Elodie était en manque.
Cela faisait 4 jours quelle avait rencontré Joris et Dominique. Depuis mardi, elle avait vécu la semaine la plus luxurieuse de sa vie. Elle avait sucé, léché, sest faite léchée, prendre par les deux orifices, bu du sperme jusquà plus soif Et malgré cela, pas le moindre petit orgasme, alors que la plupart de ces séances lavait mise dans un état dexcitation jamais atteint auparavant. Elle nen pouvait plus. Et le spectacle qui lui était offert la torturait plus encore.
En effet, une fois de plus, elle avait retrouvé Dominique sur le lieu de rendez-vous après son travail. Il lui avait préparé une petite surprise.
Il lavait emmenée dans une pièce dans laquelle il y avait un fauteuil en face duquel une table était posée. Sur cette table, une multitude dobjets phalliques. Mais ce nétait pas ce qui avait frappé Elodie en entrant dans la pièce. En effet, le mur qui faisait face au fauteuil nétait rien dautre quune glace sans teint.
Derrière cette glace, deux femmes quelle naurait pu oublier : Lisa Asthoën et Alice Frenielle. Elles étaient toutes deux sur un lit, et mêlaient, nues, leurs langues avec passion.
« – A poil. Puis tu tassoies et tu regardes. » Tonna Dominique.
« – Oui, maître. »
Elle se délesta de ses vêtements en regardant la sensualité dégager de cette scène lesbienne. Lisa embrassait le cou de la petite rouquine, et laissait sa main se perdre entre les cuisses blanches. Alice écartait doucement ses jambes sous la caresse, et pressait un de seins de Lisa. Puis elle lattira à elle pour lembrasser à nouveau. Elodie les trouvait très érotiques. Elle était excitée de les voir se faire du bien.
Enfin nue, elle sassit sur le fauteuil et les fixa à nouveau. Rapidement, Lisa remplaça sa main par sa langue, quelle activa entre les cuisses de la jeune femme aux tâches de rousseur. Elle entendit la porte souvrir à ce moment. Une voix bien connue la salua :
« – Bonjour Madame Maerte, ravi de vous voir ! Je constate que vous vous êtes déjà installée. Cest parfait.»
Après avoir dit ces mots, Joris vint aux coté dElodie, demeurant debout.
« -Jespère que vous appréciez mon petit cadeau. Jai demandé à vos amies de nous offrir un petit divertissement. Je vous ai aussi préparé des sextoys. Utilisez les à votre guise, ne vous gênez surtout pas ! »
Ce nétait pas lenvie qui manquait à Elodie. La vision quelle avait lui rappelait le cunnilingus que lui avait prodigué la belle femme noire. Ca avait été un tel délice ! Des petits mouvements de hanche trahissaient son excitation. Elle se sentait si chaude ! Elle ne savait pas combien de temps elle allait tenir avant de se goder devant ces hommes. Elle voulait tellement être remplie ! Son état de manque rendait fragile ses barrières morales.
Alice caressait la tête de sa partenaire, et jouissait dune caresse buccale qui, si lon se fiait à sa bouche sensuellement entrouverte et à ses paupières closes, devait être exquise. Elle exprimait son plaisir avec des petits gémissements aigus. Lisa remonta ensuite pour partager avec elle le goût de sa mouille, et doigter sa jeune chatte.
Elodie céda, elle prit honteusement un petit gode pas très long, et poussa doucement dans sa moule. Elle se sentait humide. Elle fit des vas et viens qui provoquèrent en elle des pics de plaisir. Elle râla de bonheur. Ses derniers temps, il lui était difficile de songer à autre chose quà la jouissance.
« – Vous aimeriez jouir, nest ce pas ? » Lui demanda Joris.
Elodie laffirma de la tête. Puis elle regarda à nouveau les deux femmes. Alice sétait positionnée à quatre pattes, pendant que Lisa, dans la même position, lui léchait lanus en continuant à la doigter. Dans un état second, Elodie prit un gode plus gros pour continuer à sexciter.
« – Je suis satisfait du cur de vous mettez dans ce que vous faites. Je pense être disposé à vous accorder à nouveau le droit de jouir. Et cela pendant, pourquoi pas, une semaine entière !
— Oui, je vous en supplie ! » Gémit-elle en se pénétrant frénétiquement avec le gode. « Jen ai tellement envie ! »
Entre temps, Lisa sétait équipée dun gode ceinture, quAlice suçait comme si sagissait dune vraie queue. Elle branlait dans sa bouche le membre en plastique, pendant que la femme noire lobservait en se caressant les seins. Elle sapprêtait à se faire saillir.
