La semaine se déroula ainsi, pour Laurence, entre des soirées très animées par les jeux pervers des deux cochons de voisins, en présence de Jean-Marc.

Et sans en oublier, sa collègue et confidente, Joëlle, qui elle, avait pris la bonne habitude de s’enfermer dans le bureau avec Laurence, et faire la pause repas, à sa façon.

Laurence en était comblée, partageant des plaisirs hétéros le soir et bisexuels au bureau, sans oublier, le plaisir de s’exhiber durant le trajet de bus. Elle ne vivait plus que pour ça, son plaisir charnel.

Arriva le vendredi, comme, il a été énoncé au premier chapitre.

Laurence accueille sa sur aînée, Anaïs et sa fille Marine pour une semaine de congés.

Laurence avait proposé à Jean-Marc de partir à la plage avec elles, dans leur villa à côté de Toulon.

Une semaine de repos pour elle, car, il n’était pas question d’offrir à ses visiteuses la vie agitée de son couple.

Vendredi, après avoir posé ses congés, s’être fait besogner par Joëlle, une dernière séance d’exhibition en public, Laurence rentra, prit un bon bain, ce qui la délassa.

Etant encore seule, elle s’affairait dans la maison, nue, à préparer, ranger, prévoir sa semaine de plage.

Jean-Marc arriva alors qu’elle se trouvait dans le salon à passer l’aspirateur.

Laurence, qui ne l’avait point entendu arriver, était penchée en avant, appuyée sur le manche de laspirateur, elle sursauta lorsqu’elle sentit une main glissait dans son entrecuisse béant et fortement humidifié.

Jean-Marc la doigta, en se plaçant sur sa gauche, et malgré son mécontentement, il insista en lui glissant les cinq doigts de sa main au plus profond de son utérus.

Il la fista, et là, elle se cambra, se laissant aller vers la caresse, qui était, sans nul doute, ce dont elle préférait, tournant la tête, à la recherche de son regard vicieux.

Haletante, gémissante, jusqu’à grogner son orgasme tout en se cambrant, elle cria, jouissant de tout son corps.

Reprenant ses esprits, Laurence voulait terminer ce dont elle avait commencé.

— Allez, mon cur, laisses moi finir que ma sur va arriver et je serais toujours pas prête…

— Ah, c’est vrai que nous avons de la visite !!!

Laurence se redressa, le regardant.

— Au fait, durant son séjour, on fait la pose… Ca nous fera du bien, je suis vidée…

— Ho !!! Même pas une sucette ???

Laurence s’assied sur le rebord de la table de salon, face à lui.

— Arrête, et viens plutôt là, mon gros cochon, que je te suce… Tu bandes… C’est quoi, mon cul qui te fait cet effet, ou la venue de ta belle-sur ???

Le branlant de sa main gauche, tout en le regardant.

— Les deux, ma chérie… Quand est ce qu’elles arrivent ???

— Ce soir… Elle doit m’appeler, pour aller la chercher à la gare… A moins que tu veuilles y aller ???

— Pourquoi pas !!! Et qu’as-tu prévu ???

— Plage… J’ai pris ma semaine… Et toi ???

— Je travaille, tu descends à la villa ???

— Bien sûr, mon cur… Tu seras sage, mon gros cochon ??? J’espère que tu ne vas pas aller tremper ta queue ailleurs, sans m’en demander mon avis ???

Puis Laurence le suça goulûment, à l’en faire jouir, au plus profond de sa gorge, avant d’avaler sa liqueur.

— Ah, ouiii… Hum… Jean-Marc venait de jouir au plus profond de sa gorge. Ne t’inquiète pas… Tu sais que j’adore me branler.

Lui caressant sa joue, il continua à lui parler.

— Alors, en me parfumant les narines de ta dernière petite culotte, plus celle de Joëlle… Et si, par bonheur, celles de nos invitées sont dans le panier à linge, ce serait parfait…

— Oh, nos invitées… J’en avais oublié leurs arrivées… Je vais me changer et finir le repas… Tu files à la gare, mon cur ???

— Prépare-toi, tranquillement, je m’occupe d’aller les chercher !!!

Laurence l’embrassa langoureusement, puis Jean-Marc prit le monospace et se rendit à la gare de Marseille, pendant que Laurence finissait les derniers préparatifs.

Jean-Marc durant le trajet, pensa à plein de choses concernant sa belle-sur, Anaïs et sa nièce, Marine.

Comment vont-elles arriver, va-t-il pouvoir profiter de leurs intimités, en les matant, en jouant avec leurs petites culottes, imprégnées de leurs glaires, afin qu’il puisse s’en humecter les narines, et se branler sans en demander plus ?

Toutes des questions, qui, en même temps lenflamment au plus profond de son ventre. C’est ainsi qu’il arriva à la gare, en ayant une belle érection, dans son jean, serré, qu’il ne savait s’il allait pouvoir en sortir de la voiture.

Il lui fallut les chercher, la pression était un peu retombée. Mais, pour celles qui avaient les yeux bien placés, elles n’avaient pas de mal à deviner son état.

Le TGV en provenance de Paris venait de rentrer en gare. Jean-Marc les cherchait des yeux. Ah !!! Il aperçut Anaïs, une belle femme, brune, cheveux longs, yeux noisettes en amandes, dans une jupe courte d’été, zippée devant, noire, un débardeur en coton, rose pâle, moulant sa forte et ferme poitrine, alors que sa jupe droite, laissait deviner une taille un peu large.

