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La fée Morgane – Chapitre 1




La fée Morgane

Je n’étais encore qu’un bébé lorsque ma mère est morte d’une leucémie foudroyante. Mon père, Gilbert, s’est donc entièrement occupé de moi, autant que je me souvienne, il a toujours été aux petits soins, m’apportant le double d’affection pour compenser la perte de sa femme. A l’école primaire je fus une élève studieuse, sans problème et préparais mes études secondaires sans appréhension. En résumé nous formions un foyer monoparental quasiment parfait. Nous vivions en autarcie mis à part les visites régulières de ma marraine qui, comme une vraie marraine, remplaçait tant soit peu, ma maman disparue. Elle se prénommait Morgane, un prénom de fée qui lui allait comme un gant, tant elle était gentille et dévouée et me comblait de cadeaux. Elle avait atteint la quarantaine qu’elle assumait fièrement. Il faut dire qu’elle était très belle avec son visage d’ange et son corps de déesse. Notre comportement, aux yeux de tous, paraissait donc des plus normal sauf une chose que nous seuls connaissions, nous prenions, mon père et moi, notre bain ensemble. Cela avait débuté dés ma plus tendre enfance et nous le faisions sans aucune arrière pensée malsaine, un peu comme le fait une famille dans un camp de nudiste.

Très tôt donc, j’ai vu que le sexe de mon père n’était pas comme le mien et il m’expliqua que là était la différence entre les garçons et les filles. Il m’expliqua également que ces organes servaient à la reproduction et que dans quelques années mes tétons allaient grossir, deviendraient comme ceux de marraine pour allaiter mes futurs enfants. Je lui fis remarquer que Morgane n’avait pas d’enfant et pourtant elle avait une forte poitrine. Mon père rougit légèrement en me faisant comprendre que les tétons poussaient en prévision d’une future maternité. Je ne me posais donc pas trop de questions sur la sexualité étant donné que mon père m’avait très bien éduqué à ce sujet.

Un jour pourtant, alors que je sortais de la baignoire la première, je restais un certain temps les cuisses ouvertes et pour la première fois je vis le regard de mon père se poser sur mon bas-ventre. Il faut dire que depuis quelques semaines un léger duvet venait couvrir mon pubis. Mon père, pour la première fois me demanda de me retourner lorsqu’il voulut sortir de la baignoire. Je fus surprise mais je m’exécutais. Ce qu’il avait occulté c’était la présence du miroir aussi, un court instant, le temps qu’il s’enveloppe dans sa serviette, je vis son sexe comme jamais je ne l’avais encore vu. Il était devenu long et raide avec une boule rougeâtre au bout. Lorsque je me suis retourné vers lui, sa serviette était encore déformée par la longueur inhabituelle de son sexe. Ce jour-là je n’ai pas osé poser de question sur cette transformation physique.

Ce n’est que quelques jours plus tard que, profitant d’une sortie avec ma marraine avec qui je me sentais plus à l’aise, que j’abordais le sujet. Morgane parut embarrassée mais devant mon insistance elle commença mon initiation sur les rapports que pouvaient avoir les hommes et les femmes. Il faut bien, dit-elle, que le sexe de l’homme devienne rigide pour entrer dans le sexe de la femme pour y déposer la graine qui fera le bébé. Mais marraine, rétorquai-je, papa n’a pas l’intention de faire un bébé. Encore plus embarrassée, Morgane expliqua que cet état pouvait survenir à n’importe quel moment, qu’il suffisait que ses souvenirs lui rappellent sa femme, ma maman. Mais comment cet état redevient normal demandai-je ? Le visage de Morgane s’empourpra. Et bien, euh.ânonna-t-elle, il doit rencontrer une femme qui accepte de recevoir la petite graine. Mais marraine, continuai-je, papa n’a pas rencontré de femme, alors il va toujours rester comme ça ? Mais non voyons ma petite Julie, heureusement il existe d’autres moyens mais ne me demande pas lesquels tu les apprendra assez tôt.