Joris enchaîna :
« – Madame Maerte, je ne vous donne aucun ordre. Je vous dis simplement que si vous voulez jouir, il va falloir nous le montrer. Je ne vous oblige à rien. »
Il sortit sa queue de son pantalon, imité par Dominique.
Les deux hommes se tenait de part et dautres dElodie, qui avait pour elle une belle bite de chaque coté. Elle salivait de voir ces deux morceaux de chair rien que pour elle, même si une petite voix au fond delle la condamnait de désirer ces deux hommes qui la conduisait à sa perte.
Pendant ce temps, Alice sallongeait sur le lit en écartant largement les jambes, invitant sa partenaire à la prendre.
Elodie lenviait, elle aussi voulait se faire posséder ! Et jouir, surtout, jouir ! Même si elle navait pas lobligation de se faire prendre par Dominique et Joris. Ces derniers se contentant dattendre que la femme qui se godait quémande leurs bites.
Alice poussait des cris de bonheur. Elodie pouvait voir les fesses de Lisa sagiter au rythme de ses coups de reins. Elodie se léchait les lèvres denvie. Le jouet tapait au fond delle, la rendait folle.
Alice tourna ensuite le dos à celle qui la baisait. Elle se mit à quatre pattes en tenant les barreaux du lit. Elodie pouvait voir la moule luisante qui nattendait quà se faire bourrer. Lisa sapprocha, claque le fessier tendu à plusieurs reprise. La petite rouquine tressaillait en réponse à ces tapes, mais ne semblait pas trouver cela désagréable. Bien au contraire, elle tourna la tête pour lui sourire, en mordillant le bout de son propre index, telle une allumeuse. Lisa se décida enfin à la prendre en levrette, en continuant à fesser sa cadettes. Des cris résonnaient.
A coté de la journaliste, les deux hommes se masturbaient doucement. Elle observait du coin de lil leurs mains monter et descendre sur leurs objets de plaisir. Au bout du sexe de Joris, une goutte de semence perlait, ne demandant quà être léchée.
Elodie craqua.
Elle se jeta comme une affamée sur la bite de Joris, et la suça avidement. Pendant ce temps elle branla Dominique, laissant figé le gode en elle. Dominique vint se placer aux cotés de son camarade, permettant à la femme davoir deux pénis juste sous son nez. Elle délaissa Joris pour venir soccuper de lautre queue, elle passa ainsi de lune à lautre successivement. Elle savait que chaque geste, chaque mouvement de poignée, chaque coup de langue ne lui était pas dicté mais venait de sa volonté. Elle appréciait la texture, la chaleur, la dureté de ces bites dans sa bouche et ses mains. Elle se comportait comme une salope qui voulait se faire sauter. Elle en était consciente mais sen fichait, ne pensant quà la jouissance qui lattendait. Elle prit les deux membres en même temps dans sa bouche, remuant sa langue sur les deux glands palpitant. Ensuite, elle offrit à chacun une gorge profonde, sétouffant presque dans la précipitation.
« – Eh bien, commenta Dominique. Il faut croire que cette cochonne était en chaleur.
— En effet, acquiesça Joris. »
Elodie branla les deux verges en levant la tête dans leur direction, un filet de bave la liant à celle de Dominique :
« – Sil vous plait, supplia t-elle. Prenez-moi
— Puisque vous en avez tellement envie, pourquoi ne vous positionnez vous pas ? »
Aucun ordre là non plus, cependant Elodie nattendit pas pour sallonger sur le sol après avoir retiré le gode quelle jeta négligemment par terre. Elle écarta les jambes, exposant sa moule baveuse. De la mouille sen écoulait jusquau sillon de ses fesses. Elle était incroyable de dépravation.
Joris fut le premier à se positionner entre ses cuisses. Il attrapa sa bite quil frottait contre le sexe accueillant. Le glissement de la queue de Joris contre sa chair innervée et son clito gonflé provoqua chez elle un frustrant plaisir. Lhomme samusait à la faire patienter grâce à ce préliminaire. La femme brûlante de désir nen pouvait plus : elle voulait sentir sa chatte investie dans la seconde.
Joris se décida enfin à pénétrer le gland, mais nalla pas plus loin au grand dam de la journaliste. En effet, il ressortit aussitôt son sexe, le frotta à nouveau sur celui dElodie, et recommença lopération plusieurs fois. Impatiente, la femme prit dautorité la queue dans sa main, et la rentra dans son vagin. Le membre rentra comme dans du beurre. Elle râla de bonheur, et empoigna les fesses de Joris pour quil enfonce plus encore sa récompense au fond delle. Enfin !
