Annie sallonge à mes côtés et me berce doucement.
— Alors ? Ça ta plu ? me demande-t-elle.
— Oh oui ! Et toi ?
— Tu sais, ta queue vibrait en moi cétait délicieux.
Annie se pelotonne contre moi.
— Dis
Elle a quelque chose à me demander, je ne la brusque pas.
— Euh dis Ça fait mal ? interroge-t-elle au bout de plusieurs secondes.
Tiens ? Elle envisagerait la sodomie ?
— Non, cest même fort agréable, je tassure.
— Euh On pourrait euh Le pot de crème est sur la table de nuit, je crois.
— Oh merci chérie !
Je veux la tourner sur le ventre.
— Attends chéri, tu es trop pressé !
Effectivement mon sexe nest pas au diapason de mon désir.
— Je connais un remède, sourit-elle en embouchant la queue.
Elle raison, le remède est souverain ! Je ne suis pas long à retrouver la raideur adéquate. Satisfaite, elle se positionne à quatre pattes sur la couverture, la tête dans le coude replié.
Il faut que cette première soit un succès. Je tartine à lexcès le petit trou. Jassouplis lanus en pistonnant avec un doigt, puis deux.
— Ça va ma chérie ?
— Ou-oui.
Elle est prête. Je pose le gland qui disparait à moitié dans le trou élargi.
— Cest ta queue que je sens ?
— Oui. Attention, je pousse
Le gland disparait, avalé par le sphincter.
— Mmmh !
— Ouiii !
Cest plus tendre que le cul de Jacques ! Ça serre cest délicieux Je donne plusieurs coups de rein auxquels Annie répond en lançant le bassin à ma rencontre. Je tâte sous son corps, une main sur un sein, lautre sur son sexe.
— Aaah ! Oui !
Ce nest pas commode. Nous basculons sur le côté, il mest plus facile de la caresser. Je ne suis pas pressé, je ralentis volontairement les pénétrations. Annie ronronne de plaisir
— Tu sais, mavoue-t-elle une fois que nous nous sommes douchés, des clients mavaient demandé
— Ils voulaient tenculer ?
— Oui, mais je refusais.
— Tu avais peur ?
— Un peu, mais surtout je voulais que ce soit toi le premier.
— Tu es un amour
Nous restons silencieux quelques secondes.
— Tu
— Je
Nous avons parlé en même temps.
— A toi ma chéri. Que voulais-tu dire ?
— Non, toi en premier.
— Avec Jacques Comme tout à lheure On pourra recommencer ?
— Jallais te demander la même chose, sourit-elle. Jai préféré que ce soit toi qui me fasses lamour plutôt que Jacques. Je veux bien que tu lencules quand il baise Chloé
— Mais à condition que mon beau-frère nous rende la pareille nest-ce pas ?
— Tu es un amour !
Ainsi fut fait plusieurs fois Un jour, Annie sest amusée à nous filmer Chloé, Jacques et moi avec un caméscope. Après quelques retouches nous avons diffusé lenregistrement : Succès immédiat malgré la qualité moyenne des images ! Cela ma donné une idée. Voilà ce qui renouvellerait notre offre ! Jai convaincu Chloé et Annie que les étreintes à trois aient lieu dans la chambre aux visiteurs pour utiliser le matériel de vidéo. Ma copine se révèle une bonne réalisatrice, et ses vidéos ont une meilleure audience que celles filmées par ma sur, ce dont je ne suis pas peu fier
Un jour Jacques me prend à part :
— Tu sais ce que Chloé ma raconté ?
— Non.
— Elle dit comme ça quun client lui a avoué nous avoir vus baiser à trois sur internet et demande si cela serait possible avec lui.
— Ah ? Et alors ? Elle la envoyé balader ?
— Euh non. Elle lui a dit quelle ne pouvait lui répondre tout de suite car il fallait me consulter, mais que si jétais daccord elle exigerait le doublement du prix.
— Elle ne perd pas le nord ma frangine !
— Quest-ce que tu en dis ?
— Cest toi que ça concerne, cest ta femme après tout. Tu ne serais pas daccord ?
— Ben Euh quand même
— Quest-ce que ça change entre vous ? Que tu sois dans la chambre ou dans la salle denregistrement entrain de la filmer ne modifie pas vos relations. Puis, de largent supplémentaire, ce nest pas à négliger.
— Tu serais daccord pour Annie ?
— Bien sûr, si elle men fait la demande.
Je suis tranquille, la connaissant cela métonnerait quelle émette une telle proposition. Il me quitte un peu perplexe. Je devine que lexpérience ne le tente pas et quil espérait que je le soutienne. Il na quà se débrouiller avec ma sur.
Entre deux cours à la faculté je raconte notre conversation à Annie.
— Pauvre Jacques ! Il était déçu, il pensait que jallais dire que je nétais pas daccord.
— Ah parce que tu les ?
— Cest une affaire entre lui et Chloé, cela ne me regarde pas.
— Il ne ta pas demandé si tu serais du même avis si je te demandais la même chose ?
— Si.
— Que lui as-tu répondu ?
Quest-ce que ce micmac ?
— Pourquoi tu me le demandes ? Il ten a parlé ?
— Tu lui as dit que cela ne te ferait rien, nest-ce pas ?
— Euh Oui, mais parce que jétais sûr que tu ne me poserais pas la question.
— Comment peux-tu en être sûr ?
Je la regarde avec attention.
— On ta fait la même proposition nest-ce pas ?
