Johanna se rendit compte que la vaseline n’était plus indispensable et voulu à son tour profiter de ce mâle dont l’anatomie lui était inconnue, mais elle devait avant tout lui faire sa toilette. La jeune métisse se dirigea vars la salle de bain, son amant sortant tout juste des fesses de Karine.
— Tu va où ?
— Lui laver la bite et après c’est cassage du cul matinal !
— T’es complètement folle ! Il vient de me violer pendant tout la nuit et tu crois qu’il va se tenir comme il faut avec toi ?
— Je pense qu’il a eut sa dose avec toi et qu’il va pas trop s’exciter sur moi.
Sur ces paroles, Johanna s’enferma dans la salle de bain avec son nouvel amant. Voyant la position de sa maîtresse, Filou pensa à une invitation et s’installa sur le dos de la jeune maman. Le sexe du labrador commençais à s’introduire entre les fesses de Karine sans que celle-ci ne puisse le repousser, elle venait de se faire sodomiser à de nombreuses reprise par le beauceron et aucune résistance n’empêchait à présent son petit trou d’accepter le nud de son chien. Profitant de la situation, le labrador s’accoupla avec sa maîtresse sans que celle-ci ne le repousse car dans son état, elle n’avait ni l’envie, ni la force de lutter pour ne pas se faire prendre par derrière.
Dans la salle de bain, Johanna fit asseoir Max dans la baignoire puis elle fit couler l’eau. Le beauceron comprit qu’il allait devoir faire un peu de toilette avant de goûter à cette nouvelle femelle et se laissa donc frotter docilement par sa future partenaire sexuelle. La métisse profita du calme du chien pour s’attarder longuement sur son pénis lors du nettoyage.
— OOHH ! En voilà une jolie bite ! Je peux y goûter ?
Joignant le geste à la parole, la jeune fille dirigea doucement son visage vers l’objet de son désir, mais lorsque le mâle comprit qu’il allait profiter d’une fellation, il posa ses pattes sur la tête de sa nouvelle femelle et appuya fortement pour lui faire avaler la totalité de son membre. Johanna prit plaisir à avaler le sexe de l’animal et se mit à le masturber exclusivement à l’aide de sa bouche.
Dans la cuisine, Karine était toujours en train de se faire sodomiser par son chien, mais la pénétration anale qu’elle avait subit durant la nuit avec Max ne lui permettait pas de profiter pleinement de Filou. Afin de mieux sentir le sexe de son labrador, elle décida de se redresser et ainsi serrer ses fesses pour que son animal de compagnie lui fasse bien sentir sa présence en elle.
La jeune femme était à présent à genoux sur le sol, appuyée sur ses mains contre l’assise de la chaise en train d’avancer son bassin au maximum. Filou avait posé ses pattes sur les épaules de sa maîtresse, son nud avait prit place dans les entrailles de sa partenaire et il laissait sereinement sa semence couler dans les fesses de la jeune maman.
— Allez, maintenant on passe aux choses sérieuses ! T’as bien profité du corps de ma copine, mais là t’as du matos de qualité devant toi ! Alors je veux pas savoir comment tu va t’y prendre mais t’as intérêt de me baiser comme une bête !
Johanna avait sortit Max de la baignoire et était en train de le sécher. Afin de le motiver à la saillie, elle ne cessait de lui parler. Accroupie devant le beauceron, le semence de Filou qu’elle n’avait pas prit de temps d’évacuer était en train de couler sur le sol. Comme avec Rex et Sultan, le sperme du labrador excita le mâle qui se jeta sur la métisse pour la faire tomber en arrière.
La belle blonde avait à présent les jambes écartées, ses bras s’étaient instinctivement positionnés pour l’empêcher de tomber en arrière mais elle n’avait pas laissé ses fesses toucher le sol. Sa position était très inconfortable et le chien profita de l’ajustement idéale pour une pénétration.
— Oh putain ! T’aurais pu attendre que je sois mieux calée au moins ! Mais elle est grosse ta bite quand même ! Allez vas-y baises-moi ! BAISES-MOI !!!
Max était en train de pénétrer sauvagement Johanna qui exprimait son plaisir par de nombreux cris de jouissance, Karine avait toujours le nud de Filou coincé entre ses fesses et les hurlement provenant de la salle se bain lui indiquaient que son amant précédant était encore suffisamment en forme pour combler une femelle de plus. Chacune des deux jeunes femmes profitait de son accouplement canin lorsqu’un bruit vint troubler la situation :
— TOC TOC TOC…
A suivre…
