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Le journal d'une bonne – Chapitre 1




A 18 ans je venais d’obtenir mon diplôme d’aide-soignante. La directrice de l’école m’appréciait particulièrement pour mon sérieux et mon dévouement et lorsqu’elle a reçu une demande pour s’occuper d’une femme, à domicile, ayant eu un accident de voiture et qui était handicapée, elle a de suite pensé à moi.

Je me suis rendue à l’adresse indiquée pour y rencontrer son mari. Je me trouve en face d’un homme d’une bonne quarantaine d’années qui m’explique quels seraient mes fonctions et mon salaire. Sa femme allait sortir de l’hôpital mais était loin d’être autonome, il faudrait que je lui fasse sa toilette, faire les courses, préparer les repas et lui servir, lui tenir compagnie. Il fallait que je sois présente mais discrète et que si je faisais plus d’heures, il me paierait en plus.

Issue d’une famille de la campagne, le travail ne me faisait pas peur et je savais cuisiner. On convient que je commencerais le mercredi suivant, jour où sa femme sortait de l’hôpital. Je devais arriver dès le matin pour réceptionner le lit médicalisé ainsi que d’autres accessoires nécessaires à sa mobilisation. Je devais tout faire installer dans son bureau au rez-de-chaussée qu’il transformait en chambre, les chambres étant à l’étage.

Je me présente chez lui le mercredi à 07h30, il me donne un trousseau de clefs et me dit qu’il essayera de ne pas rentrer trop tard. Il m’indique également que la femme de ménage devait venir à 10h00 et que le retour de sa femme était prévu en début d’AM.

Je me retrouve seule dans cette vaste demeure que je découvre pièce par pièce. J’arrive dans la cuisine et ouvre le frigidaire que je trouve vide ! Il y a une enveloppe à mon nom, sur la table. Je l’ouvre pour y découvrir de l’argent liquide et un mot « au cas où vous auriez besoin de faire quelques courses »

— Il est mignon ! Je crois que c’est en effet, indispensable !

J’attends la femme de ménage pour partir afin qu’il y ait quelqu’un de présent pour la livraison du matériel. Une heure plus tard, une estafette arrive pour livrer le lit et le reste.

Je peux donc partir, au marché, acheter quelques légumes frais, des laitages et de la viande. J’irais plus tard au supermarché pour faire le plein des placards.

A mon retour, je fais connaissance avec la femme de ménage, je l’aide à tout installer dans le bureau, et je monte quelques affaires dans la chambre de mon patron. Sur la table de nuit, une revue attire mon oil. Il s’agit d’une revue porno, je redescends vivement en disant à Justine ce que je venais de voir.

— Tu n’as pas tout vu, me dit-elle, il a quelques jouets aussi pour remplacer sa femme !

— Ah bon ?

— Oui et à mon avis, il va s’en servir encore un bout de temps parce qu’elle n’est pas prête à remarcher.

— Et il laisse traîner ça comme ça ?

— Oui, il ne s’en cache pas. Remarque qu’il faut bien qu’il se soulage ! Tu sais quand un homme a envie, c’est difficile de se soustraire à ses besoins.

— Tu as raison, répondis-je faisant mine d’être au courant des besoins sexuels d’un homme.

Elle part à 12h 00, me laissant seule avec ma curiosité. Je prends soin de fermer la porte à clefs pour ne pas être surprise et remonte dans la chambre afin de feuilleter la revue. Ce que je vois m’émoustille quelque peu et je ne peux m’empêcher de me caresser pour calmer le feu qui brûle dans mon bas ventre. J’ouvre la porte de son placard et je découvre un postérieur de femme en latex percé de deux trous perméables ainsi qu’un tube muni d’un interrupteur et d’une poire. J’imaginais à quoi ça pouvait servir. J’avais déjà vu des hommes nus pendant mes études mais je n’avais jamais goûté au plaisir de la chair. Je me contentais de me masturber et ce depuis très longtemps, depuis que j’avais intégré la chambre à côté de celle de mes parents et que j’entendais leurs ébats bruyants. Au début, quand j’entendais ma mère gémir et crier je croyais qu’il lui faisait mal mais plus tard, j’ai compris que c’était tout le contraire. J’avais appris un vocabulaire inconnu rien qu’en les écoutant, des mots que je n’entendais jamais autrement. Je me remémorais tout ça en voyant ces objets.

