Bien, me voilà face à mon destin dans l’entrée de cette somptueuse villa.
"Bon, allons voir cette Cynthia" me dis-je. Cela ne devrait pas me faire de mal, moi qui prévoyais de m’occuper d’enfants professionnellement. J’espérais juste que la gamine ne serait pas trop difficile. Je n’avais en fait pas droit à l’erreur. Un seul examen raté et ce job m’échapperait… Examen de quoi? Allons voir de quoi il retourne.
Je pris mon courage à deux mains et pénétrais dans l’entrée. Je refermais la double porte massive et commençais à monter un grand escalier de marbre blanc. Tout respirait le luxe mais aussi le bon goût. Sur les murs, dans la montée, étaient accrochés plusieurs tableaux. La maîtresse de maison, Mme Rougemont, radieuse en tenue de tennis qui mettait ses formes en valeur, une photo d’elle et (je supposais) de son mari dans un portrait classique. Il était bel homme, un peu grisonnant mais dégageait un certain charme. Puis il y avait plusieurs clichés de la famille au complet et là je m’arrêtais dans un choc : Cynthia était divine… Une poupée brune, carré plongeant jusqu’aux épaules. Des yeux bleus-piscine. Une peau pâle saupoudrée de taches de rousseur savamment disposées sur son petit nez en trompette et ses pommettes légèrement rosées et une bouche pulpeuse que tous les garçons de son collège devaient rêver de dévorer … Le reste on ne pouvait pas le voir très bien mais elle semblait posséder un corps que toute filles de 17 ans tueraient pour avoir…
Bon sang, que m’arrivait-il, j’avais l’impression d’être en arrêt devant ce portrait depuis de longues minutes, de fines gouttes de transpiration perlaient sur mes tempes…
Ressaisis-toi ma grande! Elle est peut être jolie mais c’est à moi de la rendre brillante dans ses études, allez, au boulot!
Je gravis avec entrain les dernières marches et dans le couloir de l’étage commençais à chercher la chambre de cette jolie créature.
J’entendis une musique en fond sonore, du RnB me semblait-il, ce devait être ici. La porte était entrouverte mais je toquais quand même.
-Mademoiselle Cynthia? Je suis Astrid, la nouvelle jeune fille au pair…
Un moment de silence puis.
-Ah ouais ben entre alors!
Ok elle s’exprimait comme une ado normale, ce qui était assez rassurant en fait.
Je poussais la porte avec deux doigts et me trouvais dans la chambre classique d’une fille de 17 ans. Un bureau plein de figurines style manga, des murs recouverts de photos de vacances avec des curs ainsi que des posters principalement de rappeurs à moitié dévêtus. Puis au milieu, directement en face de moi elle était là, à plat ventre sur un lit rond devant son ordinateur portable.
Elle était aussi ravissante que sur les portraits, mais les cheveux un peu ébouriffés et vêtue d’un t-shirt bien trop grand qui dévoilait la naissance de ses seins (qui semblaient libres de tout soutient) et qui recouvrait jusqu’au haut de ses cuisses, si bien qu’on pouvait croire qu’elle était nue dessous, si ce n’est que je voyais le coton du t-shirt un peu déformé par un shorty à hauteur de ses fantastiques petites fesses. Ça y’est je transpirais à nouveau… Avec un nud dans la gorge je m’approchai.
-Bonjour mademoiselle. Je lui tendis la main au-dessus de l’écran de son ordi.
Elle daigna à peine lever ses yeux azures pour les plonger dans les miens, un frisson me parcouru.
Je retirai ma main, un peu précipitamment peut être.
-Salut miss! Me lança-t-elle.
-Euh j’aimerai bien que tu m’appelles par mon prénom s’il te plaît!
Cette fois elle me fixa dans les yeux intensément. Et me tira une langue rose.
-Ah parce-que c’est toi qui commande ici? Première nouvelle!
Et elle replongea les yeux sur son écran.
Je restais un moment interdite devant son insolence.
-Euh non je ne commande pas, mais ta mère m’a chargée de m’occuper de toi et…
-T’occuper de moi mmhh gémissa elle ça pourrait être cool, t’as l’air sexy sous ton accoutrement. Elle finit sa phrase en se passant la langue sur les lèvres.
-Mais comment oses tu petite? Un peu de respect je te prie! Non elle m’a demandé de t’aider pour que tu réussisses…
-Oui je sais mon exam de demain, te fatigues pas elle m’a déjà expliqué…
-Bien alors et c’est un examen de quoi que tu dois réviser? Je tentais de reprendre une certaine consistance devant cette magnifique diablesse…
-de langue! Elle sortit encore une fois son muscle rosé et humide de sa jolie bouche pour l’agiter dans tous les sens. – De l’englishhhhh! Mais t’en fais pas belle Astrid, je connais déjà ma note pour demain : 20 sur 20!