« – Je vous autorise à jouir comme bon vous semble. » Lui dit lhomme qui la pénétrait.
Elodie était heureuse dentendre cela.
Joris entama des puissants vas et viens. Elodie criait déjà, totalement désinvestie de gêne, ne pensant quà la queue qui ramonait sa chatte et au plaisir qui montait déjà. Elle remuait du bassin, ses doigts crispés sur les fesses de Joris.
Dominique vint enfin à ses cotés, à genoux. Il souleva sa tête en plaçant une main derrière sa nuque, et guida sa bouche vers sa queue. Sans penser au tableau quelle offrait, elle ouvrit aussitôt ses lèvres et emboucha son engin. Cétait un régal pour elle de le sentir aussi dur sur sa langue. Elle resserra ses lèvres sur la tige en gémissant comme une trainée, et laissa le soin à Dominique de lui baiser la bouche.
Sa chatte était plus serré que ses lèvres encore. Elle sentait monter en elle lorgasme. Une queue dans la chatte, et une autre dans la bouche, elle émettait des petits cris étouffées et aigus qui gagnaient en volume à chaque coup donné par Joris.
Soudain vint la récompense.
Un unième aller-retour provoqua sa jouissance, qui lenvahit de tout son être. Elle fut obligée de lâcher la queue quelle suçait pour lexprimer :
« – Oh oui oui ouiiiiiiiiiiiiiiiii !!! »
Jamais auparavant elle navait connu un orgasme pareil. Toute la frustration de ses nombreuses séances sexuelles accumulée ces derniers jours se libérait. Sa chatte était incroyablement contractée, ce qui nempêchait Joris de continuer à la sauter pour son plus grand plaisir. Elle eut limpression que tous les orgasmes quelle aurait dû avoir les précédentes fois se déclenchaient au même moment. Le moindre de ses muscles était tendu au maximum. Elle savourait le bien être qui saccaparait delle. Cela dura deux bonnes minutes, durant lesquelles elle hurla sans discontinuer. Les sensations étaient si puissantes quelle en pleurait.
Enfin, la tension retombant, Joris abandonna le vagin dElodie, et la retourna pour quelle se retrouve à quatre pattes. La journaliste avait le souffle court, les jambes flageolantes. Sa tête était baissés et ses cheveux cachaient son visage. Elle avait du mal à sen remettre.
Elle vit Joris se positionner devant elle, le sexe près de son nez. Elle trouva la force de lever la tête, regardant celui qui lavait enfin autorisée à jouir :
« – Merci Merci ! » Lui souffla t-elle sincèrement.
Et elle happa sa queue pour le sucer, reconnaissante. Elle était couverte de son plaisir. Encore en extase, elle avala généreusement le sexe qui lui avait fait tant de bien, et remua sa langue comme une possédée. Elle le branla ensuite avec intensité, en aspirant son gland. Elle vénérait cette bite qui investissait sa bouche. Elle exultait de la sentir déformer ses joues. Elle était telle une adoratrice devant son roi. Elodie sortit la queue de sa bouche, et la lécher avec application de tout son long.
Mais elle en voulait plus. Elle se cambra fortement, laissant ressortir son cul luisant de la mouille qui y avait coulé. Elle présenta comme une salope sa chatte à Dominique. Elle le haïssait, pourtant, mais était prête à tout pour se faire saillir. Elle pompait toujours Joris en attendant son dû.
Dominique ne se fit pas prier, et enfonça son dard dans la chatte implorante, la travaillant en saccrochant à ses hanches. Les coups de rein quil lui donnait empreignaient le rythme de la bouche dElodie sur la queue de Joris. Elle saccrochait aux fesses de celui quelle suçait. Petit à petit, la queue senfonça dans sa gorge. Bientôt, elle laccueillit jusquaux couilles, sur lesquelles elle bavait. Elle se faisait prendre à quatre pattes comme une chienne et elle adorait ça. Elle avala difficilement sa salive, sentant les deux membres qui palpitaient dans ses trous.
Elle sentit un doigt simmiscer dans son anus. Celui-ci céda facilement, puisque lubrifié par sa mouille, et déjà préparé par la sodomie que lui avait administré son mari la veille. Un deuxième doigt rejoignit rapidement lautre, décuplant le plaisir dElodie.
Quelques minutes plus tard, Dominique se retira.
« – Oh non, laissa échapper Elodie. Jen veux encore !