— Carmen, mets toi à 4 pattes que je te laboure la chatte !

— Bouffe-moi avant

— Tu aimes ça que je te bouffe, hein ?

— Oh oui mon Amour ! Tu me fais tellement de bien.

— Hum ! Ton con gluant est prêt à être bien ramoné, allez tourne-toi !

— Je sens bien ta grosse queue, défonce-moi bien..

Etc. voilà un exemple de ce que j’entendais.

Je repose tout l’arsenal, comme il était, dans le placard et je redescends attendre l’ambulance.

A 15 H 30, elle arrive enfin et je fais connaissance avec ma patiente, une femme de 45 ans, bien conservée qui devait être très coquette au vu de ses apparats. Nous discutons, elle est sympathique et me demande d’emblée de l’appeler par son prénom « Lise » en me demandant si elle peut m’appeler par le mien « Nelly », ce que j’accepte bien volontiers.

Elle vient avec moi à la cuisine pendant que je prépare le repas du soir et elle parle, elle parle. Elle me raconte sa vie de bourgeoise avec son mari qu’elle adore, les enfants qu’ils n’ont pas pu avoir parce que son mari est stérile, une vie de rêve jusqu’à cet accident qui lui enlève l’usage de ses jambes.

Vers 18 heures, son mari rentre :

— Vous pouvez partir, j’ai vu que vous aviez préparé le repas, je m’occupe du reste pour aujourd’hui. Soyez là demain à 07h30 !

— Bien Monsieur, au revoir, Lise, à demain.

Le lendemain matin, j’arrive en avance, comme à mon habitude, j’entre et me dirige directement vers la cuisine pour y préparer le petit déjeuner de Lise. En traversant le hall, il me semble entendre des voix provenant du bureau. Je m’approche discrètement :

— Oh oui, Chérie, suce-moi bien ! Ça fait tellement longtemps que tu ne m’as pas sucé. Tu n’as rien perdu de ton savoir faire, tu aimes toujours ça, hein ? Oui masse-moi bien les couilles. Hum, c’est bon, tu veux me boire ?

Je suis gênée d’entendre ça mais je n’arrive pas à repartir dans la cuisine. Je n’avais jamais sucé un garçon, je n’avais même jamais fait l’amour avec un garçon. J’avais juste eu un copain de classe qui, une fois m’avait pelotée et mis la main dans ma culotte mais qui n’avait pas osé aller plus loin. Par contre, je me caressais très souvent, dès que j’entendais mes parents et ça me faisait du bien. J’aurais aimé qu’un garçon le fasse mais j’étais timide et je rougissais facilement quand on me regardait.

Quand j’entends mon patron râler et dire :

— Tiens avale, bois mon jus.

Je sais qu’il est temps que je m’éclipse à la cuisine. Je fais du bruit exprès jusqu’à ce qu’il arrive pour boire un café. Pendant que je prépare un plateau avec des tartines grillées, je le sens qui me regarde, me détaille :

— Vous pouvez lui porter son petit déjeuner, elle est réveillée. Elle a beaucoup apprécié votre repas hier soir, ça la change des repas de l’hôpital.

— Je comprends ! Il faudrait que je remplisse un peu les placards d’épicerie si vous voulez que je prépare à manger tous les jours.

Il sourit et me sort des billets qu’il pose sur la table :

— Faites pour le mieux et si vous avez besoin d’argent, demandez-le moi.

— Bien, merci.

Il part et je porte le plateau à Lise qui m’accueille, souriante. Je l’installe pour son petit-déjeuner et je retourne à la cuisine pour ranger. J’avais un terrible besoin de me masturber et adossée contre le mur, je mets fin au feu qui sévit dans mon ventre.

