Période dessai Chapitre II.
Je mappelle Marie-Jo. Jai obtenu un premier emploi aussitôt mes études terminées. En attendant ma première paie il ma fallu loger dans un hôtel bon marché situé dans un quartier chaud du centre ville de Marseille. Dans lépisode précédent, je fais connaissance du gérant de lhôtel. Bientôt rejoint par son réceptionniste les deux hommes essayent de profiter de moi.
****
Contre toute attente, Monsieur Messaoudi ninsiste pas davantage pour se faire sucer, pourtant depuis le début de la séance, je me laisse faire. Il marrive de contester les ordres donnés, mais je ne proteste que faiblement. Alors, mon manque de réaction et vite perçu comme un assentiment et tout senchaîne.
Ils mordonnent maintenant de me déshabiller complètement devant eux, ne gardant que mon porte-jarretelles et mes bas. Je mexécute, je sens la chaleur menvahir, je ne peux empêcher mes joues de se colorer; mais ce nest pas tout, en inclinant ma tête je réalise que le haut de mon buste est maintenant aussi parsemé de rougeurs. Les deux hommes me le font remarquer en riant. Ils savent que je suis excitée et cela ajoute encore à mon trouble.
Ils se sont confortablement installés sur le canapé, slip baisé, pantalons aux chevilles, ils ont gardé leur tricot de peau qui découvre leur ventre.
Ils sont très poilus et jai honte de reconnaître cela mais la vision de leur gros gland rouge foncé qui émerge de cette forêt de poils bien noirs me fait frémir et je ressens très nettement, par vagues, des ondes de plaisir me parcourir. Je ne peux rien y faire.
La scène est incroyablement perverse. Ces deux vicieux me regardent maintenant baisser puis enlever ma petite culotte, ils parlent et je ne comprends pas ce quils disent mais je nai pas de mal à limaginer car régulièrement ils me montrent leurs grosses queues.
Jentends le mot salope à plusieurs reprises.
Une fois nue, je dois marcher pendant plusieurs minutes à quatre pattes en faisant balancer mes nichons puis avancer comme un crabe, bras et jambes tendus.
Cela est très éprouvant. Ils mobligent à sortie de la chambre et à arpenter ainsi le couloir de létage de long en large. Jai terriblement peur quune porte souvre ou de croiser un client de lhôtel.
Tout en me regardant aller et venir, ils ont repris leurs commentaires et parlent entre eux.
Je comprends quelques termes qui sont très humiliants pour moi. Après mavoir traitée une nouvelle fois de salope, Abdel me demande tout de go, si je suce et avale.
Je fais celle qui na pas entendu ou na pas bien compris, mais ils insistent.
Je réponds que je nai jamais fait cela et que je trouve la chose dégoûtante et dégradante.
Ma déclaration ne provoque aucune réaction. Monsieur Messaoudi qui depuis un moment ne me quitte pas une seule seconde du regard déclare :
— Ma petite Marie-Jo, ton logeur va maintenant te donner la fessée cul nul. Puis il ajoute :
Tu ty attendais ? Allez répond. Vite !
Je ne sais trop que dire si ce nest un petit oui à peine audible.
— Oui qui ?
— Oui Monsieur.
— Et tu sais pourquoi ?
— Euh et bien.
— Non ? Alors répète après moi «parce que jai été très vilaine»
— Jai été très vilaine.
— Et aussi salope ! Allez répète « jai été une vilaine salope allumeuse »
Jai vraiment hâte que cet échange sarrête, je baisse la tête et me tournant vers la caméra :
– Oui, je me rends compte que je mérite une bonne fessée car je me suis conduite comme une vilaine salope vicieuse devant deux messieurs respectables.
Jai peine à croire que cest moi qui vient de dire cela.
La séance fessée se passe dans des positions, là encore, extrêmement humiliantes et pénibles. En particulier, ils me font agenouiller tout au bord dun meuble bas, je suis en équilibre et je dois tendre les bras pour prendre appui sur le sol. Cette posture est sans aucun doute la plus éprouvante de toutes celles que je nai jamais eu loccasion dessayer.
En fait la position est en elle-même une punition. En ayant mon derrière projeté en lair de cette façon je suis excessivement exposée et vulnérable au martinet. Je ne peux rien faire pour éviter les lanières, si ce nest bouger mon cul de gauche à droite, ce qui les amuse beaucoup.
Une fois les fesses bien rouges ils recommencent à me faire sortir cul nul de la chambre. La première fois je nai quun soutien-gorge sur moi et les suivantes je nai que des bas. Je me sens couverte de honte, les joues toutes empourprées, jai le visage aussi rouge que les fesses.
Abdel est le plus vicieux, il bande très fort et se régale à me fesser.
Cela est très humiliant pour moi de voir ce jeune prétentieux pervers me dominer. Mais en même temps je ne peux mempêcher de mouiller. Je suis toute trempée. Il minsulte grossièrement.