— Tu es vraiment insatiable ! » Répondit-il. « Mais rassure toi, je nen ai pas encore terminé. »
Il linvita à prendre une nouvelle position. La jeune journaliste se retrouva rapidement à genoux sur le fauteuil, la tête dépassant du sommet du meuble. Joris fit le tour du fauteuil pour se faire à nouveau sucer goulûment. Elodie écarta légèrement les cuisses pour se encore faire pénétrer par Dominique, mais tenta de se dérober lorsquelle le sentit placer sa queue entre les fesses. Elle abandonna le sexe de Joris :
« – Non, pas par là !
— Ne fais ta mijaurée, répondit Dominique. Je suis sûr que tu as lhabitude de te prendre des bites dans le cul. Je lai bien compris en y mettant mes doigts. »
La sodomie de la veille lavait bien ouverte, cétait vrai, mais de là à parler dhabitude Son cul en avait pris pour son grade, et lui brûlait encore.
« – Je men fiche, je ne veux pas que vous passiez par là.
— Je ne vous impose rien, là non plus, intervint Joris, mais si vous refusez, je vous interdirai à nouveau de jouir. »
Elodie garder tristement le silence.
« – Que faisons-nous ? » Lui demanda finalement Joris.
« – Daccord. » Se résigna Elodie.
« – Pardon ? » Dit Dominique.
« – Jai dit daccord. Vous pouvez me sodomiser.
— Brave fille, se satisfit Dominique. »
Il prit possession du petit trou après lavoir enduit de salive, pendant quElodie se cramponnait à son siège. Le passage du gland ne posa aucun problème, mais elle dégusta lorsque la bite entra plus encore dans son anus douloureux. Elle se plaignit de façon sonore. Dominique y allait sans brutalité excessive, même si lexercice était éprouvant pour la journaliste. Il senfonça centimètre par centimètre, en faisant des petites pauses régulières. Finalement, arrivé au fond de son cul, il entama des vas et viens lents mais amples.
Elodie soufflait pour oublier la présence imposante entre ses fesses. Elle fut dérangée dans sa concentration par la main de Joris qui lattira vers sa queue. Elle le suça à nouveau, mais cette fois-ci sans plaisir, subissant totalement la séance. Elle nosa cependant rien dire devant la menace que venait de proférer lhomme quelle avait en bouche.
Heureusement, la douleur diminua peu à peu, et elle parvint à se détendre.
Au bout dun certain temps, ce fut une douce chaleur qui lemplissait. La sodomie commençait à devenir agréable. Peu habituée à trouver du plaisir de cette façon, elle fut quelque peu troublée. Elle suça malgré tout Joris avec un plaisir retrouvé, et sappliqua à descendre sur sa tige, les lèvres collées à sa main qui glissait sur le membre. Elle appuya avec sa langue pour lexciter et lui faire reprendre de la vigueur.
Dominique accélérait progressivement ses mouvements. Elodie appréciait la sensation, même si elle nétait pas vouée à la faire jouir. Chaque vas et viens était un peu plus rapide et profond que le précédent. Bientôt, Dominique la culbuta comme si il la prenait par la chatte. Ce rythme violent ne permettait plus à la femme de contrôler la fellation. Au contraire, Joris lui bloqua la tête pour user de sa bouche comme il le désirait. Elodie était utilisée comme une poupée gonflable, se faisait remplir le cul et la bouche à la fois sans protester. De la bave coulait de sa bouche encombrée.
Dominique sortit enfin de son cul. Le passage du gland tout le long de son tuyau lui fit mal. Joris le remplaça, et Elodie grimaça à nouveau lors de lintroduction de son engin. Mais lorsquil remua à nouveau en elle, faisant claquer son bas ventre contre les fesses de la journaliste, cette dernière ressentit encore cette douce chaleur. Dominique fit face à Elodie, et pressa sa bite contre sa bouche :
« – Suce-moi »
Elle sexécuta malgré le goût. Il faudrait bien quelle prenne lhabitude, de toute façon. Elle se rendit compte avec cette pensée quelle sétait résignée à devenir une pute de luxe.
Bourrée par Joris, ces réflexions sévanouirent. Seule comptaient la chaleur et la vigueur du membre qui lhabitait.
Elle se caressa le clito pour augmenter ses sensations. Elle gémit doucement.
Durant dix minutes, Joris et Dominique séchangèrent ses trous, lui défonçant la rondelle. A chaque fois elle nettoyait les sexes qui sortaient de son anus, avant quils ne repartent à lassaut.
Joris mit fin à cette tournante en sallongeant sur le sol.
« – Venez donc enfoncer mon sexe dans le votre. »
Elodie vint sasseoir sur la queue tendue. Aussitôt, elle haleta de plaisir. Sa petite chatte avait toujours faim. Elle sauta sur la verge avec un plaisir non feint. Elle se sentait salope.
