresser… Il faut que je téléphone. Attachez-la dans la douche et rejoignez-moi.

— Allo, Kathy ? (Kathy est la gérante du sex-shop). Oui, comment vas-tu ? Bien, bien… Elles aussi vont bien… Oui. Dis-moi, si je t’amène une petite soubrette à éduquer, cela me coutera combien ? Ah, bon… Oui… Non ce n’est pas Aurélie, mais sa sur, Amandine. Elle a vingt ans… Non… Il lui fut une éducation complète… Ah, oui, la totale…. Et quand puis-je te l’amener… Maintenant… Oui, oui, coquine je viens avec elles… Ton adresse, OK, c’est à deux minutes à pied… À tout de suite…

Elles gloussent en ayant entendu ma conversation. Je leur demande d’aller se préparer et de s’habiller "légèrement". J’entends Amandine geindre, les supplier de la laisser partir. Elles arrivent dans le salon. Mes deux salopes en ont profité pour prendre une douche. Elles tiennent Amandine par deux laisses. Une au cou, l’autre aux poignets. Je crois que je vais me rafraîchir aussi.

Je sonne à la grille d’entrée de chez Kathy. Le portail s’ouvre. Elle est sur son perron.

— Salut Hervé. Alors elle est où mon élève.

Je tire sur les deux laisses et amène Amandine devant son éducatrice.

— Bien bel objet… J’aurai préféré Aurélie, mais à défaut de grive…

Elle se saisit de laisse et entre chez elle. Nous rentrons et nous apercevons la soumise officielle de Kathy.

— Je vous présente Chienne Agnès. Elle est formée et va m’aider dans ma tâche.

Agnès est une grande fille blonde d’à peine dix-huit ans, dix-neuf tout au plus. Des yeux d’un vert profond, d’une cambrure parfaite. Elle est vêtue d’un mini short en jean noir et d’un tee-shirt sans manche blanc. Elle lui donne les commandes.

— Dans la cage… J’arrive.

Agnès s’en va dans un couloir avant de refermer la porte. Kathy nous offre à boire. C’est sur le comptoir de sa cuisine américaine qu’elle nous sert. On parle de tout et de rien. Elle n’a d’yeux que pour Aurélie qui a ouvert son manteau et écarté les cuisses, vite imité par sa mère. On se met d’accord pour le paiement. Je lui ai promis une semaine de débauche, tous les six.

On repart dans nos pénates. Sylviane me prend la main. Aurélie, trois mètres devant, dandine son cul. Je lui demande de nous monter ses fesses. Sans hésiter, elle remonte son manteau par-dessus ses fesses. Elle mouille la salope. Une fois arrivé dans le hall de notre immeuble, je leur prends les manteaux. C’est nues qu’elles vont gravir les quatre étages. Quant à moi, j’appuie sur la touche 4 de l’ascenseur

Related posts

Moi! Katia! 19 ans et nymphomane – Chapitre 1

historiesexe

Le journal d'une salope II – Chapitre 1

historiesexe

Échange de mauvais procédés – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .