Après cette aventure avec Jean sous l’autorité d’Alain, je n’ai eu aucune nouvelle de lui. Pas même un SMS. De mon côté, ne sachant pas si sa femme est partie ou pas en déplacement, je ne me suis pas manifestée.

Un matin, alors que j’étais au travail, je reçois enfin un SMS de sa part.

Bonjour Nathalie. Peux-tu passer à la maison mercredi vers 15H00 ?

Bonjour Alain. Oui, je peux passer chez toi mercredi à 15H00, je suis de matin ce jour-là.

Très bien. Tu mérites une punition.

Pourquoi ?

Parce que tu ne m’as pas donné de nouvelles depuis quelques jours !

Je mérite une fessée ?

Tu verras bien ! Mercredi à 15H00 chez moi. Bisous.

Une ou deux heures se passent, je lui renvoie un SMS.

Par contre mercredi, mon mari peut arriver plus tôt que d’habitude. Je dois être chez moi au plus tard à 17H00. Je prendrai ma douche avant de partir du travail.

C’est très bien, ça ne va pas durer plus d’une heure.

OK.

Quand je quitte mon travail, je vais donc chez Alain. Mais je ne savais pas du tout ce qui pouvait m’attendre ! Une punition est large dans le sens du terme. Tout ce que j’espère est de ne pas rester trop longtemps pour arriver avant mon mari.

Quand j’arrive chez Alain, je vois une voiture que je ne connais pas. Il m’entend, sort de sa maison, et me fait un bisou.

Bonjour Nathalie. Tu as été vilaine de ne pas me donner de nouvelles depuis plusieurs jours ! Tu vas entrer dans la maison, une surprise t’attend. Ne t’inquiète pas, dans maximum trois quarts d’heure, tu es libérée.

Oui, pas trop longtemps. Je ne t’ai pas donné de nouvelles parce que je ne savais pas si oui ou non, ta femme était avec toi ou partie en déplacements pour son travail. J’attendais de tes nouvelles, en fait.

Ne discute pas ! Tu pouvais m’envoyer au moins un SMS.

J’entre dans la maison et vois deux hommes d’une cinquantaine d’années. Ouf ! Pour une surprise, c’est une surprise, qui de plus, ce n’est pas un homme comme la dernière fois, mais deux ! J’ai un petit coup de stress en les voyant.

Je vous présente Nathalie, ma soumise, ma suceuse, elle fait ce que je lui demande avec moi, mais aussi avec les autres.

Bonjour…

Je n’apprécie pas beaucoup la phrase qu’Alain a dit. (Elle fait ce que je lui demande, avec moi, mais aussi avec les autres). En effet, cela sous-entend qu’il a l’intention de me mener vers une débauche plurimasculine.

Certes, je sais qu’au fond de moi, depuis plusieurs années, j’ai l’envie, peut-être même le fantasme, de me donner à plusieurs hommes. Mais là ! Sans en avoir parlé avec Alain, il commence à m’imposer ce genre de relations !

Je trouve la prise de contact plus froide qu’avec Jean de la dernière fois. Jean était venu directement me faire la bise en se présentant, eux, en me tendant la main. Nous nous serrons donc la main.

J’imagine que j’ai quelque chose à faire. Alors, dis-moi ce que je dois faire Alain.

Tu comprends très vite. C’est très simple ce que tu as à faire. Ces deux hommes ici présents vont te prendre la bouche, te baiser, mais que la bouche.

Je dois leur faire une gâterie ?

Non ! Tu es juste leur vide-couilles. Tu ne vas pas leur faire une gâterie ni une douce fellation, ils vont se vider en te baisant la bouche !

Messieurs, est-elle à votre goût ? Comment trouvez-vous sa bouche ? N’a-t-elle pas une jolie bouche comme je vous l’ai dit ?

Elle est jeune, belle, et très sensuelle. En plus de ça, soumise. Tu as bien de la chance Alain d’avoir une femme qui est à ton écoute. Une telle proposition ne se refuse pas.

Oui, j’ai de la chance. On ne se connaît pas trop encore elle et moi, mais nous nous entendons plutôt bien pour le moment. Ma salope, tu vas retirer ton haut et ton soutien-gorge et t’asseoir sur le canapé !

Comme d’habitude, je fais ce que me demande Alain, une fois la poitrine nue et à l’air, je me place sur le canapé. Je ne prononce pas un mot. Alain s’installe à ma droite et je l’entends dire…

Messieurs, sa bouche est à vous, vous pouvez la baiser comme vous le voulez. Ce sera ta punition Nathalie.

Ma punition est de sucer tes deux amis ?

Oui et non. Ta punition est de te faire prendre la bouche comme bon leur semble. C’est eux qui te possèdent, et toi, tu dois encaisser ce qu’ils vont te faire. Moi, je regarde.

