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Soubrette Sissy Boy – Chapitre 4




4.

Le lendemain matin, je méveillais un peu avant 6h00, avant le réveil. Cétait devenu une habitude. Je naurais jamais cru cela possible avant ! Après une douche, je moccupais de mes cheveux, de mon maquillage. Puis jenfilais un slip boxer, des bas, le soutien, la robe, le tablier et la coiffe. Et jallais porter le plateau déjeuné à ma Maîtresse, qui lisait son journal dans la salle à manger. Comme chaque matin, je déposais le plateau devant elle. Elle me gratifia dun sourire, puis replongea dans la lecture du journal. Moi, je plongeais sous la table, impatiente de retrouver mon rituel du matin.

Elle portait un pyjama rose en satin, très seyant. Je devinais son sexe, très visible, déformant le satin, le long de sa cuisse. Je mapprochais de lui, le léchant par-dessus le tissu Sa main passa sous la table, me caressant gentiment les cheveux. Puis elle passa à son entre-jambe, et sorti son sexe du pyjama. Il était à demi bandé, je lenfournais bien vite dans ma bouche, où après peu de temps il retrouva toute sa dureté. Je la suçais du mieux que je pus, et dans un soupir de satisfaction, elle vint dans ma bouche, son nectar tout chaud descendant dans ma gorge que jaimais cette sensation !

Tandis que je me redressais, elle me tendit un paquet.

— Tiens Aline, jai un cadeau pour toi.

Je la remerciais, et pris le paquet. Je louvris, cétait une boîte à chaussure. A lintérieur, de superbes escarpins, noirs, vernis, avec un talon de 10 cm !

— Tu devras tentraîner au début, mais je suis sûre que tu aimeras.

— Oh, merci Maîtresse, merci beaucoup ! Je vais les essayer tout de suite !

Je me débarrassais de mes escarpins avec les talons plus petits, et passais les nouveaux. Pour la pointure cétait parfait ! Par contre pour marcher pas évident du tout ! Je me promis de les mettre tous les jours un petit peu, jusquà ce que je marche normalement avec. Je clopinais jusquà ma chambre, sous le regard amusé de ma maîtresse, où je rechangeais de chaussures.

Je passais la matinée à faire le ménage, et laprès-midi je travaillais au bureau de ma maîtresse, classant des papiers tandis quelle soccupait de la comptabilité de lécole.

Au milieu de laprès-midi, quelquun frappa à la porte. Elle leva la tête, et dit « Entrez ! » dune voix forte. La porte souvrit et M. Striker entra.

— M. Striker ? Je ne vous attendais pas aujourdhui

— Bonjour Mrs. Benson, non, je sais, nous ne devions pas nous voir, mais je voulais en personne venir vous apporter la bonne nouvelle lassureur accepte de payer ! Jai téléphoné aux membres du Conseil dadministration, nous nous réunirons ici, après-demain.

— Ici ? Ce ce nest pas habituel dhabitude, on se réunit ailleurs

— Je sais, je sais, mais ici ce sera mieux. Pour parler de lécole, des nouveaux fonds à récolter et nous pourrions leur présenter votre excellente soubrette !

— Mais mais vous rendez-vous compte ! Ces membres honorables de notre ville ! Vous voulez quils crient au scandale !

— Ah, ah, ah honorable ? Mrs. Benson, on voit bien que vous ne sortez pas souvent de votre école. Ces gens sont riches, très riches. Et dépravés. Très dépravés. Comment croyez-vous que samusent ces gens de la haute ? Orgie, esclave sexuel, et jen passe. Le champagne, largent, les putes et dautres substances que je ne citerais même pas devant vous séchangent à flot lors des fancy fair de Mrs. Knowling ! Vous croyiez vraiment quil sagissait de soirée mondaine et de bingo de charité ??? Ah, ah, ah, je nen crois pas mes oreilles ! Vous ne le saviez pas ??? Cest trop drôle ça !

— Mrs. Knowling ?! Je naurais jamais cru

— Allons, pas de naïveté mal placé. Ces gens sont riches et dépravés. Nous avons un moyen den profiter pour lécole bien sûr !

Mrs. Benson fronça les sourcils.

— Pas question ! Mon école nest pas un un lupanar !

Un silence pesant sinstalla. Je suivais discrètement la conversation, vu quon parlait entre autre chose de moi. Et la dépravation des notables de la ville nétais pas un si grand secret que ça. Les parties fines de M. le Maire, les prostituées arrosées de champagne et de coke, les élèves sen gaussaient depuis longtemps. Et javais entendu des rumeurs bien plus salaces que celles-là ! Mais maintenant, je comprenais pourquoi Mrs. Benson ne sortait jamais, et ne se mélangeait pas à ces fêtes. Elle voulait garder secret ce quelle avait entre les jambes ayant peur de mexciter en pensant à son sexe, si dur, si beau, je finis de classer les derniers papiers.

Mon classement étant fini, je me levais pour ranger mon classeur dans larmoire ad hoc. Puis jallais sortir de la pièce et les laisser discuter lorsque M. Striker mattrapa par le bras et mattira à lui.

— Votre école nest pas un lupanar, mais vous avez aussi vos secrets, Mrs. Benson !

— Que voulez-vous dire ? Et lâchez ma soubrette, sil vous plaît !

