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Tournante de pines pour maman et tante Lucie. – Chapitre 4




Ouf !

C’était bien cela. J’étais en train de baiser tante Lucie, ou plutôt, elle était fichée sur ma queue et c’est son fils qui donnait les impulsions en lui ramonant à fond la boîte à bonheur.

Prise en sandwich entre nous, elle gémissait de plaisir en serrant son fils dans ses bras du plus fort qu’elle pouvait. Lui continuait de proférer mille ordures sur la femme qu’il baisait, mille dégueulasseries sur sa mère : "T’es une bonne grosse pute. T’adore avoir deux bonnes queues à te démonter chiennasse, avaleuse de bites… tu sens bien comme je te prends, ouais, c’est bon ça hein salope, aller vas-y plus fort les ongles dans le dos…. plante-les dans mon cul, laboure-moi, excite-moi cochonne…"

Mais qui l’écoutait  à part moi qui n’en revenais toujours pas ?

Sur le canapé, avec la même ardeur, ma mère se faisait défoncer dans une scénario identique. La tête renversée de Lucie, contre ma joue, m’empêchait de voir ce qui se passait mais les sons me parvenaient dans toute leur crudité orgiaque, les cris courts, plaintifs et répétitifs de la femelle déchirées, les bruits des chairs qui claquent, les mots pornographiques des baiseurs.

La voix tonitruante de Grégoire retentit :

–  Il est mûr maintenant ! Changez les filles.

Ce fut fait en un rien de temps et ma mère se mit sur mon sexe comme tante Lucie s’y était posée et prit soins de bien l’enfoncer sans aucune hésitation. Mais, lorsqu’elle saisit ma bite et commença à glisser dessus, j’éclatai en sanglots.

–  Non… non maman arrête, non fais pas ça, c’est immoral, arrête, je t’en prie arrête.

–  Mais tu l’as déjà eu sur ta queue ta mère mon grand, faut que tu réalises… et t’avais même l’air de sacrément aimer ça  tout de suite !

Mais là, c’était différent, le voir, en être sûr à 100 %… je me mis à débander en pleurant comme un bébé.

–  A merde, il nous fait une rechute. Amène la bouteille…. Bois petit, ça va te réconforter.

On me tendit la bouteille de whisky que je pris sans réfléchir, anéanti,  et je bus plusieurs rasades à même le goulot.

–  Lucie, remets lui la queue droite.

Elle obtempéra en s’agenouillant devant moi et me suça avec expertise.

Au bout de quelques minutes, l’alcool aidant à me faire perdre encore un peu plu pied dans la réalité, ma queue avait retrouvé de sa superbe. Je laissai faire.

Quand maman reprit sa place sur ma pine, je ne protestai même pas. Ma libido tint le coup, ma verge resta dure et droite dans le trou du cul. Mon frère pénétra la chatte.

Bertrand dit à sa femme :

–  Tu vois, c’est pas mal d’avoir deux fils… un dans chaque trou… On aurait du faire un petit frère a Maxime

–  Qu’importe puisque tu as de bons amis ! Répondit-elle.

Mon père nous encourageait :

–   Bravo les garçons, vous êtes de vrais hommes, de vrai mâles comme papa, de bons gros queutards. On passera des soirées plus intéressantes que nos parties de UNO !

On décida ensuite de mettre les deux femmes agenouillées côte à côte sur le canapé pour les baiser en tournante. Mais quand ce fut mon tour de pénétrer ma mère, je ne pus pas. Voir son cul dresser, ses belles épaules, ses cheveux en désordre et le balancement obscène qu’elle donnait à son cul pour aguicher le mâle en rut, cela, de nouveau, me donna la gerbe. On essaya bien de me forcer alors, j’acceptai de baiser tante Lucie dans le trou de laquelle je finis par éjaculer sous les applaudissements généraux.

Dès que j’eus terminé, je m’écartai, submergé par le dégout pendant que les autres biteurs continuaient de troncher à qui mieux mieux. Désespéré par ce qu j’avais fait, je repris la bouteille de whisky et me saoulai.

Ma tête était lourde au réveil le lendemain matin. J’étais nu sur le tapis, Maxime, nu aussi, les pils de la bite et du pubis couverts de boulettes de sperme séché, ronflait dans un fauteuil.

