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Les bonheurs de Sophie – Chapitre 5




Sophie5

Le week-end venu, ma mère mannonça que nos amants, Victor et François, étaient partis à la pêche.

Elle me dit : « Tu peux être Sophie si tu veux ».

Il ne fallait pas le dire deux fois, je filais dans ma chambre, choisis mes vêtements Je mis ma perruque blonde et revins avec ma minijupe, mes bas, ma culotte de dentelle que maman mavait offerte.

Elle même était très sexy. Elle portait une robe courte plissée qui lui masquait à peine ses jarretelles. Ses bas blancs attiraient mon regard. Elle sen rendit compte et fit voler sa robe pour mieux me montrer ses dessous.

« Je te plais ? » demanda-t-elle.

« Oh maman, comme tu es belle ! Jai envie de tembrasser ! »

« Viens ! » Me dit-elle

Je mapprochai, lenlaçai et lembrassai. Nos lèvres sunirent et nos langues se mêlèrent dans un long baiser. Je bandais de plus en plus Une grosse bosse déformait ma jupe.

Maman glissa une main et entreprit de me masturber à travers ma culotte. Notre baiser etait passionné. Je mis une main sous sa robe et lui caressai la vulve, elle était trempée de mouille .Maman écarta les jambes et se laissa branler.

Elle me dit dune voix chevrotante « Allons dans ma chambre ».

Là, elle se débarrassa de sa robe et laissa apparaître sa poitrine dans son soutien gorge à balconnet. Je mapprochai pour le lui ôter. Elle se laissa faire et se mit à soupirer quand je pris ses mamelons en bouche, je la pelotais délicatement. Ses tétons sérigèrent quand je les suçotais.

Elle était debout, tremblante sous mes caresses.

Elle glissa, sallongea sur le dos sur le lit et me dit « Viens, prends moi !».

Je quittais ma jupe, extrais ma bite tendue de ma culotte. Elle mattendait, jambes relevées, sa chatte poilue grande ouverte. Je mallongeai sur elle et la pénétrais lentement en donnant de petits coups de bite. Elle ondulait du bassin pour être mieux perforée. Jétais à fond !

Je lembrassais à nouveau et commençais mon va et vient en elle. Nos bas crissaient les uns sur les autres. Elle gémissait, puis rapidement monta à lorgasme. Je continuais de la pilonner quand elle hurla de plaisir.

Je ressortis de son vagin et lui enfonçais un doigt dans son rectum.

Elle comprit vite ce que je désirais, aussi, se retourna-t-elle pour me montrer son joli cul. Je présentais mon gland sur sa rosette et menfonçais facilement. Jétais en train denculer ma mère, qui malgré quelques crispations, gémissait de plaisir. Elle me dit « Vas y Sophie, baise moi fort ! »

Encouragée par ces paroles crues, je me mis à la pistonner, en la tenant par les hanches. Ses seins se balançaient en rythme.

Jallais et venais dans son cul, certainement bien élargi par la queue de Victor. Elle gémissait de plus en plus fort. Je menfonçais bien à fond et donnais plein de petits coups. Elle éclata de jouissance, mais je restais fichée en elle. Jattendis quelle retrouve son souffle pour recommencer à la baiser lentement. Ma queue glissait facilement en elle. Elle contractait son anus périodiquement. Cette sensation était délicieuse. Je ne tardai pas à jouir sous cette masturbation anale.

Je crachais en elle de longues giclées de jus. Elle soupira daise.

Je me retirais lentement et lui tendis une serviette pour éponger le sperme qui coulait de son anus.

« Oh Sophie, comme tu baises bien ! Tu mas bien enculée ! Mais à toi maintenant »

Elle se releva et essuya son anus ruisselant. Elle sortit la boite contenant le gode ceinture. Elle enfila les lanières puis vint vers moi la bite pendante entre ses jambes. Elle tenait dans sa main le tube de gel lubrifiant.

Je quittai ma culotte et offris mes fesses à maman. Elle se mit à genou sur le lit et moint lanus. Elle enfonça un doigt, puis deux, puis trois, pour me préparer. Jaimais cette caresse et me remis à bander. Elle sappliquait à me pénétrer à fond de ses doigts. Me voyant prête, elle se positionna derrière moi et me prit avec quelques difficultés, puis une fois le gland passé, senfonça inexorablement en moi. Je me sentais déchirée par la raideur de lengin.

Elle entama un pistonnage en règle, tout en me masturbant.

Elle me fit mettre sur le dos, jambes relevées puis senfonça en moi et reprit son enculade. Si, en fait, je préférais une vraie queue, voir ma mère en position dominante mexcitait au plus haut point.

Maman me regardait avec un sourire, ses seins balançaient à chaque coup de bite quelle me mettait.

« Alors Sophie ? Tu aimes quand je tencule ? »

« Oh oui maman ! Cest bon ! Jaime ta grosse bite ! »

Elle se saisit de ma queue raide et me masturba tout en me défonçant le cul !

Je ne tardai pas à jouir de nouveau, éclaboussant de sperme mon chemisier.

Ma mère se pencha sur moi et nos lèvres se rencontrèrent. Jembrassai maman fougueusement tandis quelle se retirait de mon cul.

Pour le reste de la journée, jai enfilé une robe mini que maman mavait donnée. Elle arrivait à la limite de mes bas. Je mappliquais aux taches ménagères, perchée sur mes escarpins.

Maman passa près de moi et me claqua la fesse. Elle me dit « Quel joli cul tu as, je comprends que Victor sy intéresse ! »

Je me mis à onduler des fesses devant elle.