Je n’étais pas trop satisfaite des explications de ma marraine mais je n’osais pas en demander plus. Effectivement, quelques mois plus tard, certaines camarades de classe, plus délurées que d’autres, m’expliquèrent que les garçons pouvaient faire sortir leurs graines en se frottant le sexe. En fait, elles employèrent des mots plus crus comme : « faire sortir leur jus en se branlant ». Je me mis donc à espionner mon père car, n’ayant toujours pas de compagne il devait forcément se « branler » et, en effet, un soir, alors qu’il me croyait endormie, je l’ai surpris sur le canapé, devant l’écran de télé qui montrait des femmes nues (je n’ai pas trop regardé l’écran) j’étais plutôt captivée par cette main qui enserrait son sexe et qui faisait des va-et-vient. Etant placée de trois quart arrière, mon père ne pouvait pas m’apercevoir, aussi j’ai pu assister jusqu’au bout, jusqu’au moment où un flot de liquide jaillit.

Troublée par ce spectacle je rejoignis ma chambre où j’eus bien du mal à trouver le sommeil. Le lendemain, quand Morgane passa à la maison pendant que mon père était au travail, je lui fis part de ma découverte. Je suis contente, avoua-t-elle, je ne me voyais pas comment j’aurais pu t’expliquer ce dont tu as été témoin.

— Pourtant marraine, puisque tu es une femme, explique moi pourquoi toute la nuit qui a suivi, j’ai eu des picotements et des démangeaisons dans le bas-ventre ?

— As-tu essayé de les calmer ?

— Comment ?

— En te frottant entre les jambes par exemple.

— Non marraine, fallait-il le faire ?

— Ce n’est pas une obligation mais souvent c’est le seul moyen de calmer ces démangeaisons. Tu te souviens quand je t’ai dit qu’il y avait d’autres façons pour un homme qui n’a pas de femme de se satisfaire, chose que d’ailleurs tu as pu voir hier soir et bien pour nous les femmes c’est la même chose.

— Tu veux dire que l’on peut se faire du bien toute seule ?

— Bon Julie, arrêtons là cette conversation. Fait comme si je ne t’avais rien dit. Si ton père l’apprenait il m’en voudrait sûrement car pour lui tu seras toujours sa petite fille innocente et pure.

A partir de ce jour, je n’ai plus essayé de surprendre mon père malgré l’envie qui me tenaillait. Par contre j’ai suivi les conseils de Morgane et durant mon adolescence, du plaisir je m’en suis donné. Ce qui est bizarre, jamais je ne fus tenté d’aborder les garçons, j’aurais eu l’impression de tromper mon père. Lorsque je fus majeure Morgane changea du tout au tout. J’eus l’impression que durant toutes ces années où j’ai appris à connaître mon corps et ses plaisirs, ma marraine attendait que mes 18 ans avec impatience et je ne tardais à savoir pourquoi.

— Alors ma chère filleule, ça fait quoi d’être majeure ?

— Tu sais marraine entre hier et aujourd’hui je ne vois guère de différence.

— Pour moi si. Maintenant que tu es devenue femme, je peux enfin te demander, sans crainte des âmes malveillantes, si durant ses dernières années tu as suivi mes conseils pour calmer tes démangeaisons ?

— Tu es bien curieuse mais comme je t’aime bien je vais te répondre que oui et pour ta gouverne je m’offrais ce petit plaisir quotidiennement.

— Gourmande ! Moi je ne le fais que 2 ou 3 fois par semaine.

Je ne fus que moyennement surprise. J’avais deviné ses attirances pour les choses du sexe et le fait qu’elle vivait seule, je me doutais bien qu’elle devait se satisfaire seule.

— Tu sais marraine je m’en doutais un peu et j’espère ne pas te choquer en t’avouant que tu faisais souvent partie de mes fantasmes quand mes doigts exploraient mon minou.

— Tu ne me choques pas du tout ma chérie car toi aussi tu faisais partie de mes fantasmes.

— Alors, si je comprends bien, c’est un peu comme si nous l’avions fait ensemble, par télépathie ?

— Oui, je regrette seulement que ce soit resté au niveau des fantasmes. Au fait aurais-tu pu te caresser en ma présence ?

— Je ne sais pas, peut-être.

— Moi, j’aurais adoré.

— Alors, pourquoi ne pas m’en avoir soumis l’idée avant ?

— Tu étais mineure et tu sais comme la loi est sévère avec les pédophiles.

— Mais si nous étions consentantes, où était le mal ? Quand je pense que nous aurions pu passer de merveilleux instants toutes les deux. Combien de fois j’ai souhaité une autre main que la mienne.

— Et cette main appartenait-elle à un homme ou à une femme ?

— Je ne sais pas, c’était une main tout simplement.

— Et si, là, maintenant, je te proposais la mienne ?

