Salut c’est votre folle de lycra.
Nous étions lundi soir et j’étais sur le chemin pour retrouver Muriel, chez elle, sans que j’en aie informé ma mère. J’étais en train de me monter tout plein de films dans la tête, et ma tenue à même le corps aidait à entretenir mon érection. Entre une culotte souillée de ma mère et un body tout autant de Muriel, avec mes vêtements d’homme en dessous je sentais vraiment très fort la femme. Pourquoi Muriel voulait à ce point que je vienne la voir ce soir, je crois vraiment qu’elle était en manque. Le fait qu’elle sache que je m’étais envoyé en l’air avec ma mère avait l’air de l’exciter énormément. Je n’ai eu qu’une quinzaine de minutes à marcher avant d’arriver chez elle, j’ai retenu mon souffle, avant de sonner à sa porte. C’est dans une tenue de vamp qu’elle est venue m’accueillir et nous nous sommes empressés de rentrer dans sa maison. Elle m’a immédiatement emmené dans sa chambre où elle m’a fait déshabiller, bien évidemment elle s’est jetée sur la culotte pour constater que c’était une de ma mère. Cela a été plus fort qu’elle, il a fallu qu’elle la sente, il n’y a pas à dire l’odeur de l’entrejambe de ma mère la mettait dans tous ses états.
J’ai constaté que sur le lit il y avait une magnifique parure ainsi qu’une superbe robe à frous-frous et pendant que je regardais Muriel m’a dit que tout était pour moi, j’allais passer la soirée avec elle habillé en femme, en femme fatale. Le truc qui m’a le plus excité, c’étaient les cuissardes qui avaient l’air neuves et prévues pour moi. La patronne de ma mère avait même acheté un gros collier en cuir large, avec une laisse, j’en étais à me demander si j’allais accepter un tel collier. J’étais maintenant nu devant elle, avec une érection monumentale ; cela avait l’air de lui plaire de me voir dans cet état de forme. Pour commencer, elle m’a fait enfiler un body en lycra, mais comprimant, au niveau longueur il était parfait par contre il m’écrasait le ventre et surtout le sexe. À mieux y regarder mon sexe était comprimé mais il y avait un accès pour le faire sortir, c’est elle-même qui a été constater l’ouverture qui se trouvait à l’arrière, en venant me caresser mon petit trou avec son doigt plein de salive. J’ai eu beaucoup de mal à enfiler ce body, par contre je me sentais très bien dedans, quand Muriel m’a fait enfiler la douce robe longue de mariée à manches longues je n’en pouvais plus d’excitation.
Le contact entre ces deux matières était vraiment unique, excitant, magnifique et bandant. Pour ce qui est de mon sexe, il était toujours en érection mais fortement plaqué contre mon ventre. Muriel a fait une petite pause pour m’embrasser goulûment et pour me caresser, je pense qu’en même temps, ça l’excitait de me voir me métamorphoser ainsi. Elle m’a fait enfiler des bas d’une grande douceur, qu’elle a accrochés au body, je me laissais faire, je me sentais soumise et offerte à cette femme qui faisait ce qu’elle voulait de moi. Maintenant il fallait que j’enfile les cuissardes, j’avais un peu peur de ne pas pouvoir rentrer dedans, mais Muriel avait tout prévu au niveau de la taille. J’étais devenu en quelques minutes une femme fatale, tout comme elle, par-dessus ça elle m’avait demandé de me raser de près avant de venir. Muriel a aussi pensé à me pomponner tout le corps avec un parfum très féminin, je sentais la femme distinguée. Quand elle s’est approchée de moi avec le gros collier en cuir, sur lequel était accrochée la laisse, sur le coup j’ai refusé. Je me suis pris une énorme gifle dans la figure, je peux vous garantir que je n’ai pas refusé deux fois.
J’en ai eu les larmes aux yeux, mais ça y est, j’étais en train de me laisser faire ; Muriel me tenait en laisse. Par-dessus ça, elle m’a mis de larges bracelets cuir aux poignets, qu’elle a attachés ensemble dans mon dos. Je lui étais totalement soumise, et elle allait pouvoir faire ce qu’elle voulait de moi pour la soirée. J’ai honte de le dire, mais dans une telle tenue, dans de telles conditions, j’étais encore plus excité. Elle est partie dans la salle de bain, pour en ramener une superbe perruque, elle me l’a posée sur la tête ; on avait vraiment l’impression qu’elle avait l’habitude de faire ça. Cela lui a facilement pris une dizaine de minutes pour poser le postiche, mais en une demi-heure, j’étais devenu une femme. J’avais maintenant de longs cheveux raides et châtains qui descendaient légèrement en dessous de mon poitrail, avec une telle tenue je ne pouvais que me sentir femme. Le plus beau c’est que j’étais hyper excité, ainsi accoutré, j’avais envie de faire des folies sexuelles ce soir. Par contre je n’avais pas d’autre choix que de subir, et c’est ainsi qu’elle m’a emmené dans le séjour. Le frottement de tous les vêtements entre eux m’excitait toujours plus et cela me faisait tout drôle de marcher avec ses cuissardes à petits talons. Muriel venait de me transformer en véritable salope, quand elle m’a fait respirer l’essence d’un petit flacon, mes sensations se sont décuplées.
J’avais désormais envie de sexe, rapidement, coûte que coûte, sur-le-champ. Quand je suis arrivé dans le séjour, je suis tombé de haut, un grand et bel homme, sans doute sexagénaire, était là à m’admirer. Muriel est venue me dire discrètement à l’oreille.
<<C’est un collègue de travail.
Si tu ne veux pas qu’il sache que tu es le fils de Christiane, il va falloir que tu sois très obéissant ce soir.
Je ne veux pas que tu le contraries.>>
Muriel a tiré sur la laisse pour m’approcher de lui, et au moment où je pensais qu’il allait me faire la bise, il m’a carrément embrassé sur la bouche. Sa main est venue me la tenir pour ne pas que je puisse reculer ma tête, c’est ainsi que pour la première fois de ma vie je roulais une pelle à un homme. Je ne sais pas ce qui se passait en moi mais le fait de l’embrasser avait l’air de m’exciter énormément. Pendant ce temps, Muriel était en train de lui caresser le sexe, il avait l’air de beaucoup apprécier cette initiative.
<<Je te présente Claude.
Je lui ai beaucoup parlé de toi, et cela lui a fait très envie de faire ta connaissance.>>
Maintenant, Muriel en plus de caresser les attributs de Claude, elle était en train de me faire la même chose, même si mon sexe était incapable de se dresser tant il était comprimé.
<<Tu es magnifique ma chérie.
Tu n’imagines pas combien tu m’excites et combien j’ai envie de toi.
Quel est ton prénom.>>
J’étais sur le point de lui répondre que je ne prénommais Franck, mais c’est Muriel qui a répondu à ma place.
<<Elle se prénomme Coralie.
Elle est jeune et innocente et je compte sur toi pour lui faire son éducation.>>
Dans quel traquenard venais-je de mettre le pied, Claude restait imperturbable il continuait à m’embrasser. Il était d’une grande douceur avec moi, j’en arrivais même par être touché par tant d’attentions. Entre la tenue que je portais et le traitement que me prodiguait Claude, je me sentais de plus en plus femme. Avec la longueur de ma robe, il n’y avait que moi et Muriel qui savions que j’avais de très longues cuissardes. Je vais vous avouer qu’au niveau de la tenue, je me sentais un peu salope.
Je ne sais pas ce que me faisait respirer Muriel, mais à chaque fois, cela me permettait d’avoir l’esprit toujours plus ouvert. Quand Claude m’a fermement plaqué contre lui, je me sentais totalement offert, j’avais l’impression de lui appartenir. Le plus beau, c’est que maintenant je sentais son sexe contre le mien, c’est bête à dire mais je me sentais désiré. Cet homme devait me mettre presque dix centimètres dans la vue et facilement vingt kilos, je sentais sa puissance, elle était rassurante. Au début il me tenait avec sa main dans le dos, mais cette dernière a fini par descendre et maintenant il me tenait par les fesses. Même si mon sexe était contenu dans ce body comprimant, mon érection n’avait en aucun cas perdu de sa vigueur. Bref, j’étais devant le fait accompli, cet homme me faisait de l’effet dans sa façon de faire avec moi. Sa main baladeuse dans mon dos était en train de m’exciter, car il me caressait les fesses, mais aussi le haut de l’arrière de mes cuisses. Muriel me regardait avec un léger sourire, quand elle constatait que j’étais demandeur de ses caresses.
<< Elle a vraiment un corps de rêve, et en plus elle est très réceptive.
Quand tu m’en as parlé, je ne pensais pas qu’elle était docile à ce point.>>
Bien que dissimulé dans son pantalon, son sexe se frottait contre le mien, je peux vous garantir que je le sentais bien. Pour la première fois de ma vie, j’étais à la totale merci d’un homme, ce dernier me désirait énormément et le plus beau c’est que cela ne me laissait pas indifférent. Maintenant je le sentais me caresser les fesses et surtout le milieu, à ma grande surprise cela me faisait bander de plus en plus fort. Muriel avait l’air très fière du résultat et je ne vous parle pas de l’indice de satisfaction de Claude. Je ne sais pas comment elle m’avait présenté à lui mais il avait l’air très satisfait du réel. Avec mes bras attachés dans le dos, je ne pouvais que subir, cela ne me dérangeait pas, même si maintenant je n’aurais pas été contre poser mes bras sur ses épaules voire autour de son cou. Les minutes qui passaient étaient en train de me bouleverser le cerveau, je me sentais vraiment heureux de vivre une telle situation dans les bras de Claude et sous les yeux de Muriel. Quand il a découvert que mes cuissardes montaient pratiquement jusqu’à mon entrejambe, il a été agréablement surpris et Muriel lui a fait un grand sourire.
Maintenant il avait cessé de m’embrasser, il venait me déposer des baisers dans le cou, il avait l’air de beaucoup aimer le parfum que je portais. Ses baisers doux et délicats me faisaient des frissons partout sur le corps, j’avais maintenant envie que nous fassions plein de choses ensemble, le plus beau c’est que ce soir, en arrivant chez Muriel, j’avais projet de l’honorer. Disons que je me retrouvais maintenant face à un retournement de situation. Au rythme où nous allions, mon petit doigt me dit que mon sexe n’allait pas servir beaucoup ce soir. De temps à autre Claude venait me mordre le lobe des oreilles, il n’arrêtait pas de m’exciter.
<<J’ai envie de toi Coralie.
Je ne sais pas si je te détache les bras ou pas, car en même temps cela m’excite de te voir ainsi offerte.>>
Effectivement de mon côté, au début j’étais un peu contrarié d’être ainsi attaché, mais finalement cela n’était pas pour me déplaire de me sentir ainsi sans défense et offert à cet homme. J’étais conscient aussi que dans peu de temps, il allait m’inviter à me mettre à genoux devant lui, car je n’étais pas convaincu que l’on m’en reste à une relation platonique ce soir.
Tout doucement, il était en train de tourner autour de moi, pour finalement se retrouver dans mon dos, Muriel m’avait donné l’arrière de ma robe à tenir dans les mains, pour ne pas que mon homme marche dessus. Claude continuait à m’embrasser le cou et cela me faisait toujours plus d’effet, maintenant il m’avait plaqué contre lui, mais désormais je sentais son sexe dans la raie de mes fesses. J’étais en train de réaliser qu’en plus d’être habillé en fille, j’étais dans une robe de mariée, ce qui pouvait laisser sous-entendre que j’étais totalement soumis à mon partenaire pour la soirée. Claude s’était mis à me pincer les tétons sur ce que j’avais comme poitrine, il n’y a pas à dire, il se satisfaisait de peu pour cela. Comme dirait un certain chanteur, j’avais des miches de rat pour une fille, mais j’estimais être correctement proportionné pour un garçon. À mesure qu’il me caressait, Claude m’excitait, j’avais de plus en plus envie qu’il aille un peu plus loin, je ne me reconnaissais pas. Pour ne pas se sentir inutile, Muriel était venue face à moi, pour m’embrasser, je crois qu’elle voulait peut-être aussi se faire pardonner pour ce qu’elle était en train de me faire vivre.
