Les jours passent, je menfonce dans ma dépendance et aussi dans lamour incroyable que je développe pour Julie. Pour Madame je dois penser maintenant car elle exige que je lappelle ainsi, créant une distance qui est bien réelle. Elle est tout pour moi, et je ne suis rien pour elle. Je le sens bien. Je pense avec ironie à sa demande initiale, et finalement elle a bien tout eu, même si la maison nest pas à son nom, je nai plus rien, nai plus accès à mes comptes ni à mes amis, ni même à ma famille, je suis coupé de tout et de tous. Et je le fais avec joie et une totale dévotion. Et elle nest plus ma femme, mais Madame que je sers avec un plaisir et une souffrance chaque jour renouvelé. Les règles sajoutent les unes aux autres, et jen oublie encore souvent. Madame mindique quelle a décidé de me dresser pendant trois semaines dès que les beaux jours seront là. Je ne sais pas ce que cela signifie pour elle, mais je nai pas le droit de lui poser une question, une des règles imposées. Je me demande souvent si elle maime, ou au moins si elle a des sentiments. Je me dis que si ce nétait pas le cas elle ne soccuperait pas de moi. Dun autre côté elle développe un sadisme dans lequel elle prend vraiment beaucoup de plaisir, et peut être ne suis-je là que pour cela, sans plus daffect. Je nai rien sur quoi me raccrocher, et je peux partir en panique très vite, à mimaginer alors mis à la rue, et sans rien ni personne. Alors je me donne plus encore, avec toute la dévotion quelle minspire. Et elle nest pas feinte. Je la trouve incroyablement belle. Elle a pris un peu de poids, comme pour sémanciper du diktat du regard de lhomme, mais aussi cela lui donne plus de puissance. Je le sens dans les coups de bâtons qui sabattent matin et soir sur moi. Je ne my habitue pas, au contraire, cest de plus en plus difficile, ou alors cest que Madame frappe plus fort.

Ce soir dès quelle rentre je prends son manteau et lui enlève ses chaussures, un peu de massage avant de lui servir à boire. Je nai pas dit un mot, je suis invisible. Jai préparé le dîner pour une seule personne bien sûr, jai mangé ce matin de vieux déchets sortis de la poubelle des voisins, heureusement agrémentés du champagne matinale de Madame, couvrant ainsi un goût et une odeur nauséabonds. Je sais que je la dégoûte daccepter manger cela, mais en même temps cest elle qui my oblige et je me dois de lui obéir. Peut être devrais je faire semblant de résister, mais ce nest pas ma nature, et je meffondre un peu plus chaque jour dans ces humiliations répétées. Je le sens bien, je pars. Dautant quelle bourre mon assiette dopiacés sur lesquels je suis très réactif. Elle le sait. Et elle me la dit, elle me veut affaibli, mais aussi complètement dépendant physiquement, et il ny a rien de plus efficace. Et cest vrai que je suis alors complètement bien et tellement plus amoureux encore si cest possible. Elle mordonne de me vider, je nettoie le plug porté toute la journée pour le rendre bien propre, puis je dois aller dans la cour commune pour faire mes besoins. Cest toujours atrocement stressant de me faire surprendre, heureusement, cela narrive jamais. Je fais un petit trou et me soulage, sans avoir le plaisir de messuyer. Jai découvert quil y avait tant de petits plaisirs dans la vie. Quand je reviens Julie me fait mettre à 4 pattes, et me remplit le cul avec un très gros plug percé en son centre. Je crois quelle ne va pas y arriver tant il me semble énorme. La pression est insupportable, mais je ne peux rien y faire, il avance inexorablement, jusquà prendre sa place définitive. Jai le souffle coupé. Jai limpression de nêtre quun cul autour de ce plug. Je nai rien dit, Julie est satisfaite, elle prend des photos de moi.

