Partie 2:Th3_masT3r : Lundi très attendu
J’entrais dans l’université à sept heure trente, le cours était pour huit heure et quart, alors que j’étais plongé dans mes pensées concernant ce qui allait se passer aujourd’hui et surtout j’espérais enfin être débarrassé de cette satanée ceinture, au début je trouvais ça excitant mais après deux jours sans bander comme on voudrait, on est plus agacé qu’excité. J’étais assis sur un banc quand je sentis mon téléphone vibrer, c’était Florent "Au toilette pour homme du deuxième étage, première cabine et je veux que tu y sois complètement nu". L’idée de faire des choses dans les toilettes de l’établissement n’était pas à mon goût mais bon je m’exécutais, j’avais promis que je ferais tout comme il voudrait. Je montais les escaliers, et rentrais dans cette foutue cabine, et commençait à me déshabiller, je suis resté la dedans complètement nu cinq grosses minutes avant qu’il ne rentre enfin…
Il ne m’a pas adressé un mot, il m’a regardé dans les yeux prit mon visage entre ses deux mains et m’embrassa comme son dernier baiser: doux et romantique. "Bon alors, voila comment ça va se passer, tu vas t’asseoir dans le fond à cote de moi et tu feras ce que je te dis" "Très bien maître" "Je n’ai pas terminé, je veux que tu te rhabilles en dehors de la cabine j’ai une photo à coller contre la porte" à ces mots je me suis sentis mal merde, il n’allait quand même pas mettre une photo de moi sur cette putain de porte, mais il me poussa en dehors de la cabine et je dus me rhabiller assez vite pour éviter d’être surpris, heureusement pour moi personne ne m’avait vu, mais le temps que je m’habille, Florent est sorti de la cabine "je t’interdis de regarder la photo que j’ai mise du moins pour le moment" il prit mon bras et m’emmena dans la salle avec lui.
Il prit place à la dernière rangée, je me suis assis à coté de lui. Il était 7h50 les élèves commençaient à rentrer, mais il ne m’adressa pas un mot, il avait juste placé sa main sur ma cuisse, ça me faisait bizarre ces moments de chaud/froid un coup il était dur et autoritaire et des fois, comme maintenant avec sa main sur ma cuisse et ses deux baisers il était tendre et affectueux c’était vraiment bizarre et j’avoue que ça me déstabilisait un peu.
Le prof venait de rentrer, il commença le cour. Il semblerait que j’ai une chance de cocu, personne n’était sur notre rangée. Il sortit une feuille et notait simplement le cour puis dans la marge il écrit "Tires la clé de mon cou et libère toi, tu mettras la ceinture dans ton sac" l’idée d’être la bite à l’air dans l’auditoire ne m’enchantait pas vraiment, mais on me proposait de me débarrasser de la ceinture, je défis donc le fermoir de son collier, c’est assez difficile à faire sans que vous ne soyez grillé par le prof ou un des élèves vous avouerez que c’est un geste assez bizarre, je profitais donc d’un instant d’inattention du prof, occupé à répondre à la question de Fabio, fallait toujours qu’il pose des questions celui-là, une foi le fermoir défait j’ai du aller chercher sous le pull de Florent pour récupérer la clé, une foi que je l’ai eue, j’ai défait mon bouton de pantalon, et défait ma braguette, plaçât la clé dans le cadenas et libéra enfin ma queue. Une foi la ceinture en main, je l’a mis dans mon sac.
Toujours entre deux notes de cours, il nota dans la marge "Bien, bon chien, je veux que tu notes le cours" c’était assez bizarre mais bon je m’exécutais encore, je ne voyais pas toujours ou il voulait en venir mais bon je commençais à noter ce que le prof disait et il ajouta "Et ne manque rien quoiqu’il arrive" je compris seulement au moment ou sa main passa sur mon banc et fouillait dans mon caleçon, ses doigts entrèrent en contact avec ma queue déjà bandée par l’excitation, il enserra alors ses doigts autour de ma hampe et commença à me branler lentement, essayez de suivre un cour attentivement tandis qu’un mec sublime est en train de vous astiquer le manche, c’est très compliqué. Et il se mit à accélérer ses mouvements, j’allais bientôt jouir faut dire que ça faisait deux jours que j’étais super excité et par ma nuit de vendredi et par l’idée de ma soumission du lundi, ce qui devait arriver arriva, je jouis dans mon pantalon et évidement la jouissance était si bonne que j’ai perdu l’attention du cours. Florent sortit ses doigts couvert de sperme de mon caleçon et me murmura à l’oreille "lèche", et sans se soucier si quelqu’un regardait ou non, il me fourra ses doigts poisseux en bouche. Évidemment ma chance ne pouvait pas durer: Mathieu, un gars que je ne connais pas plus que ça loin d’être moche, il est châtain clair coiffé en brosse à des yeux sombre il se comporte comme s’il régnait en maître sur tout le monde. Bonjour la scène, je suce les doigts plein de sperme de mon voisin sous le yeux d’un autre gars qui maintenant nous regarde bizarrement.