Au début j’étais très mécontent par la surprise qu’elle m’avait préparé, mais maintenant je voulais passer à la vitesse supérieure avec Claude. Dans mon dos, il insistait de plus en plus fort avec son dard entre la raie de mes fesses, de son côté Muriel jouait avec mon sexe à travers les épaisseurs des tissus, je pense qu’ils étaient en train de me mettre en condition. La maîtresse de maison continuait régulièrement à me faire respirer ce petit flacon, qui commençait à bien me plaire. Finalement Claude a réintégré sa place, face à moi, Muriel s’est chargée de m’aider à m’agenouiller. La maîtresse de maison a même veillé à me mettre un oreiller sous les genoux, pour ne pas que la position soit trop inconfortable. Avec mes bras attachés dans le dos, l’opération s’est avérée périlleuse, mais j’ai finalement réussi à me retrouver à la hauteur du sexe de Claude. C’est Muriel qui s’est chargée de libérer le sexe de mon partenaire, à peu de chose près il était de la même taille que le mien, mais la différence c’est que c’est moi qui lui faisais de l’effet. Il y avait une légère odeur d’urine mais surtout une odeur de désir, Claude devait être en manque.
Pour l’instant il était à quelques centimètres de mes yeux, de ma bouche, de mon nez, je l’admirais, je le sentais ; j’en arrivais même maintenant à l’imaginer dans ma bouche. La patronne de ma mère l’a masturbé quelques instants avant d’inviter Claude à s’approcher un peu plus de moi. Il a franchi les quelques centimètres qui me séparaient de lui, grâce à un petit mouvement de ses pieds, il s’est arrêté au moment où son sexe effleurait mes lèvres. Dans quelques secondes j’allais me retrouver la bouche pleine de ce sexe qui commençait vraiment à me faire envie, jamais je n’aurais pensé devoir faire une fellation à un homme. Jusqu’à maintenant Muriel m’avait éduqué pour donner du plaisir à une femme voire plusieurs et voilà maintenant qu’elle allait me donner un cours de turlutte.
<< Sors ta langue ma cochonne, et touche le sexe de Claude avec.
Essaie de tourner ta langue autour de son prépuce.
Tu vas en découvrir le goût, en plus de l’odeur, et tu me diras ce que tu en penses.>>
Pendant que Muriel était en train de me parler, elle était venue s’agenouiller à mes côtés, pour suivre le déroulement des opérations aux premières loges. Elle regardait le sexe de Claude avec gourmandise, j’avais vraiment l’impression qu’elle était pressée de le voir rentrer dans ma bouche. Tout doucement, ma langue commençait à découvrir le goût de ce sexe qui me désirait, cela n’était pas du tout désagréable et au bout de quelques secondes ma langue avait franchi plusieurs centimètres sur ce priape. Je ne sais pas ce qui m’a pris, je suis étonné, mais en plus de mes coups de langue, maintenant j’avais pris en bouche le prépuce, mon partenaire avait l’air de beaucoup aimer mon initiative. En fait j’étais en train de faire ce que m’avaient fait Muriel et ma maman à plusieurs occasions. J’essayais de me remémorer tout ce qui m’avait fait du bien lors de ces fellations, et j’essayais de le reproduire sur le sexe de Claude maintenant. La façon dont me regardait la patronne de ma mère, j’avais peur qu’elle me pique le sexe de Claude qui était dans ma bouche pour se le récupérer pour elle.