— Je ne sais pas, le fantasme est une chose, la réalité est tout autre.

— Réponds-moi sincèrement, depuis que avons abordé le sujet de la masturbation, ton corps ne réclame-t-il pas ses caresses ? Si je te laissais seule à cet instant que ferais-tu ?

— Si j’étais seule mes doigts fouilleraient ma chatte car, tu as raison, cette discussion a échauffé mes sens.

— Pas seulement les tiens. Excuse-moi de l’expression mais je suis toute mouillée. Ca me rappelle mes jeunes années quand, au pensionnat que je fréquentais à l’époque, après avoir parlé sexe avec ma meilleure amie, nous n’avions qu’une idée, celle de nous isoler dans un coin tranquille pour nous faire jouir.

— Mais n’était-ce pas un collège religieux ?

— Oui et alors. Crois-tu que les sours ou les nonnes étaient si vertueuses. Si je comptais le nombre de fois que j’en ai surpris la main sous leur longue robe. D’ailleurs quand j’y pense ce sont certainement elles qui m’ont involontairement donné le goût pour les plaisirs solitaires enfin presque car, avec ma copine nous n’étions plus solitaires.

Le film que le court récit de Morgane avait fait naître dans ma tête m’excita beaucoup, je voyais des religieuses, ma marraine et son amie en train de se branler et sans m’en rendre compte, ma main se faufila entre mes cuisses. Voyant mon geste, Morgane continua à narrer ses aventures avec d’autres filles, les couples qui se faisaient dans les lits une fois la mère surveillante était passée. Je peux dire que j’ai goûté à peu prés à toutes les chattes. Plus elle parlait plus mes doigts s’agitaient. Sentant ma jouissance imminente, ma marraine se troussa rapidement, écarta la culotte et glissa un doigt le long de sa fente et chercha immédiatement son clito. Notre orgasme éclata simultanément. Je pleurais de plaisir et me jetais dans ses bras, l’embrassant fougueusement. Morgane en profita pour me caresser la chatte et l’habileté de ses doigts me procura aussitôt un deuxième orgasme. J’étais anéantie par tant de plaisir aussi, Morgane me saisit la main et la porta sur sa chatte.

— Caresse-moi ma chérie, fais-moi jouir.

Je ne fus pas longue à trouver les endroits les plus sensibles et, au bout de quelques minutes, Morgane jouissait de nouveau. Nous avons eu bien des difficultés à reprendre nos esprits.

— As-tu aimé demanda ma marraine ? Moi j’ai adoré. Tu voudras bien que l’on recommence ? Tu sais il n’y a pas que les doigts. Je t’apprendrais comment donner le plaisir avec la bouche et la langue. Il y avait si longtemps que je n’ai pas touché un corps féminin. La dernière fois, si mes souvenirs sont bons, ce fut avec Germaine.

— Je la connais ?

— Très bien même.

— Je n’en connais qu’une et c’est la mère de papa. Ne me dis pas que c’est elle ?

— Si c’est elle.

— Mais elle est vieille !

— A peine 65 ans !

— Je ne savais pas qu’elle était attirée par les femmes.

— Moi non plus mais je crois qu’elle était prête à tout pour avoir un peu de plaisir. Nous étions très proches, j’étais l’amie de ta maman et je la considérais comme une mère, c’est la raison pour laquelle je suis devenue ta marraine. Un jour, en discutant à bâtons rompus, le sujet se dirigea vers la sexualité. Elle se plaignait d’être seule, de passer ses nuits seules ;

— Bon avoua-t-elle, je me fais volontiers un petit plaisir manuel de temps en temps mais rien ne vaut un autre corps chaud prés de soi sous la couette.

— Mais vous n’étiez pas seule au moment de votre veuvage, n’êtes-vous pas venue habiter chez votre fils quelques temps ?

— Ce fut pire car, la présence de mon fils me rappelait trop mon époux et, sans s’en rendre compte, il provoquait des situations assez ambiguës, comme se balader à moitié nu dans la maison ou de venir prendre son petit déjeuner en pyjama avec une érection qui ne cherchait même pas à dissimuler. Il prenait son bain la porte entrebâillée et se rinçait debout avec la pomme de douche. J’aurais pu faire comme si rien n’était, l’ignorer, mais c’était plus fort que moi, je ne pouvais m’empêcher de le regarder faire. J’aimais voir son sexe reposant sur ses bourses, j’aimais le voir se toucher, le décalotter tandis qu’il s’essuyait. Une fois même j’ai assisté à une séance de masturbation. Je me suis retenue pour ne pas entrer et le faire jouir avec ma main. Vous devez deviner que mes nuits étaient encore plus agitées que lorsque je vivais seule. Alors, pour ne pas tenter le diable, je suis revenue vivre chez-moi.