Il nest pas tard pourtant Madame me prépare pour ma nuit. Jai une cagoule en spandex qui limite ma respiration, avec en dessous un bâillon plug bien enfoncé dans ma gorge. Je fais attention de bien respirer. Mes mains sont attachées dans le dos, pas trop serrées, comme mes genoux et mes chevilles, attachées ensemble. Mais elle ma mis une couche culotte avant cela. Comme chaque fois que je suis attaché pour la nuit. Une humiliation supplémentaire car je suis un vieux qui ne retient pas sa vessie. Mais là en plus avec le plus ouvert ainsi, je risque de perdre un peu de matière solide. Madame jette un dernier regard, me fait rentrer dans le dressing, puis sans me soucier de moi ferme la porte qui ferme la lumière et tourne la clé. Je suis enfermé à deux pas de notre lit, ou plutôt de ce qui est devenu son lit, et très clairement elle se débarrasse de moi. Elle na pas eu un mot, et je me console en me disant quelle sest occupée de moi en me préparant ainsi, mais cela ne calme pas langoisse qui monte doucement et progressivement.

Jentends des bruits de voix qui montent lescalier, celle de Madame et celle dun autre homme. Je tressaille. Je sais quelle me fait cocu. Elle ne sen cache et plus dune fois jai eu le droit à son sexe très souillé, non de sperme car elle met des préservatifs, mais de sécrétions très volumineuses témoignant dune activité forte. Et une fois jai eu la surprise davoir son cul lubrifié et légèrement béant, ce qui mavait plongé dans une grande jalousie car elle mavait toujours indiqué que la sodomie était une limite. Apparemment que pour moi. Ceci dit maintenant tout est une limite pour moi puisque je suis définitivement encagé. Au ton de sa voix, je sens que Madame est très excitée et je réalise que je connais très bien la voix de lhomme qui laccompagne, meffondrant mentalement un peu plus, alors que je me pensais au plus bas. Cest un ami de longue date, avec qui elle avait eu une aventure avant notre mariage, et que je trouvais prétentieux et qui ménervait au plus au point. Une simple porte nous séparait et jentendais tout de leurs échanges, de leur plaisir, mais aussi du côté très directif de Julie. Ce nétait pas de la domination mais de façon claire elle décidait et lexcitait. Jaurais tellement aimé cela ! Surtout quand elle lui demanda de lenculer à sec, et lui répondant quelle sen foutait sil déchirait son préservatif. Les câlins reprirent une bonne partie de la nuit, mais je navais aucune idée de lheure, je ne sentais que mon cul complètement explosé. Je me demandais si je retrouverais lusage de celui-ci un jour. La couche était remplie et commençait à être lourde et humide, javais mal aux épaules, jétais mal avec ma reine juste à côté de moi, avec un autre homme. Cela mexcitait.

Au matin la lumière passe à peine au travers de la cagoule, alors que Julie entre dans le dressing prendre ses affaires de la journée. Avec horreur je devine que Laurent est juste à côté delle et pourtant il ne dit rien. Ils font tous les deux comme si jétais transparent. Cest encore pire que dêtre humilié devant lui, je ne suis plus rien. La lumière séteint, je panique, jai la gorge sèche et besoin de boire. Je me rendors. La lumière se rallume, Julie est là avec un grand biberon, elle soulève ma cagoule, enlève mon bâillon, ma bouche reste ouverte davoir été aussi contrainte, et verse le contenu du biberon dans ma bouche assoiffée. Je bois son champagne avec le double bonheur de mhydrater et de la boire, jusquà ce que le biberon soit vidé. Julie me remet le bâillon et rabaisse la cagoule, et me susurre à loreille quelle est contente que jaime tant lurine du matin de Laurent, et sen va pour la journée, sans plus se soucier de moi. Je pleure doucement dhumiliation, et de me sentir abandonné. Jessaie de me raisonner, mais attaché dans le noir, à nouveau bâillonné, je sombre dans le désespoir.

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