Nous sortons derrière lui, Anne et Claire filment toujours, mais cette fois-ci, il y a deux sujets, Julie et moi. Je décide de continuer, nous déambulons au milieu de la foule, la brise soulève assez fréquemment mon corsage, comme la jupe de Julie, dévoilant nos fesses dont les miennes marquées des traces des mains du mec. Quiconque les voit sait qu’elles sont nues et peintes, dautant plus que la raie est très visible. Je suis extrêmement excitée, je sens ma cyprine couler le long de mes cuisses, le frottement cuisse à cuisse enlève le reste de la peinture humide, je suis de moins en moins peinte. Je décide d’aller dans un troquet pour me nettoyer aux toilettes. Les filles m’accompagnent. Arrivées aux toilettes, j’enlève le corsage et commence à enlever la peinture avec les feuilles disponibles pour s’essuyer les mains. C’est assez fastidieux, mais les filles m’aident, à part Claire qui filme toujours. Je suis à moitié nettoyée quand une femme d’une quarantaine d’années en mini robe entre. Elle s’immobilise et nous regarde surprise et un peu amusée.

— Mais c’est vous qui vous baladiez à poil dans la rue tout à l’heure ?

— Je préfère dire que c’est moi le tableau vivant.

— Si l’on veut, en tout cas, chapeau, il faut oser se balader nue dans la rue, la peau simplement recouverte de peinture. Je dois dire qu’il faut bien regarder pour s’apercevoir que vous êtes entièrement nue, même pas de culotte, ce doit être une première, bravo.

— Merci.

— Ce qui vous trahit, ce sont vos seins dont les tétons sont érigés, comme maintenant à ce que je vois.

— Je dois dire que c’est assez excitant de se promener nue dans la rue en étant la seule à le savoir, excepté mes amies.

— Ça, je m’en doute, qui ne le serait pas. Moi, je me suis tout de suite rendu compte que c’était du body-painting. J’ai surtout tout de suite remarqué que vous ne portiez pas de slip ou de string par le manque de trace au niveau de la taille. Quand j’étais devant vous, je distinguais très bien votre sexe, surtout qu’il est bien bombé. J’ai été frustrée que ce soit si rapide. Je vous ai donc suivies pendant un bon moment, j’étais juste derrière vous à quatre ou cinq mètres, jusqu’à ce que vous bifurquiez dans la petite rue, je ne pouvais plus vous suivre. Je suis étonnée de vous retrouver ici. Ça presse, excusez-moi.

Elle va dans une cabine pour se soulager, les filles reprennent leur boulot. Anne prend un malin plaisir à insister sur mon clitoris, il est nickel, mais moi, je suis au bord de l’orgasme. Julie s’occupe plus particulièrement de mes seins. Elle me pince doucement les tétons. Je me laisse faire, j’aime trop qu’on s’occupe de mon corps. L’inconnue sort de sa cabine et vient se laver les mains. Elle nous regarde apparemment très intéressée.

— Je peux vous aider ?

— Bien sûr.

Nous aider, tu parles, c’est plutôt venir explorer mon corps qui l’intéresse, mais je ne suis pas contre, bien au contraire. Elle tire une feuille, l’humecte et commence à frotter sur le ventre. Il est déjà nettoyé, mais je laisse faire. Anne est sur les jambes, Julie sur mon dos. Elle descend lentement sur mon pubis en faisant des ronds. Anne se retire comprenant ce qui va se passer. L’inconnue arrive sur mon mont de Vénus et s’arrête.

— Tu permets ?

— Bien sûr.

Elle s’agenouille devant moi, pose ses mains sur mes fesses et m’attire à elle. Sa langue se pose sur ma vulve et s’enfonce entre mes lèvres.

— Putain, mais c’est une véritable fontaine, quel pied.

Sa langue revient sur mes lèvres, elle remonte un peu pour arriver à la limite de mon petit bouton. J’attends le contact avec mon clitoris pour me laisser aller à un orgasme que je sens énorme. Me faire brouter le minou dans des toilettes femmes par une inconnue, encore une première. Des mains viennent me pincer les tétons, j’aime. L’inconnue pose ses lèvres sur mon clitoris et aspire, c’en est trop, j’explose dans un gigantesque orgasme. Je hurle.

— AAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHH.