— Et vous continuez à vous satisfaire toute seule ?

— Quelle autre solution voyez-vous ?

— Prendre un amant, un jeune et endurant de préférence, qui saura vous honorer assez longtemps pour vous amener à l’orgasme, car, je suppose, vous ne jouissez plus aussi rapidement que dans votre jeunesse ?

— Détrompez-vous Morgane, dés que je fus en âge de me donner du plaisir, je pouvais suivant le cas, soit prendre mon temps et déguster, soit jouir très vite et, encore maintenant, je peux agir de la même manière. Mais vous Morgane, parlez-moi de vous, de vos amours.

— Rien de folichon, comme vous en ce moment et de temps en temps, non je mentirais en disant cela, et très souvent, comme vous je m’octroie une petite masturbation histoire de rassurer mon corps sur ses capacités à jouir.

— Mais vous êtes jeune encore, et jolie, vous ne devriez avoir aucun mal à dégoter un bonhomme ?

— Voyez-vous Germaine, le problème est que je n’aime pas les hommes.

— Vous êtes homosexuelle ?

— Oui en parlant poliment autrement on dirait que je suis une gouine, une broute minette.

— Je ne vous juge pas d’ailleurs j’aurais pu, moi aussi, devenir homo car mon expérience sexuelle, outre la masturbation, c’est avec une fille que je l’ai vraiment découverte et bien que je me sois mariée, les amours féminines m’ont toujours manquées.

— Comment en êtes-vous arrivées à passer à l’acte demanda Julie ?

— J’avais remarqué qu’au fur et à mesure que nous parlions, que la robe de Germaine découvrait de plus en plus ses jambes qui, au demeurant, étaient encore magnifiques. Je fis donc la même chose puis se fut comme un jeu, chacune de nous en montrait un peu plus, jusqu’à découvrir la culotte. Puis sans se concerter, les jambes s’écartèrent. Tu devines la suite ?

— Vous vous êtes branlées ?

— Oui, d’abord chacune pour soi et la jouissance arriva vite. Germaine n’avait pas menti, son aptitude à atteindre rapidement l’orgasme était toujours là. Puis nous avons croisé nos mains et là je compris pourquoi Germaine pouvait jouir si vite. Non seulement elle mouillait comme une fontaine mais son clitoris était énorme. Mon étonnement la fit sourire. Devant la taille de son organe, je ne pus m’empêcher de me mettre à genoux et de happer sa tige raide comme une petite bite. Germaine se laissa alors glisser sur le sol pour pouvoir atteindre, elle aussi, ma chatte en feu.

Les joues en feu, Julie quitta le giron de Morgane et s’allongea sur le sol.

— Montre-moi marraine, montres-moi comment tu as fait jouir grand-mère.

Durant plus d’un mois, Morgane et Julie de rencontraient discrètement et exploraient tous les plaisirs que pouvait offrir le corps humain. Mais chez Julie, la petite fille qui fut très sage, des idées lui traversaient le crâne. Elle n’avait pour souhait que de pouvoir faire avec Germaine ce qu’elle faisait avec Morgane et pourquoi pas à trois. Mais une autre envie germait lentement. Pouvoir un jour toucher la queue de son père, la branler et la voir cracher et pour finir, réunir tous les protagonistes en une partouze géante. La seule qui pouvait mener à bien cette envie était Morgane. Elle me connaissait intiment, elle connaissait Germaine tout aussi intiment, pour mon père je pense que son pouvoir de séduction suffirait. Lorsque je lui soumis le projet bien sûr elle refusa mais quand elle voulut me passer la main entre les cuisses, je lui fis comprendre que c’était donnant-donnant.

La période de vacances scolaires approchait. Je proposais à mon père de passer une ou deux semaines chez grand-mère. Je demandais alors à Morgane de préparer le terrain en se rendant en éclaireuse chez Germaine, lui laissant entendre pendant leurs ébats qui, connaissant leurs tempéraments, ne manqueraient pas d’arriver, que je n’étais plus cette petite oie blanche qu’elle avait connue.