Je retrouve Lise pour sa toilette et nous bavardons. Elle vient avec moi à la cuisine et tient à m’aider à éplucher des légumes pour s’occuper un peu. Nous mangeons toutes les deux, puis je la recouche pour qu’elle attende le kiné qui allait venir tous les AM.

— Quand le kiné sera là, j’irai faire des courses au supermarché pour remplir les placards. Votre mari n’a pas dû bien s’alimenter pendant votre absence.

— Cela ne m’étonne guère dit-elle en riant.

Le kiné arrive, un homme d’à peine 30 ans, beau gosse et souriant. Je lui donne les consignes et part faire des emplettes.

A mon retour, Lise dort, la séance de kiné l’a fatiguée.

Les jours et les semaines qui suivirent se sont toutes passées de la même façon. Je m’entendais très bien avec Lise, nous riions souvent ensemble et nous en sommes arrivées à nous faire des confidences.

— Vous n’avez pas de petit copain ?

— Non

— Mais vous en avez déjà eu

— Non pas vraiment.

— Vous voulez dire que vous êtes vierge ?

— Oui

— Vous avez bien raison, il ne faut pas se donner au premier venu. Gardez votre virginité pour un homme qui vous fera découvrir les plaisirs du sexe.

— Vous n’étiez plus vierge à mon âge ?

— Oh que non ! Je connaissais déjà Jacques et il n’était pas du genre à attendre que l’on soit marié.

— J’ai un peu peur de la première fois, avouais-je timidement.

— Je vous comprends, j’avais peur aussi ! Mais Jacques a été tellement convainquant et tellement habile que je me suis donnée à lui sans trop de réticences. Je regrette ces moments à présent, je ne ressens plus rien à ce niveau là.

— Les médecins ne vous ont pas donné d’espoir ?

— Non, je ne remarcherais jamais et ça me bouffe la vie ! Dit-elle en sanglotant. Je ne pourrai plus jamais rendre mon mari heureux !

— Je crois néanmoins qu’il est heureux que vous soyez de retour chez vous. Il est l’heure d’aller dans votre lit, votre kiné préféré va arriver.

— Il est bien mignon, vous ne trouvez pas ?

— Si, répondis-je rougissante.

— Il vous trouve très mignonne.

— Je ne le vois quasiment jamais !

— Peut-être, mais il me l’a dit et m’a posé plein de questions sur vous !

Je ne réponds rien et emmène Lise dans son lit avant de me sauver de peur de croiser Patrick (le kiné).

En fin d’AM, mon patron rentre et me dit :

— Venez, j’ai à vous parler

Je le suis au salon, inquiète.

— Voilà, Lise ne veut plus que Justine vienne faire le ménage, elle ne la supporte plus. Voudriez-vous la remplacer ?

— Oui, il n’y a pas de problème

— De plus, je n’en peux plus de me lever la nuit quand Lise sonne parce que sa poche à urines est pleine ou qu’elle a soif. Je voudrais que vous veniez dormir ici. Je doublerai votre salaire, bien entendu et vous aurez le WE de repos où j’assumerai totalement Lise.

— Je peux rester le samedi matin si vous voulez, ensuite c’est vrai qu’il faudra que j’aille un peu voir mes parents.

— Marché conclu !

J’emménage donc chez eux dans une vaste chambre avec salle de bains, proche du bureau. Mes parents sont ravis du salaire que l’on me donne, salaire que je mets presque entièrement de côté, étant donné que je suis nourrie, logée, blanchie.

Lise est ravie aussi de m’avoir à la maison non stop et j’avoue qu’elle ne me dérange pas trop la nuit, ça arrive une fois de temps en temps.

Une nuit, alors que je rêvais à Patrick, je ressentais de douces sensations sur mon intimité. J’ouvre un oil et découvre mon patron assis à mes côtés en train de me caresser. Je fais un bond, resserrant mes jambes, et prestement, il me met la main sur la bouche pour invoquer mon silence.

