Je n’avais pas encore 17 ans lorsque cette histoire s’est déroulée.
J’en ai à présent 18, et désire vous la faire partager.
A ce moment là, je sortais avec un jeune homme de 19 ans. 1m80, les cheveux châtains, de beaux yeux noisettes et un musculature de rêve, il avait tout pour lui, et je le savais mieux que quiconque… Je sortais avec lui depuis 2 mois, et nous nous voyions que très peu, puisque que -jeune sapeur pompier de Paris- son travail lui prenait beaucoup de temps.
Ce soir là, il était en permission. Mais passionné par son métier, il lui arrivait également de se mettre au service de petites casernes de campagne. Comme à ce moment là.
M’ayant promis une soirée de… douces retrouvailles, j’étais quelque peu indignée par son choix.
— Mais tu m’avais promis qu’on dormirais chez toi ce soir !, râlai-jeau téléphone, outrée.
— Je n’ai qu’à venir te cherche ce soir avec un pote, et tu passes la nuit avec moi là-bas, me suggèra-t-il donc.
Je pinçai mes lèvres. Mes parents, bien qu’au courant de ma relation, n’étaient pas trop chauds pour me laisser partir vadrouiller en pleine nuit. Tant pis. J’allais faire le mur. Je lui annonçai la nouvelle, il paru heureux.
A 23h30, mes parents couchés et endormis, je me glissai sans bruit dans les escaliers de marbres et tournai doucement les clés de la porte d’entrée. J’étais libre. Jeans slim, débardeur noir qui moulait parfaitement bien mon 85e , escarpins… J’avais décidé de me mettre parfaitement en valeur pour le rendre dingue. J’y réussis.
Il arriva quelques minutes après, et me fit monter dans la voiture de son ami, que je ne connaissais que de vue. Pas trop mal foutu non plus, le collègue.
Après quelques minutes de trajet, la voiture se gare non loin d’une petite caserne de pompier. je descends et enlace mon chéri.
— On va où maintenant ?, lui sussurai-je à l’oreille, la main effleurant doucement son entrejambe.
Sans un mot, il me pris la main et m’ammena vers une petite maison juste à côté. Je ne posai aucune question. Je n’avais qu’une hâte, qu’il s’occupe de moi. Qu’il me fasse jouir comme une chienne.
Les lieux étaient rudimentaires. Une salle de bain avec une douche et un lavabo, un salon, et une chambre avec trois lits.
Ses affaires y étaient déjà. Il demanda à son ami de ne pas nous déranger, et nous començâmes enfin la soirée.
A peine la porte fermée, je m’agenouillai à ses pied, et débouclai la ceinture de son pantalon. Réceptif, il sortit son sexe de son boxer, et je me jetai dessus comme une affamée. Immédiatement, je sentis sa bite durcir dans ma bouche.
— Mmmmh, oui, c’est ça suce moi bien la queue, ma petite chienne…, murmura t-il, une main dans mes cheveux blonds.
Je lui fis comprendre que j’aimais ça. Ma bouche était pleine de liquide séminal, qui coulait également le long de mon menton, et sur mes seins, encore prisonniers du soutien-gorge. Ca m’existait terriblement. Je le regardais prendre son pied, et je sentais que je n’étais pas dans un meilleur état que lui. Je sentais ma chatte dégouliner, et j’avais bien hâte d’y sentir sa queue, qui était devenue énorme.
Sa main appuya légèrement sur ma tête. Le message passa instantannément : j’enfournai sa bite au plus profond de ma gorge, et lui maintint la pression, jusqu’à ce que le souffle me manqua. En transe, je recommencai plusieurs fois, adorant cette queue qui m’étouffait et qui me rendait tout simplement folle.
Puis il se retira et me relèva. Il m’embrassea sans se soucier de ma bouche pleine de sperme.
Je retirai mon débardeur et mon soutif, pendant qu’il s’occupait de mon pantalon. Nous nous allongâmes sur le lit, et sa bouche vint trouver mon intimitée débordante de jus. Il lécha le tout avec délice. Il y mis sa langue, ses doigts… Je jouissais comme une salope. N’en pouvant plus, je me mis à le supplier.
— Anh, ouiii, mmmh… Mets-là moi, s’il-te-plaît ! je veux sentir ta queue en moi, je ne veux plus attendre !!
Il sourit et vint se placer au dessus de moi. J’écartais les cuisses à fond, désireuse de recevoir enfin sa grosse bite.
Contre toute attente, il me demanda de me mettre à quatre pattes, chose que j’exécutai très rapidement.
J’adorais (et adore toujours) cette position. La levrette me mettait dans tous mes états.
Sa queue me pénétra sans difficulté. L’assaut me coupa le souffle, mais je me remis bien vite de ma surprise, car c’était si bon que je me mis… à hurler de plaisir. Sans me douter de ce qui allait en résulter…