Je dus patienter trois longs et interminables jours avant que Morgane ne revienne me voir.

— Mission accomplie dit-elle.

Je la questionnais aussitôt sur le déroulement des opérations.

— Donnant-donnant répondit-elle avec un grand sourire et en soulevant sa robe sous laquelle elle n’avait aucun sous-vêtement.

Je fis semblant de renâcler pour la forme seulement car j’avais une terrible envie, après ces jours de sevrage, de lui bouffer la chatte.

— Tu es déjà trempée lui dis-je tandis que j’étais à genoux et m’apprêtant à lui brouter le minou. A croire que tu avais déjà commencé à te caresser avant d’arriver ici.

— Non, répondit-elle, mais dans l’allée qui mène chez toi, j’ai entendu parler de l’autre côté de la haie qui te sépare de ton voisin et, tu me connais, curieuse comme une chouette, j’ai essayé, tant bien que mal, de voir qui était derrière.

— Et alors, l’interrogeai-je avant de commencer à la lécher ?

— Il y avait deux gamines dont une était la fille de tes voisins qui, accroupies face à face, culottes aux chevilles, faisaient pipi en se regardant et cela m’a excité. C’est puéril je le reconnais mais cela m’a rappelé que je faisais la même chose avec ma cousine et que cela fut à l’origine de nos jeux de touche-pipi. Allez ! Broute-moi ! Vite !

Je la fis jouir rapidement et aussitôt je lui demandais comment ça s’était passé avec grand-mère.

— Et bien, commença-t-elle, comme d’habitude nous avons pris le café et déjà Germaine prenait des poses suggestives me faisant comprendre que nous n’étions pas là que pour siroter notre breuvage. Je la fis poireauter quand même un bon quart d’heure avant de m’asseoir à ses côtés et lui glisser la main sous la jupe. Pas besoin d’écarter la culotte, germaine avait le cul nu. Tout en la caressant lentement et en évitant de lui toucher le clito pour nr pas l’amener trop vite au plaisir, je lui parlais de toi. Tu ne trouve pas lui dis-je que Julie devient une vraie femme ? Et sur tous les points, d’abord son physique, de belle fesses, une belle poitrine mais aussi dans son comportement. Tu sais Germaine continuai-je que je suis très proche de ma filleule et j’ai réussis à l’amener sur le terrain de la sexualité et sans trop de difficultés lui faire avouer qu’elle se masturbait de temps en temps.

— Je m’en doutais ajouta Germaine en ahanant sous l’effet de mes caresses.

— Donc, repris-je, je lui fis comprendre qu’il n’y avait là aucune honte à avoir et que moi-même je le faisais régulièrement. A partir de là tout s’est précipité.

— Tu ne veux pas dire qu’elle et toi vous.

— Si Germaine, Julie et moi nous nous sommes masturbées l’une devant l’autre.

Ma révélation eut un effet immédiat, Germaine se mit à jouir en marmonnant : « Ma petite-fille, ma Julie qui se branle comme une grande, comme nous en ce moment ». Sans lui laisser le temps de récupérer, je m’attaquais à son clito qui bandait et la fis repartir vers un nouvel orgasme. Tu dois te douter qu’après ses réflexions que j’ai entendu, lorsque tu seras chez elle, tu n’auras pas grand-chose à faire pour arriver à tes fins.

— Pour elle et moi je suis d’accord mais toi, quand viendras-tu nous rejoindre ?

— Il suffira que l’on se mette d’accord sur un jour et l’heure et que tu t’arranges pour être en pleins ébats à ce moment là.

Cela fait maintenant trois jours que Julie est chez sa grand-mère mais ce fut le deuxième jour que tout se précipita.

Le soir de mon arrivée, je prétextais la fatigue de la route pour me coucher tôt. J’avais laissé la porte de ma chambre légèrement entrebâillée et lorsque j’ai entendu grand-mère monter se coucher, j’ai simulé une masturbation en agitant ma main entre mes cuisses sous les draps et surtout en poussant des soupirs. Mamie n’a pas pu ne pas entendre par contre je ne sais pas si elle à osé jeter un oil. En tout cas mes plaintes étaient suffisamment explicites. Seulement ma simulation dura peu de temps et j’eus vraiment envie de me faire jouir.