Je suis sur le point de m’écrouler sur l’inconnue quand Anne me rattrape en me ceinturant le torse pour me plaquer sur elle. Je jouis tant que je sens ses lèvres m’aspirer. Elle se redresse, me regarde, avance sa bouche vers moi, je la regarde, elle comprend qu’elle peut et pose ses lèvres sur les miennes. Nous échangeons un long baiser dans une situation bizarre, toujours soutenue par Anne. Quand j’ai repris mes sens, elle me libère. Elles finissent de me nettoyer, y compris l’inconnue. Quand je suis nickel, elle s’assoit sur la banque des lavabos en écartant les jambes.

— Quelqu’un pour apaiser mon petit minou qui n’en peut plus ?

Je me précipite, mais son minou est protégé par un ridicule string. Je lui resserre les jambes, fais glisser le string jusqu’à ses chevilles et lui enlève. Elle écarte de nouveau les jambes, je plonge dans l’ouverture. Je tombe sur un sexe odorant et inondé. Je me délecte de son jus d’amour en la léchant, la suçant, la mordillant et en lui aspirant un clitoris surdimensionné, ce qui la fait jouir. Elle cri son bonheur, mais moins fort que moi.

— AAAAAAAHHHHHHH.

Quand elle revient à elle, elle descend de la banque et cherche son string. Je viens vers elle, remonte sa robe jusqu’à la taille et la fais tourner sur elle-même. Elle a encore de très belles fesses que je caresse avec délice.

— Qu’en pensez-vous les filles ?

— Magnifiques.

— Superbes.

— On en mangerait.

Elle regarde un peu partout.

— Quelqu’un a vu mon string ?

— Pas question, tu fais partie du club, fesses nues.

Elle me sourit et redescend sa robe.

— Ok, pas de culotte ou de string, mais tu as vu la longueur de ma jupe, moi aussi j’aime me faire voir un peu, mais j’ai toujours porté un string, j’étais plus rassurée.

— Sans, tu seras plus excitée, tu verras, c’est super.

— Ok.

J’enfile le corsage, le problème c’est qu’il me couvre à peine les fesses, ce qui me plaît, mais le dernier bouton devant est à une douzaine de centimètres du bas, laissant la possibilité aux pans de s’écarter en dévoilant mon sexe maintenant bien nettoyé. Après une seconde d’hésitation, je me décide à sortir des toilettes pour aller me balader dans les rues du coin. L’inconnue nous suit.

— Tu t’appelles comment ?

— Marie.

— Moi, c’est Lili, voici Julie, et celles qui filment sont Anne à gauche et Claire, bienvenue au club.

Nous marchons guillerettes dans la rue, je remarque que pratiquement tous les regards des personnes qui nous croisent sont figés sur le bas de mon corsage. Je demande à Anne d’aller devant nous pour filmer notre passage et voir ce qu’on peut voir en arrivant en face de nous. Une fois qu’on est passé devant elle, Anne vient nous rejoindre.

— On voit parfaitement ton sexe quand on le sait, le bas de ton corsage s’ouvre à chaque pas que tu fais, c’est superbe.

Cette remarque me fait encore plus mouiller, je me liquéfie. Nous marchons encore un peu, mais je commence à fatiguer, nous décidons de prendre un verre dans un troquet. Nous en trouvons un avec une table libre à l’extérieur, juste au bord du passage. Cinq superbes filles assises autour d’une table, très légèrement habillées, montrant toute la totalité de leurs jambes, voire plus, ça ne passe pas inaperçu. Je suis assise, les jambes à peine serrées, le corsage est ouvert en bas laissant voir le bas de mon mont de Vénus et le haut de mon sexe. On voit le sexe de Marie, les poils ras de Julie, les deux autres ont croisé leurs jambes dégagées jusqu’à l’aine. Quand le serveur est venu pour la commande, j’ai cru qu’il allait avoir une crise cardiaque. Nous discutons de tout et de rien, même pas de sexe. Je remarque que toutes les personnes venant vers nous ralentissent en passant devant, je vois les yeux essayer de tout voir et aller dans tous les sens. Mon excitation est à son paroxysme, j’ai envie de jouir. Je pose ma main droite sur ma cuisse les doigts vers l’intérieur. Mon index touche mon clitoris bandé au maximum. Trente secondes plus tard, je suis secouée par un super orgasme. Je réussis à rester silencieuse au prix d’un énorme effort, seules mes voisines réalisent ce qui se passe. Marie se penche vers moi.