— Parlons-en de votre soubrette

Avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, sa main passa sous ma jupe Il caressa mon slip boxer, à lentre-jambe ce qui fit gonfler évidemment mon petit sexe Son autre main soulevais le bas de ma robe, pour que Mrs. Benson puisse voir ce quil faisait soudain, dun geste brusque qui nous surpris toutes les deux, il baissa mon slip, qui senroula sur mes cuisses On pouvait voir la lisière de mes bas noirs élastiques, le slip boxer tire-bouchonné, mes petites boules glabres et mon petit sexe, pointé vers la main de M. Striker, attendant une autre caresse Mrs. Benson et moi écarquillèrent les yeux en même temps. Javais oublié quil avait vu mon secret, lorsque lassureur était venu

— Cest assez étrange, non ? Moi ça ma étonné la première fois mais je suppose que vous le saviez, nest-ce pas ?

— Je Je

— Vous me devez une explication Mrs. Benson ! Et je ne quitterai pas le bureau avant de savoir le fin mot de lhistoire !

Il sassit sur la chaise, face au bureau de Mrs. Benson. Livide, elle se laissa tomber dans son fauteuil

— Mais je

— Je veux toute lhistoire !

En parlant, il ouvrit sa braguette, et sortit son membre bandé. Je ne pouvais détourner mon regard, attiré par ce pieu de chair pointé vers moi Fermement, il me fit magenouiller, et amena ma tête vers son sexe il nen fallut pas plus pour que je commence à le lécher, et, attiré par son odeur mâle, virile, pour que je lengouffre en bouche et commence à le sucer

— Parce que vous avouerez mmmmm même si ce nest pas un lupanar. mmmm il ou elle est très volontaire mmmmmm et très douée. pour ce genre de chose. aaaaah..

Mrs. Benson regarda un peu ma tête qui allait et venait sur ce sexe bandé, puis hocha la tête. A quoi bon mentir maintenant ?

— Vous vous souvenez dAlain, lhomme à tout faire ? Celui qui faisait gaffe sur gaffe et qui a cassé ce matériel informatique En fait tout a commencé par une discipline que je voulais lui donner, ensuite ça cest enchaîné

Et tandis que je le suçais, elle lui raconta la transformation, comment jétais obéissante, comment elle ma appris pour les vêtements, les cheveux, le rasage, le maquillage comment elle avait trouvé les vidéos éducatives sur internet, le conditionnement, mais comment aussi jétais transformée, radieuse, efficace, et heureuse. Cette réussite lui avait donné envie dessayer de lappâter lui, pour quil soit plus conciliant, grâce à mes charmes. Puis comment tout sétait enchaîné avec lassureur Elle nomit que son secret et nos petits rituels. Sinon elle lui raconta tout. A la fin de son récit, il enfonça son sexe dans ma bouche et éjacula, son sperme chaud me remplissant la bouche, avant que je ne lavale. Puis il regarda Mrs. Benson dans les yeux

— Vous rendez-vous compte de ce que vous avez fait ???

— *soupir* Je sais cest mal. Très mal. Vous allez avertir les autorités je suppose

— Mais pas du tout !!!

Il me repoussa gentiment et rangea son sexe dans son pantalon, refermant vite la braguette, puis se leva.

— Ce que vous avez fait est extraordinaire ! Enfin, rendez-vous compte ! Un raté, un moins que rien il se tourna vers moi désolé Aline, mais bon, tu avoueras, ce nétait pas fameux avant. Et maintenant regardez ! Une jolie fille obéissante, disciplinée, docile. Heureuse et épanouie. Et une bombe sexuelle ! Même moi, qui pourtant suis hétéro, elle mattire. Pour tout dire, en venant ici, javais envie de mon sexe dans sa bouche. Et son petit cul est divin. Ce que vous avez fait, cest un miracle !

— Mais mais

— Mais oui, regardez-là. Elle est fantastique. Et cest grâce à vous ! Vous rendez-vous compte du potentiel que cela peut avoir ? Offrir une seconde chance à des loosers, qui en tant que garçon ne valent rien. Qui nont aucun avenir en tant quhomme mais en tant que femme vous les transformez en bombe sexuelle, et en faites du personnel de maison obéissant et soumis, pour gens riches et dépravés bien sûr vous ne donneriez cette formation éducative quau sein de lécole, un à la fois uniquement, et très discrètement, et ce pour une clientèle triée sur le volet !

— Mais cest dégoûtant ! Cest une forme desclavage !

— Bien sûr pas question de forcer ces loosers à suivre votre formation. Il faut des volontaires. Ceux qui veulent une seconde chance. Regardez Aline. A-t-elle lair malheureuse ? Esclave ?

— Mais et léthique ?

— Avez-vous pensé à léthique en transformant Alain en Aline ?

Mrs. Benson reçut cet argument comme on reçoit un uppercut en plein visage. Je ne savais trop que faire, comment me mettre.

— Je suis sûr que le conseil dadministration comprendra le potentiel. Avec les fonds que nous récolterons, vous pourrez équiper cette école comme vous le voulez, et elle deviendra vite la première école du pays ! Et pensez à combien de loosers vous pourriez donner une seconde chance ! Je dois y aller, je vous laisse jusquà la réunion du conseil dadministration pour y réfléchir !

Il me tapota gentiment les fesses, puis sortit. Je regardais ma maîtresse qui semblait pensive. Elle resta ainsi perdue dans ses pensées quelques minutes, puis ses yeux se posèrent sur moi. Elle se leva de son fauteuil, et sassit sur le coin de son bureau. Elle releva sa jupe, baissa sa culotte, et mexhiba son sexe, tout bandé. Jaccourus aussitôt, sans quelle ne dise rien, et commença à le lui lécher. Ses testicules dabord, sa hampe, son gland ensuite. Puis je le mis en bouche, et le suçais avec délectation

— Tu as vraiment lair daimer ça. Tu nes pas malheureuse, hein Aline ?

Je fis non de la tête, continuant à aller venir le long de son sexe dur, qui me remplissait la bouche. Puis elle me poussa, je tombais à la renverse.

