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La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans – Chapitre 18




e69MDE et esclaveAstrideMDE dans l’aile Nord-Ouest du Château

Maîtresse Maria me mena et ouvrit la porte dans une petite cellule avec un lit métallique assez sommaire à deux places. Il y avait une petite ouverture murale munie de barreaux qui laissait voir les bois du Domaine de mon Maître, et une chaise. C’était tout pour le mobilier.

— « Te voilà dans ta cellule, chien. Allonge toi sur le dos. »

Je m’exécutai avec empressement. Le lit, quoique sobre, était assez confortable. Maîtresse Maria s’approcha et en se penchant vers moi, j’entrevis ses charmes les plus cachés et je pense que mes yeux brillèrent. Elle prit mes poignets et les lia séparément à chaque côté de lit, puis fit de même pour mes jambes. Elle s’apprêta à partir, puis se ravisa et me délia le poignet droit.

— « Comme tu as été gentil, je te laisse la liberté d’une main. N’essaie pas de défaire les autres noeuds, tu n’y arriveras pas. Voilà ! Bonne nuit e69MDE…. »

Elle sortit de la petite pièce et ferma la porte. Je n’essayai même pas de défaire les autres liens, ils étaient trop bien faits. Je m’endormis bien vite, fatigué Le lendemain matin, je fus réveillé par la clarté du jour noyant la fenêtre. Un ciel aux couleurs bleutées par un soleil levant de toute beauté présageait une belle journée. Hmmm… Rien que de penser à la situation laquelle je me trouvais, être ainsi attaché, humilié et à la disposition du premier venu, mexcitait dès mon réveil. Je sentis mon sexe se durcir… Sans pouvoir résister, ne sachant pas si se masturber était interdit dans cette aile du château, ma main libre se dirigea vers mon pénis et commença à le branler rapidement. Au bout de quelques minutes, j’étais près à jouir, lorsque la porte de ma cellule s’ouvrit dun coup pour laisser entrer un homme grand tout vêtu de noir, que je ne connaissais pas. Il fit quelques pas dans la cellule avant de me regarder dun air de remontrances et de dévisager avec surprise ce que j’étais en train de faire. Évidemment, je m’étais arrêté brusquement lorsqu’il était entré mais je n’avais pas enlevé ma main de mon pénis en érection. Aussitôt, sans rien dire, lhomme sortit de la chambre en fermant la porte. Inquiet, je reposai ma main à côté sur mon ventre

Quelques minutes après, je vis entrer dans la pièce une très belle femme brune, portant une combinaison de latex, suivie du même homme. Ils avaient à la main des chaînes et des cravaches ainsi que multiples et divers accessoires qui, passés à leurs ceintures, montraient une détermination à punir. LHomme me fixa d’un regard noir et prit la parole :

— « Alors comme ça chien, on prend du plaisir, à la branlette ? Tu vas apprendre quici seul les dominants décident si tu es autorisé ou pas à ce petit plaisir de chien de rue »

Alors Ils s’approchaient de moi ! Très rapidement, la femme me détacha les jambes, tandis que lhomme me passait un bâillon-boule et attachait une grosse laisse à mon collier. La femme brune me déliait les mains pour me les attacher aussitôt dans le dos. Ne pouvant rien dire et étant complètement prisonnier, Ils me levèrent et me tirèrent grâce à la laisse jusque dans le couloir. Là, Ils m’entraînèrent vers une salle tout au bout de la coursive En entrant, je vis un mobilier à disposition symétrique : D’un côté de la salle, un fauteuil avec en face une machine carrée dont dépassait un bras métallique avec au bout un gode. De l’autre côté, encore un fauteuil avec en face de lui, la même machine, mais dont le bras se terminait par un anneau. C’est vers celui-ci quIls m’emmenèrent. En quelques secondes, j’y étais attaché et ne pouvais plus faire aucun mouvement. Lhomme se plaça face à moi en me regardant sévèrement, tandis que la femme se penchait vers la machine dont le bras était tendu vers mon entrejambe. Très vite, lhomme plaça sans difficultés mon pénis dans l’anneau. Il ajusta le diamètre de celui-ci à la grosseur de ma verge. Je bandais plus que jamais. Quand ce fut fait, la femme mit en marche la machine qui émit un petit bruit de moteur et commença à me branler doucement, son bras métallique bougeant avec l’anneau autour de ma queue de haut en bas. Je ne compris pas très bien, jusqu’à ce que lhomme prit la parole dune voix quasi glaciale :

— « esclave69MDE, comme il est interdit de se branler sans autorisation, nous allons te punir avec la machine. Cela t’épargnera l’effort de bouger ta main ha ! ha ! ha !» dit-il en ricanant sadiquement.

En fait, je ne compris toujours pas très bien quelle était la punition, jusqu’à ce que le bras s’accélère. Évidemment, je jouis très vite, mais le bras continua aussi très vite et ma queue commençait déjà à être endolorie. Je poussai un gémissement.