Y a plus qu’à espérer qu’il n’ait pas tout compris, une chose est sur si je pars au toilette avec Florent histoire de retirer mon calbute souillé, il va vraiment se douter d’un truc. Je suis le genre de personne qui stresse assez vite alors je fais remarquer à Florent que Mathieu a sûrement vu que je lui suçais les doigts et qu’il nous fallait une excuse "T’occupes pas des dommages collatéraux, tu fais ce que je te dis, on se fiche des conséquences" Voyant que je n’étais vraiment plus aussi à l’aise, je m’étais réellement coincé d’un coup j’avais trop peur de ce qui se passerait à la pause. S’il venait nous parler ou raconter à tout le monde, peu importe ce que dit florent il veut assurer, sur ce coup la je décide d’écrire sur ma feuille en dessous des notes "Je stresses vraiment pour ça, et puis je peux pas garder un slip plein de foutre toute la journée comment on fait ?" Il l’a lu et a écrit dans sa marge "Ok, tu veux une excuse, je me suis coupé, je saignais, tu m’as conseillé d’aspirer le sang, j’ai pas voulu, tu l’as fait bon c’est un peu tiré par les cheveux mais c’est tout ce que j’ai… Et pour ton slip j’exige que tu le retires maintenant et que tu le mettes dans mon sac c’est un ordre"
Il restait une dizaine de minute avant la pause, autrement dit ce serait court si je dois retirer mon pantalon et mon slip sans qu’on le remarque je dois faire lentement et donc bon ce sera difficile et puis j’ai toujours l’impression que mathieu va nous tomber dessus mais c’était un ordre alors de ma main droite j’ai fait semblant de noter et je gardais mon air de "je suis le cour" et de ma main libre, je défait mon bouton et braguette très lentement de façon à ne pas attirer l’attention avec le bruit. le moment délicat c’est que je dois dégager mon pantalon de mes fesses, je me soulève un peu en prenant appuis sur mes pied et fait glisser le pantalon jusque mes chevilles,je me déchausse et me débarrasse de mon pantalon. Mon dieu je suis en sous vêtement dans l’auditoire mais enfin qu’est ce qui me prend! J’ai plus le choix si je me mets à hésiter je vais me faire griller, j’ai plus que six minutes avant la pause et si je ne le fais pas, les vidéo et photos vont tourner sur le net… De la même façon dont je me suis débarrassé du jeans, je me débarrasse du slip. je suis maintenant juste vêtu de mon pull et ça va être délicat pour remettre le pantalon sans attirer l’attention, donc j’utilise le bon vieux truc de faire tomber le crayon, pouf mon bic tombe je me baisse pour le ramasser, met mes jambes dans le pantalon l’agrippe d’une main et de l’autre je remonte le bic, le pantalon est presque remis encore l’étape du fessier, y me reste plus que deux minutes, normalement c’est bon, et effectivement j’y arrive, j’ai même le temps de fermer les braguette et remettre mes chaussures.
La pause est annoncée, je me demande bien si mathieu va nous voir et si Florent a une autre idée derrière la tête. Et là c’est le drame, je me rend compte que je ne me suis pas occupé du slip rempli de sperme il est encore au sol. On est derrière: tout le monde va passer près de nous, espérons que personne ne le remarquera. Sauf que Florent m’attrape par le menton et place mon oreille près de sa bouche "je veux ton calbute dans mon sac maintenant" devant Florent et son ton autoritaire malgré ma peur je ne peux que dire "oui maitre", je me baisse ramasse la chose et je me rend compte que mathieu vient vers nous j’ouvre alors le sac de Florent et met le slip comme ça dedans, juste le temps de remonter pour entendre "Alors qu’est ce que tu foutais avec ses doigts en bouche?" Mathieu s’adressait à moi mais c’est Florent qui a répondu" Je ne vois pas en quoi cela te regarde" "Bah se serait dommage que tout le monde soit au courant que vous faites des choses peu catholique dans l’auditoire, qui plus est les homos ne sont pas bien vu par tout le monde" j’ai donc sorti l’excuse à deux francs que Florent avait prépare "Si tu veux tout savoir, il s’est coupé l’index et j’avalais le sang parce que la vue du sang le met mal à l’aise" "Si je ne crois pas à celle la, tu m’en racontes une autre?" Florent commençait à s’exaspérer de rendre des comptes à cet imbécile "Écoute, crois ce que tu veux, dis ce que tu veux et fous nous la paix" Visiblement vexé de ne pas avoir entendu ce qu’il voulait, Mathieu est parti à sa place.
