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Petit bourgeois surdosé – Chapitre 2




En fait, je dormis, fort peu. A chaque fois qu’un mec avait envie de tirer sa crampe sans avoir la patience d’attendre que la chatte ou le cul de ma proprio fussent disponibles, il venait se coller à moi, se frottait contre ma raie, me réveillant, et me sodomisait. Et, comme au fur et à mesure qu’ils découillaient ils atteignaient le deuxième voire le troisième orgasme moins rapidement, les pétages de cul duraient à tel point que je nen éprouvais plus que de la passivité. Je n’eus qu’un second orgasme dans la nuit.

A la fin, je ne savais plus qui était dans mon cul. Les mecs se suivaient, me démontaient, sans mot dire, à part quelques insultes murmurées pour ne pas réveiller les autres.

— Tu las sens ma queue petite pute, t’aimes ça hein,

— Tu me reconnais, tu t’la remets ma grosse pine… Elle t’a fait du bien tout à l’heure, t’a couiné hein ? T’en veux encore de ma jute plein ton trou petite pute ? J’ai refait les niveaux.

L’expression "petite pute" revenait invariablement.

A la fin de la nuit, j’étais plein de sperme. Mon cul, mon corps, mon visage, en étaient couverts, à tel point que je me demandai comment ces mecs avaient pu juter autant de fois et même, s’il n’était pas arrivé, en pleine nuit, comme je le soupçonnai, quelques renforts particulièrement bien membrés et bien couillus, prévenus de la bonne aubaine qui les attendait. Au final, il m’est impossible de dire combien de bites je me suis pris. Ce qui est sûr c’est que j’avais mal au cul… Et partout d’ailleurs. J’étais brisé.

Finalement, vers quatre ou cinq heures du matin, le flot cessa et s’interrompit tout à fait. Les mecs s’endormirent.

J’aurais pu rester longtemps comme eux, tant la fatigue m’avait submergé, mais l’inconfort de la situation et la lumière du jour à laquelle je ne suis pas habitué, dormant toujours dans le noir, me réveillèrent. Il devait être à peu près huit heures. J’avais un peu froid Je récupérai ma proprio qui était avec un jeune mâle magnifique que je n’avais pas vu la veille.

Plutôt que de rentrer directement à Angers, elle me fit prendre la direction de sa résidence secondaire où, après avoir dormi longtemps, elle me demanda de la baiser. Je le fis avec plaisir car elle est vraiment bonne. Mais en même temps, je me rappelais mes amants de la nuit, la perte de mon pucelage, et je me dis que je préférais les mecs. C’était assez confus encore dans ma tête mais je pense que je tendais vers là. Bi ou gay ? Il y avait quand même à approfondir la question et à m’élargir… À la deuxième hypothèse.

C’est sur ces idées que je rentrai chez moi.

Je dois dire que tout cet épisode me trottait dans la tête et, plus les heures passaient plus l’envie d’y revenir me tourmentait… Enfin d’y revenir avec les garçons ; bref, je me matagrabolisais le cerveau pendant toute la journée. L’option gay revenait en force.

C’est alors que Florian sonna. J’étais en train de bosser, en T-shirt et pantalon de survêt. Simon répondit à l’interphone, entrouvrit ma porte :

— C’est Florian, j’lui ai ouvert.

— Cool. Merci.

Florian dut monter les escaliers quatre à quatre car il arriva rapidement et entra comme une furie.

— Alors ? Tu sautes ma meuf ?

— Ta meuf ? Quelle meuf ?

— Marie-Clotilde !

— Tu te calmes, c’est pas ta meuf !

— Et il parait que tu vas voir ailleurs ?

— Je fais c’que je veux.

— Viens qu’on s’explique salope !

Je m’étais levé, surpris par cette intrusion.

Il me plaqua face contre le mur et m’écrasa de toute sa masse. Je voulus me dégager mais n’en fit rien après avoir senti la pression de son gros sexe contre mes fesses. D’ailleurs il est plus fort que moi. Je ne suis pas sûr que j’aurais eu le dessus. Il parlait fort, criait presque.

— Alors, t’es un p’tit PD hein ?

— Tais-toi ! Tu vas ameuter tout l’immeuble.

— Ah ça t’emmerde que tout le monde sache c’que t’as fait ta chiennasse. C’est bien vrai qu’ils t’ont tous baisé. Il paraît que c’était une vraie tournante, qu’ils t’ont tous sauté deux ou trois fois et que tu en réclamais.

— Putain arrête de déconner Flo, tu me fais mal là.

— Mais j’t’avais dit que c’est moi qui te péterait la capsule !

— T’es lourd là !

— Tu la sens ma grosse queue là, t’as envie que je te la mettes, salope. Tu vas voir ce que je leur fais aux petites tarlouzes. J’vais peut-être pas te déflorer la rondelle, mais j’vais te l’élargir et te pousser la bite jusque dans l’estomac !

