Le client s’installe sur la table de massage, confortablement. Il est nu, allongé sur le dos. Le bas de ses jambes pend dans le vide. Son calme est exemplaire, surtout quand on sait ce qui l’attend
Elle arrive enfin, au bout d’une attente qui a duré quelques minutes. Elle sait se faire désirer. Il a les yeux fermés, mais il sait qu’elle a revêtu la même tenue que d’habitude. Un petit haut très léger, qui ne fait que retenir sa poitrine, et qui lui laisse toute liberté de mouvement. Un legging fin et noir, sur lequel repose un flacon d’huile de massage accroché à la ceinture.
Lors de son premier geste, la masseuse pose ses mains sur le torse musclé et le caresse langoureusement. Les doigts sinuent doucement sur la peau, et suivent les vagues formées par les muscles saillants. Il est toujours du même calme qu’à son entrée dans la pièce : c’est un habitué, il sait qu’il n’aura qu’une chance, et qu’il ne vaut mieux pas la gâcher à s’exciter pour de telles frivolités.
Le second geste de l’experte laisse courir une de ses mains sur la jambe du bel Apollon, tandis que l’autre reste posée sur le torse, de façon presque possessive. Après avoir furtivement exploré les cuisses, elle remonte vers la zone dont elle sait qu’elle lui donnera le plus de travail : le sexe. Elle n’y reste cependant qu’un court instant. L’attente est maintenue avec adresse.
La troisième étape de son massage commence alors qu’elle presse le flacon pour enduire silencieusement d’huile tout le torse de l’homme. Les mains glissent jusqu’à l’abdomen, laissant derrière elles des traces luisantes sur la peau brillante. L’huile recouvre rapidement tout le corps, à l’exception des parties intimes. Elle garde le meilleur pour la fin, tout en se mouvant silencieusement autour du client apaisé. Sa démarche est féline. Un de ses moments favoris approche, lorsqu’elle se place entre ses genoux, pour laisser ses deux mains glisser du bas ventre vers les pectoraux. Elle adore se pencher au-dessus de ce corps parfait, sans jamais ne serait-ce que l’effleurer.
La quatrième partie de l’acte commence lorsqu’elle prend délicatement le membre ramolli dans sa main, pour l’enduire avec tendresse, jusqu’à ce qu’il s’allonge et atteigne une taille respectable. C’est le moment où l’homme commence à respirer de façon plus audible, et c’est le moment où elle quitte cette zone pour retourner masser le reste du corps. Elle attend qu’il soit presque à nouveau ramolli pour retourner le titiller. Mais cette fois, elle s’y attarde.
Le cinquième geste de ce scénario est donc très ciblé Au cours de ces quelques instants, la proie rebande et voit son gland se découvrir. Généralement, il est déjà humide. C’est bien le cas aujourd’hui. À cette humidité naturelle s’ajoute la viscosité du lubrifiant qui coule des mains adroites. Ces mêmes mains qui torturent doucement toute l’intimité du mâle en souffrance. Elles caressent le membre, lui enserrent les testicules, les tournent un peu, les tirent Jusqu’à ce que leur propriétaire retourne malaxer les chairs sur le torse, l’abdomen et les jambes. Ce petit manège recommence quelques fois, jusqu’à ce qu’elle décide de passer au sixième geste.
Durant celui-ci, la masturbation est reine. Les jambes du mâle sont relevées, légèrement écartées, l’une après l’autre. Les doigts s’approchent souvent du petit trou alors que la jeune femme travaille les bourses avec passion. Comme bien souvent, à chaque fois qu’elle effleure le pli, la queue réagit de façon positive. Elle-même ressent beaucoup de plaisir à effectuer cette petite manipulation. Sentir le morceau de chair rigide palpiter dans sa main lui procure une sensation de douce chaleur dans le bas ventre. Et un sentiment de supériorité évident ! Elle ose alors passer à des caresses un peu plus avancées. Ses doigts titillent un peu plus l’anus du soupirant, puis elle s’amuse à nouveau avec le membre tremblant, en l’orientant vers le bas. Les petites caresses sur le gland et la contrainte infligée sur le reste de la queue font redoubler les pulsations de cette belle chose qu’elle manipule avec tant d’habileté et de savoir-faire. Alors que la masseuse frotte la pointe glissante avec un peu plus de vigueur, c’est tout le corps qui s’anime de petites vagues.
C’est à ce moment qu’elle décide qu’il est temps d’entamer la dernière phase de ce massage en 7 actes.
Durant cette dernière étape, elle ralentit considérablement le rythme, en se concentrant sur de longs mouvements réalisés à l’aide des deux mains. L’une tient la garde, solidement, pendant que l’autre caresse lentement le reste du pieu. C’est à ce moment précis que l’homme pense qu’il a regagné le contrôle. Bien sûr, avec l’habitude, il sait qu’il n’en est rien. Il ressent simplement une sensation de bien-être grisante. La main placée à la base malaxe doucement les bourses, et les doigts se font agiles tout le long du membre. Elle entrecoupe ces caresses de petits tapotements, qui font claquer la peau mouillée. Par moments, elle inflige de discrètes contractions au membre. Puis, lorsqu’elle estime avoir joué suffisamment longtemps avec son plaisir, elle frotte énergiquement ses deux paumes de chaque côté du sexe palpitant. Les mouvements sont circulaires, et une chaleur incroyable se diffuse dans le corps contracté, à partir de la zone de massage. Elle le voit se contorsionner, presque suppliant.
Il souffle, il tremble, il perd pied. Le bâton turgescent qu’elle tient entre ses paumes se contracte délicieusement, envoyant une giclée de liquide chaud sur le ventre de son heureux propriétaire. Puis une autre. Le râle est jouissif à entendre, et il est exquis d’avoir le contrôle d’un tel orgasme.
Les caresses se font plus légères et plus éparses. Quelques minutes s’étirent, paisibles. Elle le quitte enfin, le laissant baigner dans les restes de son plaisir