— Si tu es heureuse, dévoile ta croupe, et offre-là à ta maîtresse !

Elle avait pris un ton rude. Sans doute voulait-elle voir si je lui obéissais vraiment, même quand elle était rude, agressive ? Mais mon unique souhait était de contenter ma maîtresse ! Je me penchais donc sur le bureau, relevais ma robe, et lui offrit ma croupe. Mon slip étant toujours tire-bouchonné à mi-cuisse, elle avait une vue splendide sur mes fesses. Fesses que jécartais de mes mains pour lui offrir mon petit trou. Elle approcha son sexe, mouillé de ma salive, et le frotta contre mon anus. Il palpitait denvie, dêtre rempli par elle. Elle pressa son gland contre mon anus, et ly enfonça, puis la hampe elle me prit sauvagement, durement, mais que jaimais être dominé ! Bien sûr cétait un tout petit peu douloureux au début, mais bien vite le plaisir remplaça la douleur. Jéjaculais même sur le sol alors quelle vint en moi, déversant son foutre chaud dans mon rectum. Elle sortit ensuite son sexe, et me caressa doucement les fesses

— Oui, tu aimes vraiment contenter ta maîtresse, hein, ça te rend heureuse je pourrais donner cette chance à dautres, chance que la nature ne ma pas laissée à moi. Considérée comme un monstre parce que jai un corps de femme, mais un appareil génital dhomme. Ce serait une belle revanche sur la nature. Transformer des bons à rien en bonnes en tout

Elle me donna une claque sur les fesses, sa décision prise.

— Bien Aline, tu lécheras le sperme sur le sol, comme dhabitude, puis tu iras te laver. Et ne sois pas en retard au souper !

Elle se rhabilla et quitta la pièce, me laissant pantelante sur le bureau, du sperme sécoulant doucement par mon anus. Je souriais béatement et avais des papillons dans le ventre quel pied !

Le lendemain matin, après avoir servi le petit déjeuné à ma Maîtresse, et lui montrer que je savais marcher avec mes escarpins aux talons de 10 cm, et avoir goûter à son nectar matinal, je me dirigeais vers le réfectoire pour mon petit déjeuner. Après lavoir pris, je quittais le réfectoire pour retourner à mes occupations, quand une main se saisit de mon bras et me tira à lécart, dans le renfoncement entre le mur et la double porte du réfectoire Danny ! Je lavais complètement oublié celui-là ! Il membrassa à pleine bouche, sa langue cherchant la mienne. Hésitante, je lui rendis son baiser, et laissa sa langue entrer dans ma bouche, pour se mélanger à la mienne

— Aline je ne pense quà toi, je ne rêve que de toi putain, ce que tu mexcites

Il prit ma main, et la posa sur son jeans, sur son entre-jambe. Je sentis la bosse formée par son sexe en érection

— Tu sens ? Voilà ce que tu me fais ! Il faut que je te baise encore, sinon je vais exploser !

Sa vulgarité et son assurance commençaient à me courir sur le haricot. Je me décollais de lui et cherchais le surveillant des yeux, pour lappeler au secours et je vis quil était à lautre bout du réfectoire, occupé par les deux acolytes de Danny qui retenaient son attention. Danny avait tout prévu

— Je te veux maintenant, ici !

Il me tira à nouveau dans le renfoncement, plus fortement il nallait quand même pas me violer ici, dans le couloir ??? Je voulus me dégager, mais il était plus fort que moi, et me maintenait contre lui. Il membrassa à pleine bouche, et sa main passa sous ma robe, caressa mes fesses, par-dessus mon slip en dentelle noire, qui couvrait toutes mes fesses, étant transparent derrière et avec de jolies dentelles sur lavant Sa main caressa, puis passa sous le slip, palpa mes fesses, puis mes hanches, avant de passer sur lavant Catastrophe ! Et jétais bloquée je ne savais pas lempêcher ! Sa main se posa sur mon entrejambe, cherchant une fente humide mais ne rencontra quun petit zizi qui devenait raide

— QUOI ??? MAIS QUEST-CE QUE CEST QUE CE BORDEL ???

Il eut un mouvement de recul, sortant prestement sa main de mon slip. Il était devenu tout rouge dans son visage Je ne pus que bredouiller un « désolé ! »

Puis je vis le reste comme au ralentit : son poing fermé projeté vers mon visage, qui rencontre ma joue Un choc, une douleur, ma tête part en arrière, puis mon corps déséquilibré par les 10 cm de talon, je tombe en arrière ma tête cogne le mur puis le noir total

Une forte odeur dammoniac et durine me fit ouvrir les yeux Ma tête me tournait un peu, mais ça allait. Je reprenais petit à petit mes esprits. Mais où étais-je ? Je connaissais ces carrelages blancs, ce tuyau devant moi où mes mains étaient attachées attachées ? Soudain tout me revint en mémoire ! Danny, sa main dans mon slip, son coup de poing et maintenant, sa vengeance ?