— Et en plus, tu te masturbes sur une terrasse de café, entourée d’une centaine de personnes, il faut qu’on reste en contact.

— Aucun problème.

— Laisse-moi tes coordonnées, je dois partir.

Nous échangeons nos coordonnées, Marie nous embrasse toutes en se penchant sur nous dévoilant ses fesses presque entièrement. Je ne peux m’empêcher d’y poser ma main une seconde. Elle me regarde, sourit et s’en va. Quand nous avons fini nos verres, nous décidons de partir, l’après-midi est bien avancée, il ne nous reste que peu de temps avant que la foule ne rentre chez elle. Nous arpentons le jardin du Luxembourg, traversons la place de la Concorde et remontons les Champs, mon quartier de prédilection. Anne et Claire filment toujours sous deux angles différents, mais elles aussi font le spectacle car leurs jupes moulantes remontent sur leurs fesses à chaque pas. Anne la redescend régulièrement, mais Claire le fait moins souvent, montrant un bon tiers inférieur de ses fesses. Il suffit de voir le nombre d’hommes qui les suivent elles aussi. La brise soulève très souvent la jupe de Julie et le bas de mon corsage, c’est exactement ce que je désire.

Après une heure passée à marcher dans la rue, je suis un peu fatiguée. Nous décidons de rentrer chez les filles. Arrivées à leur appartement, je me précipite sous la douche. Julie me suit. Une fois sous l’eau, elle s’occupe de moi comme il se doit. Sa bouche se pose sur mon sexe pour me faire jouir très vite tellement je suis excitée. Je lui rends la politesse, j’aime trop le goût de sa cyprine. J’ai soudain envie de rester seule avec Julie, je voudrais rentrer chez elle pour m’exhiber devant ses fenêtres.

— Et si on rentrait chez toi ?

— J’étais sur le point de te le demander, décidément, on pense la même chose au même moment.

— Ok, allons-y.

Nous quittons les filles en prenant rendez-vous pour le lendemain. J’enfile ma robe et mes escarpins et nous voilà dehors. La brise n’a pas faibli, elle soulève pratiquement en permanence la jupe de Julie qui ne fait rien pour la rabattre. Moi, je me tripote très souvent les cheveux. Nous arrivons chez Julie, nous n’avons pas franchi la porte que nos fringues volent à terre. Nous allons prendre une douche, mais au lieu de nous envoyer en l’air, Julie veut me faire voir quelque chose. C’est un pommeau de douche spécial lavement, ça ressemble beaucoup à un phallus troué. Je n’en avais jamais vu.

— Tu veux essayer ?

— Pourquoi pas.

Elle me fait tourner, m’introduit le phallus dans l’anus et fait couler l’eau. J’ai l’impression d’une éjaculation ininterrompue. Elle fait couler l’eau trois bonnes minutes et la coupe.

— Voilà, tu es nickel chrome du cul.

— Je ne vois pas à quoi ça peut servir ce soir, mais j’ai bien aimé les sensations que ça procure.

— Allez, au salon.

Après nous être séchées, nous retournons au salon. Je vais m’assoir sur le divan, Julie vient s’assoir à côté de moi.

— Tu sais, je suis complètement crevée, j’ai juste envie de boire un petit apéro.

— Moi aussi, mais à poil devant la fenêtre, j’espère qu’il va y avoir beaucoup de mecs en face.

— Nous sommes samedi, il y a du monde, mais moins qu’en semaine.

— Tant pis.

Nous buvons l’apéro, je regarde souvent en face. A un moment, je vois une ombre derrière le rideau d’une fenêtre de l’hôtel.

— Quelqu’un nous mate.

— J’ai vu.

Elle se penche sur moi pour m’embrasser, nos mains se promènent sur le corps de l’autre, en insistant sur les seins. Le spectacle dure dix minutes, nous nous caressons sans aller jusqu’à l’orgasme, nos corps sont repus. A vingt heures trente, je décide de rentrer chez moi. J’ai encore envie de me balader en ville avant la tombée de la nuit. Julie est trop fatiguée, elle préfère rester chez elle.

— Fais attention quand même, tu es seule.