Après la masturbation, il ne s’est plus rien passé de la journée. Florent m’avait murmuré rendez vous au toilette après le dernier cour, la journée venait de se finir et je l’ai trouvé plutôt crevante, et pleine de stress, je vais donc au toilette, j’hésite à regarder la photo collée dans la première cabine, mais bon je me plie à ce que Florent m’a demandé et je vais donc dans la deuxième, je l’attend… Il rentre avec un grand sourire "Tous d’abord on va remettre ta ceinture, sors la de ton sac, tu la mets, tu la fermes et tu me rend la clé" Je déposais mon sac à terre, sortais la courbure de métal qui m’empêchera à nouveau de bander jusqu’à nouvel ordre de mon maître et pendant que je fais ça il m’annonce qu’il a eu une idée assez drôle "Je me suis dis que ce serait marrant de me débarrasser de ton calbare crasseux dans le sac de mathieu" Je veux bien que je suis le soumis mais je n’ai pu m’empêcher de lui crier dessus qu’il était dingue, que ça allait trop loin, il me répondit simplement "Ne t’en fais pas, j’ai attendu qu’il laisse son sac, je l’ai surveillé toute la journée dans l’attente de l’instant T et il a laissé son sac sur le banc le temps pour lui d’aller se chercher à boire, j’en ai profité" à peine avait il finit son discourt que je me pris une violente claque à la figure, j’ai du crier "Aie" surtout par surprise et parce qu’il m’a fait sacrement mal "Et ne me parle plus jamais comme ça, sale chienne ou ta sexe tape risque de se retrouver vue par tous les élèves, ta familles et le reste des pervers du net" après la mémorable gifle que je venais de me prendre, je terminais l’installation de la ceinture quand il m’a dit "J’adore voir ton visage paniqué, j’ai hâte de voir la réaction que Mathieu aura lors de sa découverte et comme ça te fait paniquer, j’ai l’intention de l’impliquer dans nos jeux, ça ne te dérange pas?" De peur de me reprendre un baffe j’ai dis ce qu’il voulait entendre "c’est au maître de décider" Je n’étais pas très chaud pour une plus grande implication de Mathieu même si c’était excitant plus il y aurait de gens au courant ou impliqué plus ce serait risqué pour moi… Je lui rendis sa clé, il me roula un pelle mais pas tendre, plutôt bestial et me lâcha un " a demain ma salope" et me laissa là dans le chiotte tout seul.
La gifle que j’avais reçue avait fait une marque rouge de main sur mon visage quand j’ai vu ça dans la glace, je commençais à regretter ce que j’avais fait pourquoi j’étais allé voir pour un plan SM? j’étais fâché et très énervé contre lui pour la claque et l’implication d’un autre j’ai donc décidé de ne pas obéir à son ordre et regarder cette putain de photo, j’ouvre donc la porte de la première cabine, et j’y voit une photo dont l’angle de vue offrait à la vue de tous mon trou et ma bite, il avait du la prendre avant de me goder, il avait coupé la photo de façon à ce qu’on ne voit que ça, à la vue de cette photo j’étais révolté mais pas trop, ça allait c’est ce à quoi je m’attendais mais de toute façon la femme de ménage s’en débarrassera et on ne la verra plus demain, mais j’étais également très excité cette photo me rappelait des souvenirs plutôt bandant, j’ai donc décidé de la retirer et de la mettre dans mon sac, je suis ensuite sorti de l’université et j’ai regagné ma voiture pour rentrer chez moi en me demandant bien ce que Florent avait derrière la tête avec Mathieu, ce qu’il allait vouloir me faire faire et tout ça… J’appréhendais d’être à demain tout comme je le désirais.