Je pris du paracétamol avant d’ aller me coucher. En passant devant la chambre de mes parents, je vis ma mère nue sur le lit. Le nain et Bertrand étaient couchés à côté d’elle. Tout le monde dormait.

Plus loin, Lucie était dans le lit d’Alban avec mon père et mon frère.

A partir de cette soirée, comme j’étais affranchi, ils ne se cachèrent plus.

Tous les vendredis désormais, c’était partouze, soi chez nous soi chez Bertrand et Lucie.

J’évitais soigneusement d’y participer.

On me pressa bien de me joindre mais je leur parlai à peine, j’avais juste envie de me casser de cette maison devenue un baisodrome.

Le matin il m’arrivait parfois, en descendant au petit déjeuner, de voir mon frangin (qui vivait à poil la plupart du temps maintenant et se tripotait fréquemment et négligemment la bite et les burnes) appuyé contre la table de la cuisine et ma mère à genoux devant suçant la grosse pine rapidement. Je le vis une fois juter dans le café de ma mère et elle avala, je cite "ce breuvage réconfortant".

Je devais désormais fermer la salle de bain à clef pour éviter que ma mère me mette la main au paquet en m’incitant à la sauter. Elle ouvrait son déshabillé pour me montrer ses charmes auxquels j’aurais volontiers succombé, il faut l’admettre si je n’avais été son fils. Je dus insister pour qu’elle cesse de me harceler.

Plus d’une fois, pendant mon sommeil, elle vint me sucer. Je la repoussai vivement à chaque fois. Je regrettai d’avoir perdu la clef de ma chambre quand j’étais gamin et de ne plus pouvoir m’isoler.

J’évitais même les déjeuners ou diners familiaux, d’abord parce que je n’avais plus rien à leur dire, ensuite parce lors d’un repas où on avait servi des asperges, à dessein je le suppose, la conversation avait dévié et aussi sec, les deux obsédés l’avaient prise sur le coin de la table. Ils pensaient qu’excité par le spectacle qui, normalement aurait dû faire bander un mort, je finirais par craquer.

Et que dire de l’anniversaire de ma mère, fêté en grande "pompe", avec tous les partouzeurs officiels sucés en ligne après le déballage des cadeaux qui laissait penser qu’on avait dû, pour les réunir, braquer un sex-shop. On avait bien essayé de me joindre à l’orgie, mais je m’étais barré.

J’avais eu une explication serrée avec mon père.

–  Mais qu’est-ce qui te prend ? Pourquoi tu nous fait la gueule depuis des jours bout coupé  ?

–  Eh sérieux, tu le demandes !

–  Ben oui écoute, vois ton frère !

— Putain, celui là j’ai trop envie de lui casser la gueule, il me débecte. Vous me débectez tous !

— Pourquoi ? Cause !

— Pourquoi ? Mais comment t’ose offrir ta femme à tous tes potes et même à ton fils ? Quel mari, quel père peut faire ça ?

— Mais, tu mélanges tout ! C’est que du cul ! On a le droit de s’amuser quand même !

— Pas comme ça !

–  Tu es moins regardant avec tous les films de culs que tu te matais. Tu crois que je voyais rien sur l’historique du pc ? T’as bon goût d’ailleurs. Alors les histoires de culs américaines, mères fils, ou beaux-pères belles-filles, ça se laisse regarder…mais après.

–  Rien à voir, c’est virtuel !

–  Tu sais avec ta mère on a fonctionné comme ça. Bertrand et moi on a connu Lucie et ta mère en même temps, en boîte de nuit, deux copines, deux copains…. On a passé la soirée ensemble et le lendemain on a échangé nos meufs… et ça a continué. Après, on est tombé amoureux et comme on était d’accord sur le type de vie que l’on souhaitait vivre on s’est marié. J’aime ta mère, elle m’aime. Et c’est pareil pour Bertrand et Lucie… mais on a une vie sexuelle très libre et on est heureux comme ça  ! Où est le problème ?

–  Et avec vos gamins ! Putain, avec vos gamin, ça vient d’où ce délire ?