Je vois ces deux hommes baisser leur pantalon, se diriger vers moi. Ils ne bandent pas très fort. Leur queue est à demi molle.

Vas-y ma chérie, tu l’as fait la dernière fois, branler deux queues en même temps. Tu sais le faire ça. Branle-les pour les faire durcir !

Me voilà assise, une queue dans chaque main à les branler doucement, Alain assis à côté de moi, me caresse les cheveux en me roulant de grosses pelles.

Je sens dans mes mains les sexes durcir, mais aussi que je prends plaisir à les branler en me faisant embrasser par Alain. Je suis un peu plus à l’aise. Le pire est que cette situation ne me déplaît pas du tout, bien au contraire.

Tes lèvres sont bien mouillées maintenant, ta bouche est prête à être prise, n’est-ce pas Nathalie ?

Oui, elles sont prêtes. Elles sont à vous si vous en avez envie.

Si vous voulez l’embrasser avant de lui prendre la bouche, vous le pouvez.

Un des deux se baisse, il approche son visage du mien, ses lèvres se posent sur les miennes et je sens sa langue pénétrer ma bouche. Je comprends qu’il veut me rouler une pelle. Pourtant, j’avais demandé à Alain que les hommes qu’il me présente ne m’embrassent pas. Mais je n’ose rien dire, et je me laisse embrasser par cet homme. Il m’embrasse et me pince les tétons en même temps.

L’autre ne tente pas de m’embrasser.

Il se redresse, place sa queue devant ma bouche entrouverte, et, sans douceur, sans pudeur, enfonce son sexe jusqu’au fond de ma gorge. Je suis surprise de la manière dont il procède ! Cette tige de chair fait des allées et venues entre mes lèvres. Alain me tient la tête et regarde le spectacle. En effet, Alain a raison, je suis bel et bien en train de me faire baiser la bouche sans aucune douceur. Il enfonce tellement brusquement et profondément son sexe que je me mets à baver pratiquement aussitôt malgré moi. Je sens ma salive couler le long de mon menton.

Puis il sort en râlant, laisse place à l’autre homme qui fait la même chose que lui.

À tour de rôle, ils me prennent la bouche ainsi, et Alain, qui aime regarder ce genre de scène, regarde sans perdre une miette et me tient toujours aussi fermement la tête.

Pendant plusieurs minutes, je reçois plusieurs coups de bite, frottant au passage mon palais, et tapant jusqu’à mes amygdales que je n’en ai pas le temps d’avaler ma salive.

Tu es vraiment une bonne salope comme j’aime ! Tu m’offres un de ces spectacles ! J’aime te regarder te faire bourrer la bouche comme ça ! Tu respires fort, hein ! Ce n’est pas facile de respirer quand deux vicieux te la mettent aussi profond, hein ?

Je ne prends pas beaucoup de plaisir à me faire prendre la bouche de cette façon, mais aussi drôle que cela puisse paraître, je prends du plaisir qu’Alain me regarde et me tienne pour m’offrir à ses deux complices.

Alain lâche ma tête, je me sens un peu plus libre de mes mouvements. De ce fait, j’essaie de suivre le rythme imposé de la verge que j’ai en bouche.

Je tourne les yeux vers Alain, et je découvre la raison pour laquelle il m’a lâchée. En effet, il est en train de se masturber tout en regardant avec attention la scène offerte par ces hommes.

C’est bien vrai que c’est une bonne salope. Je ne vais pas tarder à gicler, tellement elle m’excite ta salope, Alain !

Mais ne te retiens pas, tu peux lui gicler dans la bouche. Cette pute est une bonne avaleuse. N’est-ce pas Nathalie que tu es une bonne avaleuse ? Ta punition est que tu es juste un vide-couilles buccal.

Mais je ne peux pas lui répondre, j’ai la bouche pleine et qui se fait besogner avec ardeur.

Quand cet homme se retire, Alain profite pour me reposer la question.

Dis à ces messieurs que tu es une bonne avaleuse, que tu dois partir vite pour rejoindre ton cocu de mari. Dis-leur que tu veux boire leurs spermes !

Je suis une avaleuse, je n’ai pas beaucoup de temps devant moi, je veux boire votre sperme.

La vérité est que je ne souhaite pas trop avaler le sperme de ces deux hommes, à la rigueur, qu’ils éjaculent dans ma bouche et que je puisse recracher, ou alors qu’ils jouissent sur mon visage ou mes seins. Mais je n’ai pas le choix.

Quand la dernière fois as-tu bu le sperme de ton mari ?

Hier soir. (C’est faux, ce n’est pas hier soir, mais je simplifie l’explication)

Et je suis sûr que tu n’en as pas eu assez et que tu en veux d’autres. Hein ?

Oui, je veux deux doses de plus aujourd’hui.