Dominique arriva derrière elle et pressa sur son anus. Comprenant quil désirait lenculer alors quelle avait déjà la chatte occupé, elle prit peur. Elle navait jamais eu ces deux orifices occupés à la fois, et se sentait à létroit. Cependant, elle ne protesta pas, de peur que Joris ne la punisse. Elle se caressa le clito pour limiter son angoisse. Le sexe de Dominique finit par rentrer totalement.
Les deux hommes remuèrent de concert en elle. Cette dernière écarquilla les yeux.
La sensation était incroyable pour Elodie, elle ne regretta pas de sêtre laissée prendre par ses deux trous en même temps. Elle sentait la fine paroi séparant les deux verges poussée des deux cotés. Elle était remplie comme jamais et profitait de deux sources de plaisir. Plaquée contre les corps de deux mâles, elle hurlait littéralement de bonheur.
Joris lui attrapa les mains, et Dominique la tira par les cheveux. Elle ne pouvait pas bouger et devait encaisser les bites qui coulissaient en elle. Elle avait la tête renversée, lobligeant à se cambrer, et les mains clouées au sol. Sa bouche ouverte laissait échapper un cri ininterrompu. Elle ne se contrôlait plus.
« – Oh oui cest bon ! Aaaah comme jaime vos queues, vous me baisez comme une reine ! Encooore ! Han ! Han ! Je me sens si pleine ! Défoncez-moi !! »
Elle finit par jouir intensément, croyant sévanouir de plaisir. Plus que jamais elle sentait les deux pénis figés en elle et emprisonnés par ses contractions de jouissance. Lorgasme fut plus court que le précédent, mais justifiaient pleinement labandon de sa morale en faveur dune séance de baise sauvage avec deux hommes. Elle hurla, les yeux dans le vague.
« – Oooooh ! Que cest booooon ! » Dit-elle ensuite. « Je nen peux plus, je nai pas lhabitude ! Sortez de là, sil vous plaît
— Non navons toujours pas jouit. » Répliqua Joris.
« – Je vais vous finir avec ma bouche. » Répondit-elle aussitôt.
Les deux hommes se dégagèrent, laissant Elodie pantelante au sol. Elle se mit sur ses genoux et leur tailla à tous les deux une bonne pipe. Elle sentait ses deux orifices qui baillaient et tout son corps endolori. Elle savait que le réveil serait difficile demain matin. Son corps était tout tremblant de lexceptionnelle jouissance quelle venait de vivre.
Elle se concentra sur les deux queues et joua de sa bouche, sa langue et ses doigts pour satisfaire les deux étalons. Elle gémissait sans sen rendre compte.
« – Tu tes vraiment comportée comme une bonne grosse chienne, complimenta Dominique. Je savais bien quelle était ta véritable nature. Suce bien cette grosse bite qui ta ravagé le cul. Mmmh cest ça Et en plus tu fais les turluttes à la perfection. Continue comme ça, sale truie, je vais te donner ta boisson préférée»
Elodie avait mal à la mâchoire à force davoir eu la bouche remplie aujourdhui, mais elle fit de son mieux pour les satisfaire. Elle en branlait un, en tournant sa langue autour de la queue de lautre, aspirant les bites pleines de foutre. Ses efforts portaient leurs fruits puisque les compliments jaillissaient de la bouche des deux hommes.
Ce fut Dominique qui éjacula en premier dans sa bouche ouverte, suivi par Joris. Elle sentait le sperme glisser sur sa langue, les deux liquides se mélangeant. Ses joues se tapissèrent dun crémeux nappage blanc. Elle avala tout et écarta les mâchoires pour montrer quelle navait pas triché. La journaliste commençait à shabituer au goût.
Joris lui sourit :
« – Je suis fier de vous ! Vous avez montré beaucoup de bonne volonté !
— Merci. » Répondit-elle en se sentant stupide de remercier un homme la complimenter pour ses talents de partouzeuse.
Elle jeta un il à travers la vitre. Les filles étaient toujours occupées. Alice était visage et poitrine au sol, le cul élargi par le gode ceinture dAlice, qui la labourait en posant son pied sur sa tête. Joris distrait Elodie du spectacle :
« – A partir de cette date, et jusquà vendredi prochain, je vous autorise à jouir. Les autres ordres sont toujours à respecter, évidement. Demain matin, nous viendrons vous récupérer en voiture devant chez vous. A vous de trouver une excuse auprès de votre mari. Votre weekend risque dêtre chargé. Venez avec moi, nous allons dans une autre pièce où je vous administrerai votre injection. Je vais aussi vous faire don dune crème apaisante pour votre anus : de ça aussi, vous aurez besoin. »