— Chut, ne faites pas de bruit ! Vous êtes jolie et vous me faites bander depuis très longtemps. J’ai longuement hésité avant de venir vous rejoindre. Vous n’allez pas crier ?

Je lui fis signe que non et il enleva sa main de ma bouche.

— Que faites-vous ?

— Ne me dites pas que vous ne le sentez pas, je ne le croirais pas parce que vous mouillez beaucoup.

— C’est mal ce que vous faites !

— C’est mal que de vouloir vous faire du bien ?

— Non, c’est mal de tromper votre femme.

— Ma femme me l’a proposé, elle sait que j’ai besoin d’autre chose et qu’elle ne pourra plus me l’accorder. Elle veut que je vous fasse découvrir les plaisirs de l’amour parce qu’elle vous aime beaucoup et que vous le méritez.

Sa main libre caressait mes seins, tirant délicatement sur mes tétons excités, les roulant entre ses doigts. Mon intimité était remplie d’un doigt qui s’agitait et me tirait de petits gémissements. Il le retira pour enduire mon bouton rose de mon jus et commença à le branler savamment. Je me tortillais sous le plaisir qu’il me procurait, puis il mit son doigt dans sa bouche.

— Tu sens bon, je vais te donner une autre forme de plaisir.

Il monta sur mon lit et écarta mes cuisses pour y enfouir sa tête. Sa langue s’agita sur mon clitoris déclenchant des ondes électriques dans tout mon corps, puis il me lapa, me lécha, introduit sa langue dans mon vagin trempé, aspira ma vulve. Je haletais de plaisir !

— Tu es prête pour me recevoir, tu es bien ouverte et tu coules.

— Non, ne faites pas ça ! C’est mal ! Je ne veux pas, murmurais-je.

— Mais si tu le veux, tu ne peux pas dire le contraire, tu en as envie, je le sens bien.

— Non c’est faux !

— Et c’est quoi ça ? Dit-il en m’introduisant deux doigts, c’est quoi cette chatte grande ouverte qui coule qu’elle n’en peut plus !

Il avait raison ! J’en avais envie mais je n’avais pas envie de me faire dépuceler par un homme plus vieux que mon père, par mon patron qui plus est ! Il ne me laissa pas le temps de répondre et poussa son gland à l’intérieur de mon ventre en feu. La douleur fulgurante de cette pénétration m’arracha un cri, il avait anticipé en me mettant la main sur la bouche et d’un coup de reins me pénétra à fond. J’avais les yeux écarquillés sous la surprise d’un tel assaut. Je sentais cette colonne de chair toute dure en moi, brûlant mon ventre. Il débuta de petits mouvements pour que je m’habitue à sa présence en moi.

— Ça va aller ? Je peux retirer ma main ?

Je lui fis signe que oui. Il me regardait droit dans les yeux en me parlant doucement :

— Tu as mal ?

— Oui, vous m’avez fait mal, répondis-je en pleurant doucement.

— Mais là, tu as toujours mal ?

— Non, ça va mieux mais ça me brûle un peu.

— Tu as eu mal quand j’ai déchiré ton hymen et la brûlure va s’estomper. Détends-toi maintenant pour que je puisse te donner du plaisir, tu as tellement une petite chatte serrée que je n’arrive pas à bouger même si c’est divin de se sentir à l’étroit comme ça, je veux te faire jouir.

Je me détends tant bien que mal et le sens bouger en moi. Je sentais sa colonne de chair entrer et sortir doucement, il était doux et me disait des mots tout aussi doux. Une fois bien détendue et plus en confiance, je le sentais entrer plus profondément et plus intensément jusqu’à ce que je perde la notion de ce qu’il se passait et que je jouisse. Il m’inonda peu de temps après. Satisfait de son éducation, il me dit :

— Ça fait longtemps, que je n’avais pas pris un tel pied ! Je te ferai découvrir plein d’autres choses et l’on jouira ensemble. Tu as joui très fort aussi, j’ai senti les contractions intenses de ton vagin en même temps que tu noyais ma queue de ton jus.