Un de ces deux hommes se place juste en face de moi, met sa queue dans ma bouche, et me prend comme si c’était mon vagin. Ses coups de bite s’accélèrent, je sens son gland taper jusqu’au fond de ma gorge, pendant que l’autre homme me tape la joue avec sa queue.

Je sais maintenant qu’Alain aime me voir avec des bites d’autres hommes. J’ai bien compris à présent que c’est un voyeur. Tout en me faisant bourrer la bouche, je saisis de ma main gauche la queue d’Alain et le masturbe.

Petite garce ! Tu trouves encore le moyen de me branler !

Je sens le sexe dans ma bouche se durcir, et un liquide chaud envahir ma bouche. Il tape au fond de mon palais.

Avale salope ! Je ne veux pas voir de sperme sortir de ta bouche ! Montre-moi que tu veux me faire plaisir ! Montre-leur que tu es ma soumise et que tu as faim de sperme !

Au fur et à mesure que les giclées arrivent, j’avale en fermant les yeux. L’homme souffle, reste un peu à l’intérieur et se retire.

Fais voir si tu as bien tout avalé !

Je tourne mon visage vers lui, ouvre la bouche et lui montre qu’il n’y a plus de sperme, donc que j’ai tout avalé. Il est fier de moi.

De ma main gauche, je reprends la queue d’Alain à pleine main et poursuis la masturbation que j’ai abandonnée au moment où j’ai reçu la première dose de semence. Tout en masturbant de nouveau Alain, je reçois la queue du deuxième homme, qui commence à me baiser à son tour.

Il a un plus gros gland que le précédent. Mes yeux pleurent, je bave, et j’attends sa jouissance tout en continuant à branler Alain.

Je reçois une fois de plus des giclées, que j’avale aussi au fur et à mesure qu’elles arrivent.

Tout en avalant, je sens en même temps la semence d’Alain envahir ma main. Je comprends qu’il est excité de me voir avaler le sperme de celui qui j’ai en bouche et qu’il a éjaculé en voyant ce spectacle.

Une fois que l’homme se retire de ma bouche, je tourne la tête vers Alain pour lui montrer que j’ai aussi avalé.

Un des deux hommes a la délicatesse de me présenter un mouchoir en papier pour que je puisse m’essuyer la main du sperme d’Alain.

Mes trois hommes ont l’air ravis, et moi, en fait, je suis ravie d’avoir fait plaisir à ces 3 hommes.

Je regarde l’horloge de la salle à manger, ça fait 35 minutes précisément que je suis assise en train de me faire baiser la bouche.

Je me lève, me rhabille, car il faut que j’y aille cette fois-ci.

Je dis au revoir à tout le monde et monte dans ma voiture.

Quand j’arrive chez moi, je suis dans l’inquiétude que mon mari soit arrivé avant moi. Mais ouf ! Non ! Il n’est pas arrivé.

Je reçois un SMS de la part de mon mari, à peine entrée dans la maison.

Je serai là dans une heure. Bisous.

OK mon chéri, je suis à la maison.

Ouf, j’ai un peu de temps pour aller dans la salle de bain et me nettoyer le visage, mais aussi de me laver les dents.

Je m’assois à la table de la salle à manger, je repense à ce que m’a fait faire Alain en fumant une cigarette bien méritée.

Quand je me déshabille, je m’aperçois que mon string est trempé. Oui, en effet, j’ai beaucoup mouillé quand j’étais sur le canapé.

Je me lave la partie intime, les dents et vais dans ma chambre pour remettre un string propre. Mon mari sera à la maison dans une petite heure maintenant, je pense que j’ai le temps de me donner du plaisir avec mon jouet sexuel. Je suis trop excitée !

Je le prends, m’allonge sur le lit, écarte les jambes, joue avec mon gode vibrant en le passant sur mon clitoris. Ensuite, je le mets juste à l’entrée de mon vagin, et ma chatte est tellement mouillée que le godemichet ne rencontre aucune difficulté pour entrer au fond. Je lui fais faire des mouvements de va-et-vient.

Le temps de mon plaisir solitaire, une scène est dans mon esprit. Je me suis imaginé être en compagnie d’Alain et ses deux complices, sur le dos, jambes écartées au maximum. Pendant qu’un des trois me prenait, je suçais et masturbais les deux autres. J’avais le droit aux trois bites en moi, à tour de rôle.

Ma jouissance est arrivée quand je me suis imaginé que ces trois hommes étaient à genoux autour de moi, se masturbant frénétiquement pour se finir sur mes seins et mon visage.

Je crois que j’aurai bien aimé leur écarter mes cuisses…

Mon mari est arrivé peu de temps après m’être fait jouir. Je devais avoir des couleurs au visage, son regard était interrogateur.

Je pense qu’Alain est une belle rencontre, et que cette relation ne fait que commencer.

Prochain chapitre ?

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