-Quoi? Mais qu’est-ce que tu racontes? Comment connais-tu ta note à l’avance?
-Oh mais parce-que je me suis arrangée pour obtenir le corrigé de l’épreuve! M. Edwards, le prof d’anglais m’a gentiment aidée. Il me trouve bien assez douée avec ma langue.
Et là d’une manière obscène elle se mit à mimer une fellation, de la salive coulait même à la commissure de ses lèvres. Je ne savais plus quoi faire devant tant de vice, mon cur battait la chamade. Elle était tellement adorable mais dégageait une telle charge érotique. Et pendant que je la voyais s’activer sur ce membre imaginaire j’eus d’un coup un immense frisson et je sentis ma chatte s’ouvrir et un jet de cyprine vint gicler sur ma culotte. Et elle continuait, elle cracha dans sa main et reprenait.
-Vous aimez ça monsieur Edwards, mmmhhh? Vous aimez me baiser la bouche mmmhhh?
C’en était trop!
-Arrêtes ça petite vicieuse! Tu es folle? Tu crois que je vais te croire? Tu as sucé ton professeur pour avoir la copie? N’importe quoi! Et arrêtes ces gestes horribles! Je vais le dire à ta mère! Et je claquais l’écran de son PC pour le fermer d’un mouvement de rage. En fait je m’énervais bien plus à cause de mon excitation qu’autre chose je dois bien l’avouer…
Au moins elle cessa directement ses mimes cochons. Elle se redressa d’un coup, le regard plein de rage. Avec ce mouvement son t-shirt remonta le haut de ses cuisses et je ne pus m’empêcher de jeter un il gourmand. Son shorty était blanc avec un dessin "hello kitty" et, mon dieux, une petite tache humide souillait le dessin. Ainsi la demoiselle était excitée également…
-Toi ne refais plus jamais ça ok ? Ne crois pas que tu es à l’abri, je peux très bien faire exprès de rater ce devoir pour que ma mère te vire! T’as bien compris?
Elle avait l’air sérieuse et vraiment hors d’elle, mais moi je ne pouvais pas détacher mon regard de son shorty qui moulait ses lèvres intimes et qui devenait transparent tellement il était mouillé.
-Réponds Astrid, dis, tu n’as pas envie de perdre cet emploi hein? Comment tu ferais si tu ne pouvais plus voir mon corps hein? Je crois que c’est toi la cochonne! Regarde toi, tes tétons sont tout durs mmhhh, réponds!
Mince elle avait tout saisi de mon trouble…
-Euh je, oui, d’accord Cynthia je, excuse-moi, je te laisse, je vais, euh, voir si il y’a de la vaisselle à faire.
Et d’un coup je tournais les talons et m’enfuis en courant, dévalant les escaliers pour atterrir dans la cuisine en pleurs.
Mon dieu mais que marrivait- t-il? Je n’avais jamais réagis aussi fort aux charmes de quelqu’un, et encore moins d’une fille, d’une gamine prétentieuse qui plus est. Et pourtant je me sentais nager dans ma culotte, ma vulve était en feu et, elle avait raison, mes tétines étaient toutes dressées. Je me mordis la lèvre et saisi mes tétons à deux mains, et les serrais tes fort à travers ma blouse, appuyée contre le frigo. "Ohhh ce que c’est bon…"
Je devenais cinglée c’est ça! Je me giflais moi même violemment. Ressaisis-toi ma vieille!
La vaisselle, une excellente idée!
La cuisine était gigantesque, à l’américaine, avec un grand plan de travail central et de l’électro-ménager ce pointe. Le tout ouvert sur le salon, sobre et beau comme tout le reste de la maison. Il y avait un peu de vaisselle à rincer et mettre dans le lave-vaisselle. Je m’y attelais, essayant de chasser les pensées perverses de ma tête.
Un bol de cornflakes avec sa cuillère. Il devait appartenir à Cynthia. Ça y’est j’imaginais de nouveau des choses, la belle engouffrant ses céréales comme une salope, en sous-vêtements, giclant du lait partout sur son corps et me suppliant de venir la nettoyer… Hhh
-Astrid vient ici tout de suite! Voilà j’entendais des voix maintenant. – Plus vite que ça!!! Non c’était bien elle qui m’appelait! Je j’étais le bol dans l’évier et remontais dans sa chambre presque en courant.
Elle était devant son ordi à nouveau. – Tu obéis vite c’est bien!
-Je euhh merci mademoiselle!
-On est parties du mauvais pied jolie Astrid, je ne vais pas te virer, enfin si tu réussis ton examen…
-Quoi? Moi mais je…
-Oh tu verras bien plus tard, dit-elle avec un clin d’il (comme elle était belle…)
Mais d’abord viens vers moi me donner ton avis, elle me regarda et tapota la place libre à côté d’elle sur son lit.