— Non, mais Chloé men a parlé.
— Tu serais daccord ?
— Uniquement si tu le voulais mon chéri.
Je suis piégé ! Si je refuse Chloé et Jacques auraient beau jeu de me renvoyer mes arguments !
— Avoue que tu en as envie, avoue !
— Pour nous deux, ce serait la même chose que lorsque Joseph était entre nous. Tu naimais pas ?
Là elle men bouche un coin ! Que rétorquer ?
— Chloé ma affirmé quon pourrait augmenter notre prix. Ça ne tintéresse pas ?
— Bon, bon ça va ! Faites comme vous voulez.
Le soir nous mettons au point la stratégie. Jacques secondera Chloé pendant que je filmerai. Il sera aux commandes des caméras lorsquAnnie aura besoin de moi.
A présent, létreinte à trois, un homme entre une femme et un homme est un must de la maison. Très vite des clients ont proposés de venir à deux. Cela marrange. Jai toujours un pincement de jalousie quand Annie couine son plaisir lorsque la queue dun visiteur que jencule vibre dans son vagin. Au moins, derrière la glace sans tain, je nentends rien. Souvent les clients jouent alternativement le rôle de la tranche de jambon dans le sandwich. Entre les deux prestations Annie ou Chloé les réconfortent par une savante fellation. Il va sans dire que cela nest autorisé quavec un substantiel supplément de prix (les affaires sont les affaires !). Un cordial leur est offert par la maison
Les vidéos enregistrées en ces occasions remportent les suffrages des internautes et nous attirent de nombreuses connexions payantes. Si les affaires continuent à ce rythme, Jacques et moi pourrons demander à nos compagnes de réduire le nombre des prestations et de ne sélectionner que les clients les plus télégéniques
— Oh mon chéri tu es fatigué ?
Annie de retour de la chambre de travail me réveille. Je métais assoupi, la main sur la queue, à remuer mes souvenirs.
— Non, je repensais à nous, à ce que nous sommes devenus.
— Tu regrettes ?
— Oh non ! Et toi ?
— Je ne voudrais changer pour rien au monde !
Que cest agréable à entendre ! Elle mattire sur le lit.
— Viens mon chéri Viens Prends-moi Ouii ! Jaime sentir ta queue senfoncer ! Ouiii ! je tai-ai-ai-aime !
— Moi au-au-aussi je-je-je tai-ai-ai-aime.
Oui je laime ! Oui jadore menfoncer dans sa chatte dilatée par une queue avant la mienne mais jai un regret. Il me manque lonctuosité du sperme quand je faisais lamour à Annie après Jacques. Depuis quavec celui-ci nous nous enculons à tour de rôle, Chloé lui a fait promettre de ne plus baiser Annie. Et mon beau-frère lui obéit ! Quel dommage Je dois faire mon deuil de tremper ma quéquette dans un vagin plein de semence A moins que
— Dis Han ! Annie
— Aah ! oui ?
— Tu ne connais Han ! Personne Han ! à qui tu fasses confi Han ! confiance ?
— Quest ce-ce-ce que tu Aah ! tu veux dire ?
— Quelquun avec qui Han ! tu pourrais Han ! travailler sans protection.
— Oh ! Tu ny penses Aah ! penses pas !
— Si Han ! justement.
Elle ne répond pas. Ses ongles simpriment dans mes épaules, ses talons frappent mes fesses à la cadence de mes coups de reins. Jaime ces instants qui précèdent la jouissance, où les muscles de son vagin enserrent ma queue dune douce étreinte. Ne pas meffondrer avant elle ! Oui ! Un flot de cyprine enveloppe ma verge : Elle part ! Je me laisse aller et mêle mon sperme à ses sécrétions
Nous restons allongés côte à côte, main dans la main. Nos muscles se relâchent, nos respirations sassagissent, nous sommes bien
— Dis chéri
— Oui mon amour ?
— Dis Pourquoi tu mas demandé si je pouvais travailler sans protection ?
— Est-ce que ce serait possible ?
— Réponds à ma question, pourquoi ?
— Jaimais bien te faire lamour après Joseph.
— Parce quaprès mes euh visiteurs, cest pas pareil ? Ah non ! Tu as raison. Cest pas tout à fait pareil
— Tu vois ! Ça te manque aussi !
— Quest-ce qui me manque ?
— Ben de recevoir ma queue dans ton con plein de foutre.
— Tais-toi !
— Avoue !
— Euh Cest trop dangereux
— Ça doit bien exister un client en qui tu aurais toute confiance.
— Viens te doucher au lieu de dire des bêtises !
Je la sens perturbée. Lidée fait sûrement son chemin dans son esprit. Je relance le sujet à notre retour de la salle de bain.
— Tu ne mas pas répondu tout à lheure.
— A quoi ?
— Ben à un client de confiance.
— Tu as de la suite dans les idées, toi ! Non, il nen est pas question !
— En prenant nos précautions, quel risque il y aurait ?
Elle range les serviettes. Je lenlace pour un tendre baiser. Cela sonne le glas de sa résistance :
— Euh Il y a bien
— Ah ! Tu vois, tu penses à quelquun.
— Je je sais pas sil sera daccord
— Je te fais confiance pour le convaincre.
— Ce que tu ne me fais pas faire !
Cest dans la poche ! Jen salive davance. Si en plus Jacques samène pour menculer en même temps, rien ne manquera alors à mon, pardon, à notre bonheur
Fin.