Jentendis un bruit dans mon dos, mais je narrivais pas à me retourner puis, quelque chose de chaud et de dur contre mon anus qui le pénètre doucement puis la hampe mmmm que jaimais cette sensation davoir le cul rempli par une bite ! Cela me fit reprendre totalement mes esprits… Où étais-je ? Dans les toilettes du rez-de-chaussée de lécole. Plus exactement dans un urinoir des toilettes du rez-de-chaussée. Je les connaissais bien, je les ai utilisés souvent dans mon ancienne vie Jétais plus ou moins assis dans lurinoir, face au mur, mes mains attachées au tuyau. Mes pieds semblaient aussi attachés car je ne pouvais donner de coup de pied, ni les bouger au-delà dun certain mouvement. Je sentis le gars qui me sodomisait éjaculer dans mon cul dans un râle de plaisir. Je voulus lui parler, mais ma bouche était comme collée un sparadrap ! Ils avaient collé un sparadrap sur ma bouche ! Le sexe se retirait de mon cul, laissant un vide en moi jentendis le bruit dune porte qui se ferme

Après quelques instants, la porte se rouvre je sens une présence derrière moi, jentends quelques bruits puis un nouveau gland se présente devant mon petit trou avant de le pénétrer han, il est plus brutal que lautre ! Tandis quil me ramone, je me fais la réflexion que je ne sens pas le froid de lurinoir contre mes fesses ou le haut de mes cuisses, sauf lorsque le gars qui me ramone me fait bouger un peu plus violemment sur lurinoir donc je dois avoir encore mes bas et ma petite culotte sans doute ont-ils coupé ou déchirer larrière de mon slip transparent, au niveau de mon sillon Un râle, du sperme chaud qui se déverse dans mon rectum, la verge qui se retire de mon cul Le bruit de la porte. De nouveau le bruit de la porte, une autre bite qui se présente à mon cul, qui me ramone et ainsi de suite après une dizaines de gars, le sperme sécoule de mon cul tout remplis, coulant dans lurinoir, sur le sol Un des gars sest retiré juste avant de venir, pour pouvoir éjaculer sur mes cheveux, sur mon cou

Je suis humiliée et dominée. En même temps jai un peu honte, mais en même temps la situation mexcite au point que je suis déjà venue trois ou quatre fois, éjaculant dans mon slip, le maculant de sperme Je passais certainement plusieurs heures sur cet urinoir, me faisant sodomiser pendant tout ce temps, éjaculant un nombre incalculable de fois, jusquà ne plus pouvoir éjaculer, perdant le compte des bites qui me bourrèrent le cul, qui éjaculèrent en moi ou sur moi Jétais dans un état quasi orgasmique permanent, lorsque des voix se firent entendre dans le couloir, des bruits de course, puis la porte qui souvre violemment.

— Mais enfin, que se passe-t-il ici ?

Cétait le surveillant ! Sans doute avait-il été alerté par les va-et-vient entre les classes et les toilettes, ou a-t-il surpris une conversation entre des élèves toujours est-il quil est là. Je le sens mâter mon cul les orgasmes à répétition mayant fait saliver, baver, je sens le sparadrap plus lâche, qui se décolle je peux marmonner un « au secours » plus ou moins compréhensible

— Mademoiselle Aline, que vous ont-ils fait !

Et il vient à mon secours, enlevant (sans douceur) dun coup le sparadrap qui est collé sur ma bouche, puis détachant mes mains. Je ne tiens plus sur mes jambes, et retombe les fesses sur lurinoir ce qui fait jaillir un petit jet de sperme de mon anus légèrement béant Le surveillant en devient rouge dans son visage, de honte ou dexcitation ?, puis il maide à me relever. Je puis sur son épaule, et me tenant par la taille, il mamène à linfirmerie. La pièce nest pas grande, un lit, une armoire-pharmacie fermée à clé, une table et une chaise Le surveillant maide à retirer ma robe, maculée durine, de sperme, et sentant les désodorisants pour urinoir puis il me laisse tomber sur le lit, dans un grincement. Je tombe sur le ventre. Les jambes pendantes à moitié hors du lit. Je sens encore son regard sur ma croupe, ma petite culotte noire, déchirée au niveau de lanus, mes fesses maculées de sperme Je sens son regard, je sens quil a envie lui aussi. Il nest pas très beau le surveillant, il na pas un bon caractère non plus. Mais il est seul, tout le temps seul. Jai pitié de lui. Je veux lui faire un cadeau. Alors, dans un dernier effort, je plie mes jambes sous moi, pour me retrouver accroupi sur le lit, lui offrant ma croupe, écartant légèrement mes fesses

Il a compris, je le sens venir vers moi quelque bruit, de braguette ouverte ou de pantalon baissé, je ne sais trop, je suis dans un état semi comateux. Puis sa pine quil frotte contre mes fesses, le long de mon sillon, puis contre mon anus Il le me pénètre doucement, me remplissant centimètre par centimètre. Je suis étonné, je ne limaginais pas capable dune telle douceur. Puis il va et vient en moi, me ramonant le cul, lui aussi, mais tout en me caressant les fesses, les cuisses, avec une douceur qui dénote avec la vigueur de ses coups de reins en moi. Le lit grince de plus en plus fort, au fur et à mesure que ses coups de boutoirs samplifient. Je sens un orgasme monter, je suis au paradis, mais je ne suis plus capable déjaculer Et lorsquil vient en moi, mélangeant son sperme à celui des dizaines délèves qui métaient montés dessus, je mévanouis, un sourire béat aux lèvres

Je méveillais dans mon lit, nue. Ma Maîtresse se tenait près de moi. Elle me caressait gentiment les cheveux.

— Aaaaah tu es éveillée, tu te sens comment ?

— Un peu mal à la tête, mais ça va.

— Tu as une fameuse bosse à la tête, heureusement quil ny a pas eu de commotion ! Je me suis permise de te laver, ici, et jai mis de la crème sur la bosse, pour apaiser la douleur. Jen ai mis aussi un peu sur ton anus. Il doit être brûlant

Je rougis.

— Ce nest pas ma faute, cest

— Danny, je sais. Jai interrogé des étudiants et ai pu comprendre quil était derrière tout ça. Je lai convoqué dans mon bureau, et il ma tout avoué. On ne me résiste pas si facilement

Je souris.