— Tarlouze toi-même ! (je sais, comme réplique, c’est minable… Mais c’est tout ce que je trouvai.)

Pour toute réponse, je reçus une violente claque sur le cul et il m’écrasa le visage contre la paroi, joue gauche appuyé contre la cloison.

Puis il baissa mon survêt…

— Pas de slip ma salope, toujours prête à te faire sauter maintenant petite lopette. Faut acheter un jock-strap ma chérie pour avoir le cul toujours à dispo pour les bonnes teubs.

Et il mit son gros gland sur ma rondelle.

— Flo, putain tu me fais mal !

— Chochotte… T’a pris au moins vingt bites l’autre nuit, au moins vingt non… Trente ? Tu sais plus tellement t’en as eues. Alors elle doit être bien ouverte ta petite chatte. Et il n’y avait pas que des petits calibres…

Et il cracha dans sa main pour se lubrifier le nud qu’il inséra en me déchirant. Je criai.

— Qu’est-ce qu’il se passe là à la fin ? Vous en faites du bruit ! C’est quoi ce bordel ?

Je reconnus la voix de Simon, mais placé comme j’étais je ne pouvais pas le voir et c’était sans doute mieux car j’étais mort de honte.

— Ce bordel, c’est que ton copain c’est une petite pute, une pédale, un trou à bites… Tu savais pas qu’il baisait les hommes… Ou plutôt que les hommes le baisent ? Il s’est tapé tout un squat de PD ! Il t’a jamais sucé ? Tu l’as pas enculé ? Tu devrais, elle est bonne sa chatte. Regarde ça glisse tout seul !

Ça ne glissait pas tout seul du moins pas selon me point de vue. Simon ne dit rien.

Florian, bien à l’aise dans mon trou y allait sans retenue, me donnant de violents coups de bite. La position était très inconfortable mais, au fur et à mesure, sa queue fit merveille. Bien certainement je mouillai et le va-et-vient devint des plus agréables. Je ne pus retenir des gémissements de satisfaction

— Tiens regarde, comme elle aime ça la petite pute. Elle est bonne ma grosse queue, ouais ? Tu en bavais d’envie salope ? Y’a longtemps que j’avais repéré ton manège tu sais. Tu crois que j’avais pas compris en te voyant me mater ma bite dans les douches ou pendant les touzes ? Eh ben maintenant, elle est bien entière dans ton cul, t’es contente ?

— …

— Dis que t’aime ça salope !

Suivie d’une terrible claque, cette injonction ne put qu’avoir une réponse positive que j’exprimai à voix basse cependant, ne sachant pas si mon coloc était toujours là ou s’il avait regagné sa piaule.

— Plus fort, dis le tout haut que t’aime ma queue.

— J’aime ta queue !

— Dis que t’es une petite pédale.

— J’suis… J’suis…

— Dis-le bordel !

— J’suis une pédale…

— Ouais, et une bonne même… J’aime bien sauter les petites pédales comme toi, bonnes sous l’homme, pas fainéantes du fion, qui remuent bien…

Et il continua à me sodomiser brutalement. Il ressortait intégralement sa grosse pine, lentement, la guidait de la main pour qu’elle entre d’un seul coup et la poussait violemment jusqu’à la garde, jusqu’à ce que ses poils s’écrasent sur mes fesses et que je sente ses couilles se balancer contre moi. A chaque fois, ce bâtard m’arrachait un cri de douleur.

— Aïe ! Tu me fais mal Flo !

Et plus je me plaignais, plus il y allait fort. Je finis par me taire en me mordant les lèvres pour contenir ma douleur et mes plaintes. Cette stratégie fut payante.

— Amène-moi ta chatte salope, dit-il en m’agrippant par les hanches et en m’attirant vers lui, de façon à ce que je me plie en deux.

Une fois mes bras tendus et mes mains appuyées contre le mur, il me prit par les épaules et commença à aller et venir rapidement dans mon cul. Mon cul encaissait et le bruit des chairs s’entrechoquant résonnait dans la pièce.

La position était beaucoup plus agréable. Ma joue n’était plus écrasée contre la cloison et la tension qui avait meurtri mes cervicales se relâchait. J’avais frôlé le torticolis. En revanche, je ne risquais pas le tortiCULis, tant les muscles de mon postérieur s’étaient désormais assouplis sous la vague de plaisir que le marteau-pilon de Florian provoquait.

Mon champ de vision s’était élargi et j’aperçus les jambes de Simon qui, immobile et silencieux, me regardait me faire défoncer.

Florian continuait de m’agonir d’injures. Tout à coup, il lâcha mes épaules et se mit à me caresser les tétons avant de les pincer fortement sans crier gare… Je gémis de la douleur et du plaisir mélangés.

