Dans les etudes du troisiéme cycle, l’assuidité aux cours n’est pas une astreinte, loin de la, et nombre d’eleves ne se privent pas pour ?secher’ les cours. Ce n’est – presque – pas mon cas. Je tiens a preciser que dans mon etablissement le nombre de garcons est trés elevé, de l’ordre de 85% sur la totalité. Les filles sont rares, fades et ininterressantes quand libres, et les occasions de faire la fete inexistantes. Voila pour le contexte. Me voila donc mercredi soir (ce mercredi 19/05/99), a dix-neuf heures, pour la lecon d’espagnol. Cet horaire est penible; d’habitude nous ne sommes que deux. Je vins ce soir seul. Ah oui, posons la scene : je suis plutot grand, le regard clair et les traits expressifs. On m’attribue un beau sourire ; je ne nierais pas qu’il m’ait aidé en de nombreuses occasions. Mon glabre est regulier, et je soigne meticuleusement un bouc americain, unique coquetterie d’un jeune adulte deja vieux dans ses maniéres de vivre. Enfin je suis assez musclé, et les gens m’evitent quand ils me croisent la nuit. S’ils savaient quelle mauviette je ferais en cas de bataille! Le professeur arriva. Bon, disons carrement les choses, elle est moche. Elle m’arrive a la hauteur des yeux, son visage quoique symetrique possede des traits disgracieux qui s’accentuent avec ses emotions. Elle porte une coupe au carré qui ne semble jamais changer; je suppose que ses cheveux trés noir sont teints, car elle accuse un age qui doit depasser le double du mien. Peut-etre avait elle un beau corps, qu’en savais je, mais le tout etait occulté par un manque de gout total dans l’ajustement de ses vetements. Aujourd’hui, elle avait une sorte (en disant une sorte, l’oephemisme devient acceptable) de jupe serrée qui lui carressait le haut des genoux, des escarpins a haut talon, et, gout exquis, un large pull qui lui degoulinait sur le corps a chacun de ses mouvements. Vieille fille, bien entendu. Ce qui la sauvait, au dela d’un talent pedagogique indeniable et d’un devouement desinterressé qui me touchait alors beaucoup, c’etait sa voix claire, ses intonations exotiques et charmantes qui faisaient passer les heures pour des secondes. C’est d’ailleurs avec cette voix joyeuse qu’elle me salua en espagnol, et que j’articulais faiblement un salut de retour; elle m’invita dans la classe dont elle ferma le loquet avec la clef. Elle n’ouvrait qu’une seule des persiennes. Avait elle deja une idée derriére la tête, je ne sais, mais en relisant les faits, l’engrenage fut parfait. -’ Et bien nous ne sommes que deux? demanda-t-elle avec circonspection en regardant au travers de la fenetre. Bah. Nous parlerons, voila tout. Pas de grammaire pour mon eleve assidu!’ Je croisais les bras, posant mon sac sur l’une des tables et m’approchais d’elle. Nous etions tous les deux debouts, devant la fenetre, car l’atmosphere etait assez etouffante. – ’Je n’enleve pas mon pull, me dit elle malicieusement, je n’ai presque rien dessous!’ Je ne fus pas etonné de cet elan d’intimité bien naturel a sa personne. Nous parlames un bon moment, elle m’expliqua comment etait la vie chez elle, en Colombie, et je lui expliquais ma triste vie d’etudiant solitaire dans mon espagnol balbutiant. Deux fois je vis ses yeux devorer silencieusement ma silhouette, puis s’eloigner pensivement alors qu’elle secouait la tete. Debout, elle avait croisé ses jambes a moitié nues et serrait puis deserrait, a chaque inspiration, ses cuisses d’une maniére trés forte et hasardant un regard je vis a l’une de ses occasions ses muscles se tendre sous le mince tissu. Elle avanca sa main et la posa sur mon epaule : -’ Je sais combien il est dur d’etre seul, ’me dit elle tristement. Ce disant elle serra encore une fois les cuisses avec une ardeur renouvellée, mais, le bras tendu en avant, l’exercice lui fit perdre l’equilibre, et je la rattrappai de justesse, son nez sur mon T