Je dois répéter sur son ordre certaines choses en regardant la caméra.
— Oui, oui je suis une salope et jaime être fessée.
Le jeune homme a compris tout le parti quil peut tirer de la situation. Il a de limagination le petit salaud, il va men demander un maximum et je sais déjà quil va montrer photos et vidéos à ses petits copains pour se faire mousser.
Monsieur Messaoudi nintervient toujours pas mais il nen perd pas une miette et je vois bien quil apprécie que je me laisse ainsi par son jeune stagiaire.
Linstant daprès, Abdel sest emparé dune bouteille de vin, il la maintient prés de sa grosse bitte et me demande de le photographier.
Je mexécute et à la demande de Monsieur Messaoudi il me faut encore commenter la scène.
— Alors elle est comment ? demande Abdel
Que puis-je répondre à çà ?
— Elle est grosse
— Grosse comment ?
Ils se rapprochent de moi et je comprends que ma réponse ne leur suffit pas.
Ils me veulent très salope. Si je nobtempère pas ils vont encore me claquer les fesses, je finirais par les supplier darrêter et ils arriveront à leur fin.
La caméra filmera tout et cela sera dautant plus humiliant de me voir céder. Alors autant me plier à leur désir sans plus attendre.
— Elle est grosse comme la bouteille de vin, du cul au goulot sans compter les bourses.
Et avec mes couilles comment tu la voies ma belle ?
Joignant le geste à la parole, il monte puis descend légèrement la bouteille.
— Exactement comme la bouteille, si on compte les
— Et dis nous ma poule, tu ten es déjà enfilée une de bouteille de vin ? me coupe Monsieur Messaoudi.
— Ah non Monsieur, bien sûr que non. Cest dégoûtant pour qui me prenez vous ?
— Pour une petite salope qui va sen prendre une bien belle dans le cul. Timagines bien que Abdel ne va pas sarrêter là. Tout le monde est déjà au courant ici, il a parié quil allait te la mettre bien à fond dans le cul dici la fin de la semaine et que tu allais aimer ça. Alors quen dis tu maintenant ?
Je ne peux mempêcher de penser à Abdel en train de menculer avec son énorme machin. Jai la certitude quil va le faire ou plus exactement quil va essayer. Voyant mon désarroi, le patron sest levé, il me fait face. Je mentends balbutier quelle est bien trop grosse et que je suis bien trop étroite par là, mais déjà Abdel en rajoute :
— Et oui ma poulette dici la fin de la semaine je vais te faire marcher devant tous mes petits copains de long en large dans le couloir avec ma grosse bouteille dans le cul !!! Je vais même tenculer en brouette, les bras tendus et les jambes en lair puis je te ferai descendre et monter les escaliers sur les mains à grands coups de queue.
Lhôtelier reprend aussitôt :
— Allez ma jolie, en attendant approche et écarte les cuisses pour que je passe la main histoire de voir ce que cela te fait à lentrejambe dentendre et de parler de cochonneries pareilles devant une caméra.
— Elle est trempée cette chienne. Elle en veut du gros zob!
Mais avant on va te chauffer un peu. Va dans le coin maintenant. Cest ça. Très bien. Attends un peu, les mains sur la tête et regarde le mur jusquà ce quon te le dise.
Je fais ce quils demandent.
— Allez cest bon, viens par ici ma jolie, on a une petite surprise pour toi
Je me retourne, ils viennent douvrir en grand ma petite valise bleue, mes sous-vêtements sont retournés dans tous les sens, avec tout au-dessus, bien en évidence, mon vibrateur rose.
Les deux hommes sourient largement et minterpellent à lunisson
— Marie-Jo est une petite coquine !
— Et une cachotière. Ajoute Monsieur Messaoudi.
Il était bien caché son petit lapin, dans sa boîte au fond de sa valise. Mademoiselle est une petite vilaine qui nous fait des cachotteries. Petite vicieuse va ! Abdel a retrouvé la notice sur internet, cest du propre ! Allez approche, mignonne. Met tes escarpins noirs qui sont là sur la valise et prend ton Rabbit dans sa belle boîte pour nous le montrer et on veut que tu nous lises la notice sur lécran.
Couverte de honte, je fais ce quils demandent puis les yeux baissés et les joues en feu, je mapproche du portable. Je commence à lire. A ce stade, que puis je faire dautre ?
— Euh. le produit est un « Double Rabbit vibromasseur stimulateur vagin clito anus ». Jhésite un peu puis continue :
Vibromasseur double en texture gélifiée. Équipé de 2 lapins vibrants, il embrase tout le bas du corps, vulve, clitoris, et région anale
— OK Marie-Jo, OK, maintenant sort le de sa boîte et explique mieux, on a pas tout compris.
Démonstration à suivre