Je ne pouvais en aucun cas m’accrocher aux jambes de Claude, vus que mes bras étaient maintenus dans le dos. J’avais maintenant l’impression que j’étais en équilibre, et que je ne gardais ce dernier que grâce au sexe de Claude qui était maintenant entièrement dans ma bouche. Finalement c’était très agréable d’avoir la bouche pleine d’un sexe masculin, je crois que j’allais prendre le goût à faire des pipes. Maintenant Claude était venu tenir ma tête, il donnait des coups de reins de plus en plus forts, pour enfoncer son pieu au fond de ma gorge. J’avais vraiment l’impression qu’il était devenu un animal qui voulait se donner du plaisir, et que moi j’étais devenu le petit trou à baiser. Soudain Muriel m’a retiré le sexe de la bouche, pour le mettre dans la sienne ; elle n’a pas pu résister à la tentation.
<<Regarde comment on fait ma cochonne, souviens-toi ce que je t’ai fait et ce que ta maman t’a fait.
Il faut que tu fasses bien coulisser le sexe dans ta bouche.
L’idéal, même, serait que tu aspires juste un petit peu au moment où le sexe ressort.
Je vais quand même être honnête, je trouve que tu t’en sors bien pour une première.>>
J’étais carrément en train de prendre un cours pour donner du plaisir à son collègue de travail. J’adorais le rôle que m’avait trouvé Muriel, et j’avais une grosse envie de récupérer le sexe de Claude pour mettre en applications les conseils d’une experte. Malheureusement j’étais en équilibre instable, et nullement en mesure de pouvoir aller batailler le sexe à disposition. Pour être soumise, offerte et obéissante ce soir j’étais vraiment un modèle du genre. Finalement au bout de cinq bonnes minutes de plaisir personnel, Muriel m’a restitué mon sucre d’orge, je vais vous avouer que j’en étais vraiment très heureux. De temps à autre, je regardais Claude, j’essayais de croiser son regard, à chaque fois je le voyais me sourire et il m’envoyait un petit baiser. Les coups de reins de Claude étaient maintenant assez espacés, mais de plus en plus puissants, je savais que c’était un signe annonciateur d’une jouissance à venir. Quand j’ai vu les deux collègues avec un regard interrogatif, j’ai compris qu’il se passait quelque chose.
En fait Claude voulait savoir s’il pouvait partir dans ma bouche, vu le regard approbateur de mon initiatrice, je savais que j’allais recevoir la purée au fond de la gorge dans peu de temps. J’ai été un peu surpris quand la semence est arrivée, mais vu que j’étais en équilibre je ne pouvais pas reculer, d’autant que c’est Claude qui s’est très légèrement reculé pour que je n’aie pas le choix. J’ai eu le droit à cinq ou six giclées au fond de la gorge, mais rapidement Muriel a récupéré le sexe pour lui en faire la toilette. Au moment où j’étais sur le point de tout avaler, Muriel m’a dit de garder la liqueur quelques instants dans la bouche, histoire que je m’y fasse un peu. Claude était vraiment très délicat et affectueux avec moi, j’avais l’impression qu’il me traitait comme une femme. C’est ainsi que durant quelques minutes je me suis amusé avec ma langue pour essayer de savourer la liqueur de Claude.
<<Je te félicite ma chérie, tu t’en es vraiment très bien sortie pour une première.
La prochaine fois, je te détacherai les mains, tu pourras t’accrocher à mes cuisses et ainsi prendre un peu d’initiatives dans la fellation que tu me pratiqueras. Tous les vêtements c’est moi qui te les ai achetés pour que tu sois la plus à mon goût possible.>>
Il fallait comprendre que je reverrai Claude et que je serai à nouveau sa soumise, offerte et obéissante.
En espérant que ce chapitre numéro sept vous ait plu, je suis toujours à l’écoute de vos commentaires.
Bisous à vous.