shirt noir. Sa main navigua de mon epaule jusqu’a mon cou qu’elle caressa doucement a la base, haletant. -’Mademoiselle, commencais je avec un sang froid total. – Quel bel homme tu fais, retorquait elle en m ignorant, carressant les contours de mon torse de son autre main. Je l’avais remarqué, mais…’ Je m’accordais une seconde pour penser. Mais quelle objectivité pouvais je tirer? Bien sur, j’avais des principes. Bien sur elle avait autant de sex appeal qu’une porte de prison. Mais la voir ainsi froler du bout de ses doigts mes seins a travers le tissu de mes vetements, carresser mon cou et delicatement expirer un souffle chaud de ses narines qui me carressait le reste de mes parties exposées, et bien cela me troublait fort. Elle etait le souffle court, et je sentais qu’elle se retenait de faire plus. Elle me caressa le front, jeta ses levres contre les miennes et m’embrassa d’un baiser puissant qui lui arracha des gemissements. Moi aussi j’haletais. Moi aussi un feu me gagnait dans le bas ventre. Je ne dis plus rien, et gemissant, elle caressa mon palais de sa langue , l’enroulant autour de la mienne avec une passion jamais egalée. Sa jupe serrée craqua dans un bruit de papier dechiré quand elle leva une jambe harmonieuse pour l’accrocher autour de ma taille et approcher un peu plus son sexe de mon corps et s’y frotter, meme a travers la protection factice de nos vetements. Il etait trop tard pour revenir en arriére. Et nous ne le voulions pas. Je l’enlacais de mes bras, la basculant en arriére sur une table alors qu’elle gemissait pour se retenir de manifester son plaisir naissant par des cris. J’allais saisir sa poitrine dans mes mains quand elle me repoussa en arriére pour enlever son pull. Dans un sourire, elle l’envoya a l’autre bout de la piéce, me devoilant ce qu’elle cachait entre son corps et le pull en laine angora : un soutien gorge en dentelle vert. Toujours ce gout. Mais toujours cette sensualité! Je saisis ses deux seins a pleines mains alors que nous nous embrassions avec une passion violente. Ils etaient gros comme deux pamplemousses agreables a caresser et coulaient entre mes mains dans une sensation delicieuse. Elle vibrait et tressautait des que je serrais un peu ma prise, elle accentuait le roulement de sa langue dans ma bouche quand je passais mon pouce sur ses tetons, reprenant son souffle entre deux interjections de plaisir en espagnol qui me furent bientot familiéres. Ma queue tendait mon pantalon en faisant une petite bosse qu’elle regarda avec malice. Retirant ma ceinture, elle y plongea sa main, tandis que tentais de retirer sa jupe, sans succés, brisant dans la tentative le mecanisme de fermeture eclair. De ses longs doigts elle enlaca ma hampe et pressant plus fort, la caressa d’un mouvement continu, m’arrachant malgré moi des gemissements de bonheur. Je demandai une seconde pour retirer mon pantalon, mais deja elle etait a genoux, dans une position equivoque, deboutonnant mon Levi s. ’ Oh super, me disais je. Ca n’arrive pas tous les jours, une pipe gratuite.’ J’ai du parler a haute voix, car elle me repondit d’un rire agreable, et, a travers le tissu de mon calecon tendu, elle porta ma bite dans sa bouche. C’etait parfait, car le tissu etait encore chaud de ma propre chaleur, et sa salive abondante passait au travers et je la sentais degouliner sur mes testicules, et sa langue! Oh sa langue, si elle etait merveilleuse dans ma bouche, autour de ma queue, devenait divine. Cette fille etait un diamant caché dans un morceau de charbon. Quand sa bouche fut bien impregnée de la chaleur de ma queue, elle descendit mon calecon, et souffla legerement sur mon gland qu’elle decallotait en douceur, me plongeant dans un havre exquis. Puis elle avala ma queue jusqu’a la garde. De sa main gauche, elle prenait des meches de ses cheveux raides et les enroulaient autour de ma bite, divine carresse! Mais de sa main droite, tout en gemissant, elle avait deja longtemps passé et malaxé mes couilles et deja remontait vers mon cul, et quand elle enfonca rageusement son majeur tendu dans mon anus, que je faisais un bond en avant sur la delicieuse surprise. J’etais au bord de la jouissance : – ’Calme le jeu, lui disais-je entre deux petits cris , sinon le voyage sera terminé bientot pour moi!’ Elle acquiesca et se releva. Elle tenta a deux reprises de retirer sa jupe, mais j’avais maladroitement cassé le mecanisme. Je n’y tenais plus, me jetant sur elle. D’un geste j’arrachais son soutien gorge et je portais mes levres a ses seins qui pendaient mollement, tandis que je la tenais par les epaules. Desesperée, elle n’y pouvait plus non plus, et ecartant les jambes, retirant sa culotte, elle plongea la main sous sa jupe. J’etais encore tout excité de ma recente fellation et j’avais des elans du bas ventre incontrolés. Elle me repoussa, et, lentement, fit devant moi un grand ecart facial avec une souplesse et une elegance que peu pouvaient lui soupconner. Je tombais a genoux, me branlant febrilement, et je plongeais mon nez dans sa toison fournie qui faisait presque un centimetre et demi d’epaisseur. Travail peu agreable, mais quand je la sentais vibrer au bout de ma langue qui passait sur sa fente, je redoublais dans ma masturbation. Elle me tira par les cheveux et guida ma queue en elle. Son vagin etait si grand (peut etre aussi que ma queue est un peu petite) que je ne savais pas vraiment si j’y etais (!) mais alors que je l’avais penetrée jusqu’a la garde et qu’elle criait son bonheur, ses muscles abdominaux se refermerent sur moi et me branlérent, main d’acier dans gant de velours. Je commencais la chevauchée, elle dos sur une table d’ecole, la téte pendant dans le vide, perdue dans ses cheveux, moi la retenant par ses mollets gracieux que j’embrassais. Elle criait et criait, et riait aussi. Elle se releva alors que j’accelerais le mouvement, troublé de ses cris. Elle m’enlaca de ses jambes fines et serra, me meurtrissant, serra jusqu’a ce que les talons de ses escarpins se touchent. Elle me toisait silencieuse de ses yeux brulants et me repoussa encore en arriére de ses pieds. Interrompre mon plaisir! C’etait cruel et j’en avais mal. Elle commenca paresseusement a m’agacer de ses escarpins, puis saisit ma queue dressée entre ses deux mollets et je repris lentement mon mouvement ; il y avait quelques poils et ce n’etait pas desagreable.
Calmement, elle s’accroupit devant moi, et porta ses deux mamelons flexibles sur ma queue et lui en fit un refuge. Mmmmm…d’en parler, cela me trouble encore. C’etait si doux! Doux, chaud, mou a l’exterieur, mais dur en dedans. -’Je sais ce que tu veux’, dit elle avec ses yeux brulants. Ma foi, tout ce que je voulais, c’etait en finir au plus vite, car je n’en pouvais plus. En l’occurence, c’etait plutot ELLE qui voulait quelque chose. Elle releva sa jupe qu’elle tenait de ses deux mains, si bien que je pus admirer ses hanches bien taillées, quoiqu’un peu ridées. Elle echappa un rire encore, puis se tourna, posant un pied sur une chaise, se penchant en avant, levant son posterieur gonflé et pale. Dans l’etat ou j’etais, j’aurais tout fait, et la, l’excitation etait comble. D’un coup puissant je lui enfoncais ma queue dans son cul, et un sifflement aspiré entre ses dents vint sanctionner sa douleur. Ensuite je continuais mon va et vient precedemment interrompu, ses jolies fesses rebondissant contre mon sexe. Elle gardait les dents serrées, fixant le sol, serrant ses seins quand je les oubliais. Je m’effondrais sur elle quand en quelques secondes je jouissais avec un plaisir plus grand qu’avec mes copines de la fac. Nous nous enlacames ensuite, sur le sol meme chaud de nos ebats, consommant encore le plaisir que nous nous etions donné.
Et voila !
Chewing Gum