Cest Gégé qui pousse une chaise pour me faire monter sur le billard. Le Noir est déjà en place, allongé sur la feutrine. Sa position ne prête pas à interprétation. Sa verge, que la patronne vantait tout à lheure, est bien digne dintérêt et supporterait la comparaison avec celle du camionneur. Plus fine, oui ; plus fine mais plus longue. Je rampe vers lui, forçant mes gestes pour accentuer le côté femelle qui est prête à tout pour une belle queue noire. Pierre doit être fier de moi. Où est passée la Muriel davant ? Je suis pour tous ici la femme que lon peut utiliser. Pensez, la bourge qui vient déjà de se faire mettre par quatre mecs et qui rampe vers le suivant

Cest lorsque ma main se saisit du mandrin que je réalise vraiment la taille de lobjet. Je ne peux mempêcher de mettre la seconde dessus mais, malgré ce long fourreau, le gland sort encore. Waouh ! Belle pièce. Pourrai-je ? On me laisse tranquille. Les autres se sont répartis autour du billard. Ils regardent, cest tout. Il ne faut pas exagérer ; ce nest pas un phénomène de foire. Envieux ? Peut-être.

Je suce le gland et la hampe rapidement, massurant ainsi une lubrification sécurisante avant de faire rouler linterminable capote quune main secourable me passe. Doucement, je me positionne, retrouvant mon ancienne position favorite, avant avant Pierre et Bref, je le chevauche. Nous nous regardons. Il me sourit. Maintenant, il suffit de laisser faire la nature : juste guider le bâton vers ma chatte poisseuse des hommages de mes amants précédents. On peut dire ce que lon veut, mais je ne connais pas de position plus agréable pour la femme. Elle peut se faire posséder comme elle veut. Cest elle, cest moi qui contrôle la lente progression de lengin dans mon fourreau, savourant la dilatation du vagin dont les parois nont envie que dune seule chose : ressentir le frottement des muscles qui souvrent puis se pressent pour étouffer lintrus.

Cest plus difficile. Jai limpression davoir atteint mes limites. Abdou sent bien la résistance. Il me caresse de ses mains noires, étrangement douces. Il tire sur mes tétons, délicatement, les faisant rouler entre ses doigts, mattire à lui et ses lèvres viennent jouer avec le piercing. Maintenant, je suis presque allongée sur lui et ses mains caressent mes fesses. Dautres mains se joignent aux siennes.

Allez, Gégé, à toi : bourre-lui le fion, fais chauffer son cul ! Demain, elle pourra plus sasseoir ! dit une voix sur la droite.

Daccord ; ce nest pas très distingué, mais cela a le mérite de la vérité.

Le Gégé est sur le billard, derrière moi, et cherche la meilleure position pour amener son sexe vers mon fondement. À la façon dont les mains écartent mes fesses, mon anus doit ressembler à une grotte ouverte dans la montagne, avec même un filet de ma liqueur qui en suinte. Le Gégé ne fait pas dans la délicatesse. Après tout, il vient de me voir accepter des queues dans tous mes orifices et je suis sûre que les paroles de la patronne « Mais ne vous fiez pas à son air de sainte nitouche. Je connais bien son homme, il sait choisir ses femelles. » résonnent comme un défi personnel. Il envahit mon cul avec brutalité, et lespace dun instant jai pensé quil allait me déchirer. Mais non. La pression est énorme. Jai limpression que mon ventre va exploser, mais avant même que je ne réagisse, il est entré, et mieux : sa bedaine sécrase sur mes fesses.

Waouh ! Pour une première fois, je suis gâtée. Sandwich de reine. Rien à voir avec le plug et les sphères chez Pierre. Lexpression « se sentir pleine » nest pas quune façon imagée de décrire ce que je ressens. Cest plus que cela. À la fois déformée par les deux bites qui se font concurrence dans lespace restreint et saturée dinformations contradictoires, de la gêne à lextase.

Mais mon Gégé na que faire de mes états dâme. Il en veut pour son argent ; ou plus exactement, il se doit défié tout à lheure par la patronne de mamener au plaisir. Sa façon à lui est de me bourrer le cul sans ménagement, cherchant à mempaler le plus profondément possible, et pour cela me tirer vers lui par ses paluches sur mes épaules. Abdou est pour linstant bien sage, au chaud dans mon con, et il laisse faire son copain.

Petit à petit cette enculade violente réveille chez moi une envie irrépressible de plaisir. Cest très éloigné de la douce baise sur un amant. Non ; je veux moi aussi me laisser emporter par mes instincts. Je bouge de plus en plus, ondulante, chienne, garce, salope. Tout le monde sen aperçoit et les commentaires fusent bon train :

Vas-y, Gégé ! Elle est chaude Regarde comme elle se tortille Elle en veut, de la bite !

Toutes ces remarquent ne font que rendre latmosphère de plus en plus sexe, sans contrainte, sans limite et je suis maintenant une femelle en chaleur, prise du cul et du con et qui veut

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