— Ne t’en fais pas, je fais attention, mais j’aimerais mettre les fringues que tu portais tout à l’heure, on fait exactement la même taille.

— Ok.

J’enfile sa jupe et son débardeur. Je suis très bien dedans.

— Ça te va super.

Je la quitte, on se revoit demain à dix heures. Je sors dans la rue, il fait un peu moins chaud, mais la brise est toujours là, c’est bien pour ce que je veux faire. Je retourne aux Champs, c’est la faune du soir, je les remonte en marchant assez lentement. Ma jupe vole au gré de la brise, je ne fais rien pour l’en empêcher. Je remarque que deux hommes ont calqué leurs pas sur les miens. Ma cyprine ne fait qu’un tour et s’échappe de ma vulve. Pour en avoir le cur net, je bifurque sur une rue adjacente. Ils me suivent. Mon cur commence à accélérer, j’ai vu dans les vitrines des magasins devant lesquels je passais qu’ils sont jeunes, look sympa, dans les vingt ans, mais on ne sait jamais. D’un seul coup, je m’arrête et leur fais face. Ils s’immobilisent à cinq mètres de moi, ils se ressemblent comme deux gouttes d’eau, ce sont des frères, c’est sûr, voire même jumeaux.

— Pourquoi me suivez-vous ?

— Tu es gonflée de nous poser la question, tu ne nous montres pas tes fesses pour qu’on les regarde ?

Je me sens un peu conne.

— Ben…

— Ne nous dis pas que tu ne mets pas cette jupe pour que la brise la fasse voler ? On te suit simplement pour voir tes magnifiques fesses le plus longtemps possible vu qu’on n’a rien à glander ce soir.

— Ok, et maintenant.

Ils se regardent, sourient et se rapprochent un peu.

— Maintenant, ce qui serait le top pour nous serait de les toucher.

En général, j’adore qu’on me dise ça, mais là, ils sont deux et je me suis mise en fâcheuse position.

— Ne t’en fais pas, nous ne sommes pas méchants, si tu dis non, on s’en va, on n’est pas des brutes.

— Et bien, c’est non

Ils se regardent, haussent les épaules et font demi-tour. Je tente d’évaluer la situation, je suis avec deux mecs qui semblent sympas, dans une rue où il ne passe qu’une personne toutes les dix minutes. Ils aimeraient toucher mes fesses (dans le fond, je l’ai bien cherché), j’ai envie qu’ils me touchent les fesses, voire plus si affinité. J’ai eu ma dose d’orgasme aujourd’hui, mais pourquoi pas un petit extra. Je me ravise.

— C’est bon les gars, je suis d’accord, vous pouvez revenir.

Ils s’immobilisent, font demi-tour et me regardent.

— C’est vrai, tu ne vas pas nous faire un scandale.

— Non, venez, je peux même vous dire que ça me fait plaisir de vous faire plaisir.

Ils reviennent vers moi rapidement, comme s’ils craignaient que je change d’avis. L’un d’eux se met derrière moi, pose ses mains sur mes fesses et les caresse doucement.

— Putain Pierre, elles sont douces et bien fermes, un régal.

Pierre reste devant moi, ses yeux sont focalisés sur mes seins.

— Si ça te fait plaisir Pierre, vas-y.

Il pose ses mains sur mes seins, mais nous sommes à la vue de tous, une personne arrive au bout de la rue.

— Pas ici, suivez-moi.

Je connais le quartier, j’arrive dans un porche tout le temps désert, il y a un recoin ou personne ne peut nous voir. Je l’ai déjà utilisé souvent avec Agate. Nous nous mettons dedans. Je me trouve au milieu d’eux. Pierre glisse ses mains sous mon débardeur, les remontent pour me caresser les seins avec beaucoup de délicatesse, l’autre retourne à mes fesses pour y faire glisser ses mains tout aussi délicatement. Ils sont pleins de prévenance, ça me change des mecs que je rencontre d’habitude.

— Et ses seins, ils sont super, tu devrais venir y goûter Paul.

— Ok, je te laisse les fesses.

Ils inversent leurs places, ces quatre mains sur mon corps m’amènent doucement à l’orgasme, mais il manque quelque chose pour le déclencher. Au bout de deux ou trois minutes, ils me libèrent et sont sur le point de partir.

…/…

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