— Tu lui as fichu une sacrée frousse, quand il a senti ton pénis ! Mais il ne dira rien. Cest son silence sinon cest le renvoi immédiat. Après ce quil a fait ! Et interdiction de tapprocher. Il na pas vraiment compris qui tu étais avant, mais il sait que tu es sous ma protection. Et que sil te touche encore, il est dehors ! Et le surveillant ? Cest lui qui ma prévenu que

— Il a été très gentil, il ma secouru.

Elle hocha la tête.

— Je me suis occupé de tes vêtements aussi ta robe était fichue, je lai jetée pour ton slip ce nétait plus quun tissu imbibé de sperme surtout vers lavant la torture na pas semblée si horrible que ça !

Elle sourit malicieusement, et je rougis encore plus.

— Je suis peut être venu une fois ou deux

Elle hocha encore la tête et sourit, pas dupe.

— Une fois ou deux, cest ça je crois quon va arrêter les programmes éducatifs ! Tu es suffisamment ouverte comme ça desprit, bien sûr ! Allez, repose-toi, maintenant, tu en as besoin !

Je dormis tout mon saoul, et le lendemain jeus droit à une journée de congé. Je restais en nuisette toute la journée, dormant beaucoup, flânant dans ma chambre, regardant mes séries favorites. Je me sentais bien vite en plein forme, et mon rituel avec ma Maîtresse me manquait déjà beaucoup

Le lendemain était un grand jour, celui du conseil dadministration. Après un bon bain peau douce, avoir fait mes cheveux, je choisis un maquillage un peu plus accentué, et choisis un petit string rose, juste un petit triangle de tissus dans lequel tenait mon sexe et mes petites boules, le reste du slip étant constitué des ficelles, sur les hanches et dans le sillon le soutient aussi était réduit. Je mis des bas résilles blancs, avec jarretelle assortie, ma robe de soubrette, tablier et coiffe, et mis les chaussures à talon 10 cm. Jétais craquante et provocante à souhait !

Ma Maîtresse devait déjà être à son bureau, comme à chaque fois avant les réunions difficiles, car elle nétait déjà plus dans son appartement. Je vaquais donc à mes tâches ménagères, mais javoue que jétais toute excitée et que javais difficile à me concentrer Comment allaient-ils me trouver ? Aurais-je droit à une bonne rasade de sexe ? Comment cela allait changer mon travail ici ? Ma Maîtresse sera-t-elle contente de moi ? Que javais hâte que cette réunion arrive !

Je dus attendre jusquaux environs de 14h, lorsque le téléphone de service sonna. Au son de la sonnerie, une boule se forma dans mon estomac jétais à la fois inquiète et excitée maintenant ! Je répondis, puis raccrocha et me dirigeai vers le bureau de Mrs. Benson.

Jentrais dans le bureau, et vis que les fauteuils et la table basse du petit salon avaient été poussés dans un coin, et quune table du réfectoire avait pris leur place. Mrs. Benson et M. Striker étaient assis aux extrémités de la table, quatre autres personnes se tenaient de chaque côté de la table. Il y avait trois hommes, tous avaient la cinquantaine passée, et une femme, qui devait avoir une bonne quarantaine dannée. Ils étaient tous habillés chics, avec des vêtements de marque. Une des hommes étaient le maire de la ville, les autres devaient être des notables important, cela se voyait tant à leur mise quà leur maintien.

— Ainsi donc, voilà cette fameuse Mademoiselle Aline !

Le maire me dévisageait de la tête aux pieds. Il avait une bonne cinquantaine, des cheveux gris, le teint très halé. Comme M. Striker, il portait un costume, pantalon et veston, une chemise ouverte sur une grosse chaîne en or une grosse montre certainement une Rolex et une grosse chevalière en or complétaient la mise ostentatoirement luxueuse de notre Maire, fort connu pour son goût pour le luxe.

— Elle a lair, vraiment jolie. Approchez, mon enfant.

Le second monsieur était plus vieux, peut-être même devait-il avoir la soixantaine. Ses cheveux étaient blancs, et il avait une grande barbe blanche. Le troisième semblait plus jeune, malgré ses cheveux noirs tirant sur le gris, sa moustache et ses lunettes. Tous deux étaient très bien habillés, avec cravate pour lun, nud papillon pour lautre. Ils portaient aussi des chevalières en or, mais cétait moins ostentatoire que chez notre maire.

Je mapprochais plus près deux. Le monsieur à la barbe continuait à mer regarder tandis quune main effleura mes fesses M. Striker, sans doute.

— A la regarder, on a même difficile à croire à lhistoire de Striker !

La femme me regardait aussi. Elle avait un tailleur Channel, ses cheveux bruns mi-longs encadrant son visage, terminant en pointe parfaite. Elle était assez agréable à regarder, mais ses yeux étaient durs. On sentait que tout était calculé chez elle

Je sentis soudain des mains sur ma taille, et me voilà portée sur la table ! Cétait M. Striker je défilais donc sur la table, comme sur un podium de mode, mes talons 10 cm me faisant me déhancher du bassin, leurs regards sur mes jambes gainées de blanc, sur le bas de mes fesses où devait se voir la ficelle rose passant entre mes jambes et montant le long de mon sillon. Me sentir admirer mexcitait à un point ! Je sentais mon petit sexe se redresser dans ma culotte !

— Incroyable, elle a même la démarche ! Avec ces talons !

— Et quelle jolie paire de fesses et si elle levait sa robe ?

Je levais ma robe vers le Monsieur à la barbe, qui venait de parler. Il put voir la fin de mes bas, les jarretelles assorties, le triangle rose du string, bosselé par mon sexe en érection, je tournais sur moi-même, il admirait mes fesses, tandis que les autres admiraient lavant et vice et versa, au fur et à mesure que je tournais lentement sur moi-même. Je vis avec satisfaction le résultat que je provoquais chez ces messieurs, dont les pantalons se déformaient par de jolies bosses

— Quelle enlève sa robe maintenant !