— Regarde-moi ça. Ils sont gonflés tes p’tits nichons. T’es vraiment une petite chienne en chaleur. T’es encore plus pute que je croyais !

Cela eut comme effet de l’exciter davantage s’il était possible.

Il alternait entre claques sur les fesses, prise en tenaille des tétons, baffes sur les joues sans oublier parfois de prendre ma mâchoire dans l’étau de sa main puissante, le tout sous ses inextinguibles coups de queue.

Je bandais dur et le désir montait. J’eus la tentation d’empoigner ma bite pour me soulager mais je fus rappelé à l’ordre par une gifle monumentale.

— Pas touche ! J’t’ai pas dis de jouir ! Tu vas attendre que je me vide les couilles.

Et il me fallut patienter encore un moment car Florian est vraiment endurant.

Là, il m’avait attrapé par le haut des cuisses pour se coller le plus possible à moi. Il jouait sur la hauteur de ses jambes, en pliant les genoux ou se dressant sur ses orteils pour varier les positions de sa trique dans mon fion surchauffé.

Mais j’étais moins résistant que lui et je finis par jouir sans me toucher en râlant de bonheur. Les lourds jets de sperme éclaboussèrent le mur.

— Ouais c’est bon ça, je sens bien ta petite chatte serré sur mon nud, ouais… Maintenant, baisse-toi, lèche le mur… Mieux que ça. Bouffe ton jus salope… T’es une vraie salope à jus, toi, hein !

Je fis du mieux que je pus. Pendant ce temps, Florian se déchaînait à nouveau dans mon cul. Il ne tarda pas à approcher du dénouement et, au moment suprême il se recala bien au fond, solidement fixé à mes hanches, et je sentis sa bite décharger au fond de mon trou dans un concert de jurons. Lors des derniers jets, les plus espacés, il se pencha complètement sur moi en m’enserrant puis, lorsqu’il eut bien exprimé tout son jus et après s’être agité lentement dans tous les sens, il se retira.

Il se baissa pour écarter mes fesses. Le sperme s’écoulait un peu. Il me doigta et, s’étant remis debout dans mon dos, me tendit sa récolte sous le nez.

— Bouffe !

Je suçai l’index et le majeur. Ils avaient le goût du sperme et de la mouille de cul. Je n’osai pas dire que je trouvais ça bon.

Ensuite, il me prit par le front pour me ramener en arrière vers lui et me dire :

— On va se revoir salope ! T’as pas fini de te la prendre ma queue !

Puis il me fit basculer d’un quart de tour à gauche et me poussa violemment en avant. Je basculai sur le lit.

Je restai immobile. Je l’entendis remettre ses fringues, puis marcher dans le couloir et claquer la porte derrière lui.

Je n’osai pas bouger de crainte d’affronter le regard de Simon dont je ne savais pas s’il était encore là. Etait-il resté jusqu’à la fin, avait-il tout vu ? Qu’allait-il penser de moi ? Un pression sur le matelas me donna tout de suite la réponse.

Je crus qu’il allait me parler mais il s’allongea sur moi, sa queue bien dure se cala entre mes fesses.

— J’vais le faire… Je te demande pardon mais si je le fais pas maintenant, je le ferai jamais… Trop excité… Si tu veux pas arrête-moi… J’ai trop envie d’essayer… J’l’ai jamais fait avec un mec… Jamais sodomisé… Même une meuf…

Il souleva son bassin et s’aida de sa main pour trouver l’orifice puis il me pénétra sans rien dire.

Complètement étendu sur moi il me bourra sans changer de position, en marmonnant toujours les mêmes choses :

— La vache c’est bon… C’est super bon… Hmmm… Oui….. Quel trou !….. J’t’adore… C’est bon.

Il me parlait à l’oreille, ses lèvres me touchaient, sa salive coulait sur ma joue.

Sa queue était plus petite que celle de Florian mais elle faisait merveille. Je m’abandonnai sans rien dire à la chaleur de se corps qui transpirait sur moi.

Il ne resta pas longtemps. Il bougeait juste son cul pour faire coulisser sa pine dans mon trou lubrifié. Il vint très vite, mais je suppose qu’il devait bander depuis les vingt minutes approximativement que durait la scène. Il se cramponna juste à ma tête au moment d’éjaculer.

— Oh oui, c’est bon, c’est bon, je jouis, je jouis, je jouis dans ton cul… C’est bon…

Dès qu’il eut fini, il se retira. Il ramassa ses fringues et disparut dans sa chambre.

Je n’osai pas aller le voir après et lui, de son côté me fuyait. Il partait tôt le matin et rentrai tard le soir. Je ne le revis plus avant que Florian ne vint me chercher pour une partie dominicale.

A suivre.

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