Un après-midi de juillet, devant récupérer des jours de congés, je suis chez moi. Evidemment je suis à poil et je me suis préparé le cul. La chaleur est pesante et je prends régulièrement des douches. Je vais sur la terrasse de la cuisine qui bien qu’exposée au sud est protégée par l’ombre d’un arbre entre 15 et 18 heures. C’est un endroit très agréable par grosses chaleurs. Je suis sur mon transat et je regarde vers le balcon de la femme, (voir mes voisins 1), pour voir si elle est là. Je ne distingue rien qui me confirme sa présence. Je me caresse le sexe machinalement en somnolent plus ou moins. Une heure passe quand je remarque une activité sur le balcon de la femme. Elle est arrivée. Je bande comme un taureau et je m’oriente bien pour qu’elle puisse bien le voir. Je me caresse un petit instant puis, je passe à l’étape suivante. Je fouille dans un sac à côté de moi et en sort un gode ventouse assez gros et long. Je le colle à la baie vitrée de la cuisine et l’encapuchonne d’un préservatif. Je me graisse bien le cul, présente mon fion devant le gode et me colle dessus. Un frisson me parcourt le corps. Je suis exposé de manière à ce que la femme me voie de profil. J’ai pris un grand gode pour qu’elle distingue nettement la pénétration de l’engin dans mon fion. Je pousse doucement et le gode pénètre lentement dans ma rondelle. Je sens mon sphincter se dilater et épouser le diamètre du gode, 5 cm de diamètre, il n’y a aucun problème, je me suis entraîné. Je fais des allers retours amples à un rythme régulier. Le plaisir monte doucement. Je me pistonne de plus en plus vite. Je me branle en même temps. Je sens une onde qui se propage dans tout mon corps, elle part des pieds, remonte vers mon bassin, me crispe le ventre et affole mon cur. Je jouis en arrosant la terrasse de mon sperme. Je jette un il du côté de la femme et je la vois se lever et se retourner pour disparaître. Un peu déçu, je range mon matériel, prends une douche et retourne sur la terrasse pour m’allonger sur le transat. Un quart d’heure se passe quand la sonnette retentit. Je regarde par le judas de la porte, c’est une femme d’une soixantaine d’années. Putain c’est ma voyeuse. Toujours nu, j’ouvre la porte. Elle a un petit moment de surprise. Elle est devant moi avec un sac en plastique opaque. Elle n’est pas très grande, brune, encore assez jolie et bien faite. Sa poitrine est refaite, ça se voit, mais sans excès. Elle porte un corsage sage et un pantalon assez moulant, je dois dire, qui fait bien ressortir la forme de ses fesses.
— Bonjour madame, vous désirez?
— Avez-vous remarqué, monsieur, que l’on voit tout ce qui se passe dans le petit immeuble depuis le grand?
— Je m’en doute mais ça ne me dérange pas.
— Ca je l’avais remarqué. Je voulais donc voir de plus près l’homme qui me donne tant de plaisir.
— C’est vous qui me regardez.
— Oui et j’aime beaucoup. Le reste du temps, je m’ennuie un peu.
— Mais entrez je vous en prie.
La femme entre. Je la dirige vers le salon mais elle s’immobilise, sort une perruque blonde de son sac, se l’ajuste devant la glace du couloir et préfère aller sur la terrasse de la cuisine. Là elle regarde vers son balcon. Elle retourne dans la cuisine et là, sans mot dire, elle se déshabille. En fait, elle ne porte ni soutien-gorge ni slip. Je suis scotché de voir cette femme se déshabiller devant moi sans le moindre complexe. Nue, elle ne fait pas son âge (je saurai par Jo qu’elle a en fait 58 ans) avec sa peau intégralement bronzée, sa poitrine très bien refaite, son sexe épilé et des fesses qui ne tombent pas trop. Quel canon ça devait être!!
— Vous permettez, monsieur, j’aimerai ressentir ce que vous ressentez quand je vous vois sur la terrasse.
— Faites ce que vous voulez, vous êtes chez vous.
Elle se dirige vers la terrasse avec son sac, oriente bien le transat vers son immeuble et s’étend dessus. Elle sort de son sac une huile et commence à s’enduire le corps. Ses mains parcourent son corps, s’attardent sur les seins, le sexe. Elle écarte les jambes et se caresse la chatte.
— Auriez-vous un coussin pour ma tête, s’il vous plaît.
Je vais chercher un coussin dans le salon, le positionne sous sa tête.
— Merci.