« Tu veux une fessée ? »

« Oh oui, maman ! »

Elle sassit dans le canapé et je mallongeai sur ses genoux.

Elle souleva ma mini robe, baissa ma culotte et entreprit de me claquer chaque fesse alternativement. Malgré la douleur, la situation mexcitait et je me remis à bander.

« Taimes ça, hein, petite pute ? »

« Oh oui maîtresse ! »

En lappelant ainsi je montrais ma soumission !

Après quelques claques supplémentaires, elle me fit mettre à genoux devant ses jambes écartées et me dit :

« Viens me lécher, petite salope !»

Je mapprochai de sa vulve et entrepris de la lécher soigneusement.

Je faisais rouler son clito entre mes lèvres puis donnais des petits coups de langue au bord de son vagin. La cyprine inonda ma bouche. Je léchais le nectar que maman me donnait. Je soulevai ses jambes et lui léchai lanus que je forçais de la langue. Maman gémissait, je retournais vers son clito gonflé et le suçais comme une petite bite. Elle resserra les jambes mais je continuais. Elle hurla de plaisir alors que je forçais son anus avec mon majeur. Elle jouit instantanément.

Elle me fit me redresser et me dit :

« Tu es une bonne suceuse Sophie ! »

« On veut voir ça ! »

Déclarent ensemble Victor et François qui venaient darriver.

Ils sapprochèrent de nous et ouvrirent leurs braguettes : « Allez les filles, venez nous sucer ! »

Je bandais toujours quand jengobais François et que maman soccupait de Victor.

Je le suçais avidement en lui caressant lentrejambe, puis les couilles, puis lanus.

Il semblait apprécier, car il se mit à bander dur dans ma bouche. Jappuyais mes doigts entre ses fesses au travers du pantalon pour flatter son oignon.

Il se dégagea de ma bouche et quitta ses chaussures, son pantalon et son slip. Il saisit sa longue queue et me lenfourna dans la bouche. Je repris ma caresse sur son anus. Jinterrompis ma succion pour mouiller mon doigt que jenfonçai dans son trou. Il ne rechignait pas, au contraire sa bite se rigidifiât davantage entre mes lèvres. Je menfonçais puis ressortais. Il écarta les jambes et les fesses, je compris quil aimait ça ! Je lui mis deux doigts maintenant

Je lui baisais le cul tout en le suçant. Après quelques minutes, il me repoussa la tête car il était prêt à exploser.

Maman et Victor étaient sur le canapé. Elle était assise sur lui et lui tournait le dos. Elle était en train de se faire sodomiser. Sa vulve fournie était béante. Victor après lavoir pénétrée se mit à sactiver dans son cul.

François me fit me relever et me retourna. Je pris appui sur le dossier du fauteuil. Il me saisit les tétons au travers de ma robe et les pinça fortement.

« Oh oui, François, cest bon ! Fais moi mal !»

Je sentais sa queue entre mes fesses. Jen avais tellement envie que je la pointais sur mon anus. Il me força, puis senfonça ! Quel délice ! Je bandais toujours quand il fut complètement en moi. Sa queue était si longue que jétais transpercée.

Il me pilonnait. Sa queue interminable me sondait en profondeur

Comme cétait bon, cette longue bite qui allait et venait !

Il y allait comme un cosaque en rut, il me défonçait comme une bête, sa longue bite sactiva jusquà lorgasme. Il juta des tonnes de semence en moi. Je sentais sa queue se raidir pour une dernière giclée.

Il se dégagea de mon cul béant, maida à me relever. Je remontais ma culotte et allai jusquau couple sur le canapé, je me glissai entre leurs jambes et magenouillai devant la chatte de ma mère.

Je voyais maman monter et descendre sur la queue de Victor quelle avait dans le cul. Je me mis à lécher son clitoris en essayant de suivre son mouvement. Elle se mit à gémir puis à crier !

Elle menserra la tête de ses jambes alors que je léchais la cyprine qui séchappait de sa vulve.

La queue de Victor sortit de son anus. Jen profitais pour la gober. Maman se dégagea et me laissa le champ libre. Je me jetai à nouveau sur sa pine que je me mis à sucer tout en le masturbant à deux mains tellement il était gros. Maman se mit derrière moi et me caressa le sexe, ma culotte était toute trempée du sperme de François. Elle me la retira sans que je ne cesse de pomper Victor. Elle messuya les fesses avec la culotte et elle reprit ma masturbation. Je cessais de sucer et me tournai vers elle pour lui demander

« Je peux ? ». Elle comprit que je voulais profiter de cette belle pine.

« Oui Sophie, tu peux ! »

Je me retournai et glissai la queue de Victor entre mes fesses puis me pénétrai lentement sur le pal. Il était si gros quil me distendait lanus. La progression était délicieuse. Maman, à genou, attrapa mon sexe pour le sucer. Pendant ce temps François vint derrière sa sur et glissa sa queue bandée dans son intimité.

Victor me tint les hanches et se mit à me limer. Comme cétait bon ! Maman me suçait comme elle le pouvait. Les violents coups de buttoir de François la déstabilisaient.

François lui pinçait les tétons et elle se mit à gémir de plaisir, ou de souffrance.

Elle continuait à aspirer ma bite et son amant à me pilonner le cul.

Je ne pouvais plus me contenir et explosai dans sa bouche. Elle me fixa dans les yeux et avala tout avec délice. François et Victor continuèrent de nous labourer. Javais le cul en feu quand Victor déchargea en moi.

Je vis que François était en train de jouir dans sa sur qui hurlait de plaisir.

Nous étions toutes les deux à nous éponger lentre jambes, du sperme de nos amants

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