Le lendemain matin j’ai recommencé le même scénario quand j’ai attendu mamie sortir de sa chambre. Par contre je n’ai fais que simuler cette fois et j’ai pu voir sa tête passer un bref instant dans l’entrebâillement. Quand j’ai senti l’odeur du café je suis descendue pour rejoindre mamie à la cuisine. Elle me demanda si j’avais bien dormi et, avec un sourire malicieux, si le réveil n’avait pas été trop pénible.

— Tu devrais te ménager, ajouta-t-elle, il y a des pratiques, agréables certes, mais fatigantes, tu me comprends ?

J’ai tout de suite saisi la balle au bond en lui disant :

— Ah ! Tu as entendu ? Excuses-moi Mamie, mais il y avait quelques jours que je ne l’avais pas fait et ça me manquait.

— Je vois que l’on s’est comprises reprit-elle, ce n’est pas une remontrance mais un simple conseil, j’ai été jeune moi aussi.

— Parce que cela ne se fait que lorsqu’on est jeune ?

— Oui, enfin non, pas toujours, arrête de m’embrouiller !

— Mais c’est toi qui a abordé le sujet alors réponds-moi franchement. Est-ce qu’il t’arrive de le faire encore ?

— Et bien oui finit-elle par avouer. Tu me fais dire de ces choses. Bois ton café pendant qu’il est chaud.

J’avalais ma tasse mais je ne voulais pas que notre discussion s’arrêtât là aussi je réattaquais de suite en tentant un coup de bluff.

— De la façon dont tu me réponds me laisse supposer que mes pratiques, comme tu les appelles, ne t’ont pas laissées de marbre. Ai-je raison ?

— Tu as raison ! Voilà, tu es contente ? Tu es contente de savoir qu’il m’arrive aussi d’avoir des envies ? Et bien oui hier soir, puisque tu veux tout savoir, après t’avoir entendu j’ai du faire comme toi. Mais est-ce là un sujet de conversation normal entre une petite-fille et sa grand-mère ?

— Ce sont les choses de la vie mamie et celles-là en font partie. Tu as eu du plaisir j’espère ?

— Alors là tu vas trop loin !

— Peut-être, peut-être pas ! Par exemple, ce matin, tu m’as aperçu en plus de m’entendre, ne nie pas je sais que tu as regardé, pas longtemps certes, mais regardé quand même.

— Oui, dit-elle dans un soupir, je t’ai aperçu

— Et cette fois encore ça t’a donné des envies et, le temps que le café passe, il a bien fallu combler ces quelques longues minutes. Ne nie pas, les cernes sous tes yeux disent le contraire.

— Oui petite peste, ce matin encore. C’est de ta faute, tu débarques ici et tu chamboules ma petite vie tranquille.

— Est-ce si désagréable ? Sortir de son train-train quotidien c’est comme une cure de rajeunissement. Ce matin tu as 40 ans de moins, ça te rappelle ton adolescence, non ?

— Dans le fond tu n’as pas tort, je me sens pleine de vie. C’est vrai que pendant mon adolescence j’ai beaucoup pratiqué. Aller, viens me faire un bisou.

Je suis allée m’asseoir sur ses genoux, on s’est serré très fort. Sous sa chemise de nuit mamie n’avait pas de soutien-gorge et je sentais sa grosse poitrine, un peu pendante, contre la mienne. Moi je n’avais qu’un long tee-shirt et, tandis que je faisais une grosse bise à ma grand-mère, celle-ci avait posé sa main sur une de mes cuisses aussi il m’a suffit d’écarter un peu brusquement les jambes pour que sa main glisse et vienne toucher mon pubis. Avant qu’elle ne la retire, je lui saisis le poignet et la forçais à garder sa main sur mon minou. Pendant quelques secondes elle résista mais quand je lui susurrais : " mamie, ma petite mamie, fais-le moi, j’en ai assez de n’utiliser que mes doigts ". Mes paroles firent leur effet et bien qu’elle savait que je mentais puisqu’elle savait que j’avais des relations avec Morgane, ou plutôt à cause de cela, et beaucoup à cause des son besoin d’amour, les doigts de mamie se mirent en action. Morgane n’avait pas tort en disant que Germaine avait une adresse diabolique car je ne fus pas longue à jouir. Sous le coup de la jouissance, j’avais empoigné un de ses seins et le serrais très fort.

— Julie, ce n’est pas bien ce que nous faisons.

— Non mais c’est tellement bon répondis-je en me laissant glisser sur le sol et passant ma main sous la chemise de nuit.