Je relâchais ma robe, puis sensuellement, défit le tablier ensuite jouvris la fermeture éclair et fit glisser doucement la robe le long de mon corps. Quelquun la fit vite disparaître de dessus la table, comme pour le tablier. Je marchais le long de cette table, en sous-vêtement, sentant tous les regards sur moi, sur mes jambes, mes fesses, mon string, mon sexe que cela mexcitais ! Mon sexe bandait de plus en plus, sa tête sortant doucement du triangle du string Je pris des poses lascives, mes mains caressant mes jambes, ma poitrine, un doigt parcourant mes lèvres, avant que je le mordille coquinement

Le maire sétait levé, et avait sorti son sexe, quil branlait doucement en me regardant. Je me mis à quatre pattes sur la table, et marchais ainsi jusquà lui. Il sourit et sapprocha de la table, debout, son sexe juste à la hauteur de ma bouche Je le léchais avec application, puis lenfournais dans ma bouche je me rendis compte à quel point jaimais avoir un sexe bandé et dur dans ma bouche, à quel point javais envie de sentir son jus chaud couler dans ma gorge ma Maîtresse ne mavait pas transformée en femme, mais en sissy avide de sperme et de sexe ! La grâce et la beauté féminine mélangées à la gourmandise sexuelle masculine, le mélange parfait !

Tandis que je suçais le sexe du maire, je sentais des mains qui me caressaient les jambes, les cuisses, les fesses à un moment, quelquun joua avec la ficelle de mon string, avant de lécarter sur mes fesses ils devaient avoir une vue magnifique sur mon anus palpitant ! Un doigt vint le caresser, avant de sy enfoncer Un, puis deux doigts entrèrent en moi jouant, tournoyant, écartant mon anus le maire me baisait littéralement la bouche, ma langue suivant difficilement ses mouvements puis dans un râle de plaisir il éjacula son sperme tout chaud dans ma gorge javalais le tout

Il avait à peine sortit son sexe de ma bouche que je me sentis tirée en arrière, puis retournée. Jétais dos sur la table, mes fesses au bord. Le vieux monsieur à la barbe me releva les jambes, approchant son gros membres raides de mon cul, dans lequel il sintroduisit sans soucis sentir mon rectum à nouveau rempli par un gros membre tiède et palpitant, quel plaisir ! La femme, avec laide de M. Striker, monta sur la table. Elle mit ses jambes de chaque côté de ma tête, et je pus voir en dessous de son tailleur. Elle avait des bas beiges élastique classique, qui sarrêtaient à mi cuisse, et un slip couleur beige. Elle fit glisser sa petite culotte le long de ses jambes, jusquà le faire tomber sur mon visage ! Je lenlevais, constant quelle saccroupissait. Je vis son sexe sapprocher de moi Un triangle de poils sur son pubis, parfaitement entretenus, un clitoris assez gonflé, deux lèvres légèrement baveuse, sans doute suite au spectacle que joffrais Elle saccroupit jusquà ce que son sexe soit à quelque centimètre de mon visage. Je levais un peu ma tête, ma langue passa le long de son sexe, avant de tournoyer sur son clitoris je refis passer ma langue le long de ses grandes lèvres, jusquoù je savais aller, avant de remonter jusquà son clito, que je léchais avec application, avant de redescendre, et ainsi de suite à chaque passage, ma langue se fit plus lourde, sinsinuant plus entre ses lèvres jusquau moment où elle sécartèrent, et je pus la pénétrer de ma langue, entrant dans son puits chaud et humide, tournoyant lapant elle devait apprécier, car elle plaqua de ses mains ma tête contre son sexe, tandis que son bassin accompagnait mes mouvements de langue

Pendant ce temps, la barbu sactiva dans mon cul, allant et venant de plus en plus vite, jusquà éjaculer son sperme tout chaud en moi Il se retira, et le moustachu vint prendre sa place. Il me pénétra, poussant un peu de sperme en dehors de mon anus en le pénétrant, avant de commencer à me limer le cul Je léchais toujours le sexe de la dame, qui devenait de plus en plus mouillé, son bassin allant de plus en plus vite je pense quelle eut un orgasme, et après un moment elle se retira, me laissant respirer, le bas de mon visage tout mouillé de ma salive et de ma mouille Elle sassit alors sur mon ventre, et se penchant, lécha tout mon visage avant de se retourner, me donnant une vue sur son cul. Elle vit le pénis qui entrait et sortait en moi, et vit mon petit sexe, qui tressautait à chaque coup de boutoir Elle se pencha et le mit en bouche

Cétait une première pour moi ! Quelle sensation ! Mon sexe était tellement petit, quelle pouvait le mettre avec mes boules dans sa bouche ! Puis elle relâcha mes petites boules, et continua à sucer mon petit zizi. Excité par tout ça, je plongeais sur son cul, que jembrassais, léchais, ma langue suivant son sillon, tournoyant sur son anus jétais tellement excitée que je jouis très vite dans sa bouche

— Déjà ? Dommage, petit et rapide *soupir* sa langue et son cul ont lair bien meilleur que sa bite. M. le Maire, je vois que vous avez repris vigueur là, il me faut quelque chose de gros et de dur en moi !