— C’est ça jouir ? Alors oui, mais je suis terriblement gênée par rapport à Lise.

— Je te dis qu’elle est d’accord !

— J’ai du mal à y croire !

Il se leva et me laissa pour aller se coucher dans sa chambre, la chatte dégoulinante et divinement repue. Le plaisir que j’ai eu, n’avait rien à voir avec mes séances de masturbation.

Le lendemain, j’étais debout aux aurores, prête pour mes tâches quotidiennes. J’ai été obligée de changer mes draps car il y avait une tâche de sang, pourtant je n’avais pas mes règles !

Je mets le café en route et me dirige vers le hall pour écouter à la porte du bureau, comme tous les matins.

— Tu ne veux pas me sucer ce matin ?

— Non, pas avant que tu m’aies raconté comment ça s’est passé.

— Ok, d’abord, j’ai fait comme tu m’as dit, j’ai été très doux avec elle, je l’ai caressée longuement jusqu’à ce qu’elle soit trempée. Puis je l’ai pénétrée, j’ai eu du mal parce qu’elle est hyper étroite, tellement serrée que je n’arrivais pas à la limer. Il semblerait qu’elle ait eu un peu mal.

— Je t’avais dit d’y aller doucement !

— Mais j’ai fait doucement jusqu’à ce qu’elle se détende et que je puisse bouger en elle. Quand je te pénétrais, je me noyais en toi, je pouvais te défoncer, elle, je ne peux pas, sauf au risque de lui faire mal et qu’elle hurle ! Il a joui quand même, la prochaine fois, je pourrai y aller un peu plus fort.

— Tu peux la laisser hurler si elle en a envie. Comment es-tu sûr qu’elle a joui ?

— Chérie, elle a déversé une telle quantité de jus et sa chatte me serrait tellement fort qu’elle n’a pas pu simuler.

— C’est bien, elle a aimé alors ?

— Je crois que oui. Tu veux que je recommence ?

— Tu aimerais ?

— Oui, c’était bon.

— Donne-lui tout le plaisir que tu ne peux plus me donner. Mais je refuse qu’elle te suce !

— Chérie !

— C’est ça ou rien. Quand tu la prendras, ça voudra dire que tu seras assez excité pour la prendre ou alors tu viendras me voir avant que je te prépare !

— Ok, mon Amour !

Je retournai dans ma cuisine et je savais que la scène de la nuit dernière n’avait pas été un rêve et allait se reproduire.

Mon patron me rejoint quelque temps plus tard, je lui sers son café. Il me regarde sans dire un mot. Je ne sais plus si je dois lui dire « Monsieur » ou « Jacques », je m’abstiens de l’appeler ou de m’adresser à lui.

— Nelly ?

— Oui ?

— Je veux que tu prennes rendez-vous chez l’esthéticienne et que tu te fasses épiler entièrement.

— Entièrement ?

— Oui, je veux voir une chatte de petite fille.

— Mais votre femme n’est pas épilée !

— Non, mais toi tu n’es pas ma femme. Voilà de l’argent !

— Je n’ai pas besoin de votre argent et je ne me ferai pas épiler entièrement.

— Tu as envie que je te fasse l’amour ?

— Oui, répondis-je rougissante, mais je ne vois pas ce que mes poils ont à voir là-dedans !

— J’ai envie de dévorer ta chatoune et je déteste les poils. Fais-moi plaisir ! J’ai adoré te faire l’amour cette nuit et j’ai hâte de recommencer, d’ailleurs, je voudrais que ce soir, tu montes me rejoindre dans mon lit. Tu viendras ?

— Et si votre femme a besoin de quelque chose !

— Elle a son interphone, tu pourras descendre.

Je me sentais vaincue mais j’avais hâte d’être au soir et de retrouver mon amant initiateur.

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