— Non Julie non ! pas ça ! Non.Non.Ouuuuui . Oui, continue, j’en ai tellement envie.

Ma main branlait la chatte de mamie et elle était bien comme Morgane me l’avait décrite et pu le vérifier quand mon doigt entra en contact avec son clito. Je pensais que marraine exagérait quant à sa taille, mais non, il était énorme.

— Oh ma petite Julie chérie, c’est mal ce que nous faisons mais c’est tellement délicieux.

Je lui plantais deux doigts dans le vagin et mon pouce alla agacer son gros clito. Germaine ne tarda pas à pousser ses cris de plaisir et une vague de cyprine m’inonda la main. Mamie essoufflée, mit quelques minutes avant de refaire surface.

— Viens lui dis-je en l’entraînant vers ma chambre.

Et là, nous avons passé toute la matinée à nous cajoler. Nous nous faisions jouir chacune notre tour. J’étais sidérée de voir une femme de son âge enchaîner les orgasmes et nous avons pris enfin du repos après nous avoir mutuellement léché et quel plaisir j’ai eu en prenant son clito entre mes lèvres.

Nous n’avons pas déjeuné. Vers 17 h, nous nous sommes réveillées encore enlacées. Nous nous sommes regardées avec des yeux pleins d’amour.

— Tu sais mamie, tout cela s’est produit à cause de Morgane. C’est elle qui m’a dit qu’ensemble vous vous.Et cela m’a donné envie de te connaître sous un autre jour, non plus comme une mamie gâteau mais comme une femme avide de jouissance. Tu m’en veux de t’avoir entraîné vers les chemins de l’inceste ?

— Tu ne m’apprends rien Julie, c’est elle aussi qui m’a dit que tu aimais te masturber et que tu le faisais régulièrement avec elle et de te savoir dans ses bras m’a rendu un peu jalouse. Dans mon for intérieur je devais désirer ce qui est arrivé ce matin. Bien, maintenant allons prendre une douche, nous en avons besoin.

— Nous la prendrons ensemble Grand-mère.

— Non Julie, je sais trop bien comment cela va finir et je préfère garder des forces pour plus tard.

— Ce soir alors, nous dormirons ensemble.

— Oui, ma chérie, ce soir.

Mais, alors que j’allais me lever, Germaine me retint et de ses doigts de fée, elle m’emmena au septième ciel encore une fois.

J’ai attendu la fin de la semaine pour prévenir Morgane qu’elle pouvait venir nous rendre visite. Si je ne l’ai pas fait avant c’est par respect pour mamie, lui montrer que j’étais bien avec elle. Rendez-vous fut pris pour le lendemain après-midi.

Vers 15h je réussis à convaincre Germaine de venir faire une petite sieste. Comme elle savait que le repos n’était pas le véritable but de la sieste, elle ne se fit pas prier deux fois. J’avais pris soin, auparavant, de déverrouiller la porte d’entrée. Alors que nous étions très occupées mamie et moi, tête-bêche, elle dessous moi dessus, la porte de la chambre s’ouvrit. Lorsque j’ai senti une présence dans la chambre, je n’ai rien dit, sachant pertinemment qu’il s’agissait de Morgane. Quand enfin je tournais la tête, je la vis mais elle n’était pas seule, mon père l’accompagnait. J’ouvris la bouche pour prévenir mamie mais celle-ci, qui n’avait rien vu ni entendu, continuait de me lutiner la chatte et le seul son qui sortit de ma gorge fut un cri de jouissance. Mamie, constatant mon orgasme, se plaignit de ne pas avoir en le sien. Quand enfin je pus parler normalement, j’avertis grand-mère que Morgane était là, ce qui en soit n’était pas trop grave étant donné leur degré de complicité, mais que son fils était avec elle. Germaine me repoussa brutalement et essaya de se couvrir avec le drap tout en hurlant : " Mon dieu ! Oh mon dieu ! "

Morgane prit la parole.