Tandis quelle quitta la table, le moustachu éjacula en moi Il se retira, du sperme coulant de mon cul le long de mes fesses, puis sur la table Je me redressais un peu. Mrs. Benson navait pas bougé de sa chaise, et regardais toute la scène avec un mélange de joie, denvie, de perversité, que je ne savais définir. Mais elle ne participait pas, et je savais pourquoi. La dame était à quatre patte au sol, accoudée à une chaise, le maire la prenant en levrette son sexe entrait en sortait de sa chatte à une de ces vitesses mais la dame semblait apprécier M. Striker était assis sur une chaise à lécart, lui aussi semblait spectateur. Il branlait doucement son sexe sortit de son pantalon. Je descendis de la table, et magenouilla entre ses jambes, prenant son sexe en bouche je le suçais avidement, avant quil me fasse signe de me lever il me retourna, mon dos contre son ventre, et ses mains sur mes hanches mattirèrent à lui il était toujours assis sur la chaise, et il guida mes fesses vers son sexe bandé il ajusta son gland sous mes fesses, puis me fit asseoir, lentement, son gland, puis sa hampe se frayant un chemin en moi ses mains glissèrent sous mes fesses, et il me fit coulisser le long de sa verge Je sentais ce sexe fiché en moi, tout en voyant le maire qui prenait la dame en levrette et les deux autres messieurs qui vinrent vers nous, reprenant doucement vigueur ils se placèrent un à ma gauche et lautre à ma droite, leur sexe à hauteur de ma bouche je suçais simultanément lun et lautre, cinq minutes chacun, tout en me sentant coulisser le long de la verge de M. Striker, qui donnait le rythme

Je vis le maire sagripper aux hanches de la dame, et venir en elle. Lorsquil se retira je vis un peu de sperme couler hors de la vulve de la dame. Qui vint vers nous. Elle sagenouilla entre les jambes de M. Striker, et au fur et à mesure que je coulissais sur lui, elle léchait le morceau de hampe qui apparaissait, et lorsquil me redescendait complètement, mon cul avalant toute sa hampe, cest le pourtour de mon anus quelle léchait Je sentis les deux messieurs près à éjaculer jattendais déjà impatiemment quils se vident dans ma bouche La dame se recula, ils purent sapprocher et je pus mettre leurs deux glands dans ma bouche au moment où ils éjaculaient quelle rasade de sperme ! Il remplit toute ma bouche avant que je ne lavale ! Tout ce sperme chaud et épais que je buvais, et la bite de M. Striker qui me pistonnait doucement me fit encore venir, maculant le triangle rose du string de mon sperme. M. Striker se cala bien au fond de mon rectum, et menvoya une de ces giclées ! Jaurais presque cru quelle allait directement dans mon estomac !

M. Striker me lâcha, et le maire sapprocha. Lui aussi avait repris vigueur, et semblait vouloir goûter à mon cul Je me penchais donc sur la table et lui offrit ma croupe, que je dandinais nonchalamment pour lappeler à venir me monter ! Tandis quil senfonçait en moi, je vis la dame sucer les deux vieux messieurs, pour quils reprennent vigueur Ensuite, elle vint sasseoir sur la table, à côté de moi, me maintenant les bras pendant quils me prenaient tous à tour de rôle, le maire, puis les deux vieux monsieur, puis M. Striker chacun à leur tour Ces bites de tailles et dépaisseurs qui entraient en moi, me pistonnaient le cul pendant cinq minutes, puis se retiraient, me laissant un vide criant dans les entrailles, avant quune autre ne me remplisse pour cinq minutes, et ainsi de suite cétait vraiment très bon ! Je crois que je jouis une ou deux fois dans le string rose, avant que le Maire ne soit prêt à venir mais à mon grand désappointement, il ne jouit pas en moi sentant les signes de son éjaculation, il fit un signe de tête vers la dame qui se coucha dos sur la table, jambe écartée, et avec ses doigts elle écarta les lèvres intimes de son sexe, louvrant impudiquement Je vis le sexe du maire se placer au-dessus et éjaculer vers ce sexe ouvert, de grosses giclées blanche sécrasant dans et autour de son ouverture moite déjà remplie précédemment par le sperme du maire. Les trois autres continuaient à me prendre chacun à leur tour, lorsque le barbu se retira, et vin lui aussi gicler sur le sexe ouvert et offert de la dame. M. Striker et le moustachu me sodomisait toujours à tour de rôle, et le moustachu craqua le premier il alla lui aussi éjaculer sur le sexe de la dame M. Striker continuait à me prendre, le sourire aux lèvres

— Quelle résistance mon cher ! Vous avez encore gagné !

— Et regardez-le, il na pas la victoire modeste !

Après quelque minute, il se retira de mon cul, et alla éjaculer lui aussi sur le sexe offert de la dame Son pubis, ses grandes lèvres et son vagin lui-même étaient maculés et remplis de sperme Un des messieurs, la main sur ma nuque, me guida vers elle

— Cest lheure du goûter ma chère !

Et il plaça ma tête juste au-dessus du sexe toujours écarté et offert de la dame. Tout ce sperme je commençais par lécher le sperme sur la table, puis ma langue remonta le long des fesses de la dame. Jarrivais à son sexe. Je léchais dabord ses lèvres intimes, ma langue ramassant le sperme qui les maculait, puis je lapais le sexe sur son clito, sur son pubis. Je redescendis enfin, lorsque les abords furent proprement nettoyés, vers son vagin, ouverture béante et rempli des spermes mélangés de ces quatre messieurs ma langue senfonça dans le sperme, que je lapais, essayant den prendre le plus possible, je léchais, lapais, mais avais du mal à tout prendre

— Attend, je vais taider !

Ils me refirent coucher sur la table, dos contre table, et elle revint – avec laide de ces messieurs saccroupir au-dessus de mon visage. Elle écarta encore ses lèvres intimes, et le sperme sécoula lentement hors de son vagin. Jouvris la bouche, où il coula elle poussa un peu, faisant couler tout le sperme directement de son vagin dans ma bouche !

