Je me réveillais ce matin-là d’une humeur morose, sans perspectives réjouissantes pour la journée et sans la moindre envie de prévoir quoi que ce soit. Il était encore tôt, à peine huit heures, et j’hésitais à sortir du lit. La sonnette retentit alors. Vêtue seulement d’une légère chemise et d’une culotte minuscule, je me dirigeai vers la porte et jetai un oeil par le judas : à ma grande stupeur, il s’agissait du plombier, dont j’avais complètement oublié la venue, pourtant prévue de longue date.
Je le fis entrer, la mine toujours aussi renfrognée mais tâchant de faire comme si je l’attendais, oubliant au passage le fait que j’étais à demi-nue. Il sembla le remarquer mais n’y fit pas allusion. Je lui demandais si je disposais de quelques minutes pour prendre une douche avant qu’il ne coupe l’arrivée d’eau. Il me sourit et acquiesça.
Je me précipitai alors sous l’eau, sans le plaisir habituel, de façon précipitée, en poussant seulement la porte qui d’ailleurs n’a pas de verrou. Toute à mes idées noires, je me savonnai machinalement, quand j’entendis la porte de la salle de bain coulisser. Il entra, sans chercher à cacher sa présence. Arrêtant l’écoulement d’eau, je repoussai le rideau rageusement et le fusillai du regard, lui demandant ce qu’il faisait là.
Il souriait, apparemment peu perturbé par la situation, son regard braqué sur mon sexe rasé…
— Tu n’attends que ça, avoue-le, petite salope ! Me dit-il.
Je ne m’abaissai pas à lui demander ce qu’il entendait par ’ ça ’ et tentai de saisir une serviette pour me couvrir. Le dos à la porte, m’empêchant de sortir, il entreprit alors de se branler en me regardant : Sa queue était déjà énorme, gonflée, couverte de veines saillantes et surmontée d’un énorme gland. Mon trouble commençait à se transformer en une forme de fascination pour ce sexe brandit avec autant d’autorité, mêlée d’abandon face à une situation inéluctable. Il continuait de me fixer.
— Tu n’en as jamais vu d’aussi grosse, hein ? Me dit-il,
— tu n’oses pas t’avouer que tu voudrais te faire baiser par une aussi grosse bite, la sucer, te faire défoncer le cul !
Muette, je me contentai de lui signifier que je ne me débattrai pas. Il me saisit alors par les cheveux, sans trop de brutalité, ou parce que je le voulais bien, et approcha mon visage de son sexe, son pantalon ayant glissé à ses pieds. Je commençai, obéissante, à le lécher consciencieusement puis à le sucer, tenant la base de son sexe dans une main, les couilles gonflées dans l’autre. Cela me provoqua alors un plaisir immédiat : le sentir se raidir encore dans ma bouche, entendre ses grognements sourds, me fit mouiller exagérément, et je commençai à agiter mes fesses de façon convulsive, à la recherche d’une queue imaginaire qui comblerait ma chatte de petite salope assoiffée de bite.
— Petite pute, je vais décharger mon foutre dans ta gorge de petite suceuse, tu vas en prendre plein la bouche, et ensuite je pourrai te baiser bien à fond ! Grogna t il.
Son sperme gicla longuement, je le bus lentement, sans en laisser perdre une seule goutte. Il me releva, me sourit, sorti de la pièce, puis revint presque immédiatement : je n’avais pas bougé d’un cil, comme sonnée. Il se plaqua derrière moi, ayant quitté son pantalon et glissa sa queue encore raide entre mes cuisses. Légèrement penchée en avant, je subis avec délices le frottement de son sexe contre ma vulve surexcitée : mouvement qu’il prolongea longuement, jusqu’à me faire jouir à grands cris, au point qu’il devait me soutenir pour que je tienne encore sur mes jambes. Je me mis à mon tour à lui parler :
— Baise-moi, salaud, je veux ta queue au fond de moi, tu vas me baiser à fond puisque je suis ta petite salope, ta petite pute, puisque je n’attendais qu’une bite !
Me faisant attendre quelques instants encore, il finit par me faire plier vers l’avant et par diriger son sexe vers ma chatte palpitante. A sa grande surprise, je donnai un coup de reins et m’empalai littéralement sur son pieu avant qu’il n’ait pu esquisser un mouvement, lui arrachant un gémissement.
— Ta bite est tellement grosse qu’elle me remplit complètement, donne-moi des coups de queue, pilonne-moi, défonce-moi la chatte ! Lui hurlai-je, complètement hors de moi.
Il continuai de me limer doucement puis plus fort, m’arrachant des hurlements de petite chienne bien baisée, se cramponnant à mes seins des deux mains, grognant encore. Puis sans prévenir, il se retira, alors que la porte de la salle de bains s’ouvrait. Un homme d’une quarantaine d’année entra alors, dardant un sourire complice sur mes fesses exposées ainsi. Je compris vite qu’il s’agissait du patron de la boîte de plomberie qui employait mon délicieux tortionnaire, et que ce dernier ne s’était éclipsé tout à l’heure que pour lui ouvrir la voie.
Ils me menèrent alors vers le lit, m’y poussèrent, et le nouveau venu, pantalon baissé, entrepris de me baiser en levrette, parlant en même temps à son collègue sans que je sois en mesure de suivre la conversation. Tout en discutant, il plongeait son doigt humide dans mon cul, ce que j’appréciai tout particulièrement, au point que je le suppliai de continuer et d’y enfoncer deux ou trois doigts. Il s’arrêta après m’avoir à nouveau fait jouir de façon bruyante et sans prévenir, approcha sa bite de mon cul et s’y enfonça sans ménagement. Passée la stupeur et la douleur aiguë que cela me provoqua, je ressentis immédiatement une frénétique envie de poursuivre plus avant l’expérience. Agitant mon cul au rythme de ses va-et-vient, je ne tardai pas à jouir encore une fois, hurlant cette fois-ci des obscénités à mes partenaires :
— Je suis une petite putain qui se fait défoncer le cul et qui adore ça, baisez-moi le cul encore, bourrez-le-moi encore, plus fort, plus vite, plus profond, je suis une vraie salope, une folle de bite qui n’attend que ça, qui est prête à se faire tirer par n’importe qui ! Vous aimez ça, baiser une petite salope de 18 ans qui aime se frotter contre les queues et les couilles, qui aime qu’on lui glisse une main dans la culotte, dans la chatte, dans le cul, bande de salauds !
Rendus fous par mes imprécations et mes feulements, ils me retournèrent, l’un d’entre eux m’encula en m’asseyant sur sa queue, puis l’autre se remit à me baiser la chatte comme si sa vie en dépendait : ils me prirent ainsi longuement, brutalement, remplissant mon ventre de leurs secousses, puis ils jouirent ensemble dans ma chatte et dans mon cul, nos grognements et nos cris mêlés explosant en même temps.
Ensuite je sombrai dans un profond sommeil, et me réveillai sans savoir bien si j’avais rêvé ou non… Ce qui est bien réel par contre, c’est qu’en ce moment même je me branle en pensant à cette histoire, et que c’est délicieux…
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