Elle peut voir vers l’immeuble, elle le scrute pour voir si quelqu’un la voit. Je distingue plusieurs silhouettes, mais toutes semblent vaquer à leurs occupations.
— Quel pied de savoir qu’on peut vous voir, c’est très excitant, je comprends pourquoi vous le faite.
— C’est encore plus excitant quand on sait que quelqu’un vous regarde.
— Je m’en doute bien.
Elle continue ses caresses pendant un petit moment puis, sort de son sac un godemiché électrique. Elle le démarre, le passe sur tout son corps. Moi je bande comme un cerf mais ne fait absolument rien qui puisse la gêner. Je me contente de l’observer. Le gode passe sur ses seins, l’un après l’autre, doucement en suivant leurs courbes, s’attarde sur le nombril pour arriver vers le sexe et tourner autour du clitoris. Là elle commence à réagir, son ventre donne des petits coups vers l’avant.
Je regarde l’immeuble d’en face et je remarque un homme avec des jumelles orientées vers nous. Je suis un peu sur la trajectoire, je me déplace donc pour libérer la vue.
— Je pense qu’un de vos voisins vous observe.
— Où ça?
— A deux balcons du votre sur la gauche.
Elle jette un il et un petit sourire apparaît sur ses lèvres.
— C’est Jeannot, je savais qu’il matait ses voisins. Quel pied!!
Elle s’enfonce le gode dans le sexe et le fait bouger doucement. Elle ferme les yeux, se caresse les seins avec sa main libre, titille les pointes. Le gode sort de son sexe, parcourt son corps avant de retourner s’enfoncer dans son con. Cela dure assez longtemps, je suis étonné de sa résistance. Mais les vibrations du gode font monter le plaisir et elle finit par jouir en poussant des râles de bonheur.
— Ca c’est le pied, il me regarde, il ne sait pas que c’est moi. Ce con me matte sans le savoir.
Je suis assez étonné du langage mais ne le laisse pas paraître.
Elle se détend, repose le gode par terre, ferme les yeux, se caresse lentement les seins.
— Je peux avoir du produit que vous vous mettez quand vous vous sodomisez?
— Bien sûr.
Je vais chercher la graisse. Elle va s’enculer, là elle m’épate. Je reviens avec la graisse, je la trouve debout sur la terrasse, un autre gode à la main. Celui là est de taille respectable, 4 cm de diamètre et 20 de long. C’est pas mal pour un cul. Je lui tends la graisse.
— Pouvez-vous m’en mettre s’il vous plaît?
— Pas de problème.
Je prends un peu de graisse, et je lui enduis le cul. A chaque passage sur sa rondelle, je sens une réaction. Elle est très sensible du cul.
Elle pose le gode par terre, s’accroupit et se le plante d’un seul coup brusque.
— AAAAhh c’est bon un pieu dans le cul.
Décidément, cette femme a un langage peu châtié.
Elle monte et descend sur l’engin à un rythme endiablé en regardant vers son balcon. Jeannot est toujours là, il ne doit pas en perdre une miette.
Elle se caresse le clitoris avec le gode électrique et jouit très rapidement.
— Putain c’est bon, et ce con qui me regarde, putain quel pied il doit prendre.
Elle finit par se calmer, enlève le gode de son cul, s’assoie sur le transat et me regarde. Je bande toujours comme un cerf.
— Merci de n’être pas intervenu. Je savais que je pouvais vous faire confiance. Merci.
— De rien. Sachez que ce n’est pas l’envie qui m’en manquait.
— Merci.
Elle se lève, vient vers moi, s’accroupie et prend ma bite dans sa bouche. Je suis tellement excité qu’il ne lui faut pas beaucoup de temps pour me faire jouir. Elle avale tout.
Elle se lève, va vers la cuisine, enlève sa perruque, se rhabille.
— Encore merci, cela a été une après-midi mémorable. Je m’en souviendrais longtemps. Je vous materais tant que vous m’en donnerez le plaisir.
— Alors à bientôt sur votre balcon. Vous savez, ma porte vous est toujours ouverte.
— Il ne faut pas abuser des bonnes choses.
Elle met les godes son sac, me met une main sur les fesses et sort de l’appartement.
Je l’ai revue plusieurs fois sur le balcon. Je n’ai jamais su son nom ni ce qu’elle faisait. Vers le mois de septembre je ne l’ai plus vue. Jo m’a dit qu’elle avait quitté l’immeuble.
Mes voisins m’ont réservé d’autres surprises.
Mais ceci est une autre histoire.