Marine, elle, du haut de ses 17 ans, est arrivée dans une mini robe moulante, grise, qui ne cachait rien de son ensemble, claire.

De ses yeux de connaisseurs, Jean-Marc en avait déduit, une couleur blanche, chaussée d’escarpins noirs.

Jean-Marc leur fit des bises appuyées à chacune, une main caressante, dans le dos.

— Vous êtes ravissantes toutes les deux…

— Merci … Répondit Anaïs, avec un sourire du coin des lèvres.

Puis Jean-Marc prit la grosse valise, avant de sortir de la gare et se diriger à la voiture.

— Vous avez fait bon voyage ???

— Oui… Çà c’est bien passé… Dit Anaïs, assise devant alors que Marine était derrière.

Jean-Marc pouvait profiter du regard brûlant de sa nièce, qui jouait avec ses doigts, sur ses lèvres, simulant une fellation.

Le regard de son oncle descendit vers le pan de la mini robe grise, qu’elle avait laissé trousser haut sur son ventre, après s’être placée de façon à ce qu’il puisse la mater.

Là, Marine, discrètement, jouant avec l’angle de vue qu’il pouvait avoir, sans donner de soupçon à sa mère, lui offrant une large vue sur son string blanc.

C’est vrai que Marine a toujours eu un faible pour son oncle, et même si Laurence et Jean-Marc n’ont pas d’enfant, Marine, par sa beauté, est restée la préférée du couple.

Entre temps, la main de Jean-Marc, vint se poser sur la cuisse dénudée d’Anaïs, qui celle-ci ne broncha pas, au contact.

La voiture venait d’arriver à la villa. Anaïs regarda son beau-frère, longuement, d’un soupçon de complicités, car elle aussi, elle ne rechignerait pas sur une relation entre eux.

Mais déjà, Laurence sort et vint à l’encontre de sa nièce qui est sortie de la voiture la première, suivie de sa sur, qui tombèrent dans les bras l’une et l’autre.

Laurence portait une mini robe de toile, zippée, turquoise, où se dessinaient les auréoles de ses seins nus dessous et la trace d’une petite culotte blanche.

Tous les quatre étaient à présent, dans le salon.

Laurence proposa à Anaïs et Marine de se mettre à leurs aises, en leur montrant la chambre, car par manque de place, la mère et la fille devront partager le même lit.

— Installez-vous tranquillement, lui dit Laurence, si vous voulez prendre une douche avant manger, n’hésitez pas ???

— Non, merci, ma chérie, nous allons peut-être changer de tenue… Dit Anaïs, souriante.

Laurence les laissa et vint rejoindre Jean-Marc, qui lui préparait l’apéro, dans le salon. Au passage, elle lui passa la main aux fesses, tout en lui glissant quelques mots au creux de l’oreille.

— Alors mon gros cochon, elles te font bander ???

Jean-Marc s’étant relevé fut surpris par son geste, qu’elle précisa en venant lui attraper son entrejambe de jean. Pour constater qu’il bandait, le mettant mal à l’aise, en se faisant surprendre par sa nièce.

C’est Jean-Marc qui la vit, ne disant rien, alors que Laurence lui tournait le dos, son regard plongé dans celui de son mari.

— Nous allons nous installer sur la terrasse… Il fait trop beau !!!

Laurence réagit, lâchant la braguette du jean, et se retournant, faisant face à Marine, qui restait dans l’encoignure du salon, pour venir jusqu’à elle, l’embrassant sur la joue, avant de lui prendre son visage entre ses deux mains.

— Alors ma petite chatte, tu es ravissante, tu dois faire des ravages au lycée ???

Se laissant attendrir par sa tante, elle partagea un long regard envieux, accompagné d’un sourire complice, alors que la main droite de Laurence se posa sur sa joue fessière gauche.

— Merci tantine… C’est vrai que beaucoup de mâles me tournent autour, mais pour l’instant ce nest pas mon plat préféré…

— Que veux-tu dire par là ???

— Je…

Anaïs arriva sur ces entre-faits. Et si Marine avait troqué sa robe grise, pour un long tee-shirt rose pâle, qui lui moulait sa ferme et belle poitrine en forme de poire, laissant deviner coté culotte, une sage petite, aux couleurs claires, certainement blanche.

Anaïs, elle, avait laissé sa robe turquoise pour une sortie de bain, en éponge, rose pâle, courte, zippée devant.

— Excusez-moi, mais je n’ai pas pu résister à la douche qui m’appelait !!! Dit Anaïs en souriant à Laurence.

— Tu es trop belle !!! Cette sortie de bain te va à ravir, nest-ce pas mon cur ???

— Sublime !!! Dit Jean-Marc, en la croquant des yeux. Bien, les filles, je vous propose de passer sur la terrasse, l’apéro vous attend…

— Parfait, lui dit Laurence, en tenant Anaïs par les épaules… Allez, venez les filles… Et qu’as-tu prévu ??

— Mojito pour tout le monde !!!

— Yes !!! Dit Marine, merci mon tonton, adoré…

— Tiens, viens plutôt t’asseoir là, à mes côtés, et laissons maman et tantine ensemble… Je pense que tu as beaucoup de choses à me raconter…

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