— « Ah oui… On commence déjà à fatiguer ? Eh bien nous allons encore te laisser un moment avec la machine, petit esclave ha ! ha ! ha !… »

Après avoir poussé un nouveau bouton sur la machine, Ils quittèrent la pièce et verrouillèrent la porte, me laissant seul avec la machine qui continua à me branler tandis que j’avais de plus en plus mal et aucune, aucune envie de bander de nouveau … Je compris que la machine était équipé dun capteur qui permettait à lanneau de se fermer ou de souvrir en sadaptant en temps réel à la grosseur de mon sexe. Javais donc un sexe mou mais lanneau sétait parfaitement refermé à son petit diamètre et continuait ainsi cette traite forcée de ma nouille. Au bout de quelques minutes, la machine aidant, une nouvelle érection puis une nouvelle jouissance, puis de nouveau un sexe mou

Je n’avais aucune notion du temps, mais je pensais qu’une heure avait passée et j’étais toujours branlé par la machine qui ne me laissait aucun répit. Ma queue n’était plus que douleurs. J’avais joui quelques fois, pour essayer d’atténuer la punition que j’avais méritée, c’est vrai. Mais je ne pus pas faire plus. J’avais depuis longtemps compris que mon siège était réservé aux hommes tandis que l’autre, avec le petit gode au bout, devait servir à pénétrer des soumises pendant des heures… Je ne souhaitai vraiment à personne ce traitement. Mon pénis était maintenu en érection par l’anneau. J’avais si mal que désormais je gémissais en continu.

Soudain la porte s’ouvrit et je reconnus les deux personnes qui entrèrent. Il y avait lhomme de tout à lheure, précédé d’une soumise totalement nue et munie d’un bâillon-bouche et d’une laisse qui marchait à quatre pattes. Mais je connaissais bien cette soumise, cétait une esclave de mon Vénéré Maître, esclaveAstrideMDE ; Mais que faisait-elle ici ? Mon Maître lavait-il aussi offerte, prêtée pour la semaine à Maître Ranvier ? Je neu pas trop le temps de me poser des questions.

Lhomme entraîna esclaveAstrideMDE vers le fauteuil pour femmes, qui était à ma droite. Il l’attacha solidement et lui obligea à écarter les jambes en les fixant ainsi avec une barre métallique de maintien. Puis, Il alla vers la machine et la mit en marche. Aussitôt, le bras métallique terminé par un gode se dirigea vers l’entrejambe de la soumise qui commença à râler. Cette machine aussi avait un capteur qui permettait de changement de diamètre du gode, selon le diamètre du vagin. Lhomme accéléra la cadence et la chienne gémit. Je trouvai cela terriblement excitant, tout en étant moi même branlé douloureusement sans arrêt. Quand Lhomme eut fini d’installer esclaveAstrideMDE, Il se tourna vers moi et s’approcha silencieusement, sans un mot, juste et toujours avec cette sévérité dans le regard. Il passa sa main sur mon bas ventre et s’approcha de la machine. Reconnaissant, je pensai qu’Il allait arrêter la machine, mais Il toucha un bouton. Aussitôt, le mouvement infernal s’accéléra et doubla de vitesse. J’explosai entre douleur et jouissance, et Lhomme me regarda en me fixant droit dans les yeux et ricanant avec perversité :

— «Ha ! ha ! ha !.., test vraiment quun chien esclave Ha ! ha ! ha !..,»

Puis Il sortit de la pièce, me laissant gémir en même temps quAstride.

Une heure plus tard, j’étais toujours attaché au siège. J’avais très mal, et la soumise à côté avait l’air de souffrir aussi. Soudain, la porte fut déverrouillée et Lhomme et la femme brune de tout à lheure entrèrent dans la pièce. Moi et Astride, nous les regardions avec des yeux suppliants, et la femme se dirigea vers la machine de la chienne pour l’arrêter. Elle libéra la soumise et l’entraîna vers mon siège sans lui laisser le temps de souffler. Pendant ce temps, lhomme arrêta la machine laquelle jétais prisonnier. Je poussai un dernier gémissement, de soulagement cette fois. Cependant, j’étais toujours attaché étroitement au siège. Lhomme enleva l’anneau d’autour de mon pénis et recula. Puis, il enleva le Bâillon-boule desclaveAstrideMDE et là força à se mettre à genoux, devant moi, entre mes jambes.

— « Allez, suce ce chien, esclave, lèche son sperme sur son ventre, nettoie tout chienne ! »

La soumise s’exécuta docilement, et commença à me faire une fellation assez sauvage. Aussitôt, je gémis. J’avais l’impression que ma bite était coincée entre deux enclumes qui se resserraient. Puis mes couilles étant vidées darchi vidées, et ce malgré les bonnes succions dAstride, je bandais mou. Alors lesclave se mit avec sa langue à nettoyer mon sperme épandu un peu de partout.

Les Dominants parurent satisfaits et La femme brune rappela bientôt la soumise, qui vint se poster à ses pieds, la tête basse.

— « Bien ! La douleur devrait mettre quelques jours à se dissiper. »

Je voulais bien les croire… Lhomme me détacha, mais me laissa le bâillon, et attacha une laisse à mon collier. Il me tira et je me mis à quatre pattes, en mapercevant que la femme avait fait de même avec esclaveAstrideMDE. Puis évoluant ainsi tels des chiens dociles, nous suivons à la laisse, nos Dominants à travers les longs couloirs du château, ne sachant pas où ils nous menèrent

(A suivre )

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