Les trois hommes se collaient à moi pour me peloter, m’embrasser. Ils se sont déshabillés rapidement et je me suis retrouvée en levrette avec une belle bite dans la chatte et une autre dans la bouche. L’homme qui me baisait s’était servi dans mes capotes et m’enfilait à grand coup de reins très lents, me serrant par les hanches. Il me projetait à chaque pénétration vers la bite de celui que je suçais. La bite sentait fort mais ce n’était pas désagréable. Ils ont changé plusieurs fois, j’étais toujours en levrette. Ma chatte dégoulinait de mouille. Chacun allait de quelques mots me traitant de bonne salope, de pute et autre. Comme à chaque fois cela fait monter la tension et la partie de baise ne s’en trouvait que plus chaude. Devant ma réceptivité à me faire baiser, l’un d’eux a varié les plaisirs, m’introduisant un doigt dans l’anus. Voyant le peu de résistance de ma part, il en a mis un second, puis se servant de ma mouille comme lubrifiant, m’a enfoncé sa bite dans le cul. Comme je suçais toujours une bite et voyant mon cul aller à la rencontre du sexe ils ont compris que j’étais habituée à baiser avec plusieurs partenaires. Chacun leur tour ils m’ont enculée. Le temps passait, et le chien jappait toujours à la porte.

Le stock de capotes diminuait, je n’ai jamais accepté de sucer une bite qui vient de m’enculer. Je n’arrêtais pas de jouir. Ils m’ont fait me relever, l’un s’est allongé sur la table basse et m’a demandé de m’empaler dessus. J’ai compris de suite ce qu’il allait faire et je m’y suis soumise bien volontiers. Je me suis retrouvée avec une bite dans la chatte, une dans le cul et une autre dans la bouche. J’ai encore joui immédiatement. Ils ont joué avec mon corps pendant encore une dizaine de minutes. Le premier à lâcher à été celui que je suçais. Il m’en a mis plein au fond de la gorge au moment ou je lui ai mis un doigt dans le cul. Sans me demander mon avis, il a tout déchargé. Comme j’aime le foutre, je l’ai bien nettoyé de ma langue agile. Restaient la bite dans mon anus et l’autre dans mon vagin. Les salops avaient adopté une cadence régulière, pompant un coup la chatte, un coup le cul. Curieusement j’étais fatiguée de prendre du plaisir. J’ai serré les fesses, forçant mon enculeur à jouir rapidement, ce qu’il n’a apprécié qu’à moitié.

Il ne me restait plus que mon baiseur qui lui semblait plus résistant. Je me suis mise à sauter sur son ventre, et dans ma frénésie, je n’ai pas entendu la porte s’ouvrir. Par contre j’ai senti le souffle chaud et la langue râpeuse du chien me couvrir les fesses. La sensation était nouvelle et pas désagréable. J’ai laissé les choses se faire. La tension est encore montée d’un cran dans le bungalow quand les hommes ont constaté ma passivité aux coups de langue du chien. L’homme que je chevauchais, m’encourageait par des mots salaces. Le chien récupérait de sa langue la mouille qui coulait de mon vagin. L’un a dit que peut être je n’en avait pas encore assez. Il a poussé le chien vers moi. Je sentais le souffle de l’animal dans mon dos.

D’un coup le chien a sauté sur mes reins entourant mes hanches de ses pattes. Mon partenaire m’encourageais en me titillant les seins. Je sentais le chien donné des coups de reins dans le vide. J’étais excitée par ce qui allait se passer et par ma passivité. Les trois hommes m’encourageaient à me laisser faire. Je sentais des giclés de liquide chaud s’écraser contre mes fesses et couler jusqu’à l’entrée de ma chatte. L’un des deux s’est approché et a saisi le sexe sorti du chien. Il a grogné un peu mais s’est laissé faire. Comme ma chatte était pleine, le salop l’a dirigée vers mon cul. Heureusement que tous les trois m’avaient bien rodée, La bite était énorme, bien plus grosse que la leur. Le chien que la situation excitait depuis un bon moment avait déjà formé sont knot. Quand il s’est enfoncé tout au fond et d’un coup la boule est venue se stopper à mon cul s’en pouvoir pénétrer. Le chien s’est déchaîné dans un rythme frénétique. Je sentait qu’il m’envoyait des giclés de liquide chaud dans l’anus. Sa grosse queue me faisait jouir sans discontinuer. Mon partenaire avait lâcher son foutre dans la capote dès le début, s’extirpant non sans mal de dessous moi pour jouir visuellement du spectacle. J’ai cambré mon cul, baissé mes épaules vers la table basse pour que le chien puisse m’enculer plus loin. Enfin après quelques minutes, il s’est cramponné à moi de ses pattes avant, il est resté collé et m’a envoyé des jets chauds et saccadés au fond du cul. Les trois hommes ébahit par le spectacle ne disaient mot. Moi je continuais de jouir. J’appréciais la chaleur de ce liquide dans mes entrailles, comme un liqueur apaisante. Le chien s’est décollé et après s’être lécher la queue est venu me lécher le cul. La porte s’est ouverte à cet instant sur un homme noir habillé d’un uniforme. Stoppant net sur le seuil Il a laissé échapper le chien qui sont acte accompli sentait qu’il était de trop. Le nouveau venu était le vigile du chantier. Il a été surpris de nous voir tous les quatre nus, moi les seins collés à la table le cul à l’air. Le chien qui l’accompagnait ne s’est pas posé de question. Les odeurs qui flottaient dans la pièce étaient explicite pour lui. D’une Brusque détente la laisse a échappé à la main du maître, tout de suite ma chatte s’est trouvée envahie d’un nouveau sexe. Moins gros que le premier le chien me pompait la chatte avec encore plus d’ardeur. Je sentais sa bite au moins aussi volumineuse que celle de son congénère taper au fond de ma matrice. Il a renforcé sa prise de ses pattes avant, poussé plus fort, et j’ai senti une grosse boule se former dans mon ventre. J’avais la chatte écartelée, le souffle coupé. IL a pris appui sur mon dos, ses pattes arrières ne touchaient plus le sol. Il se vidaient dans ma chatte. Je sentais les traits chauds se son sperme dans mon ventre. Pendant qu’il est resté accroché à ma chatte, j’ai sucé son maître, j’ai avalé au moment ou le chien s’est détaché de mon corps dans un bruit de succion. Pendant que son sperme coulait sur mes cuisses je me léchait les lèvres du jus de son maître, en regardant la grosse boule rentrer dans son fourreau.

Sur le chemin du retour, les jus canins s’écoulaient sur mes cuisses en les lubrifiant. J’ai ri en pensant que mon mari serait très fort s’il arrivait à identifier à l’odeur ou au goût de ma chatte et de mon cul, le nom de mes amants?

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