— Bravo ! Fantastique ! Quel spectacle érotique !

Le vieux barbu montra au moustachu mon cul du doigt.

— Son anus en palpite encore il me faudra plus de viagra pour calmer cette gourmande. Mais là, je nen puis plus

Ils aidèrent la dame à descendre de la table. Elle lécha le sperme qui restait sur mes lèvres, et me roula un patin. Puis ils se rhabillèrent, faisant encore une ou deux plaisanteries grivoises. Ils congratulèrent Mrs. Benson et M. Striker sur leur excellent travail, puis sortirent du bureau. Au passage, le barbu ma fit une gentille caresse sur le visage, tandis que le maire se tournait vers M. Striker.

— Striker, vous avez vraiment fait du bon travail et avez de bonnes idées. Venez nous retrouver au Club ce soir. Vous nous reparlerez de ce projet.

Les membres du conseil parti, M. Striker se tourna vers Mrs. Benson. Il semblait intrigué.

— Pourquoi ne participez-vous jamais à nos « petites fêtes ». Vous ne sortez jamais de cet internat. Et ici, durant tout le temps, vous navez pas bougé dun pouce !

Il sapprochait delle, avec ce regard quil avait juste avant de passer sa main sous ma robe allait-il essayer avec Mrs. Benson ? Je sentis quil avait envie de glisser sa main sur ses gros seins et sous sa jupe. Mais le regard de ma Maîtresse len dissuada. Ce regard avec lequel elle faisait se dégonfler même les pires voyous. Il resta un peu hésitant, avant de hausser les épaules et de se détourner.

— Je vous appellerai pour vous donner les détails des nouveaux crédits et de notre nouveau « programme ».

Il partit, avec un dernier regard vers moi, toujours couchée sur la table. Après son départ, ma maîtresse attendit cinq bonnes minutes avant de se lever. Je ne compris pas pourquoi aucune bosse ne déformait sa jupe Elle vint à moi et grimpa sur la table, ses genoux de chaque côté de mon ventre elle releva sa jupe Son sexe était bien là gonflé de désir. Il était bloqué par une culotte qui montait haut et très serrée, une culotte « ventre plat ».

— Jétais obligée, sinon mon érection aurait été trop visible. Je ne veux pas quils sachent

Je lécoutais, tout en ne pouvant détourner mon regard de sa culotte. Jamais elle navait eu une telle érection son gland tout gonflé et tout rouge essayait de dépasser de la culotte, et le pré-sperme en luisait au bout

— Ce que cétait excitant Aline je nen peux plus, libère moi !

Je souris, et me redressant un peu allais vers son entrejambe. Je léchais son gland tout mouillé et tout rouge, puis le gobais doucement, tout en descendant lentement son slip très très serrant. Tellement serrant que le motif du bord du slip sétait légèrement imprimé sur la peau de sa hampe il faut dire quelle bandait dur ! Au fur et à mesure que je descendais le slip, javalais dans ma bouche le morceau de hampe qui apparaissait. Lentement, doucement, centimètre par centimètre. Jeus soudain une inspiration je voulais lavaler façon gorge profonde, je détendis ma mâchoire, et enfonçais son sexe de plus en plus loin dans ma gorge tout au fond une larme perla au coin de mes yeux, mon menton caressa doucement ses testicules enfin mon front toucha son pubis impeccablement rasé Elle poussa un soupir rauque, et soudain éjacula directement dans ma gorge, une quantité de foutre plus important que dhabitude ! Elle qui dhabitude tenait longtemps, le spectacle que javais offert et ça la firent venir instantanément je ne my attendais pas et me saisis, ma glotte travailla et jeus limpression détouffer ! Elle comprit et retira son membre de ma bouche, tandis que je toussais en retombant sur la table

Pour sexcuser, elle se coucha lentement sur moi, et membrassa, avec passion. Nos langues se mêlèrent, nos salives également

— Oh, ce que tu goûtes le sperme !

Me dit-elle une lueur excitée dans les yeux Elle frottait son sexe à demi-débandé contre le mien, puis lentement, libéra ses seins de son chemiser et du soutient ample qui les couvraient aussi Je suçais ses tétons offerts, pointés comme jamais, je passais de lun à lautre, les pinçant de mes lèvres, les léchant, les suçant je sentais son sexe reprendre vigueur contre le mien, et repliais un peu mes jambes, pour lui offrir mon petit trou encore un peu béant et poisseux de sperme Elle membrassa à nouveau, nos langues se retrouvèrent, tout en guidant dune main son sexe vers mon anus. Elle me pénétra tout en membrassant Autant cet après-midi javais été baisée avec désir, passion, luxure, érotisme, autant ici javais limpression dêtre aimée avec tendresse, douceur elle allait et venait doucement en moi, lentement, tendrement, tandis que me lèvres passaient des siennes à ses tétons Nous éjaculâmes ensemble, bien que de mon côté ce ne fut quun fin filet de liquide transparent, mais je sentis quelle me remplissait elle aussi de foutre tiède Elle resta en moi jusquà ce que son sexe débande, et soit poussée dehors par mon anus palpitant et le sperme qui en débordait. Elle me caressa doucement le visage, les cheveux, avant de se relever.

— Tiens, mets ma culotte, je ne voudrais pas que tu laisses une traînée de sperme entre ici et lappartement !

Je rougis et obéis, pendant quelle réajusta sa jupe et pris le téléphone, pour demander que le surveillant lui envoie des élèves pour enlever la table « de réunion » et remettre son salon en place.

Je retournais à ma chambre, où je me lavais soigneusement, avant de mécrouler sur le lit, épuisée. Je nallais même pas souper, dormant comme une bienheureuse jusquau lendemain

(à suivre)

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