— N’ayez aucune crainte, Gilbert est au courant de tout. Je dirais même qui l’en est l’instigateur. C’est lui qui me dirigeait en m’encourageant à séduire sa mère connaissant mes préférences sexuelles bien qu’il m’arrive d’accepter une queue et celle de Gilbert en particulier. Une fois que Germaine m’accepta comme amante, Gilbert attendit la majorité de sa fille pour que je la séduise également. Gilbert se souvenait de l’épisode où il eut une érection en présence de Julie et du regard qu’elle avait porté sur son sexe. Depuis ce jour m’a-t-il dit, il n’avait qu’une envie, que Julie le regarde à nouveau, qu’elle le touche même. Il se rappelait aussi de la période où sa mère vint vivre chez lui, des regards qu’elle portait sur son anatomie notamment sur ses érections matinales ou lorsqu’il se douchait, faisant exprès de laisser la porte ouverte. Une fois même il se masturba sachant que sa mère le voyait. S’il ne pouvait pas avoir de relations incestueuses avec sa fille mineure, avec sa mère c’était possible. Il y avait si longtemps qu’il n’avait pas fait l’amour à une femme. Malheureusement Germaine retourna vivre chez elle. Etant la marraine de Julie, je me sentais un peu responsable d’elle aussi je venais la voir fréquemment et bien entendu je rencontrais souvent Gilbert. Il était en manque de baise, j’étais libre et cela se fit. Il me raconta son histoire, ses fantasmes et ses envies qui, au fond, rejoignaient un peu les miennes. Donc, une fois Germaine et Julie séduites, il ne me restait plus qu’à convaincre Julie de séduire sa grand-mère ce qu’elle réussit à faire puisque nous en avons la preuve, à l’instant même sous nos yeux.

Nous avons écouté le récit de Morgane, mamie et moi nues, allongées sur le lit. Malgré notre stupeur les révélations de ma marraine sur les sentiments de chacun de nous à des périodes différentes, nous remettaient en tête nos désirs les plus secrets. Notre nudité paraissait alors normale, encore habillés, Morgane et mon père détonnaient dans le décor. Il s’en rendirent compte et se déshabillèrent rapidement. Tout de suite mes yeux se portèrent sur le sexe de mon père. Il bandait déjà. Je me suis levée et, m’approchant de lui, je lui saisis sa queue à pleine main. Je n’avais jamais branlé un homme mais ma manière ne devait pas être trop mauvaise car plusieurs giclées de sperme jaillirent. Morgane, excitée par la scène, s’était rapprochée du lit et se faisait branler par Germaine. Papa me serra dans ses bras, m’embrassa le front puis m’emmena vers les deux femmes.

— N’est-ce pas beau dit-il, deux femmes qui s’aiment ou plutôt qui ont envie l’une de l’autre. Pour le moment ma mère donne du plaisir à Morgane, bientôt ce sera l’inverse puis elles feront comme toi et ta grand-mère tout à l’heure, elles vont se bouffer la chatte. Tu aimes ça aussi ma Julie te faire bouffer la chatte.

— Oh oui papa, j’adore surtout quand la langue s’attaque à mon bouton.

— Serais-tu contre une langue masculine ?

— Oh non papa, je suis sure que ta langue est aussi agile que celles de Marraine ou de mamie.

— Alors viens. Pose tes fesses sur le bord du lit.

J’ai pris la pose qu’il m’a indiqué, il s’est agenouillé, m’a ouvert les cuisses, il a contemplé un moment mon minou cela a suffit à me faire mouiller.

— Tu es une sacré coquine ma fille, il t’en faut peu pour t’exciter. Pendant que je te lèche, profite que la chatte de mamie est encore libre pour la sucer en même temps. Regarde son clito comme il est bandé.

— C’est à cause de toi mon fils, de ta queue. Quand tu rebanderas tu viendras me la mettre hein !

— Oui maman je vais te baiser. Julie, quand elle aura pris son pied, se chargera de me faire rebander avec sa bouche cette fois.

Les trois femmes ont joui en même temps puis après la fellation de Julie, Gilbert embrocha sa mère qui soulevait son bassin à chaque coup de boutoir pour qu’il s’enfonce encore plus. Morgane avait enserré la tête de Germaine entre ses cuisses tandis que Julie se branlait en caressant les couilles de son père. Pendant prés d’une heure toutes les combinaisons furent tentées puis, tous les quatre se serrèrent sur le lit, entremêlant leurs bras et leurs jambes, pour un sommeil réparateur. Les femmes se réveillèrent les premières. Julie regarda son père endormi, la queue flasque.

— La prochaine à se faire baiser c’est moi, dit-elle, je compte sur vous pour que sa bite soit raide.

— Nous ferons comme tu veux Julie répondirent-elles en chour mais en attendant occupes-toi un peu de nos chattes, ça fait deux heures qu’elles n’ont pas reçues de caresses.

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