–  C’est Maxime l’été dernier qui a voulu être déniaisé par ta mère. On a switché avec ton frère qui les a surpris tous les deux. Puis, on les a invités à notre soirée avec les gars de la boîte et, tu as vu ton frère baiser ta mère… Maxime saute la sienne depuis plus longtemps… Tout le monde aime, tu vois c’est simple. Aller, mélange pas tout. Eclate-toi avec nous…

–  Mais vous pouvez crever ! Allez vous faire foutre tous. Je me casse d’ici.

Et je joignis l’action à l’attention en me dénichant un studio en ville. Au fil des jours, je m’éloignai donc de plus en plus de ma famille, évitant de les croiser du mieux que je pouvais en attendant mon départ.

Un soir, Alban ramena une nana à la maison. C’était la première fois depuis l’inceste. Une fille superbe avec des seins partout. Les critères de choix de mon frère en ce qui concerne les filles avec lesquelles il sort sont dictés clairement par sa bite. Les sentiments n’y ont pas de place. Mon frangin veut des plans culs et, depuis qu’il se tape ma mère et ma tante, il est devenu insatiable.

Je regardai la télé et ils se firent un plateau repas. Papa arriva ensuite et, sans vergogne, se mit ouvertement à draguer la copine de mon frère (je ne sais même plus comment cette nana s’appelait). Ecuré, une fois de plus, je montai dans ma chambre. J’y préparai mon prochain déménagement puis me couchai.

Je fus évidemment réveillé par les cris d’orgasme dans la chambre d’à côté. J’avoue que je succombai au désir. La fille était très belle, je l’imaginai les jambes bien écartées sous mon frère… je portai la main à mon sexe. Il y avait longtemps. même me masturber me semblait sale depuis ce que j’avais fait, alors qu’avant je ne comptais même pas les paquets de kleenex que j’utilisais régulièrement !

Tout à coup la porte s’ouvrit. Nu, la queue bien en l’air, mon frère me dit :

–  Tu viens, elle veut une deuxième bite ?

–  Casse-toi, baise-là seul ta grognasse… et faites moins de bruit !

J’avoue quand même que je me serais bien laisser tenter mais l’idée de sauter sa copine me faisait craindre ce qui arriverait si, un jour, j’amenais la mienne dans ce repère de désaxés et puis je ne voulais pas, même un peu, entrer dans leur jeu.

–  Bon tant pis, je vais demander à papa… tu sais pas ce que tu perds. Un vachement bon coup. Bonne sous l’homme…

Les bruits reprirent vite et les commentaires qui me parvenaient confusément me confirmèrent que mon père, comme je l’avais imaginé, ne s’était pas fait prier. Puis, les cris redoublèrent, ceux de ma mère devant se joindre à ceux de la fille.

Par ailleurs, quelques jours plus tard, à la piscine, je croisais tante Lucie. Je tentai de l’éviter mais elle se colla à moi à m’en faire honte et, pour éviter le scandale qu’elle se proposait de faire, je me résolus à la rejoindre dans une cabine où je lui fis rapidement l’amour sans capote et sans conviction.

Tout cela ne fit que me conforter. Mon départ était acquis et on décida d’organiser une petite fiesta pour mon marquer le coup. Je refusai d’abord mais comme mes parents tenaient encore les cordons de la bourse, je ne pus pas faire autrement que d’y consentir (je conviens que cette attitude peut paraître un peu vénale, mais avais-je le choix ? Et au point où nous en étions de la moralité dans cette famille…). Bien sûr j’étais décidé à ne pas baisser mon froc, à faire le minimum syndical et à foutre le camp dès que les gens commenceraient à s’enfiler. Je devinais bien qu’il y avait traquenard, anguille sous roche, piège, bref qu’on ferait tout pour m’inciter une dernière fois à entrer dans la danse, mais sauf à me forcer, ce qu’ils n’avaient pas chercher à faire auparavant, je ne voyais pas comment ils pouvaient m’y contraindre. Eux non plus sans doute. Tout juste espéraient-ils une ultime fois que, sollicité par tout le monde, je reviendrai en arrière. Personne ne pouvait prévoir ce qui devait finalement se passer.

A suivre.

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