Comme un zombie je m’approchai et vint me poser sur le matelas les jambes croisées hors du lit.
-Pffff enlèves tes shoes et mets toi à l’aise! T’es toujours aussi coincée?
-Ok
J’obéis et je me retrouvais en bas couleur chair, accroupie près d’elle. Elle sentait bon, j’avais un sourire débile j’en étais sûre.
-Et arrête ce sourire débile tu me fais flipper, je sais que je te plais mais calmes toi un peu.
-Mais non pas du tout je…
— Tais-toi et donne-moi ton avis! Elle tourna un peu son ordinateur pour que je puisse voir l’écran. Mon cur que je ne croyais pas capable de battre plus vite s’emballa encore un peu plus : sur l’écran un homme noir s’exhibait sur plusieurs clichés, grand et très beau, des muscles saillants, et au style "bad boy". Sur les dernières photos il était complètement nu et son énorme verge dans la main. Mon dieu quelle queue énorme…
-Mais mademoiselle que me montrez-vous? Vous exagérez un peu non?
-Non je ne crois pas non! Regarde toi tu transpires comme une fillette ! Héhé ! Ça te plaît de mater une belle queue de black hein? Ou alors tu mouilles seulement pour les filles mineures comme moi mmm? En disant ça elle se mit un pouce dans la bouche et le suça sensuellement.
— Mais ma question ce nest pas ça, tu as déjà eu une bite aussi énorme en toi jolie Astrid? Qui te prenne bien fort comme ça. À la fin de sa phrase elle cliqua sur sa souris et le beau noir réapparut cette fois en vidéo ; il baisait à fond une femme de mon âge à peu près, en levrette. Elle avait une queue de cheval blonde comme moi, elle me ressemblait un petit peu, jusqu’à l’habillement que j’arborais aujourd’hui. Le tailleur était relevé au haut de ses fesses et il lui défonçait la moule à un rythme effrayant, en gros plan à présent son énorme pieu entrait et sortait de son abricot éclaté en libérant des filaments de sperme et de mouille qui éclaboussaient la caméra.
-Alors t’as déjà goûté à ça?
Je tentais de trouver une réponse qui puisse faire tout revenir à la normale mais à ce stade je sentais que c’était perdu d’avance. Et puis bon sang, je n’avais jamais autant trempé ma culotte qu’aujourd’hui…
-Non jamais…
-Tu aimerais ça belle Astrid? Te faire remplir par un vrai mâle comme lui? Quand elle disait belle Astrid je croyais mourir de bonheur.
-Oh ce doit être bien oui!
Elle me caressa la joue. – Tu es adorable. (ce contact et ces mots m’électrisèrent) – Et c’est quoi la plus grosse queue que tu te soies enfilée?
-Mais je ne sais pas précisément. Je répondais dans le vide mes yeux étaient rivés sur les images du black, qui maintenant avait pris possession de l’anus de la blonde, des boules rondes et lisses claquaient contre sa chatte encore dilatée.
Cynthia se leva et alla chercher quelque chose sur son bureau. Elle revint avec une règle graduée dans les mains.
-Montre-moi!
Je me reconcentre et me remémore mes (pas si nombreux) amants. C’était Jérémie qui avait la plus grande, il me remplissait bien mmmh. Je pointais du doigt les 22cm sur la règle.
-Pas mal ma cochonne! Exactement comme M. Edwards, sauf que lui je ne l’ai que sucé, dit-elle d’un air déçu de petite fille.
-Non mais c’est vraiment sérieux, tu as fait une fellation à ton prof d’anglais! , dis-je interloquée.
-Bien sûr, et pour avoir la copie complète j’ai dû avaler hihihi, tu veux voir?
-Tu as des photos?
-Bien sûr, je l’oblige à me prendre avec mon portable, je ne suis pas folle, je me protège! Mais c’est mieux en vidéo!
En une seconde elle sortit son smartphone et chercha la vidéo, puis elle tourna l’écran vers moi.
On avait une vue plongeante sur la petite Cynthia, en uniforme scolaire chemisier avec décolleté largement ouvert sur deux globes laiteux magnifiques et son visage d’ange la bouche ouverte occupée à gober les bourses d’une bite bien dure et droite.
-Do you like it Mr Edwards? I am a good slut?
On ne voyait pas l’homme mais il répondait.
-You are perfect Cynthia, now swallow all my dick bitch!
Cynthia obéit et en de longs allers retours elle engloutit les 22cm de chair au fond de sa gorge, les yeux levés comme une vraie pro, sûrement au fond de ceux de son prof.
Je regardais ça presque la bave aux lèvres. Cette petite pute allait me rendre folle…
